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Anesthésie du coronarien Anesthésie du coronarien

→ Dysfonction systolique dans le territoire concerné, à type d’hypokinésie,


ANESTHESIE d’akinésie, de dyskinésie, un dysfonctionnement des piliers mitraux avec une insuffisance
DU PATIENT CORONARIEN mitrale ( onde V), et une insuffisance cardiaque gauche
→ OAP par augmentation de la PTDVG
→ ECG : • troubles de la repolarisation ( = sus ou sous décalage du ST de plus de 4
mm ) ;
I ) INTRODUCTION • ischémie ( onde T négative et symétrique) ; • troubles du rythme et de la conduction
→ But : éviter l’ischémie péri-op ; l’ischémie peut également survenir en pré et en post-op → Une symptomatologie angineuse : douleur d’effort caractéristique, de courte durée
→ L’ischémie se traduit par un déséquilibre entre les besoins en O2 du myocarde et les apports ( 2 à 10 mn ) cédant au repos et à la prise de Trinitrine ; douleur constrictive de siège
qui lui sont fournis ce qui ne permet plus d ‘assurer un métabolisme cellulaire normal. Il y a thoracique, rétrosternale, pouvant irradier vers les bras et le maxillaire inférieur ⇒
ischémie quand les besoins métaboliques en O2 du myocarde dépassent les apports complication = IDM
→ Biologiques : lactates, CPK MB, troponine I sont augmentés
_________________________________________________________________________________
1 ) Physiologie __________________________________________________________________________________
→ Le débit sanguin coronaire ( donc la perfusion coronaire ) se fait en diastole : II ) FACTEURS DE RISQUES
celui-ci doit donc rester stable
→ Plus la FC augmente, plus le temps de remplissage diastolique diminue, et donc le Les 2 risques majeurs sont l’ischémie et la nécrose myocardique aiguë
débit sanguin coronaire diminue parallèlement ⇒ donc il faut éviter la tachycardie Les 2 périodes de risques maximum sont l’induction et l’extubation
→ La PAM ne doit pas descendre sous 60 mm Hg ⇒ donc il faut éviter l’hypoTA ________________________________________________________________________
→ Le contenu artériel en O2 est en rapport avec la concentration en hémoglobine et 1 ) définition
la SatO2 → Il s’agit de patients présentant des antécédents d’angor ou d’ IDM
→ Les facteurs de risque sont dominés par : l’athérosclérose, L’HTA, des signes d’ICGa
Besoins en O2 augmentés par : Diminution des besoins en O2 par : (cardiomégalie, atcdts d’OAP ou d’IVGa), le tabac, l’hypercholestérolémie et le diabète
• ↑θ FC • ↓θ du débit sanguin coronaire → Troubles de la repolarisation de type ischémique ou plus de 5 ESV/ mn sur ECG de repos
 ↑θ de la contractilité (= inotropisme )  ↓θ de la volémie → Une HTA mal traitée avec PAS > à 160 mmHg expose au risque d’ischémie silencieuse
 ↑θ de la tension pariétale du VG par :  ↓θ de la TA → Une PAD > à 90 mmHg est de mauvais pronostic
- ↑θ de la TA  thrombose coronaire
→ Evaluation :
- ↑θ de la PTDVG  sténose coronaire
 ECG
 vasoconstriction ; spasme
- ↑θ de la précharge (= remplissage et  Epreuve d’effort
retour veineux )  ↓θ du CaO2 par ↓θ de la SatO2 ou  Scintigraphie au Thallium Dypiramidole : visualiser les zones myocardiques
par ↓θ de l’hématocrite hypoperfusées ou nécrosées
- ↑θ de la post-charge
(vasoconstrictθ )  Ventriculographie isotopique
 Coronarographie
 ↑θ de la consommatθ d’O2 par
 Echographie, échographie de stress ( après un effort )
l’organisme ( hypoT° ; ↓θ de
 ETO : elle permet d’apprécier le niveau de postcharge du VG ( VtSVG ), de précharge
l’analgésie ; sevrage de la ventilation )
(VtDVG), le niveau de contractilité et la fraction de raccourcissement

