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Le ministère se montre de plus en plus précautionneux. Dans leurs « conseil aux voyageurs »
ses services égrènent, pays après pays, les bonnes raisons de rester chez soi. Le plus étonnant,
c'est que cette suspicion généralisée, cette frousse officielle, englobe des pays que l’on croyait
sans danger comme Monaco, par exemple.
L’excuse est toute trouvée : la planète serait un guêpier sinon un coupe-gorge. Plus qu’hier
? Une tradition en tout cas s’est perdue, qu'illustraient pour le meilleur et pour le pire le colon et
l'explorateur, le missionnaire et l’aventurier. Informés en temps réel des drames petits et grands
surgis à l’autre bout du monde, les français sur-réagissent. Ils sont
de plus en plus casaniers. Ils voyagent moins. Selon la direction du tourisme, 11,970 millions
de français sont partis à l’étranger en 2010 et seulement 11,682 millions en 2013. En 2016 - derniers
chiffres connus, ils n'étaient plus que 11,385 millions.
Durant les sept années qui ont vu Alicia Cruz passer d’ancienne candidate rebelle d’un
télécrochet à artiste populaire, le son de ses albums a été marqué par sa relation avec
Maxime Bazin, le chanteur du groupe Rhinocéros. Comme son ex-compagnon, elle s’est
entourée d’un monde où les instruments enchantés (vibraphone, scie musicale, clochettes,
ukulélé…) incarnent tout un bestiaire.
Son quatrième opus, Le calme après la tempête, se détache en douceur de cela et affine
encore son style. Souvent touchant, parfois un peu mièvre, Le calme après la tempête traite
du deuil amoureux et du deuil en général. Largement autobiographique, il évoque avec
pudeur et poésie ce moment de reconstruction, durant lequel le souvenir aide à continuer
envers et contre tout.
Le magazine Elle a été créé en 1945 par Hélène Lazareff. Revenue des États-Unis après la
guerre, cette journaliste imagine un magazine pour les femmes et déclare : « Il sera chargé
du plus de féminité possible avec du sérieux dans la frivolité, de l’ironie dans le gave. »
Le premier numéro, qui sort des presses le 21 novembre 1945, est en couleurs et propose
des sujets de société comme la présence de vingt et une femmes à l’Assemblée nationale, ou encore des
conseils de beauté. Le succès est immédiat, le premier numéro sera vendu à 700 000
exemplaires.
En 1946, les femmes obtiennent le droit de vote, le droit à la contraception en 1961 – six ans
auparavant, le magazine a réalisé un dossier sur le contrôle des naissances – et à
l’avortement en 1975.
Aujourd’hui, plus de vingt-cinq ans après son rachat par le groupe Hachette Filipacchi
Médias, dans un marché très concurrentiel, Elle a atteint une diffusion moyenne de 400 000
exemplaires et se distingue par son humour et son ironie : « Cela nous permet de nous
moquer de nous-mêmes, et cela ne nous empêche pas d’être très vigilantes. Nous ne faisons pas
un magazine féminin au vrai sens du terme, le rythme hebdomadaire nous rend réactives. »
Phrase 1 :
A. Alors, les parents aident leurs enfants.
B. On organise alors son temps au mieux.
C. Pourtant, les jeunes ne se découragent pas.
D. Il est difficile aussi de s’occuper de ses loisirs.
Phrase 2 :
A. L’association Echo mise sur leur enthousiasme.
B. Une enquête sur leurs attentes conforte cette idée.
C. Ils sont généralement friands de ce type de proposition.
D. Cette carte offre, pour 10 euros, une multitude d’avantages.
Phrase 3 :
A. celles-ci profitent à tout son entourage
B. elle lui permet alors de limiter ses dépenses
C. il profite ainsi des remises allant de 10 à 50 %
D. un délai d’utilisation de trois mois lui est alors imposé
Phrase 4 :
