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I – 1 – 1 – Appareillage
L’essai de prise peut se faire sur une pâte normale seulement l’essai normal se
fait avec un mortier normal. On utilise donc pour cet essai :
- Un mortier normal : sable normal (3 parties : 1350g); liant (1partie : 450g) ; eau
(une demi partie soit 225g) ;
Introduire Malaxeur
- Racler
Eau (225g) 1 minute 2 minutes 2 minutes
- Remonter
Introduire 1350g de 30
sable normal secondes
I – 1 – 3 – Technique de l’essai
a) Préalables
- Une masse mobile : 300g ± 1 si l’on opère sur une pâte pure (plateau nu) ;
1000g ±1 si l’on opère sur un mortier normal c’est-à-dire avec une surcharge
égale à une masse additionnelle de 700g.
b) L’essai
- Immerger l’éprouvette dans les bacs à eau maintenu à 20° en attendant le début
de prise ;
- Lâcher l’aiguille sans vitesse initiale, elle s’enfonce et s’arrête à une distance
« e » du fond du moule.
c) Résultats
Remarque :
- Le premier essai ayant été négatif, reporter toujours aussitôt l’éprouvette dans
l’eau et reprendre l’essai toute les 10minutes jusqu’au début de prise ;
d) Principe
- Noter la hauteur h1 ;
- Faire deux essais supplémentaires pour deux nouveaux points M1 et M2 ;
- Tracer une droite passant aux mieux par ces trois points, elle coupe
l’horizontale d’ordonnée 2.5mm en un point dont l’abscisse définit le temps de
prise.
Exemple : on veut déterminer le temps de prise d’un mortier normal dont le gâchage a
commencé à 2h45’ avec les coordonnées suivantes : to = 2h45’ ; t1= 3h10’ ; t2 =
3h20’ ; t3 = 3h30’ ; ho = 0 ; h1 = 5mm ; h2 = 10mm ; h3 = 16mm.
Les temps de prise sont fonction de la nature des liants qui eux dépendent des travaux
réalisés :
- Mettre le malaxeur en vitesse lente 140 tours par minutes pendant 1 minute puis
à vitesse rapide pendant 2 minutes soit 280 tours par minute ;
- Préparer la pâte ;
I – 2 – 3 - Résultats
Dans les deux cas, jeter la pâte, nettoyer, sécher le matériel et recommencer
avec une nouvelle quantité.
CHAPITRE II : FINESSE DE MOUTURE
II – 1 – GENERALITES
- Le perméabilimètre de Blaine ;
- La flourométrie.
II – 2 – DEFINITIONS
Aire massique ou volumique : c’est le total des aires des grains contenus dans
l’unité de masse ou de volume ;
II – 2 – 1 – Principe
Faire passer, dans les conditions bien définies une certaine quantité d’air à
travers une certaine quantité de ciment (par exemple mesurer le temps de passage et en
déduire l’aire massique par application d’une formule.
II – 2 – 2 – Matériel utilisé
C’est le perméabilimètre de Blaine (voir schéma) ; le ciment est placé dans une
cellule dont le volume est limité par un piston (qu’on enlève lors de l’essai).
II – 2 – 3 – Détermination de V et ρ
II – 3 – FLOUROMETRIE
II – 3 – 1 – Définition
II – 3 – 2 – Principe
La vitesse de chute d’un corps dans un fluide (gaz ou liquide) dépend des
dimensions de ce corps. Elle est donnée par la loi de STOCKES.
V : vitesse de chute ;
N : diamètre équivalent ;
II – 3 – 3 – Matériel utilisé
- Un tube vertical dans lequel se fera la séparation, pour empêcher les poussières
d’adhérer à la paroi intérieure, un vibreur lui imprime une vibration verticale ;
II – 3 – 4 – Mode opératoire
- Arrêter le fonctionnement et peser ce qui est resté dans le vase : c’est la masse
des éléments pour lesquels D ≥ N ;
Exemple :
- Calibre de 1,4mm
- Les éléments < 20µ : 1,000 – 0,450 = 0,550g d’où la flourométrie de 20µ =
(0,550 / 1,000) x 100 = 55%.
