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Préchargement
Seul
+ banquettes latérales
+ renforts géotextiles
+ drains verticaux
+ tranchées drainantes
Consolidation atmosphérique
Surcharge
Seul
+ drains verticaux
Substitution (purge)
Purge à l’explosif
Pilonnage
Seul
+ drains horizontal
Explosif
Vibrocompaction
Colonnes ballastées
Plots ballastés
Colonnes de chaux
Colmix
Picots, pieux
Injection solide
Jet Grouting
Figure 1 – Domaine d’application des méthodes en fonction de la taille des grains du sol
C 5 364 − 4
Durée du traitement Courte Normale Courte Normale
(de mise en œuvre
à mise en service)
Tassements résiduels
Nuls ou Nuls ou Nuls ou Nuls ou
(se produisant après Acceptés Acceptés Acceptés Acceptés
faibles faibles faibles faibles
traitement)
Type de sols
(granulométrie)
ASSISES DES VALLÉES COMPRESSIBLES
Fins Grenus Fins Grenus Fins Grenus Fins Grenus Fins Grenus Fins Grenus Fins Grenus Fins Grenus
Préchargement seul
+ banquettes latérales
(1)
+ renforts géotextiles
+ drains verticaux
totale
(2) (2)
Purge à l’explosif
Consolidation atmosphérique
Pilonnage seul
+ drains horizontal
Vibrocompaction
Colonnes ballastées
Plots ballastés
Colonnes de chaux
Colmix
Pieux
Injection solide
Jet grouting
Préchargement seul
+ banquettes latérales
+ renforts géotextiles
+ drains verticaux
+ tranchées drainantes
totale
Purge à l’explosif
Consolidation atmosphérique
Pilonnage seul
+ drains horizontal
Compactage à l’explosif
Vibrocompaction
Colonnes ballastées
Plots ballastés
Colonnes de chaux
Colmix
Picots de sable
Pieux
Jet Grouting
O
c
ϕ
C
cu
Sol
ol mo
mou ol mo
Sol mou C
cu
a rupture d’un remblai par poinçonnement b rupture d’un remblai par glissement
étude de stabilité par la méthode de Matar et Salençon étude de stabilité par la méthode de Bishop
■ Dimensionnement
; F ● Consolidation de sol, amélioration des caractéristiques du sol
Les colonnes de sable de 20 à 50 cm de diamètre sont supplan-
Banquette
; F (éventuellement) tées à efficacité égale par les drains préfabriqués plastiques (poly-
éthylène, PVC, etc.), beaucoup plus économiques. Il existe deux
; F
types très usuels et quasi équivalents :
Sols mous — les drains rond de 5 cm de diamètre ;
Drains verticaux ou
colonnes réalisés — les drains plats de 10 cm de large et de quelques millimètres
avant le remblai d’épaisseur.
Les drains sont, en général, enrobés d’une chaussette géotextile.
Suivant la perméabilité du sol compressible et le planning de l’opé-
ration, les densités de drains requises sont généralement de l’ordre
F coefficient de sécurité
de un drain par 1 à 5 m2 de surface efficace. Le dimensionnement
est à effectuer par un ingénieur géotechnicien à partir de la théorie
Figure 5 – Principe de la construction d’un remblai par phases de la consolidation.
● Principe physique mis en jeu :
(0) — sans drains verticaux : la figure 8 montre le sens d’écoule-
Tableau 1 – Comparaison des avantages et inconvénients ment des eaux dans l’assise compressible lorsqu’elle est chargée.
La phase de consolidation peut durer jusqu’à 50 ans;
des dispositions de consolidations les plus fréquentes
— avec drains verticaux : le temps de consolidation est propor-
tionnel au carré de la longueur de drainage ; la réduction de la dis-
Critères Faible Moyen Important
tance à parcourir par l’eau excédentaire en mettant en place des
Coût ● ● drains verticaux constitue une technique d’accélération de la
consolidation (figures 9 et 10). La perméabilité horizontale des
Délai ● ● sols compressibles est très souvent nettement supérieure à la per-
Technologie ● ● méabilité verticale (processus de sédimentation) : cette situation
milite également en faveur des drains verticaux.
Construction du remblai par étapes
● Drainage vertical Pour les sols compressibles dont l’épaisseur n’excède pas
● Colonnes ballastées 5 mètres, une technique consiste à réaliser des tranchées drainan-
tes.