A. Sans pour autant les éloigner de leurs études.
B. L’inscription à ce site est fortement conseillée.
C. Ces rencontres ne sont pas seulement virtuelles.
D. Elle les invite aussi à des rendez-vous festifs ou culturels.
Phrase 5 :
A. Une démarche qui suscite l’inquiétude des municipalités.
B. Ces mesures rassurantes sont accueillies avec bienveillance.
C. Déjà séduites, plusieurs écoles et associations en font la promotion.
D. En complément, une assurance est proposée aux étudiantes mineures.
Texte 14 : Un toast au caviar de 130m de long 2/3
Un toast au caviar 130 mètres de long a été exposé jeudi à Saint-Pétersbourg, et ses
cuisiniers espèrent entrer dans le livre de records. Une immense tranche pain blanc, surmontée
d’une rivière de 130 mètres de caviar rouge. Moins cher que le caviar noir, a été préparé par les
cuisiniers d’un hôtel de luxe de Saint-Pétersbourg. La deuxième ville de Russie à l’occasion
du 135° anniversaire de la fondation de l établissement.
Le toast a ensuite été exposé dans la rue, le long de la façade de l’hôtel avant d'être englouti
par les invités de la cérémonie d’anniversaire.
Phrase 1 :
A- Les listes de choses à faire sont essentiellement utilisées par les ouvriers.
B- Les listes de choses à faire stimulent la créativité au sein des entreprises.
C- Les listes de choses à faire sont le meilleur moyen de meubler les heures de loisir.
D- Les listes de choses à faire font partie des contraintes professionnelles des cadres.
Phrase 2 :
A- Cela lui prenait un temps fou.
B- C'était son passe-temps favori.
C- Cela lui faisait gagner du temps.
D- Cela le dispensait d'un travail inutile.
Phrase 3:
Phrase 4:
A- Les agendas électroniques de poche peuvent exacerber les problèmes.
B- Les agendas électroniques accroissent par défaut les performances des listophiles.
C- La majorité des listophiles renoncent à l'usage des agendas électroniques de poche.
D- Avec l'apparition des agendas électroniques, l'usage des listes s'est complètement
éteint.
Phrase 5:
Question 36 :
A. Elle atteint une partie infime de la population.
B. Elle touche de façon chronique nombre de personnes.
C. Ce trouble rare existe pourtant depuis la nuit des temps.
D. On ignore encore l'importance des populations atteintes.
Question 37 :
A. Chaque année arrivent de nouvelles victimes.
B. Les symptômes sont multiples et assez mal définis.
C. Les personnes fragiles sont souvent I. plus atteintes.
D. On commence souvent par blêmir puis par somnoler.
Question 38 :
A. La fréquence des malaises s'accroit.
B. Cet état ne dure que quelques minutes.
C. L'affection la plus déclarée est le mal de mer.
D. On restera prudent devant l'évanouissement.
Question 39 :
A. Sauf en cas d'allure non maitrisée.
B. L'homme n’est pas le seul à en être victime.
C. Ce triste privilège appartient seulement à l'homme.
D. Les espèces animales en sont curieusement protégées.
Question 40 :
A. Mais ce mal n'est plus une fatalité
B. Une fatalité à laquelle nul n'échappe.
C. Ils n'ont pas accès aux nouveaux remèdes
D. Ce malaise n'a pas fini de faire des dégâts
Texte 18 : Nuisance sonore : Si, à force d’entendre chaque jour les mêmes
bruits 4/4
Si, à force d’entendre chaque jour les mêmes bruits, on peut finir par ne plus y prêter
attention, notre organisme, lui, ne s’y habitue pas et il y réagit silencieusement.
Pétarade des deux-roues, circulation intense, tapage nocturne des voisins, marteau-piqueur
dans la rue, le bruit est omniprésent dans notre quotidien.