________________________________________________________________________ ______________________________________________________________________________
2 ) Conséquences de l’ischémie 2 ) Le terrain
→ Troubles de la relaxation ventriculaire → Risques majeurs :
→ Altération de la fonction ventriculaire : augmentation de la PcP ; OAP ;  Angor instable
diminution du débit cardiaque ; baisse de la TA
 Insuffisance cardiaque congestive décompensée
 Troubles du rythme sévères

1 Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye
Anesthésie du coronarien Anesthésie du coronarien

 Valvulopathies sévères → Prémédication idéale avec BZD tel que le Midazolam qui respecte l’autorégulation
myocardique
→ Risques intermédiaires : → Eviter l’Atarax car il engendre des bradycardies
 Angor stable → Eviter l’association d’un morphinique et d’un anti-histaminique car cela augmente le risque
 Antécédents d’IDM d’hypoxie, donc d’ischémie myocardique
 Insuffisance cardiaque équilibrée ou anciennement décompensée
 Diabète sucré _______________________________________________________________________________
2 ) Monitorage
→ Risques mineurs → Index de Buffington = PAM ÷ FC doit toujours être supérieur à 1 ; s’il est inférieur à 1, cela
 Age avancé témoigne du risque ischémique
 Anomalies à l’ ECG → ECG dérivation CM5 minimum permettant le monitorage en continu du segment ST et d’en
 Présence d’un rythme autre que sinusal déceler les modifications significatives
 Retentissement fonctionnel profond
→ Le Gold standard (scope à 5 électrodes) permet le monitorage simultané de DII et V5
 Antécédents d’AVC
 HTA non contrôlée → Dérivations :
 D II : possède l’onde R la plus grande ; permet une bonne visualisation de l’onde P ;
______________________________________________________________________________ permet de détecter les troubles du RC
3 ) La chirurgie  V5 : permet l’exploration du VG et de détecter les épisodes ischémiques chez patients à
→ Haut risque risque et notamment les patients coronariens
 Urgence majeure  Segment ST : c’est un signe précurseur de l’ischémie
 Chirurgie de longue durée avec modifications volémiques et hémorragiques  La FC doit rester inférieure à 75/mn : en effet la tachycardie augmente les besoins en O2
 Chirurgie aortique et vasculaire périphérique du myocarde en diminuant le temps de remplissage diastolique
 Chirurgie carotidienne
→ Swan-Ganz : elle s’impose si la FEVG est inférieure à 45% ; si atteinte coronaire
→ Risque intermédiaire tritronculaire ; si antécédent d’ IDM récent ; si chirurgie hémorragique ou de longue durée :
 Chirurgie générale réglée ( ORL, abdominale, thoracique, orthopédique, prostatique )  Rechercher l’augmentation de la PCP et l’apparition d’une onde V ( signe de
→ Faible risque dysfonctionnement des piliers mitraux ) qui témoigne d’une insuffisance mitrale
 Chirurgie de la cataracte  Eviter et traiter rapidement les éventuelles élévations de la PAPO qui diminuent la
 Chirurgie superficielle pression de perfusion coronaire
 Chirurgie du sein  Swan avec mesure de la SVO2 ( valeur normale = 65% ) : les modifications de la SVO2
vont de pair avec les troubles électriques à l’ECG ; ils sont voire même très fréquemment
 Endoscopies
plus précoces
 La SVO2 diminue en cas de frissons ou de saignement ; en cas de réveil du patient, de
_________________________________________________________________________
troubles de la ventilation
III ) IMPERATIFS  La diminution de la SVO2 témoigne d’une souffrance cardiaque et myocardique
1 ) prémédication
→ ETO : permet de visualiser les troubles de contractilité segmentaire du myocarde et
→ Ne pas donner les IEC le jour de l’intervention ( Lopril, Captopril, Rénitec, d’apprécier au mieux le remplissage des cavités cardiaques
Captolane ) car risque d’hypoTA majeure à l’induction ; par contre, on peut les donner la
veille au soir
→ Kt artériel :
 Permet de mesurer la TA en continu : la PAM ne doit pas descendre sous 60-70 mm Hg
→ Ne pas arrêter les β -bloquant ( sinon risque de syndrome de sevrage avec poussées  PAD importante car le débit sanguin coronaire se fait en diastole
hypertensives ), les dérivés nitrés, les inhibiteurs calciques
 Adapter le remplissage : risque hémorragie en cas de chirurgie lourde
→ Arrêter Ticlid et Aspégic une dizaine de jours avant l’intervention : relais HBPM

