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Exercice – 3
(
ressort ⇒ l’axe Ox2
énergie potentielle ⇒
gravitation ⇒ l’axe Ox1
1 Le montage des trois ressorts est équivalent à trois On peut aussi utiliser l’énergie totale du sytème :
ressorts en parallèles : keq = 3k 5 2 2 3 3
E =T +U = ml θ̇ + kl2 θ2 + kx20
2 2 2
2
cette énergie est conservée :
8
<ressort ⇒ l’axe Ox1 dE “ ”
= 5ml2 θ̇θ̈ + 3kl2 θθ̇ = θ̇ 5ml2 θ̈ + 3kl2 θ = 0
>
énergie potentielle ⇒ gravitation masse à droite ⇒ l’axe Ox2 dt
>
gravitation masse à gauche ⇒ l’axe Ox3
:
la vitesse angulaire θ̇ ne peut être nulle à tout instant t, on
obtient la même équation du mouvement précédente et la
en fonction des trois coordonnées x1 , x2 et x3 définies sur la
pulsation ω0 :
figure, on peut écrire l’expression de l’énergie potentielle du
système (x0 est la déformation du ressort à l’équilibre) : r
3k 3k
θ̈ + θ = 0 ⇒ ω0 =
3 5m 5m
U = k(x1 + x0 )2 −mgx2 +mgx3
2 | {z } | {z }
| {z }
m à droite m à gauche
ressort
Exercice – 4
mais les trois coordonnées x1 , x2 et x3 dépendent de θ comme
suit : 1 l’énergie potentielle du
système par rapport aux axes
x1 = −l sin θ ' −lθ
définis à partir de la position
x2 = −2l sin θ ' −2lθ d’équilibre :
x3 = −l sin θ ' −lθ 1
U = k(x1 + x0 )2
2
| {z }
en remplaçant l’expression de ces coordonnées dans U : ressort
−mgx2 −mgx3
3
U = k(x0 − lθ)2 + 2mglθ − mglθ
| {z } | {z }
2 m en haut m en bas
∂U
x2 = 2l(1 − cos θ) ' lθ2
3 A l’équilibre : ∂θ
= 0:
x3 = −lθ
∂U en remplaçant l’expression de ces coordonnées dans U :
= 3kl2 θ + (mg − 3kx0 ) l = 0
∂θ
1
mais aussi, à l’équilibre θ = 0, donc la condition d’équilibre U = k(x0 − lθ)2 − mglθ2 + mglθ
2
devient :
aprés réarrangement :
mg
mg − 3kx0 = 0 ⇒ x0 = „
1 2
«
1
3k U = kl − mgl θ2 + (mg − kx0 ) l θ + kx20
2 2
ce qui nous permet de simplifier 5 l’expression de U :
2 A l’équilibre ∂U
∂θ
= 0:
3 3
U = kl2 θ2 + kx20 ` 2 ´
kl − 2mgl θ + (mg − kx0 ) l = 0
2 2
mais aussi, à l’équilibre θ = 0, donc la condition d’équilibre
4 l’énergie cinétique du système en rotation est : devient :
mg
mg − kx0 = 0 ⇒ x0 =
1 2 1` 2 5 k
ml + m(2l)2 θ̇2 ⇒ T = ml2 θ̇2
´
T = I θ̇ =
2 2 2 ce qui nous permet de simplifier l’expression de U :
le Lagrangien du système est : „
1 2
«
1
U = kl − mgl θ2 + kx20
5 2 2 3 3 2 2
L=T −U ⇒ L= ml θ̇ − kl2 θ2 − kx20
2 2 2
3 Pour avoir des oscillations il faut que l’équilibre précédent
soit stable. Pour cela la deuxième dérivée doit être positive :
5 L’équation de Lagrange :
∂2U
„
d ∂L
«
∂L = kl2 − 2mgl > 0 ⇒ kl − 2mg > 0
− = 5ml2 θ̈ + 3kl2 θ = 0 ∂θ2
dt ∂ θ̇ ∂θ
4 L’énergie cinétique est la somme de l’énergie cinétique de
donc l’équation du mouvement est : la poulie et la tige avec la masse ponctuelle plus l’énergie de
translation de la masse attachée au fil :
3k 1 1
θ̈ + θ=0 T = I θ̇2 + mẋ23
5m 2 2
4 remarquant encore une fois que la forme de l’énergie potentielle, comme l’exercice précédent, est un polynôme du deuxième
degré : U = aθ2 + bθ + c. En réalité cette forme de l’énerie potentielle est caratéristique d’un oscillateur harmonique. Cela est
du au fait que lorsque l’écart par rapport à la position d’équilibre est faible l’énergie potentielle d’une force de rappel a toujours
un comportement harmonique. Cela montre simplement le fait que tout oscillateur controlé par une force de rappel devient
harmonique lorsque l’amplitude devient suffisament faible.
5 On remarque encore que le coéfficient b dans l’expression de l’énergie potentielle s’annule. On retrouve toujours ce résultat
pour un oscillateur harmonique grace au choix judicieux des axes qui est de faire coincider les origines de ces axes avec la position
d’équilibre pour évaluer l’énergie potentielle élastique des ressorts.