En France, 12 % de la population vit dans des zones ou l’intensité de bruit est excessive,
notamment aux abords d’aéroports et d’aérodromes, en bordures de voies ferrées ou de routes à
fort Trafic. Démunis face à ces agressions sonores, nombreux sont ceux qui n’hésitent plus à
porter plainte. D’autant que ces nuisances se répercutent insidieusement sur la santé : troubles du
sommeil, augmentation du rythme cardiaque et de la tension artérielle, perte de concentration
et de mémorisation, fatigue physique et nerveuse sont autant d’effets néfastes essentiellement
attribués au bruit. L’écoute de musique amplifiée lors de concerts ou dans des discothèques n’est
pas non plus étrangère à ces effets secondaires. Or, curieusement, aucune mise en garde
n’informe les usagers des risques qu’ils courent. Les chiffres du secrétariat d’Etat à la santé parlent
pourtant d’eux-mêmes : 30 000 à 50 000 jeunes présentent déjà des altérations graves du
système auditif. « La presbyacousie, une perte de l’audition dur au vieillissement, commence
habituellement après 70 ans, mais dans les générations futures, on deviendra un « vieux
auditif » des 40 ans
», prévient un spécialiste On l’aura compris : la protection est de mise ! Les pouvoirs publics l’ont
confirmé en promulguant une loi restreignant les nuisances sonores dues à la construction et à
l’aménagement de routes et de voies ferrées nouvelles à proximité d’habitations. Mais cela ne
suffit pas et des initiatives fleurissent çà et là pour limiter les dégâts.
Question 36
A- Selon cette étude, 80% des conversations sont consacrées aux commérages.
B- Selon cette étude, 80% des salariés communiquent difficilement entre eux.
C- Selon cette étude, 80% des salariés manquent de contact avec l'administration.
D- Selon cette étude, la communication améliore la rentabilité de
l'entreprise de 80%.
Question 37
A- Mais un tiers porte sur les problèmes d'argent et de santé.
B- Mais un tiers touche les problèmes familiaux et les enfants.
C- Mais un tiers de ces conversations concernent le travail.
D- Mais un tiers des cas recensés ont un rapport à la politique.
Question 38
A- Certains agissent par peur de l'administration.
B- Certains cherchent à acquérir du pouvoir.
C- Certains essayent de soutenir leurs collègues.
D- Certains le font sans aucun objectif particulier.
Question 39
A- Les employeurs voient donc les colporteurs de rumeurs d'un très mauvais œil
B- Aussi les patrons examinent-ils chaque information avec beaucoup de réserve
C- De ce fait, l'administration favorise la circulation des potins par tous les moyens.
D- Les employeurs se montrent donc assez condescendants envers ce genre de potins.
Question 40
A- De surcroit, l'information officieuse induit régulièrement l'administration en erreur.
B- Par ailleurs, par le biais des commérages, l'employeur fait passer les mesures
impopulaires.
C- Cependant, cette forme d'échanges représente l'unique moyen de pression sur
l'employeur.
D- Pourtant, les canaux d'information informels sont parfois le seul moyen de repérer les
problèmes.
Texte 20 : Les Koguis, gardiens de notre planète 4/4
À la fin du XVIIe siècle, après soixante-quinze années d’affrontements avec les
conquistadores espagnols, les Koguis ont décidé de se retirer du monde “civilisé.”
Aujourd’hui, ils n’ont plus rien à craindre des Espagnols, mais leur vie n’est guère plus facile et leur
civilisation semble être condamnée à s’éteindre. Menacés par différents groupes de guérilleros qui
sévissent en Colombie, les narcotrafiquants, les pilleurs de tombes et même les paysans sans
terre qui s’installent sur leur territoire, ils n’ont cessé de fuir toujours plus haut, dans les vallées
de Sierra Nevada ou leur survie devient de plus en plus difficile.