■ Mise en œuvre
1.4.2 Drainage vertical des sols d’assise Les outillages de mise en place des drains mèche à âme plastique
■ Domaine d’application comportent généralement un mandrin creux de section appropriée
au travers duquel coulisse le drain muni à sa base d’un sabot
L’application de ce procédé concerne, généralement, les couches d’arrêt métallique.
d’argiles ou de limons compressibles de 3 à 50 mètres d’épaisseur.
Le mandrin est foncé dans le sol par simple pression, par lan-
Ce procédé est souvent couplé avec des surcharges provisoires çage, par battage ou par vibration (figure 11).
pour anticiper les tassements ou avec de la consolidation atmo-
sphérique pour améliorer la stabilité. Il permet l’accélération des La cadence de mise en place peut atteindre 2 500 mètres de
tassements et de la consolidation des sols fins saturés à faible per- drain par jour.
méabilité (figure 6). La description d’un cycle de mise en œuvre de drainage vertical
La mise en place de drains verticaux dans une formation orga- est présentée sur la figure 12.
nique, où les surpressions interstitielles se dissipent rapidement La figure 8 illustre l’efficacité d’un drain vertical pour exuter
pendant la consolidation primaire, est rarement préconisée. l’eau.
Sens
ens d
d’écoulement
d’é
’écoulement ll’eau
coulement de l’ea
eau
Élément
nt de sol
Élémént
Sous-sol
ous sol compressibl
Sous compressible
Sol perméable
Figure 7 – Schéma de principe d’écoulement des eaux sous pression,
dans un massif sans drain verticaux, durant la phase de consolidation
qui peut durer jusqu’à 50 ans Figure 9 – Réseau d’écoulement de l’eau sous pression
dans un massif drainé
Période de
construction
0 Temps
Avec d Sa
ns
dra
rains
in
Enlèvement de
Tassement
la surcharge
temporaire
Tassement final
■ Contrôle qualité
Il comprend les étapes suivantes :
— contrôle de la perméabilité et de l’épaisseur de la couche
drainante ;
— relevé des profondeurs de mise en œuvre ;
— relevé régulier des tassements ;
— construction graphique d’Asaoka pour extrapoler la courbe de
tassement.
■ Instrumentation
Cette technique de consolidation nécessite l’utilisation :
— de plaques ou boules de tassement ;
— d’inclinomètres dans des zones très sensibles nécessitant la
mesure en profondeur des déplacements horizontaux ;
— de profilomètres permettant de réaliser des mesures ponc-
a fonçage par vibration b fonçage par simple pression
tuelles en surface des tassements ; du mandrin
— de tassomètres multipoints (tassement des couches profon-
des) et de cellules de pression interstitielle pour en surveiller la dis-
sipation. Figure 11 – Fonçage
a recharge du sol sur une épaisseur de 0,5 à b mise en batterie d’un engin porteur et d’un c mise en place d’un rouleau de drain
1 m, avec des matériaux filtrants matériel de fonçage
Plate-forme de travail pendant l’exécusion, Ce dernier comprend un mandrin creux à
non polluée par les travaux, cette recharge l’intérieur duquel le drain descend
joue le rôle de drain de surface pour
évacuer l’eau débouchant des drains
d amorce de la circulation à l’intérieur du e fonçage du drain par vibration ou simple f relevage du mandrin et coupe de la bande
mandrin poussée du mandrin jusqu’à la profondeur de drain à 0,15 cm environ au-dessus du
Fixation d’un sabot perdu coinçant le drain désirée niveau de la plate-forme de travail
à la base
■ Avantages et inconvénients réduite par colmatage du filtre géotextile. Une solution consiste à
Le tableau 1 présente une synthèse des avantages et inconvé- utiliser des drains plastiques tubulaires réputés robustes et pérennes.
nients des dispositions les plus fréquentes. Pour ne pas réduire la cadence de pose, il faut vérifier les para-
mètres de la couche drainante qui ne doit être ni trop épaisse ni
Cette technique n’occasionne aucune nuisance à l’environne- trop compacte. Faute de quoi, chaque pose de drain nécessitera la
ment et sa mise en œuvre est rapide et propre. La consolidation réalisation d’un avant-trou.
reste efficace lors du fluage du massif. La mise en œuvre de ce procédé doit être réalisée par une entre-
Il faut cependant accepter la contrainte de phasage entre : prise spécialisée : MENARD-SOLTRAITEMENT (http://www.menard-
— la réalisation de la couche drainante par l’entreprise titu- soltraitement.com), SOLETANCHE-BACHY (http://www.soletanche.
laire du marché ; bachy.com), KELLER (http://www.keller-france.com), GTS (Géotech-
— la mise en place des drains par l’entreprise spécialisée ; nique et Travaux Spéciaux, http://www.gts.fr).
