Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
Exposé N° 21
REALISE PAR :
CHAREF NADA
EL BAKKALI SARA
EL KALLOUBI FADOUA
BENCHAKAR HAIMAD
SAHLI SAID
ABDERRAHMAN TAOUFIK
DRIDAT NAWAR
1
PLAN
Première partie :La gestion
de la production
industrielle
A) DEFINITION DE LA PRODUCTION :
B) DEFINITION DE LA GPI :
C) LES SYSTEMES DE LA PRODUCTION
i. la production à la commande
ii. la production pour stock
D) LES PRINCIPAUX MODES D’ORGANISATION
DE LA PROUCTION :
i. organisation de type « série unitaire »
ii. organisation en ateliers spécialisés
iii. organisation en ligne de production
iv. les industries de process
v. le juste à temps
2
i. les méthodes d’analyse
ii . les méthodes de résolution
iii . la prévision de la demande
iv . les méthodes de gestion de projet
F) L’INFORMATISATION DE LA GPI :
i. GPAO
ii. CAO
iii. CFAO
Deuxième partie : la
logistique
A) LA NOTION DE LA LOGISTIQUE :
i. Définition
ii. Les approches
iii. La fonction économique de la logistique
3
C) LES SERVICES LOGISTIQUE
i. bureau d’étude
ii. bureau des méthodes
iii. service planification
iv. service ordonnancement lancement
v. service fabrication
vi. service maintenance
vii. service transport expedition-magasinage
i. Niveau de capacité
ii. Niveau de disponibilité
iii. Niveau commercial
E) ELEMENTS DE GESTION :
iv. Les coûts logistique
v. Les politiques logistique
vi. Organisation :
Logistique fragmentée
Logistique centralisée
4
INTRODUCTION
A situer leurs concepts actuels dans leurs perspectives historiques. dés l’Antiquité les
problèmes de gestion de projet devaient déjà se poser lorsqu’il s’agissait de
construire des édifices de grande taille, mais c’est au XIV°siècle que les premières idées de
rationalisation de l’activité de production se concrétisèrent par la naissance d’une science
appelée le management industriel concernant un très vaste ensemble de domaines. Il
recouvre en effet, la conception des produits vendus par l’entreprise, la conception des
processus de production qui permettent de fabriquer ces produits, la gestion des
technologies mises en œuvre dans des produits et dans les processus, la politique d’achat
des matières premières et des composants, la politique de qualité à tous les niveaux, la
conception du système de distribution ainsi que le management des ressources humaines
utilisées dans le domaine industriel. les décisions qui sont prises par les responsables de la
fonction industrielle sont beaucoup plus des décisions politiques que des décisions
techniques malgré leur dimension technologique .
5
Les interactions avec les autres fonctions de l’entreprise sont donc étroites :
*Avec le marketing : définition des produits offerts, niveau de prix, délais de livraison,
et modes de distribution.
* avec la finance : besoins en fond de roulement et la politique des investissements
* avec le contrôle de gestion : budget, suivi des coûts de revient, tableaux de bord à
tous les niveaux
*avec la GRH : politique de recrutement et de formation de personnel.
les décisions relevant de la GPI et la logistique se situent dans l’entreprise à deux
niveaux :
- au niveau stratégique : la définition est la mise en place des moyens nécessaires à
l’accomplissement de la fonction
- au niveau opérationnel : la gestion des flux des matières premières des produits
semi-finis et des produits finis pour atteindre les objectifs de productivité qui sont
assignés à la fonction logistique.
6
21.1 LA GESTION DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE.
7
21..1.2DEFINITION DE LA GESTION DE LA PRODUCTION
INDUSTRIELLE :
La gestion de la production industrielle a pour objet la recherche d’une organisation
efficace de la production des biens et des services, elle s’appuie sur un ensemble d’outil
d’analyse et de résolution de problèmes qui visent à limiter les ressources nécessaires à
l’obtention d’une production dont les caractéristiques technico-commerciales sont
connues. La pluralité et la complexité des problèmes rencontrés peuvent être à l’origine de
la multiplicité des approches possibles en gestion de production (comme la définition du
produit, des procédés de fabrication …).
La gestion de la production vise à limiter le champ de possibilité de ces caractéristiques
technique –commerciales.
La gestion de la production a pour objectif d’assurer une combinaison efficace des
facteurs de production, c’est à dire une utilisation optimale des facteurs « capital » et
« travail » et de gérer et organiser les flux .
Actuellement les objectifs de la gestion de la production se résument ainsi :
Fabriquer des produits de qualité qui permettent de satisfaire les besoins du
client afin d’avoir une grande part de marché, et d’être plus compétitif.