Au XVIIe siècle, il y avait environ 500 000 Koguis. Aujourd’hui, on n’en dénombre pas plus de 25
000. Pour eux, la Sierra Nevada représente le centre du monde. C’est la Terre mère qui leur a
transmis le code moral et spirituel qui régit leur vie sur la Terre. Peuple de sages, les Koguis
pratiquent une vie spirituelle intense. Leurs enfants sont initiés très tôt aux mystères de leur
religion, en pratiquant des rites qui leur apprennent qu’ils ne sont qu’un élément parmi d’autres
dans la nature.
Les Koguis considèrent que les hommes ne sont pas propriétaires de la Terre, mais que c’est la Terre
qui les possède et qui prend soin d’eux. Au centre de cet univers spirituel se trouvent les
Mamus, prêtres et philosophes, qui veillent à l’ordre spirituel de la communauté. A l’écoute des
phénomènes naturels, ce sont eux qui président les cérémonies et les rites de leur village, destinés à
évoquer les ancêtres ou à remercier le dieu du Bien.
Si les Koguis verraient à disparaître, nous perdrions avec eux un exemple de sagesse
particulièrement précieux pour notre époque. Après toutes les erreurs commises à l’encontre
des éléments, nous nous voyons en effet contraints, à l’aube de ce nouveau siècle de reconsidérer le
rapport entre l'économie et la sauvegarde de la nature
Question 19 : La vision du monde des Koguis est basée sur la croyance selon
laquelle
A- les humains ont la Terre en leur complète et définitive possession.
B- les lois gouvernant les rapports entre les humains sont dictées par la Terre.
C- les enfants, plus proches de la nature, en comprennent mieux les mystères.
D- la nature attribués aux humains une place privilégiée et unique dans l’univers.
Question 35 : l’auteur
A) se félicite de l’impact d’Internet sur notre comportement.
B) déplore la véhémence des jugements négatifs à l’égard de la Toile.
C) met en garde contre l’utilisation abusive des nouvelles technologies.
D) admet d’éventuelles conséquences positives des nouvelles technologies.
Texte 24: Agriculture et consommation Bio 3/4
Si l’on entend par « bio » principalement l’agriculture biologique, sans engrais ni pesticides, il s’agit
également d’un projet de société nouvelle, plus égalitaire, écologique et soucieuse de fournir à
chacun une alimentation saine et suffisante. « Le » bio se soucie essentiellement du commerce
de denrées biologiques, tandis que « la » bio prend également en considération les conditions
de leur production.
On critique aujourd'hui l’agriculture conventionnelle ou intensive et ses conséquences
environnementales ainsi que les inégalités alimentaires qu’engendre le libre-échange agricole.
Face à la demande croissante, la production s’avère non seulement éclatée, mais extrêmement
sensible aux aléas climatiques : sécheresse, grands incendies, inondations, etc.
Au contraire, l’agro écologie envisage toute production agricole dans son contexte
écologique et politique. Ses tenants affirment que c’est une pratique où la science et les savoirs
ancestraux paysans se répondent, invitant à réorienter la recherche agronomique.
Mais les évolutions possibles doivent tenir compte de la situation réelle. Dans les années 60-
70, l’agriculture intensive a permis à de nombreux paysans de gagner moins péniblement
leur vie, et l’arrivée des produits chimiques a été vécue comme celle de l’électricité. Cela explique
que le rejet de l’agriculture conventionnelle soit parfois mal compris.
D'après Le Monde diplomatique
Question 20 : Cet article
A. expose les problématiques liées à l’agriculture bio.
B. analyse les atouts et faiblesses de l’agriculture bio.
C. explique l’engouement actuel pour les produits bio.
D. compare les produits issus du bio et du conventionnel.
Phrase 1 :
A) l’âge des employées n’est pas une garantie de qualité.
B) en employant ces cadres, l’usine a dopé l’emploi dans la région.
C) le savoir-faire des ainées est plébiscité et les commandes se multiplient.
D) la dernière collection propose des tenues adaptées aux goûts des séniors.