— la montée du remblai.
Par ailleurs, l’erreur sur la prévision de vitesse de tassement 1.4.3 Colonnes ballastées
peut atteindre un rapport de 1 à 10. Cette situation provient de
l’imperfection des modèles rhéologiques et aussi à la difficulté ■ Domaine d’application
du choix de certains paramètres lors de l’élaboration du projet. Ces colonnes améliorent la stabilité du remblai en renforçant les
sols fins compressibles tout en réduisant leurs tassements sous le
Dans un sol avec beaucoup de fines, la durée de vie d’un drain poids du remblai (figure 13). Elles permettent également de fretter
plat n’excède pas 6 mois, au-delà de cette période son efficacité est le sol contre les risques du fluage.
100
80
60
Colonnes ballastées
Vibrocompaction
40
20
0
0,002 0,006 0,02 0,06 0,2 0,6 2 6 20 60
Granulométrie (mm)
■ Dimensionnement
Le diamètre des colonnes varie de 60 à 120 cm.
Figure 14 – Chantier de plate-forme
Le dimensionnement des colonnes ballastées prend en compte
trois modes de ruptures :
— par expansion latérale : hauteur diamètre ; — par tube vibro-foncé + trépan (figure 16) ;
— par cisaillement généralisé : sols peu cohérents, tourbe, hau- — par vibreur à sas.
teurs importantes ;
— par poinçonnement, colonne flottante : substratum non Les caractéristiques de mise en œuvre sont données dans le
atteint, portance du sol insuffisante. tableau 2.
(0)
La contrainte admissible sur une section théorique de colonne La description d’un cycle de mise en œuvre de colonnes ballas-
doit être inférieure à 2 fois l’étreinte latérale du sol encaissant et à tées est présentée sur les figures 17 et 18.
0,8 MPa (D.T.U. 13.2). La force portante d’une colonne est généra-
lement comprise entre 200 et 300 kN. ■ Contrôle qualité
Il comprend les étapes suivantes :
Attention de ne pas perdre l’effet de groupe par un maillage — contrôle des paramètres de mise en œuvre :
trop large. • volume de ballast injecté,
• énergie de vibration,
• profondeur maximale ;
■ Mise en œuvre
— contrôle des caractéristiques des colonnes au pénétromètre
La mise en œuvre des colonnes ballastées peut être réalisée : (éventuellement entre colonnes) ;
— par vibroflottation, avec aiguille pleine (figure 15) ; — essai de chargement des colonnes.
Tableau 2 – Contraintes induites par le matériel nécessaire à la réalisation des colonnes ballastées
Contraintes induites
Dénomination Matériel
Électricité Eau Surface
Aiguille vibrante à sas Groupe électrogène, compresseur, chargeur
Matériel Vibreur hydraulique ou électrique
Tube vibro-foncé + trépan
Engin porteur Pelles sur chenilles, pelle mécanique Plate-forme carrossable
Cantonnement Atelier, bureau, vestiaire 80 m2
Matériaux Ballast 20/40
Adjonction
de
matériaux
Vibration
Jetting
a b c d
Ballast
Vibro-
fonceur
Ballast
Tube
Trépan
obstacle
éventuel
a b c d
Figure 16 – Réalisation de colonnes par tube
vibré
■ Instrumentation
La profondeur de traitement de cette technique est couram-
Cette technique de consolidation nécessite l’utilisation : ment 15 m.
— de tassomètres de surface et de tassomètre de profondeur Pour un taux de ballastage ≈ 20 %, les tassements sont dimi-
(tassements différentiels sol/colonne) ; nués de moitié : T = Ti / 2 (avec Ti tassement du sol d’assise sans
— de cellules de contraintes totales (report des contraintes sol → exécution des colonnes ballastées).
colonnes). Le caractère drainant est surtout effectif pour les forts
diamètres et les maillages serrés.
■ Avantages et inconvénients
Il n’y a pas ou très peu de déblais à évacuer.