2 Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye
Anesthésie du coronarien Anesthésie du coronarien

→ Température : car l’hypothermie engendre des frissons et donc augmente la CMO2  proscrire Pentothal : car puissant hypotenseur et inotrope négatif
myocarde
→ Curamètre  Curares : le Pavulon permet de compenser la bradycardie provoquée par les
→ SatO2 ; EtCO2 ; % d’halogénés morphiniques utilisés à forte doses ; on préférera l’emploi de curares dits sécurisés du
fait de leur effet peu histamino-libérateur tels que Esméron ou Nimbex ; la
_______________________________________________________________________ Célocurine ne sera utilisée qu’en cas de crush induction si estomac plein
_
 Il faut souligner l’intérêt de l’AIVOC ( Diprivan ; Sufentanyl, Alfentanyl ) : idéal car
3 ) Surveillance biologique provoque baisse des RVS, une baisse de la pré-charge, une vasodilatation
→ L’hématocrite doit toujours être supérieure à 30% : en dessous de ce seuil, on observe  Halogénés : le Sévoflurane et le Desflurane sont bien tolérés car ils ont très peu
des modifications du segment ST traduisant une ischémie d’effets sur les débits cardiaque et coronaire. Eviter l’Halothane qui est le plus
→ Par contre, l’anémie chronique est mieux supportée dépresseur myocardique. Isoflurane possible à faible C° (sinon risque de vol coronaire)
→ Lactates, CPK MB, troponine I sont augmentés
→ GDS ; ionogramme → Intubation :
• elle est source de réactions adrénergiques
• Tachycardie : on peut utiliser des β -bloquants cardiosélectifs de courte durée
d’action comme l’ Esmolol à une dose de 0,5 à 1 mg/10kg → à mettre en balance avec
l’effet dépresseur myocardique potentiellement délétère des β -bloquants
4 ) Protocole • HTA qu’on peut traiter par Nicardipine (Loxen ) IV ou en bolus
→ But : maintenir un équilibre entre les besoins et apports d’O2 du myocarde •ALR de glotte
→ Eviter l’augmentation de la consommation en O2
→ Maintenir une hémodynamique stable et en contrôler toutes les modifications : prévention → Entretien :
de l’ischémie • Morphiniques : l’analgésie correcte est le fondement de la protection myocardique
→ Eviter les variations tensionnelles et les tachycardies car provoquent une diminution des et évite la tachycardie
apports d’O2 au myocarde et augmentation de ses besoins en O2 • Halogénés : tenir compte des effets hypotenseurs et inotropes négatifs
→ Facteurs modifiant l’hémodynamique : induction, intubation, incision, stimuli chirurgicaux, ( l’Isoflurane, par ses effets vasodilatateurs artériolaires coronaire, peut être à l’origine
période post-opératoire d’un phénomène de vol coronaire s’il est utilisé à forte C° ) ; fraction expirée entre 1%
et 1,5 % . En association à faible C° avec les morphiniques, ils permettent de limiter la
→ Dénitrogénation : 3 mn minimum impérativement, voire même 5 mn réponse HDM lors des stimuli douloureux
• Diprivan AIVOC : induction lente avec cible faible ( 3 µg / 3mn ), associé à MDZ évite
→ Induction : les effets cardio-vasculaires délétères
• elle doit limiter au maximum les répercussions HDM liées à l’induction elle-même et
à l’intubation
• tous les produits anesthésiques peuvent être utilisés en toute sécurité sauf la → En per-opératoire :
Kétamine. Dans tous les cas, après pré-oxygénation, appliquer la méthode de titration
progressive et injection lente des drogues ; IOT après ALR de glotte et sous curamètre • Eviter les épisodes d’hypoTA : l’hypoTA entraîne une diminution du débit sanguin
coronaire, donc une diminution des apports en O2 du myocarde à l’origine d’une dette
→ Drogues : en O2 du territoire concerné ⇒ maintenir PAM > 60 – 70 mmHg
BZD
 Etomidate car peu d’effets cardio-vasculaire ; peu dépresseur myocardique mais
• Eviter la tachycardie : elle provoque une diminution du temps de remplissage
diastolique, donc une baisse du débit sanguin coronaire dans un territoire myocardique
plutôt réservé à l’insuffisance cardiaque
d’où ischémie myocardique ; la tachycardie entraîne une augmentation des besoins en
 proscrire la Kétamine : car provoque tachycardie et HTA ; augmente le QC, les O2 du myocarde en augmentant sa consommation en O2 ⇒ maintien FC < 75/mn ;
résistances périphériques et artérielles pulmonaires ; engendre une augmentation de la on peut avoir recours à des β -bloquants d’action courte (Brévibloc)
consommation d’O2 par le myocarde ( = MVO2 )

