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Synthèse de document

La consommation liée à certains produits se traduit par une satisfaction, un rêve. Dans ce
corpus de document, nous verront comment se traduit ce rêve, à l’aide de quatre documents. Celui
de Emmanuel KESSLER, journaliste et L’article du site philophil.com qui explique l’importance des
prix, de la marque des objets de consommation dans le plaisir d’acheter. Georges Perec, écrivain et la
publicité qui montre l’importance des objets de consommation pour certaines personnes. Pour cela
nous allons nous demander en quoi le pouvoir d’achat lié à la consommation fait aussi partie du rêve.
Il conviendra tout d’abord de démontrer que le rêve est favorisé par le prix, les marques des objets
de consommation pour ensuite analyser le rôle de la communication sur ce phénomène et enfin
expliquer en quoi il défavorise le rêve.

Nos besoins ne sont plus le facteur principal à l’achat, se sont nos pulsions déterminées par
des éléments qui jouent sur notre prise de décision.
Les pulsions que l’on pourrait qualifier de rêve ont surpassée les achats des besoins
rationnels avec l’évolution de la société. On n’achète plus par nécessité mais par envie. Il s’agit là
d’un rêve matérialiste. Cette pulsion d’achat ce manifeste car l’humain veut se faire valoir et se
différentier de ces congénères, comme l’explique l’article « Représentation et communication
publicitaire » de philophil.com. Consommer c’est une représentation de soi-même comme l’explique
Emmanuel Kessler dans « le prix, ça fait aussi partie du rêve » publiée sur Franceinfo.fr. Ces pulsions
ne sont finalement qu’un imaginaire auquel on s’accroche.
La satisfaction procurée par l’achat est influencée par des facteurs externes au produit en lui-
même et à sa qualité. L’étude exprimé dans l’article de Emmanuel Kessler nous apprend que le prix
induit en erreur le consommateur sur la qualité du produit, car moins on est informé, plus prix est un
gage de confiance L’acte d’achat est déterminé par des facteurs multiples qui met en avant des
critères externes au produit. Telle que le prix ou encore la marque qu’il représente. L’article de
philophil.com explique que les marques représentent des valeurs, une histoire afin de créer un
imaginaire qui pousse à consommer chez eux.
Pour cela il y a tout un mécanisme mis en place à travers la communication au sens large.

Le rêve d’avoir un bien matériel est liée à l’envie de consommation procurer par la
communication.
La communication joue un rôle important dans cette imaginaire. Les articles de philophil.com
et de Emmanuel Kessler montrent les méthodes que les marques utilisent pour créer un univers
symbolique, fort et reconnaissable. Représenté dans la publicité, le design du produit, le choix des
textures, le discours… Ces dernières parlent de ce qui intéresse pour prétexter l’achat d’un produit.
Les marques insistent sur le bénéfice au consommateur et non sur la qualité du produit. Celle-ci
manipulent les images les signes afin que l’objet soit plus séduisant.
Les méthodes de communication servent donc à transformer un produit en un concept de
vie. La publicité de Nike fait tout pour nous faire acheter se produit, en nous transmettant comme
message que c’est grâce à ce produit que l’on accomplira nos objectifs comme le démontre cette
publicité avec écrit « Juste Do It », elle se traduit par « simplement, fais-le ». Donc, les personnes
n’ayant pas les richesses à l’achat de ces produits ne peuvent espérer accomplir cet objectif, ce rêve.
L’article de Emmanuel Kessler et de philophil.com exprime que la communication a pour but de
procurer un sentiment d’appartenance à des groupent sociaux et de réussite individuelle et collective
Cependant, cette pratique à des dangers et peut défavoriser le rêve.

L’envie de consommation dégrade le rêve de posséder ou d’acheter un bien matériel.


D’après le roman Les choses de Georges Perec, le jeune couple à qui il fait référence aurait
voulu être riche, comme tout le monde, afin de réaliser des objectifs, avoir un meilleur confort ou
encore un quotidien moins triste. Mais ils étaient constamment ramenés à la réalité, leurs réalités.
C’est-à-dire leur situation économique et leur statut sociale. Tout autour d’eux est une tentation
permanente. L’auteur fait comprendre que tous leurs grands rêves est une utopie. Ce qui nous
montre bien que tout ce que l’on ne possède pas est source d’envie, de rêve. Mais ceci n’a jamais de
fin, ce rêve est insatiable.
Les articles de philophil.com et de Emmanuel Kessler expliquent que ce rêve ne fait pas
référence aux besoins matériel mais plutôt de distinction, de valorisation et d’appartenance à des
groupes sociaux. Il n’y pas de définition concrète du besoin. Cette recherche de valorisation peut être
source d’un sentiment d’infériorité dans la société. Etant donnée que l’homme dans la société existe
par l’opinion des autres. Il vit à travers la perception que les autres ont de lui. L’homme n’a pas de
limite dans son besoin de prestige aux yeux de la société, la consommation n’est pas principalement
le manque d’un objet.

En somme le rêve est donc, pour beaucoup assimiler au bonheur grâce à la richesse, aux
marques que l’on achète et des biens que l’on possède. Mais ce rêve n’est qu’une stratégie de
commercialisation qui s’est ancré dans la société et force à toujours rêver plus haut, être toujours à
la rechercher un statut de prestige dans la société.

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