Minimiser les délais de production : lorsque le cycle de production est
raisonnable, l’entreprise doit attendre que la demande se manifeste pour produire, mais
lorsque le cycle de production est long, celle-ci doit anticiper la demande pour ne pas
élargir le délai séparant la commande de la livraison, ce qui nécessite l’utilisation des outils
de gestion de production afin de donner une bonne image de marque de la firme.
Diminuer le coût de production afin de dégager plus de profits et d’accroître
la marge en baissant le prix ; chose qui constitue un avantage concurrentiel, ce qui se fait
généralement en impliquant les employés et en investissant dans les nouvelles
technologies ( permettant de réaliser plusieurs tâches en un temps minime afin
d’augmenter la productivité tout en entraînant la réalisation des économies d’échelle).
8
- le second est lié aux modes d’oganisation de la production qui diffèrent selon
l’importance et la variété des flux .
Ainsi la gestion des contraintes dans les relations avec les clients oblige en quelque
sorte l’entreprise à opter pour une production à « la commande » ou « par stock ».
9
Cette production est adaptée aux biens de grandes consommation (tel le textile ) ,ou à
demande saisonnière ( tel les jouets ) .Ce type de production est donc planifié à partir des
prévisions de demande pour une durée plus au moins longue .
Cependant, pour envisager la production r stock, il faut réunir deux conditions
nécessaires :
L’éventuelle collection des produits finis doit être restreinte.
La demande de chaque produit doit être suffisamment importante.
Economiquement, pour opter pour la production par stock, l’une des conditions suivantes
doit être remplie :
Le cycle de production doit être long par rapport au délai commercial
admissible (délai séparant la commande de la livraison)
La saisonnalité de la demande est très forte.
les avantages:
La production par lot réunit plusieurs avantages :
o Rentabilisation plus facile d’équipements coûteux.
o La production en grandes séries permet de diminuer le coût unitaire et
contribue à améliorer la rentabilité de l’entreprise.
o Disponibilité immédiate des produits suite à la demande.
les inconvénients:
La production par stock a certains risques :
Le risque d’un stock pré-constitué.
L’incertitude de vente des produits fabriqués.
Le coût de stockage et de maintien peut être très élevé.
21.1.4 PRINCIPAUX MODES D'ORGANISATION DE LA PRODUCTION
Quatre grands modes d'organisation de la production peuvent être rencontrés. Cette
classification, comme toute autre, comporte une part d'arbitraire mais elle s'avère utile pour
mieux cerner les problèmes rencontrés dans la définition des ressources requises et dans
leur utilisation (ordonnancement, au sens large
10
21.1.4.1 Organisation de type "série unitaire"
Définition.
La production de type "série unitaire" est un cas limite que l'on rencontre rarement
dans la pratique puisqu'il se définit comme la mobilisation de toutes les ressources de
l'entreprise pour la réalisation d'un projet de production et ce, sur une "assez longue
période". Les exemples classiquement donnés pour illustrer ce cas de figure concernent les
travaux publics (construction d'un ouvrage d'art, par exemple) ou la construction navale
(construction d'un navire). Fort heureusement pour la "survie" de ce type d'entreprises, elles
gèrent "en parallèle" quelques projets, souvent à des stades différents d'avancement. Nous
retiendrons donc comme définition de la production de type "série unitaire", toutes
production mobilisant sur une période assez longue l'essentiel de ses ressources pour
réaliser un nombre très limité de projets de production.
La définition du produit dépend étroitement des spécifications du client et fait
intervenir, en général, un bureau d'étude conséquent.
Ressources mobilisées
11
Dans les deux cas, l'ordonnancement joue un rôle essentiel. En effet, la définition
correcte d'une date de livraison suppose une bonne capacité à programmer les ressources à
mobiliser et donc à se projeter dans l'avenir. La maîtrise des coûts passe non seulement par
le respect de cette programmation, dans la mesure où un retard dans l'exécution d'une tâche
s'accompagne souvent d'un chômage technique des ressources retenues pour exécuter la
tache suivante, mais encore par une bonne capacité à modifier rapidement cette
programmation en cas de perturbation importante.
21.1.4.2 Organisation en ateliers spécialisés
Définition
Un système productif est organisé en ateliers spécialisés lorsque tous les équipements
assurant une même fonction technique (par exemple, percer ou emboutir) sont réunis en un
même lieu. Ce mode d'organisation et généralement la conséquence d'une production
relativement diversifiée de produits finis ou de composants, chacun d'entre eux faisant
l'objet d'une production limitée. Il faut noter que cette structure organisationnelle est
prépondérante dans les pays industriels si l'on raisonne par rapport au nombre d'entreprises
(et non par rapport à la production).