45 3.5 45 15
40 3.0 40 15
35 2.5 35 20
30 2.0 30 30
25 1.7 25 40
20 1.4 20 10
15 1.0 15 120
II – 4 – ETALONNAGE DE L’APPAREIL
II – 4 – 1 – But
II – 4 – 2 – Principe
II – 4 – 3 - Processus
III – 1 – GENERALITES
Il s’agit pour ces essais dits aussi descriptifs de briser des éprouvettes
prismatiques d’élancement 4 au mortier normal, dans le but d’en définir les contraintes
de rupture à la traction par flexion et à la compression des liants hydrauliques.
Ces essais permettent de contrôler la classe de résistance d’un ciment (un CPA
325 ↔ б > 325bars).
III – 2 – 2 – Matériel
- Appareil à choc : une came fait tomber de 15mm une fois par seconde une table
sur laquelle est fixé le moule. Un dispositif automatique permet d’imprimer 60
chocs (60 coups en 60 secondes).
- Disposer le mortier normal sur une plaque, une surface plane horizontale te
propre ;
- Former à la truelle une galette approximativement rectangulaire, compactage en
6 fractions sensiblement égale ;
Inscrire les marques d’identification des éprouvettes sur le moule après avoir
calé le moule de l’appareil à choc, enlever la hausse et araser avec une règle
métallique.
La rupture est effectuée sur charge concentrée dans une machine munie d’un
dispositif à rouleau :
- Mettre l’appareil en charge (il transmet à l’éprouvette une charge qui croit
progressivement jusqu’à la rupture ;
Chaque demi -prisme est essayé en compression sur ces faces latérales de
moulage sous une section de 4 x 4 entre deux plaques de métal dur.
- Noter les contraintes pour chaque essai : la valeur retenue pour chacune des
éprouvettes est la médiane des résultats élémentaires soit : б = F/S ; бm = Σб/n.
Remarque : les contraintes de rupture à la traction par flexion sont mesurées sur trois
éprouvettes, les contraintes de compressions sont mesurées sur six éprouvettes. Eviter
autant que faire se peut d’avoir à chaque âge plus de deux éprouvettes de la même
gâchée.
CHAPITRE IV : COMPOSANTS ET PROPRIETES
ESSENTIELLES DES BETONS
VI –1 – LES CIMENTS
a) Définition
Les ciments sont des poudres fines obtenues par cuisson à haute température et
par broyage d’un mélange minéral (argile + calcaire).
Ces produits forment avec l’eau une pâte capable par hydratation de faire prise
et de durcir progressivement : ce sont des liants hydrauliques.
b) Constituants de base
Parmi les composants du ciment, il y a le clinker qui est un produit obtenu par
cuisson jusqu’à fusion partielle (clinkerisation) de produit naturel de carrière.
C’est le clinker qui par broyage en présence d’un peu de sulfate de chaux
(gypse) jouant le rôle de régulateur donne le portland.
Les pouzzolanes : ce sont des produits naturels d’origine volcanique, ils sont
employés en cimenterie pour leurs propriétés pouzzolaniques c’est-à-dire leur
aptitude à former des composés pouvant faire prise et durcir par hydratation.
35 - - 25.0 45.0
45 - - 35 55.0
55 - - 45.0 65.0
Haute - - 55.0 -
Performance
Rapide 27.0 55.0 -
VI – 2 – LES GRANULATS
a) Définition
On appelle granulat les matériaux inertes (sable, gravier, cailloux) qui entre dans la
composition d’un béton.