3 Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye
Anesthésie du coronarien Anesthésie du coronarien

• Ventilation : éviter l’hypoxie et l’hypercapnie ; FiO2 100% ,dc pas de N2O ( risque PAD - Soit approfondir l’anesthésie - β -bloquants d’action courte tel que
d’hypoxie et de dépression myocardique ) haute + - Soit remplissage vasculaire Brévibloc
Tachy♥
• Eviter l’hypoT° qui engendre des frissons et donc la CMO2 ⇒ réchauffement +++ PAD ⊥ - Soit approfondir l’anesthésie - β -bloquants type Esmolol ou
⊕ tachy♥ - Soit remplissage vasculaire Brévibloc
• Analgésie +++ car douleur provoque des perturbations HDM
• Si ischémie myocardique, on peut utiliser la Trinitrine à des doses inférieures à
5 ) période post-opératoire
1µ g/kg/mn, sous une bonne compensation volémique
→ extubation d’un patient réchauffé, HDM stable, absence de saignement, analgésie
• Remplissage contrôlé et compensation des pertes sanguines car hypoTA = baisse du correcte
débit Sg coronaire → l’ischémie est très fréquente à la phase de réveil et pendant les trois premiers jours post-
opératoires donc nécessité d’une surveillance prolongée en SSPI ou/et en USIC
• Maintien d’un hématocrite à 30% minimum sinon risque modification ST (=
→ traitement systématique de la douleur par prolongation de l’analgésie per-opératoire, afin
ischémie)
d’éviter la survenue d’une tachycardie délétère
• Correction des désordres hydro-électrolytiques
→ lutte contre l’hypothermie, source de tremblements et de frissons générateurs d’une
augmentation significative de la consommation en O2 ; la Clonidine ( Catapressan ) à dose
de 50 à 150 µ g inhibe les tremblements par un effet central ; réchauffement par couverture
chauffante ; laisser les patients sédatés jusqu’au réchauffement
→ le sevrage de la ventilation mécanique augmente la précharge et la postcharge
→ oxygénothérapie
→ reprise du traitement anti-angineux le plus tôt possible
→ anticoagulants et antiagrégants plaquettaires sont débutés rapidement et en fonction du type
de chirurgie : le coronarien est un terrain de thrombose plaquettaire
→ compensation des pertes sanguines ; correction des désordres hydro-électrolytiques
→ corriger l’anémie ; maintenir une hématocrite supérieure à 30%
→ corriger l’hypoxémie
ISCHÉMIE PER-OPÉRATOIRE → dépistage du risque ischémique par : monitorage ECG et du segment ST ; surveillance
→ Appel MAR biologique des lactates, des enzymes cardiaques et des CPKMB, de l’Hb, de l’Hte, de la
→ ECG + Segment ST troponine I
→ FiO2 à 100% 6 ) Les ALR