Ressources mobilisées
12
La multiplicité des routes possibles entre postes de travail, que peuvent emprunter les
différentes productions pose de redoutables problèmes d'ordonnancement. Ils conduisent à
des files d'attentes plus au moins grandes et à une mauvaise utilisation des ressources
disponibles en hommes et en machines. Cette "déperdition" est fonction de la qualité des
informations disponibles (exactitudes et exhaustivité des gammes, qualité de l'inventaire
permanent, connaissance de l'avancement réel du travail et de l'occupation réelle des postes
de travail,…), des techniques d'ordonnancement utilisée ainsi que des moyens mis en
oeuvres pour traiter les informations (système manuel, système informatisé"fermé",
système interactif d'aide à la décision,…).
13
spécialiser sur un autre produit. Cet inconvénient peut être évité par l'appel aux machines à
commandes numériques qui sont dotées d'une nouvelle programmation.
Ce mode d'organisation repose sur une parfaite maîtrise de gammes opératoires et une
très grande régularité de circulation du flux (s'appuyant souvent sur un convoyage
automatique). Le problème des stocks tampons entre postes de travail, est, de ce fait, assez
mineur. Par contre, les problèmes de fiabilité du matériel sont fondamentaux puisque l'arrêt
d'une machine provoque l'arrêt de la chaîne.
L'un des problèmes importants rencontrés avec ce type de système productif est celui
de l'équilibrage de la chaîne, c'est-à-dire d'une définition du travail à réaliser sur chaque
poste de travail en s'arrangeant pour que le temps passé par le produit sur chaque poste soit
aussi proche que possible d'un temps constant défini comme objectif, tout en respectant les
contraintes techniques de fabrication du produit. Un mauvais équilibrage de chaîne conduit
à une mauvaise utilisation des ressources mobilisées et compromet la rentabilité de la
chaîne. La formulation de tels problèmes passe par la programmation mathématique, mais,
en pratique, l'importance combinatoire des problèmes fait que la recherche d'une solution
passe par l'utilisation d'heuristiques
Ordonnancement
A priori, le problème de l'ordonnancement ne se pose pas lorsque l'on travaille en
ligne de production. Le problème de la "personnalisation" de la production évoqué
précédemment, complique la gestion du "flux". Dans ces conditions, le problème majeur est
celui posé par la cohérence et la fiabilité du système d'information qui doit faire converger
au bon moment les approvisionnements de pièces nécessaires et les ordres de défaillances
du système d'information ou de celui des approvisionnements. Un accroissement des
encours peut être envisagé.
21.1.4.4 . LES INDUSTRIES DE PROCESS
14
exemple, transformation de minerais de fer en tôles ou de betteraves en sucre en
poudre).
Le Juste-à-Temps est un concept qui n’est simple qu’en apparence. Il concerne autant les
industriels de petites et moyennes entreprises que ceux des grandes firmes.
CONCEPT
C’est à dire que le fournisseur, produit les quantités nécessaires pour satisfaire les
commandes de la clientèle.
Dans le cas habituel d’une entreprise industrielle qui transforme des matières premières en
pièces fabriquées, puis regroupe ces pièces dans des sous-ensembles et, enfin, réunit les
sous-ensembles pour constituer des produits finis, le principe du "Juste-à-Temps" peut
s’exprimer ainsi :
15
L’objectif du "Juste-à-Temps" n’est pas simplement de réduire les stocks ; le "Juste-à-
Temps" est une philosophie industrielle globale dont la réduction des stocks n’est que l’un
des effets. Mais " Acheter ou produire seulement ce dont on a besoin, quand on en a
besoin ", impose dix conditions essentielles.
Avoir des délais de fabrication très courts et une grande souplesse pour pouvoir
répondre aux souhaits de la clientèle.
Savoir ne fabriquer, lorsque c’est nécessaire, que de très petites quantités d’un type
de pièce donné. Il faut pour cela s’affranchir de la fabrication par lots importants et
de la notion de " quantité économique ". Ceci impose des changements rapides
d’outils et une disposition des usines qui permettent l’enchaînement des opérations
concernant une même pièce ou un même produit.
Ne produire ou acheter strictement que les quantités immédiatement nécessaires.
Eviter les attentes ou les pertes de temps. Il faut alors renoncer à un stockage
centralisé ainsi qu’à l’utilisation de moyens de manutention qui seraient communs à
plusieurs postes de travail (et donc pourraient être indisponibles lorsqu’un ouvrier
en a besoin).
Apporter les matières, les pièces, les produits à l’endroit où ils sont nécessaires (au
lieu de les stocker dans les entrepôts où ils ne servent à personne et où on ne peut
les utiliser.
Avoir une bonne fiabilité des équipements. Pour qu’une machine puisse ne produire
une pièce que lorsque celle-ci devient nécessaire à l’étape ultérieure du processus de
fabrication .Il faut que la machine ne tombe pas en panne à cet instant précis.
Maîtriser la qualité de la production si les pièces arrivent juste à temps et dans le
nombre voulu, mais si elles ne sont pas bonnes, on ne peut que les rejeter et arrêter
la production des étapes suivantes du processus.