Phrase 2 :
A) Elle imagine alors les mamies tricoteuses de matières naturelles.
B) Afin de réduire les coûts, la production est délocalisée à l’étranger.
C) Cette créatrice a ainsi permis à ces chômeuses de reprendre une activité.
D) Pour garantir plus de souplesse, les stylistes sont extérieurs à l’entreprise.
Phrase 3 :
A) Le bilan carbone de l’opération est ainsi positif.
B) Le cycle de fabrication est ainsi largement réduit.
C) Ce choix permet de faire des économies substantielles.
D) Cette gestion locale est la marque d’un commerce engagé.
Phrase 4 :
A) Pour autant, pas question de mettre pression aux mamies.
B) Ce système est néanmoins incompatible avec des délais serrés.
C) Un bonus est accordé aux mamies qui tricotent plus que demandé.
D) La demande est si forte que des grands-mères croulent sous la charge.
Phrase 5 :
A) Le concept fait des émules et le bouche à oreille fonctionne à merveille.
B) Galvanisés avec ce succès, les mamies revendiquent une revalorisation.
C) D’anciennes coutrières limogées ont désormais une perspective d’avenir.
D) Les débuts restent modestes mais devraient bientôt toucher le grand public.
Texte 26 : Panthéon baroque à Haïti 3/4
Le regard tombe sur un rat crevé et séché, peint de bleu métallisé, cloué dans un cadre rococo.
Autour du tableau naturalisé, une foule de mômes, le nez crotté, piaillent en sirotant leur
bouillie. Ils courent entre les têtes de mort carbonisées, les icônes en tôles, les ferrailleurs qui
soudent. Ils ne s'arrêtent plus depuis longtemps devant des sculptures colossales, émaillées de
bois vermoulu, de laine, de verre et de clous rouillés.
Nous sommes à Port-au-Prince. Dans des allées borgnes et des ruelles terreuses situées en bas
de la ville, une poignée de sculpteurs s'agitent. Ils dessinent et créent avec ce qu'ils peuvent :
des matériaux huileux, en général de troisième main. En voulant travailler avec ce qui les
entoure, ils fouinent dans les décharges, ramassent tout ce dont les cantonniers haïtiens, qui ne
sont pourtant pas chiches, ne font pas usage. Jusqu'aux animaux morts. C'est ainsi que chacun
a constitué son attirail.
Ces artistes ont 40 ans à peine. Ils ont loué ensemble de minuscules chambres, situées à
quelques mètres de distance. Pour s'avoir à l'oeil, mutuellement, dans ce Bateau-Lavoir haïtien
où l'eau ne court plus. Ces sculpteurs de pénurie ont tous commencé par fournir en icônes les
autels de province ou en jouets à roulettes les enfants sans Pokémon. Ils faisaient du réalisme,
du classique. Et puis, leur travail s'est radicalisé. Il a pris les teintes du désastre, la forme
ouvragée du chaos. Et il a viré au vaudou qui est omniprésent. Ils ont puisé leur inspiration
dans les figures d'effroi que la religion animiste produit pour sublimer l'angoisse de la mort.
Ils sont une poignée de sculpteurs sans acheteur. Il y aurait de quoi s'interroger sur le créateur
caribéen, alchimiste par nécessité, qui transforme ses montagnes de gravats en or pour les
yeux.
Question 28 : L'œuvre des sculpteurs évoqués dans ce texte est fortement inspirée
A) du folklore et des croyances locales.
B) des formes abstraites les plus pures.
C) du panthéon de la religion catholique.
D) de la tradition académique occidentale.
Question 31 : Les travaux des sculpteurs de Port-au-Prince témoignent d'une esthétique qui
A) exalte le sentiment de désarroi.
B) rejette toute inspiration du vaudou.
C) reste ancrée dans la tradition classique.