Le tableau 1 présente une synthèse des avantages et inconvé-
Cependant, le ballast utilisé est cher.
nients des dispositions les plus fréquentes.
a préparation b remplissage
La machine est mise en station au-dessus du point de Le contenu de la benne est vidé dans le sas.
fonçage, et stabilisée sur ses vérins. Après fermeture, l’air comprimé permet de maintenir un
Un chargeur assure l’approvisionnement en agrégat. flux continu de matériau jusqu’à l’orifice de sortie.
d fonçage de l’aiguille vibrante e remontée de l’aiguille vibrante par f tête de colonne ballastée avant arrase
passes successives de compactage
Cette technique, assez onéreuse, est bien adaptée aux surfaces En outre, le suivi et l’interprétation en continu des paramètres
réduites ou aux zones de transitions entre point dur et remblai cités ci-avant permettront :
courant : culées d’ouvrages d’art par exemple. — la validation des hypothèses de l’étude ;
La mise en œuvre de ce procédé doit être réalisée par une entre- — d’adapter éventuellement le projet ;
prise spécialisée : KELLER (http://www.keller-france.com), — de maîtriser les quantités à mettre en œuvre ;
MENARD-SOLTRAITEMENT (http://www.menard-soltraitement.com), — de mieux assurer la gestion, l’exploitation de l’ouvrage en
SOLETANCHE-BACHY (http://www.soletanche.bachy.com), GTS service et de mieux appréhender les éventuels désordres.
(Géotechnique et Travaux Spéciaux, http://www.gts.fr).
Jalons
(mesure des
déformations
horizontales)
Borne de regroupement
des tubulures
Panneau
tassomètre
Unité de
contrôle
Tassomètre
Tassomètr
assom tre MAC 450
Tubulures
Capteur de pression enterrées
Supp
ort fix
Tassomètre
Tassom
assomètr
tre e
piézométrique
onde piézom
Sonde pi ométriqu
trique
Sol compressible
Sol compressible
Tassomètre
Tassom
assomètr
tre
onde piézom
Sonde piézométrique
pi ométriqu
trique de profondeur
Piézomètre
Piézom
Pi omètre
tre ouvert
ouve
(étude
tude de la nappe)
Sonde piézométrique
onde pi
piézom
ométriqu
trique
Tube
ube de ddéformation
déformatio
formation
hori
horizontale
ontale du so
sol
compressible
(inclinomètre)
(inclinom tre)
Substratum rocheux
2.2 Mesure des déplacements verticaux — la masse des sols compressibles, en général sur des vertica-
les, avec le suivi de la pression interstitielle et celui des déplace-
(tassements) ments horizontaux ;
— la couche molle compressible à étudier, avec l’établissement
L’évolution des techniques a permis de passer de l’utilisation des
du profil des pressions interstitielles et des tassomètres de pro-
piges ou des éléments métalliques avec embases, à celle des cap-
fondeur aux limites de la couche ;
teurs électriques ou magnétiques en passant par les tassomètres
pneumatiques. — l’ouvrage dans son ensemble, avec le relevé des points topo-
graphiques après la fin des travaux en prolongation de l’instru-
En outre, des mesures en continu peuvent être réalisées le long mentation.
de profils calés soit sur le terrain naturel (profilomètre), soit sur un
plan vertical de ce dernier (tassomètre de profondeur multipoint).
CO2
to
W t1
ho
ho Base
fixe S
Gaz Eau
Cellule
Canalisations en Técalan 4/6 mm
W
■ Principe
Une cellule de prise de niveau est placée sous l’ouvrage et suit
Scellement
les mouvements verticaux. Sa position en altitude par rapport à un
Sonde détectrice repère fixe S, hors de la zone d’influence de l’ouvrage, est suivie à
Forage
et touret l’aide d’un tableau de mesure. La cellule de prise de niveau, à demi
Voyant sonore ou Coulis de scellement remplie d’eau, est reliée au tableau de mesure par deux canalisa-
lumineux tions, une servant pour le liquide, l’autre pour le gaz. Quand le sol
se tasse, la cellule se déplace vers le bas et la colonne d’eau trans-
late d’une quantité d’eau équivalente au tassement, directement
Sonde détectrice lisible sur le tableau de mesure (figure 20).
H Lit
Liht de de
sable
sable
b entrée du tube dans la chambre de mesure c vue de la sonde, de sa tubulure et du boîtier de mesure
■ Mesures ■ Principe
La première mesure significative peut être faite 4 à 5 jours après Les altitudes de différents points sont prises à intervalles régu-
le forage : liers, dans un tube guide mis en place dans une tranchée remplie
— dérouler le ruban jusqu’au fond du forage ; de sable avant la construction (figure 22).
— faire la mesure en remontant.
La lecture se fait à chaque extinction de la lumière. ■ Dispositif
Les valeurs sont recalées par rapport à un point fixe dont les Le dispositif de mesure de ce profilomètre et sa mise en place
déplacements sont connus. sont présentés sur la figure 22.
Références bibliographiques
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