Acheter seulement des produits ou des matières de qualité garantie pour qu’ils
n’arrêtent pas la production.
16
Avoir un personnel polyvalent, capable de s’adapter rapidement et comprenant les
nouveaux objectifs de l’entreprise.
Les principes de gestion doivent donc être sensiblement modifiés. Les entreprises ont
intérêt à rechercher des solutions souples et peu coûteuses pour assurer le pilotage de la
production d’une usine. Elles peuvent s’inspirer du principe du Kan ban.
Le système Kan ban sert à gérer la production simultanée des différents ateliers d’une
usine et les approvisionnements en matières premières et produits achetés à des
fournisseurs.
La conversion au " juste-à-temps " transforme l’entreprise ; cette dernière modifie son
organisation, son fonctionnement, sa gestion, les tâches effectuées par le personnel et les
relations avec ses clients et fournisseurs en améliorant les implantations, diminuant les
temps de changement d’outils, réduisant les aléas et en établissant des relations plus étroites
avec les principaux fournisseurs :
17
75 à 95% de réduction des délais et des stocks,
15 à 25% d’accroissement de la productivité globale,
25 à 50% de réduction de la surface utilisée,
75 à 95% de réduction des temps d’arrêt de machines dus aux pannes ou incidents,
75 à 90 % de diminution du nombre de défauts.
Ces résultats peuvent être atteints après deux ou trois années de mise en place si la
méthode du Kan Ban est effectuée avec rigueur et détermination.
L’enjeu de l’ensemble de ces améliorations sur le prix de revient des produits peut
représenter de 10 à 25% de réduction de ce prix, lorsque l’entreprise est réellement
convertie au " Juste-à-temps ".
« Convertir une entreprise au " Juste-à-Temps ", c’est donc mettre son organisation
industrielle totalement au service de sa compétitivité et réduire considérablement ses
besoins financiers. »
18
Les éléments nécessaires sont les suivants :
* les plans à l’échelle des locaux et des installations.
* le catalogue des objets fabriqués dans l’entreprise.
* les nomenclatures des produits.
* les gammes de fabrication des produits.
* le programme de fabrication de l’entreprise (quantités, cadences)
* les caractéristiques des moyens de manutention.
La partie analyse d’un projet d’implantation consiste à mettre en forme ces informations
pour bien comprendre les différentes contraintes liées au projet.
Les méthodes qui suivent ont toutes pour objectif de synthétiser les informations
.
Le graphique de circulation
Ce graphique consiste à représenter sur un plan, les différents flux par différentes
couleurs . Plusieurs versions de ce graphique peuvent être réalisées :
* plan papier avec flux au crayon.
* plan mural avec flux représentés par des ficelles de différentes couleurs fixées par
des épingles.
La seconde représentation est préférable à la première du fait qu’elle facilite les
modifications des flux.
Le diagramme visuel se caractérise par :
* La longueur des circuits.
* La complexité des flux.
* La logique de l’implantation.
* les lois de stockage.
* les points de remboursement.
* les déplacements inutiles ou trop longs.
* l’importance des manutentions.
Le schéma opératoire
19
Le principe de ce schéma consiste à décomposer les processus opératoires en cinq
éléments :
* opération ou transformation qui apporte de la valeur ajoutée.
* transport ou manutention.
* stockage avec opération d’entrée ou de sortie.
* stocks tampons.
* contrôles.
Analyse de déroulement:
L’analyse de déroulement est plus précise que le schéma opératoire. Elle se focalise sur
la fabrication d’un produit. En plus de la description des opérations, on trouve les
informations de distance, temps, quantité ,et de poids.
Le plan coloré
Le plan coloré consiste à représenter sur un plan les différentes zones de l’entreprise afin de
montrer leurs importances respectives. En général, on différentie trois types de zones :
* en vert, les zones où il y a apport de valeur ajoutée, c’est à dire principalement les zones
de production.
* en orange les zones de stockage, magasin…
* en bleu les zones de transport.
* en rouge les zones de non qualité, zone de rebut,attentes pour retouches.
Ce schéma, très didactique, montre clairement le relation entre les zones apportant de le
valeur ajoutée et les autres . Les améliorations à apporter apparaissent clairement.
20
Identifier parmi l’ensemble de moyens de production, les îlots de production
les plus possibles indépendants.
Implanter chaque lot repéré, en suivant la démarche suivante :
Rechercher une implantation linéaire en rapprochant les machines entre
lesquelles circule un trafic important, sinon implanter l’îlot en section
homogène.
2- recherche des îlots de production
La recherche des îlots de production parmi l’ensemble des gammes de l’entreprise a
mixité de nombreux travaux notamment ceux de Kuziack et de king. Cette dernière est
plus rigoureuse que la méthode précédente, cependant son traitement sur le papier n’est
pas très adapté. Pour profiter de cette méthode, il est indispensable de disposer d’un
tableur.
la méthode des chaînons est certainement la méthode la plus connue pour implanter les
ateliers de production, les objectifs de cette méthode sont :
* de minimiser les manutentions dans un atelier .