On appelle granulat d/D : les granulats dont les dimensions s’étalent de « d » pour les
plus petits et « D » pour les plus grands.
b) Pureté
Pour les sables, cette propriété peut se contrôler comme pour les graviers mais de
préférence par l’essai d’équivalent de sable.
c) Module de finesse d’un granulat
Le module de finesse d’un granulat est égal au centième de la somme des refus
exprimée en pourcentage sur les différents tamis de la série.
Le module de finesse est plus particulièrement appliqué au sable dont il est une
importance caractéristique.
D = 0.16mm → 90%.
D= 0.315mm →75%
D = 0.63mm → 46%
D = 1.25mm → 16%
D = 2.5mm → 5%
D =5mm → 0%
Interprétation :
- 1,2 < Mf < 2,2 : sable ayant une majorité d’élément fin et très fin, ce qui
nécessite une augmentation du dosage en eau ; facilité de mise en œuvre au
détriment probable des résistances.
- 2,8 < Mf < 3,2 : sable grossier (insuffisance d’éléments fin), résistance élevée,
important risque de ségrégation, moins bonne ouvrabilité.
VI – 3 – L’EAU DE GACHAGE
VI – 4 – LES ADJUVANTS
a) Définition
b) Classification
Les entraineurs d’air : ils se présentent sous forme de liquide, de sel soluble ou
de poudre insoluble à ajouter au moment du malaxage. Ils améliorent
l’ouvrabilité du béton : à maniabilité équivalente les entraineurs d’air
permettent une diminution du dosage en eau seulement, les résistances
mécaniques sont affaiblies et ceux d’autant qu’elles sont plus élevées.
Les accélérateurs : ce sont des produits solubles dans l’eau et qui agissent
chimiquement en augmentant la vitesse d’hydratation du ciment. Ceci entraine
un déclenchement plus rapide du phénomène de prise et s’accompagne d’un
dégagement de chaleur plus important. Les accélérateurs sont tout
particulièrement employés pour des bétonnages par temps froid. On distingue
les accélérateurs de prise et les accélérateurs de durcissement.
Les retardateurs : ils diminuent les résistances initiales mais augmentent les
résistances finales. Ces produits commercialisés dilués sont employés en
particulier pour le bétonnage par temps chaud, le transport des bétons sur
grande distance, les reprises de bétonnage.
Les hydrofuges : ce sont les produits qui améliorent l’étanchéité des bétons et
protègent de l’humidité. On distingue des hydrofuges de masse qui s’ajoutent
au béton sous forme de liquide ou de poudre à mélanger à l’eau de gâchage ou à
introduire directement dans la bétonnière. Les hydrofuges de surface
s’appliquent au traitement superficiel au pinceau ou à la brosse sur béton durcit.
CHAPITRE V : FACTEURS D’ETUDE ET PROPRIETES
ESSENTIELLES DES BETONS
Par ailleurs, le dosage en ciment devra être d’autant plus élevé que les grains
seront plus ferme.
V – 2 – L’OUVRABILITE
Matériel d’essai :
Tige de piquage ;
Accessoires :
Poignés de fixation ;
Plaque de base ;
Entonnoir.
Mode opératoire
Ferme 5à9 ±2
Plastique 10 à 15
Très plastique ≥ 16 ±3
V – 2 – 3 – Dosage en eau facteur d’ouvrabilité
De façon général, on distingue dans le poids d’un granulat l’eau inter granulaire
se trouvant entre les grains et sur la surface des grains (eau adsorbée), on dit aussi eau
de mouillage et l’eau de rétention fixée à l’intérieur des grains (eau absorbée ou
inerte).
Teneur en eau
Pour un volume donné de corps la teneur en eau exprime le rapport du poids de l’eau
au poids de la matière sèche.
VI – 1 – INTRODUCTION
VI – 2 – 1 – Données de base
On commence par évaluer le rapport C/E à l’aide de la formule б’28 = G.бc (C/E –
0,5) ; б’28 = бn + 15% :
G : coefficient granulaire.