Situation CAT n°1 CAT n°2 si échec n°1 → Les ALR ne sont pas contre indiquées chez le coronarien ; mais ceux-ci sont souvent sous ttt
Tachy♥ - Soit approfondir l’anesthésie
anti-coagulant donc risque de saignement au niveau du point de ponction et en péridural
- β -bloquants type Esmolol à 0,5 – 1mg/kg
- Soit remplissage vasculaire renouvelable
Avantages Inconvénients
- soit allègement de l’anesthésie - Administration d’1 vasoconstricteur
HypoTA P - les réflexes ∑ sont bloqués - ↓θ de la PAS donc risque d’hypoTA par
- Soit remplissage vasculaire ( pour ↓ la (éphédrine 3 à 6 mg ; ou phényléphrine E - permet le contrôle de la douleur en post- ↓θ de la précharge ⇒ tachycardie
PVC ) bolus de 50 - 100µ g) R
opératoire
PAS - Approfondir l’anesthésie - Nitroglycérine I
élevée
PAS basse L - baisse de la précharge, du QC et du VES →risque d’aggravation de l’hypoTA
- Allègement de l’anesthésie - Phényléphrine bolus
PAM - O provoquant une vasoconstriction Rx au
basse
- Dobutamine pour ↑ PcP, PVC, ↓ QC M niv splanchnique et des membres > d’où
B
PAD
risque d’ischémie par tachy♥ et ↑θ de
- soit allègement de l’anesthésie - Administration d’1 vasoconstricteur A - ∃ une vasodilatation et une diminution
basse I la postcharge du VG
- Soit remplissage vasculaire du QC par stockage veineux
PAD - Trinitrine ou nicardipine ( Loxen ) pour ↑ PVC et PcP
haute

4 Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye
Anesthésie du coronarien Anesthésie du coronarien

P - ↓θ inotropisme, FC, PAM, PcP, MVO2, - baisse de la pression de perfusion


E des RVS : intérêt pour le ttt de l’angor
R
instable, pour patients récusés pour la
I
chir ou l’angioplastie
T - la durée de l’effet antalgique se prolonge
H au-delà du bloc ∑ avec ↓θ de la
O MVO2, de FC, de la PAM
R - provoque une ↑θ du ∅ des coronaires
A sténosées sans vol coronaire
C
- améliore la perfusion sous-endocardique
Q

- bloc ∑ pré-ganglionnaire, levée du tonus - hypoTA : baisse de la Pθ de perfusion ⇒ donc


vasoconstricteur du système résistif et capacitif Néosynéphrine ou Ephédrine pour augmenter
d’où vasodilatatθ et veinodilatatθ la TA sans augmenter la FC
( favorable pour le cœur car ↓θ résistance au
R
VES )
A - veinodilatation ⇒ baisse du retour veineux, du
C QC, du débit coronaire
H
- baisse de la charge du VG et des RVS→ → mais baisse du retour veineux
I
- désactivatθ des barorécepteurs à basse presθ
situés dans l’OD : donc ∃ pas de tachy♥

5 Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye Christian LEFEBVRE – promotion 1999/2001 – Ecole IADE St-Germain-en-Laye

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