* de rapprocher les machines qui sont le plus en relations
21
données provenant d’études de marché ou d’intention d’achats à travers notamment
l’interrogation et le traitement de prévision du réseau de distribution. Il s’agit
d’excellentes techniques dans ce domaine . Pour les utiliser à des fins de planification, il
faudrait être prudent et ne les utiliser qu’en complément d’autres informations.
La méthode de Delphes consiste à interroger indépendamment les uns des autres afin
d’éviter toute influence forte directe, des experts à propos d’une question . LA
coordination remet l’ensemble des réponses aux experts qui peuvent modifier et
compléter leur proposition. Après deux ou trois cycles de ce type, on parvient à une
proposition de consensus efficace ou éventuellement à des divergences
argumentées,.Cette technique n’est pas adaptée à une prévision à court terme d’un
article, mais au contraire à une décision de stratégie à long terme.
1- représentation graphique
C ‘est un préalable simple et explicite aux autres méthodes, elle présente l’énorme
avantage d’être très visuelle car d’un coup d’œil , elle permet de résumer la prévision et
de mettre le bon sens en éveil. De plus, par extrapolation de la courbe des
consommations passées, on peut obtenu une estimation de la demande à venir.
2- méthode de décomposition
22
1-la méthodes Gantt
C’est une méthode très ancienne datant de 1918 et est pourtant encore très répandue
mais sous des formes et sur des applications modernes.
Elle consiste à déterminer la meilleure manière de positionner les différentes tâches
d’un projet à exécuter, sur une période déterminée, en fonction :
*Des durées de chacune des tâches.
*Des contraintes d’antériorité existant entre les différentes tâches.
*Des délais à respecter
*Des capacités de traitement
23
- au niveau du pilotage des systèmes automatisés(informatique de production)
21.1.6.1 la GPAO
DÉFINITION
Les logiciels de GPAO sont traditionnellement articulés en modules (gestion des stocks,
ordonnancement, pilotage de la production, calcul des coûts de revient), chacun d’eux
assurant une fonction spécifique relative à la gestion des flux de production.
24
environnement informationnel unique qui couvre tous les besoins de l’entreprise et ainsi de
mesurer les enjeux financiers des décisions de production.
Les logiciels de GPAO s’appuient essentiellement sur la méthode MRP (Management des
Ressources Productives). Cette méthode permet d’assurer les fonctions suivantes :
Conséquence organisationnelle
Cette recherche permanente de la productivité et de la rentabilité implique une mobilisation
de tous les salariés (de la direction générale aux opérationnels) mais aussi la maîtrise du
système d’information. Les objectifs prioritaires qui lui sont assignés (traquer les
gaspillages financiers et raccourcir le délai de réaction de l’entreprise aux turbulences de
l’environnement) s’avèrent assez ambitieux pour justifier des investissements importants et
de longs délais de mise en œuvre.
25
21.1.6.2 CAO
Chacun d’eux assurant une fonction spécifique relative à la gestion des flux de a conception
assistée par ordinateur (CAO) est l'ensemble des outils logiciels et des techniques
informatiques qui permettent la conception et la mise au point d'un produit
Tous les logiciels de CAO utilisent des systèmes de gestion de bases de données et des
outils graphiques. S'y ajoutent de nombreux outils qui leur permettent de s'adapter aux
spécificités du domaine dans lequel ils sont utilisés. Selon l'usage, on utilise des logiciels en
2 D ou en 3 D qui permettent de représenter les données dans le plan ou dans l'espace.
Une difficulté qui a freiné le développement des projets les plus ambitieux en CAO est
celle rencontrée dans la maîtrise des énormes bases de données, à la fois factuelles et
graphiques, nécessaires pour ces produits. Ces bases de données se sont rapidement
révélées extrêmement complexes: en CAO, pour des raisons de rapidité de traitement, on a
besoin d'utiliser de multiples représentations d'un même objet, et les relations de
dépendance complexes entre objets sont la règle plutôt que l'exception.
La diffusion de la CAO est extrêmement variable selon les industries et la taille des
entreprises. Dans l'ensemble, la pénétration de la CAO a en effet été plus lente que prévu:
26
aux difficultés économiques (investissement initial élevé en matériels, logiciels, formation
du personnel, embauche de spécialistes, l'évaluation précise a priori des gains de
productivité restant souvent difficile) se sont ajoutées des difficultés techniques (évolution
rapide des matériels et logiciels en coût et performances, absence de normes internationales
reconnues par le graphique, les bases de données et le système d'exploitation, ce qui ne
permet pas de rendre ces progiciels portables) et des difficultés pratiques (manque de
souplesse des logiciels, absence d'intégration des divers logiciels utilisés pour les phases
successives du travail de conception, manque de liaison avec le processus de fabrication en
aval, complexité du monde opératoire, manque de «convivialité» de l'interaction homme-
machine).