Y = 50 - √D + K + Ks + Kp
K : coefficient donné par le tableau 6 ; Ks : 6Mf – 15 ou Mf > 2,5 ;
Kp : coefficient de pompabilité.
Ensuite, on trace les lignes de partage qui sont des droites obliques ou verticales
joignant 95% des tamisats d’un granulat à 5% de tamisat du granulat suivant.
Les lignes de partage coupent la ligne de référence granulaire en des points dont
la projection sur l’axe de tamisat nous donne les pourcentages volumique des
différents granulats.
Pour trouver les volumes des différents granulats contenus dans 1m3 de béton,
on prend le volume absolu du mètre cube de béton. Le volume occupé par ce ciment
qu’on multiplie par le pourcentage de chacun des granulats.
C’est une méthode basé sur la lecture des abaques et qui concerne les bétons
courants (D = 16, 25, 40mm). Cette méthode donne en fonction de la résistance du
béton, de son affaissement, du degré d’humidité, des granulats et de la nature de l’eau
de gâchage : La composition volumique du béton et de l’usage ou non des adjuvants.
VI – 4 – AUTRES METHODES
- Méthode de FAURY ;
- Méthode de VALETTE ;
- Méthode de JOISEL ;
- Méthode d’ABRAM’S ;
- Méthode de BOLOMEY.
Tableau 4
Apparence sèche 0 à 20 - - -
Humide 40 à 60 20 à 40 10 à 30 10 à 20
Tableau 7
Matériel
- Moule métallique.
Essai
- Composer le béton ;
- Scier les éprouvettes à chaque extrémité (pour éliminer la zone de béton plus ou
moins hétérogène et ramener l’élancement à 1,7) ;
Bandes de contact
Plan de rupture
- Ecraser le cylindre de béton suivant deux génératrices opposé entre les plateaux
de la presse ;
Matériel
Essai
Principe
- Vérifier que les faces de l’éprouvette en contact avec les plateaux de la presse
sont plane ;
Processus de surfaçage
Soit J l’âge du béton, la résistance en compression du béton est lié à son âge j
en jour par la relation : fcj = 0,685 x fc28 x log (j + 1)
Résistance caractéristique
- Arroser le béton ;
- Préchauffer l’eau de gâchage (elle peut être à 70° à son arriver dans la
bétonnière) ;
VIII – 1 – BUT
- Le scléromètre ;
- L’auscultation dynamique ;
- Le pachomètre.
VIII – 2 – LE SCLEROMETRE
Principe
Matériels
- Scléromètre ;
Une tige en acier, sortant d’un cylindre est appuyée sur le béton et comprime un
ressort. En fin de course, ce ressort projette une masse sur la tige sur laquelle
elle rebondit ; ce rebondissement est d’autant plus important que le béton est
plus dur, est mesuré par un index. On fait une série de mesure dont on prend la
moyenne ; cette moyenne reportée sur l’abaque donne la résistance mécanique
du béton.
Quand on fait la moyenne des 10 résultats, il ne faut pas tenir compte des
mesures qui correspondent à des anomalies (bulles d’air…) dans le but de :
Généralité
Basée sur la vitesse de propagation des ondes dans le corps étudié, nous ne
rentrerons pas dans les détails de l’appareil, des mesures, ni des calculs. Ils
sortent nettement du cadre de notre étude. Nous nous bornerons sur les grandes
lignes, faisant connaitre les principes de base.
Principe
Application
- Béton fissurée ;
- Béton gelé ;
- Leur diamètre ;
NB : le scléromètre est un appareil très utile, mais qu’il ne faut utiliser qu’à bon
escient en sachant ce qu’on peut en obtenir.
IX – 1 – GENERALITES
Les causes de ces variations sont diverses et parmi les facteurs qui ont une
influence sur leur valeur, nous pouvons citer :
- Caractéristiques du liant ;
- Température et humidité ;
- Adjuvants éventuels.