6 En supposant que le ressort ne s’enroule pas sur la poulie mais reste horizontal. Si le ressort s’enroule sur la poulie en obtient
x1 = −lθ
1 9
mais : I = 2
ml2 + m(2l)2 = 2
ml2 et x3 = −lθ ⇒ ẋ3 = −lθ̇ de translation de la masse attachée au fil (en sachant que
donc : m1 = m 2
, m2 = m et x0 = 0) :
„ «
1 9 2 1 “ ”2 11 2 2 1 2 1
T = ml θ̇2 + m −lθ̇ ⇒ T = ml θ̇ T = I θ̇ + mẋ23
2 2 2 4 2 2
1 m
le Lagrangien s’écrit : mais : I = 2
(2m)l2 + 2
(2l)2 = 3ml2 et x3 = −lθ ⇒ ẋ3 =
11 2 2
„
1 2
«
1 2 −lθ̇ donc :
L=T −U = ml θ̇ − kl − mgl θ2 − kx 1` 1 “ ”2
2 0 3ml2 θ̇2 + m −lθ̇ ⇒ T = 2ml2 θ̇2
´
4 2 T =
2 2
5 L’équation du mouvement avec le Lagrangien : le Lagrangien s’écrit :
„ «
d ∂L ∂L 11 2 L = T − U = 2ml2 θ̇2 − 3kl2 θ2
ml θ̈ + kl2 − 2mgl θ = 0
` ´
− =
dt ∂ θ̇ ∂θ 2
5 L’équation du mouvement avec le Lagrangien :
2kl − 4mg
θ̈ + θ=0 „ «
11ml d ∂L ∂L
− = 4ml2 θ̈ + 6kl2 θ = 0
On peut aussi utiliser l’énergie totale du sytème : dt ∂ θ̇ ∂θ
„ «
11 2 2 1 2 1 3k
E =T +U = ml θ̇ + kl − mgl θ2 + kx20 θ̈ + θ=0
4 2 2 2m
cette énergie est conservée :
dE 11 2
ml θ̇θ̈ + kl2 − 2mgl θθ̇ = 0 Exercice – 6
` ´
=
dt 2
„ «
11 2 On suppose qu’à
ml θ̈ + kl2 − 2mgl θ = 0
` ´
θ̇
2 l’équilibre les trois ressorts
puisque la vitesse angulaire θ̇ ne peut être nulle à tout instant ont les déformations a, b et
t, on obtient : c. L’énergie potentielle du
r système prend la forme :
2kl − 4mg 2kl − 4mg 1
θ̈ + θ = 0 ⇒ ω0 = U = k(x1 + a)2
11ml 11ml 2
1 1
+ k(x2 + b)2 + k(x3 + c)2
2 2
−mgx2 − mgx5 + mgx4
Exercice – 5
mais les coordonnées xi
1 l’énergie potentielle dépendent de θ comme
du système : suit :
1 x1 = x2 = x3 ' lθ
U = 2k(x2 + x0 )2 1
2 x4 = x5 ' lθ2
| {z } 2
ressort 2k
en remplaçant l’expression de ces coordonnées dans U :
1 2
+ kx 1 1 1 1 1
2 1 U = k(lθ+a)2 + k(lθ+b)2 + k(lθ+c)2 −mglθ− mglθ2 + mglθ2
| {z } 2 2 2 2 2
ressort k
aprés réarrangement :
+m1 gx1 − m2 gx3
3 2 2 1
mais les trois coordonnées U = kl θ + (k(a + b + c) − mg) l θ + k(a2 + b2 + c2 )
x1 , x2 et x3 dépendent de 2 2
θ comme suit : A l’équilibre ∂U
= 0:
∂θ
x1 = −2l sin θ ' −2lθ 2
3kl θ + (k(a + b + c) − mg) l = 0
x2 = l tan θ ' lθ
mais aussi, à l’équilibre θ = 0, donc la condition d’équilibre
x3 = −lθ devient :
en remplaçant l’expression de ces coordonnées dans U : k(a + b + c) − mg = 0
1 ce qui nous permet de simplifier l’expression de U :
U = k(lθ + x0 )2 + k(−2lθ)2 + m1 g(−2lθ) − m2 g(−lθ)
2
aprés réarrangement : 3 2 2 1
U = kl θ + k(a2 + b2 + c2 )
2 2
U = 3kl2 θ2 + (2kx0 + (m2 − 2m1 )g) l θ + kx20
L’énergie cinétique
∂U 1 2 3
2 A l’équilibre = 0:
∂θ T =I θ̇ = ml2 θ̇2
2
6kl θ + (2kx0 + (m2 − 2m1 )g) l = 0 2 2
l’énergie totale du sytème :
mais aussi, à l’équilibre θ = 0, donc la condition d’équilibre
devient : 3 3 1
E = T + U = ml2 θ̇2 + kl2 θ2 + k(a2 + b2 + c2 )
2 2 2
(2m1 − m2 )g
2kx0 + (m2 − 2m1 )g = 0 ⇒ x0 = cette énergie est conservée (on note aussi que le dernier terme
2k est une constante) :
ce qui nous permet de simplifier l’expression de U : dE
= 3ml2 θ̇θ̈ + 3kl2 θθ̇ = 0
U = 3kl2 θ2 + kx20 dt
“ ”
θ̇ mθ̈ + kθ = 0
3 Pour que x0 = 0 on doit avoir :
(2m1 − m2 )g puisque la vitesse angulaire θ̇ ne peut être nulle à tout instant
x0 = = 0 ⇒ 2m1 − m2 = 0 ⇒ m2 = 2m1 t, on obtient l’équation du mouvement :
2k
r
4 L’énergie cinétique est la somme de l’énergie cinétique k k
θ̈ + θ = 0 ⇒ ω0 =
de la poulie et la tige (de rotation) plus l’énergie cinétique m m