Ainsi, de très grandes entreprises utilisent des logiciels de CAO de haut de gamme dont les
prix dépassent plusieurs millions de francs et exploitables seulement sur des
superordinateurs. À l'autre extrémité de l'échelle, des PME ou des PMI exploitent des
logiciels beaucoup plus simples sur des micro-ordinateurs. Cependant, de la machine à
commande numérique aux ateliers flexibles, en passant par les robots de peinture, de
soudage, de découpe ou d'assemblage et le contrôle de processus, on assiste à
l'informatisation croissante des activités de production et à leur intégration de plus en plus
poussée: le projet MAP Manufacturing Automation Protocol de General Motors en est
l'illustration. Symétriquement, dans le domaine de la gestion, la généralisation de la
bureautique, l'usage de bases de données sophistiquées et la croissance des réseaux
d'ordinateurs poussent, eux aussi, à une intégration croissante, représentée par le projet
TOP Technical Office Protocol proposé par Boeing. Il ne restera plus qu'à faire
communiquer entre eux les réseaux MAP et TOP pour aboutir à cette usine intégrée par
ordinateur que certains considèrent comme le terme ultime de l'informatisation des
entreprises. Dans une telle perspective, les logiciels de fabrication assistée par ordinateur
(CAO), longtemps limités aux aspects purement techniques de la conception, devront
évoluer pour assurer une liaison en amont avec la phase de définition de produits et pour
délivrer en aval des données utilisables pour la fabrication. Mieux encore, ils devront
communiquer sous une forme adéquate leurs résultats à l'ordinateur munis du logiciel de
FAO qui a pour charge de piloter le processus de fabrication.
27
21.1.6.3 LA CFAO (CONCEPTION ET FABRICATION ASSISTEES
PAR ORDINATEUR)
Les logiciels de CAO ont été longtemps utilisés seulement pour les domaines purement
techniques de la conception. Actuellement, certains logiciels communiquent leurs données
à des machines-outils qui fabriquent les produits. C'est le cas par exemple de certains
logiciels de CFAO (conception et fabrication assistées par ordinateur) utilisés dans le
textile, où l'ordinateur servant au dessin du patron de vêtement commande aussi la découpe
des tissus par laser.
21.2.1.1 DEFINITION :
28
La mise à disposition doit se réaliser dans certaines conditions définies à l’avance
qu’on appelle le niveau de service : rapidité, fraîcheur, sécurité, exactitude, fiabilité…
La mise à disposition dans des conditions déterminées est obtenue grâce à certaines
activités : transport, emballage ; stockage
L’approche ETYMOLOGIQUE :
L’approche HISTORIQUE :
29
Aux Etats-Unis, la première période que l’on peut isoler se situe autours des années
1990 : les distributions de produits, les mouvements de personnel, le mouvement de
matériel concernant de petits espace .On ne parle pas encore de la logistique même si on
en réalise quelques actions.
Entre 1900 et 1940, le bouleversement de la première guerre mondiale fait prendre
conscience d’une notion de support d’opérations à l’échelle de toutes les nations .Mais
c’est la seconde guerre mondiale que date vraiment la naissance de la logistique
moderne, d’abord dans le domaine militaire puis progressivement dans toute l’industrie
civile.
En France des activités de type logistique ont existé entre 1900 et 1950. La création
de l’AFIM(association française des ingénieurs de maintenance) date de 1933. Mais ces
activités restaient assez peu répondues et peu connues en dehors des personnes qui les
pratiquaient.
A partir de 1960 ont été mis en œuvre certains aspects de la logistique, en particulier
celle de la distribution.
L’approche «FUTURISTE » :
30
quelques sortes vouloir résoudre l’inconnue de la maintenance du matériel assurant un
service dans des conditions d’utilisation en grande partie inconnue elles aussi.
On peut dire généralement qu’on évolue vers une logistique « hypothétique » ou
«d’imagination ».
L’approche ANALYTIQUE :
Elle consiste à analyser les différents aspects de la logistique tels que les rencontre
actuellement et à cerner de même temps l’ensemble des activités auxquels répondent ces
différents types de logistique.1
31
La difficulté de la logistique provient de ce que la recherche de la satisfaction du client
doit se faire au moindre coût, c’est à dire à un coût meilleur à celui des concurrents.
Comme les coûts engagés varient de façon antagoniste, cette recherche est
particulièrement délicate : par exemple il est possible de mieux servir le client en ayant
davantage de machines ou en constituant un stock de produits finis dans la période
creuse. Il est possible de réduire les coûts en faisant des séries plus longues, mais il faut
alors financer des stocks supplémentaires.
