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1) Le champ lexical dans cet extrait donne de la valeur au classicisme comme 

: le bon sens, l’enrichit,


la raison. Au contraire du baroque, le poète montre une sorte de défaillance, on trouve le champ
lexical du baroque comme : dans leurs vers monstrueux, évitons ces excès : laissons à l’Italie, ces faux
brillants l’éclatante folie.

2) Cet extrait est le premier chant de l’Art poétique de Nicolas Boileau écrit en 1674, dans lequel
règne le terme du classicisme et du baroque. Le poète donc pose des points de forces et de faiblesses
de la forme classique et celle baroque, pour la forme classique il se caractérise par le bon sens et la
raison sans oublier sa clarté, dans cet extrait le poète nous montre avec sa façon de parler en mode
impératif que chaque poète doit concentrer ses efforts sur la versification en alternant de façon très
rigoureuse, équilibrée, les rimes féminines et masculines. Cette forme classique doit être dans un
bon sens construite avec une raison lisse imitée de l’antiquité que cette dernière garantie l’idéal
classique surtout par l’inspiration antique. Donc, Boileau ici, nous démontre d’une sorte de force qui
trouve dans la forme classique sauf si le poète préserve la clarté, précision et la rigueur, car la
faiblesse du classicisme apparaît quand il ne trouve pas la juste mesure, dans ce cas, il faut éviter la
rapidité car précipitation dans le travail n'est pas une vertu. Pour la forme de baroque, Boileau
montre sa défaillance comme quoi il n’a pas la juste mesure, c’est-à-dire des vers longs, c’est comme
il conseille les poètes de s’éloigner de la forme du baroque pour éviter son chaos. Alors, dans cet
extrait on trouve juste les points de faiblesses du baroque, on peut dire les points de forces qu’il a
donné son superficiel comme quoi le baroque aussi ouvre sa porte vers le concept de créativité de
curiosité même si sa longueur de vers ou il use des détails inutiles.

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