IX – 2 – MATERIELS UTILISE
IX – 3 – CONDUITE DE L’ESSAI
Remarque : lors des mesures, chaque éprouvette ne devra être sortie de son ambiance
que moins de temps possible et de toute façon moins de 30minutes.
Rappelons que les éprouvettes de l’essai de retrait se conservent dans l’air. Les
éprouvettes de l’essai de gonflement se conservent dans l’eau après démoulage.
CHAPITRE X : ESSAI DE COMPRESSION TRIAXIALE
X – 1 – OBJET
Cet essai a pour but de déterminer la résistance au cisaillement d’un sol et d’en
définir la courbe intrinsèque.
X – 2 – DOMAINE D’APPLICATION
X – 3 – PRINCIPE DE L’ESSAI
X – 4 – ESSAI
Appareillage
- Piston ;
- Gaine étanche ;
- Echantillon ;
- Pierre poreuse ;
Mode opératoire
Résultat
Les couples de contraintes (б1, б3) définissent chacun un cercle de MOHR dont
l’enveloppe est la droite intrinsèque ou droite de COULOMB d’équation :
Τ = C + б.tgα
б3 Pression Pa
hydrostatique ou
étreinte
б1 – б3 Contrainte axiale Pa
ou déviateur
U Pression Pa
interstitielle
T Contrainte de Pa
cisaillement
Τ = C + б.tgρ
ρ Angle de Degré
frottement
C Cohésion Pa
T essai CD
C’
б3 б1 - б3 б
T essai CU
Contrainte totale
ρ’ Contrainte effective
Ccu c’
б3 U б1 - б3 б
T essai UU
б3 б1 - б3 б
- Permet le calcul de stabilité à court terme (si U n’est pas mesuré) et à long
terme (si U est mesuré) ;
- Essai rapide ;
- Essai rapide ;
XI – 1 - GENERALITES
Un sol est perméable si les vides qu’il renferme sont continus ; si le vide a un
volume suffisamment grand pour que ni la nature, ni l’état des surfaces des particules
interviennent sur l’écoulement : on l’appelle pore ; si l’état des surfaces interviennent
on l’appelle capillaire et si les deux facteurs interviennent à la fois on le notera micro
pore ; le coefficient de perméabilité (m/s) est une grandeur mathématiques qui traduit
la ± grande facilité d’écoulement de l’eau à travers le sol. Ce coefficient dépend donc à
la fois de la nature du sol (milieux poreux et du fluide).
Principe
Loi de DARCY
Elle établit une relation entre l’indice des vides et le coefficient de perméabilité.
K = 1,4K0, 85 .e2; e : indice des vides ; K0, 85 : coefficient de perméabilité
lorsque l’indice des vides est 0,85 ;
Principe
On place le sol dans un moule cylindrique fermé à ces deux extrémités par des
couvercles. Le couvercle supérieur comporte un ajustage qui sert à évacuer
l’eau. Le couvercle inférieur est raccordé à un réservoir d’eau et à un tube
gradué. Des pierres poreuses coiffent l’échantillon sur ces deux faces à
l’intérieur du moule.
Mode opératoire
Dans un chantier de construction d’un I.G.H une forte pluie vous surprend vers
15h et rempli les fouilles d’eau. Le chef chantier vous ordonne de rentrer ; le
lendemain matin, il n’y a plus d’eau dans les fouilles. Expliquer brièvement ce qui
s’est passé ? Un technicien de laboratoire pour étudier la perméabilité d’un sol à fait le
montage de la figure ci-dessous. On admet que la loi de DARCY est applicable
lorsque Δh se stabilise et Δh = 1.00m. On recueille 50Llitres d’eau au bout d’1heure,
l’échantillon de sol à une section carrée de 900mm de côté ; on vous demande de
calculer:
- Le débit ;
- Le coefficient de perméabilité « K »