D’où l’importance d’avoir défini pour l’entreprise une stratégie logistique cohérente.
21.2.2.1 LA LOGISTIQUE-AVAL :
l’entreposage
le transport
la livraison
32
la tendance actuelle est la limitation des dépôts et la mises en place de dépôts multi-
produits, voire multi-fournisseurs ou multi-clients. Généralement, l’entreprise entrepose
dans un dépôt central qui peut recevoir soit des lots unitaires de taille réduite mais
totalement personnalisés, soit des lots de plus grandes taille qui seront en suite
éventuellement fractionnés dans des dépôts régionaux.
La logistique transport entre usine, entrepôts, plates-formes locales doit permettre de
déterminer pour chaque type de relation le mode le mieux adapté et le plus économique.
L’importance de la logistique transport croît avec l’organisation des entreprises clientes
en flux tendus. L’objectif reste toujours de livrer la marchandise en bon état, au bon
endroit et au bon moment.
La complexité de la logistique et l’accroissement de la concurrence amènent souvent les
entreprises à choisir de se recenser sur leur métier et à se poser la question de
l’intégration ou de l’externalisation de tout ou partie de la logistique.
231.2.2.2 LA LOGISTIQUE AMONT :
33
L’optimisation de la logistique amont comporte des limites. En effets il convient de
s’arrêter quand les coûts induits par la nouvelle organisation sont supérieurs aux
économies potentielles, sauf si l’amélioration du service peut être vendue.
C’est une extension du service après-vente (le SAV) ,elle concerne essentiellement
les biens durables. Elle consiste à s’intéresser à la manière dont le produit est utilisé par
le client, c'est-à-dire le produit après la vente.
En effet, la mise à disposition du produit au client dans des bonnes conditions peut
dépendre de la manière dont le client utilise le produit. Par exemple la durée de vie d’une
voiture livrée au client avec garantie dépend du style de conduite ou de l’entretien ; de
même un appareil dont le manuel d’utilisation comporte des lacunes pourra être
détérioré ;ou encore, un produit mal conservé par le client pourra présenter des risques
d’intoxication.
Ainsi, la logistique d’une entreprise qui produit des biens durables ou qui se conservent,
devra prévoir les moyens de préserver les bonnes conditions d'utilisation du produit, et
d’aider le client à utiliser le produit dans des conditions requises :maintenance,
assistance, formation pièces de rechange…
21.2.2.4 LA LOGISTIQUE INTEGREE :
J-M.Auriac Economie d’Entreprise chapitre 18 page 211.
J-M AURIAC Economie d’Entreprise chapitre 6 page 181.
34
Le logisticien est un médiateur au niveau de l’ordonnancement de la production, il doit
assurer l’interface entre les achats, la production et la vente , il veille à l’adaptation de
l’outil de production en éliminant les goulots d’entranglement et en cherchant la plus
grande souplesse. Une bonne maintenance des l’outils de production doit permettre
d’obtenir « Zéro panne » et « Zéro accident »
Le logisticien doit par ailleurs gérer de manière dynamique les flux tendant à limiter et
même à éviter les immobilisations de produit tout en assurant la disponibilité des
produits finis à l’heure prévue..
En fin les entreprises dont l’avantage concurrentiel est fondé sur la rapidité de livraison
cherchent des améliorations dans toute la chaîne d’activité : traitement des commandes,
approvisionnement en flux tendus, livraison…
Ffflryfhv vc
Flux informationnels
Logistique Logistique
Logistique amont aval de soutien
Logistique intégrée
Schéma : les systèmes logistiques
J-M AIRIAC Economie d’Entreprise tome I chapitre 6 page 183.
J-M AURIAC Economie d’Entreprise tome I chapitre 18 page 212.
BAGLIN GERARD management industriel et logistique.
35
21.2.3.1 BUREAU D’ETUDES :
L’ordonnancement planifie l’activité des ateliers à court terme, définit les moyens
nécessaires à la réalisation du plan de production
Le lancement prépare les documents nécessaires à la fabrication (bons de travaux,
fiches suiveuses, bons de sortie de matières.)
36
Ce service réalise les activités de réparation et gestion des pièces de rechange ainsi
que l’entretien des matériaux et des locaux neufs
Service contrôle de qualité ce service veille sur la conformité des articles aux
caractéristiques définies par le bureau des études et les méthodes depuis les articles
achetés jusqu’aux produits finis.
Ce service se nomme parfois logistique car il réalise les préparations des commandes
et leur livraison aux clients.
La mise à disposition d’un produit fini au client requiert une certaine capacité de
distribution selon la nature du produit ,à cet effet, les niveaux de capacité peuvent être
la fréquence, la rapidité , la régularité ou la fiabilité des livraisons. Les besoins en ces
services obligent de déterminer la capacité d’un système de distribution physique en
particulier le nombre et le type des moyens de transport et la localisation des unités et
l’ordonnancement de livraison.
Les non-disponibilité des articles présente des risques sur le comportement de client
qui décident selon la nature des produits : d’acheter un autre article, de visiter un autre
37
magasin en vue de trouver le produit, de réaliser des achats repoussés à plus tard ou
d’acheter d’une marque différente à cet effet l’entreprise est obligée d’éviter ces
risques de ruptures de stock grâce à plusieurs moyens particulièrement :
-la constitution d’un stock de sécurité
-les prévisions de la demande
-le contrôle des pannes, des erreurs et des retards
- la gestion différenciée du catalogue pour permettre aux clients de remplacer le
produit manquant
- L’information des clients
- la rapidité de réaction
Une fois le produit est vendu ce niveau prend en charge des services
complémentaires à la vente en raisons de la complexité de certain produits qui
supposent une assistance au cour de la durée de vie d’un produit, et de la durabilité des
biens qui nécessitent à leur tour une assistance pour prolonger la vie jusqu’au terme
normal.
pour réaliser ces services l’entreprise doit choisir entre les moyens suivants :
Rapports fournisseurs / clients : il s’agit du rôle du service marketing pour
développer les relations avec les clients et pouvoir les fidéliser en connaissant
ses besoins et mieux expliquant la situation du produit sur le marché au niveau
de son cycle de vie et par rapport aux produits concurrents.
Le service après vente classique : ce service regroupe notamment le dépannage
les réparations et l’assistance pour pouvoir maintenir le sourire du client.
Les activités logistiques ont des coûts très relevés alors leur gestion se trouve initiale
dans la maîtrise des coûts totaux de production car les opérations logistiques constituent
38
une resserve de productivité et ses coûts permettrent de juger la performance de la
fonction logistique dans l’entreprise à ce niveau on peut parler de trois conceptions pour
le calcul des coûts logistiques :
Le coût est la somme des coûts propres à chaque opération logistique.
Le coût est celui d’un system complet.
Le LCC (life cycle cost.) Le coût des opérations logistiques tout au long de
l’existence du produit.
21.2.5.2 POLITIQUES LOGISTIQUES
le choix d’une politique logistique doit prendre en compte : le niveau des services exigés
par le client et le niveau des coûts acceptables par l’entreprise, on peut distinguer à cet effet
quatre types de politiques logistiques :
Absence de logistique : les coûts logistiques importantes dues à une absence de
réflexion sur le problème à cause de faiblesse de la productivité.
Politique de service public l’entreprise donne plus d’importance au niveau de
service offert.
Politique minimum : l’entreprise réduit ses coûts même aux détriment du niveau
du service offert.
Politique interne’ entreprise fournit un niveau de service tés satisfaisant tout en
maîtrisant les coûts
Niveau de capacité
Service Politique
publique intégrée
Absence de Politique
politique minimum
39
Coûts
21.2.5.3 L’ORGANISATION :
logistique fragmentée :
La logistique est prise par en charge par certains départements et chacun s’occupe d’une
partie des opérations logistiques. Dans ce cas la logistique éparpillée dans l’entreprise ce
qui entraîne des conflits et surtout un faible productivité.
logistique centralisée :
Un certain nombre d’opérations logistiques sont regroupé à l’intérieur d’une fonction
appelée logistique sous l’autorité d’un responsable spécialiste. Cette organisation permet
une vision globale du problème, mais la structure hiérarchique s’alourdit du fait d’une unité
suplémentaire à gérer.
40
CONCLUSION
L’
organisation traditionnelle de travail dans les usines a été conçu
dans un contexte de pénurie de compétence les opérateurs de
TAYLOR ne savaient ni lire ni écrire mais les conducteurs des
machines automatiques de nos jours ont un brevet professionnel ou le
Baccalauréat technique.
Rien d’étonnant que, dans de telles conditions, l’organisation se décentralise
et devienne plus souple, plus dynamique et plus performante.
Parallèlement au développement des nouvelles formes de la Gestion de la
production industrielle on a assisté à l’éclosion de nouvelle technologie qui
modifient les modes de production et les règles de fonctionnement des
systèmes logistique, à cet effet, l’apparition des nouveaux logiciels
informatiques et des nouvelles technologie de production que l’on regroupe
sous le terme de la productique qui ont débuté par la CAO pour arriver à
l’ateliers flexible et l’automatisation complète de processus de production.
Si les logiciels informatiques permettent de planifier la production, de gérer
des matières et la fabrication, il maîtrise mal aléatoire. Le JAT et le kan ban
permettent d’accéder à l’information en temps réel. Les flux physiques
circulent en fonction des flux d’information.
41
BAGLIN Gérard, « management industriel et
logistique. »
42