D) évolue inéluctablement vers le réalisme
Texte 27 : Douze ans de marche pour la paix 3/3
Trente-six mille kilomètres, vingt-neuf paires de chaussures, deux chariots…
La distance parcourue à pieds la plus longue, à ce jour, sans rentrer chez soi Le Belge Jean-
Droissard a tout du recordman du monde. Si ce n’est que son voyage - qui a démarré le jour de
ses 45 ans, le 18 aout 2003 - a un but très particulier : promouvoir la paix et la non- violence
au profit des enfants du monde. « Au départ, je ne voyais que le défi sportif. Et puis ma
femme m’a dit que je pourrais marcher pour la paix. » Par ailleurs, son départ correspondait
au lancement par l’Unesco de la Décennie internationale de la promotion d’une culture de la
non-violence et de la paix au profit des enfants du monde.
Selon ses estimations, le Belge ne sera de retour chez lui qu’en 2015. Plus de 1100 familles à travers
le monde l’ont déjà logé. D’aucuns lui donnent de l’argent, d’autres lui offrent un bout de son
voyage.
D’après le Parisien
Question 25 : Avant Le XIV e siècle (ou 14 e siècle), quand un Anglais parlais français,
cela signifiait qu’il
A) était étranger.
B) était royaliste.
C) avait du pouvoir.
D) venait d’un milieu populaire.
Phrase 36
A- c'est pourquoi les écologistes.
B- grâce aux combats des écologistes qui
C- puisque les destructions des OMG par des écologistes
D- même si les destructions des OMG par des écologistes
Phase 37
A- grâce a une éventuelle toxicité des OMG la consommation alimentaire.
B- comme une éventuelle toxicité des OMG dans la consommation alimentaire
C- quant à une éventuelle toxicité des OMG dans la consommation alimentaire
D- c'est-à-dire une éventuelle toxicité des OMG dans la consommation alimentaire.
Phrase 38
A- notamment avec la "liste noire" des écologistes de Greenpeace,
B- mais la publication de la "liste noire" des écologistes de Greenpeace,
C- malgré la publication de la "liste noire" des écologistes de Greenpeace,
D- à cause de la publication de la "liste noire" des écologistes de Greenpeace,
Phrase 39
A- alors que leur présence est supérieure à 1% dans un produit.
B- sans que leur présence soit supérieure à 1% dans un produit.
C- encore que leur présence soit supérieure à 1% dans un produit.
D- dès lors que leur présence est supérieure à 1% dans un produit
Phrase 40
A- l'absence d'OMG ne plaît pas aux consommateurs.
B- l'absence d'OMG peut provoquer la baisse de vente.
C- l'absence d'OMG n'influence pas les autant de vente.
D- l'absence d'OMG devient même un argument de vente.
Texte 34 : La ville est elle l’avenir de l’homme (texte à trous) 3/5
Avec une population mondiale déjà à 50% urbaine et prévue à 70% en 2050, le
développement durable est un enjeu fondamental de l'évolution des villes. ... (36) ... Son
empreinte écologique doit être la plus réduite possible pour atténuer le réchauffement
climatique. Il faut contrôler le degré de pollution, le recyclage des déchets, adopter des
modes de consommation et de production responsables. ... (37)... Et même après. D'où
l'intérêt de construire avec des matériaux recyclables. Les bâtiments à haute qualité
environnementale ont aussi l'intérêt d'améliorer le bien-être de ceux qui les habitent.
... (38) ... : faire en sorte que les habitants s'épanouissent dans leur ville. ...(39) ... La
réflexion sur les transports est donc un des axes majeurs d'une politique de développement
durable.
Entre le bruit, la pollution, les risques d'accident et la consommation énergétique, ...(40) ...
Mais doit-on pour autant la rejeter complètement ?
Question 36
A. Quels sont les critères d'une cité durable ?
B. Le rôle des politiciens est au cœur de cette question.
C. Pourquoi est-il si peu considéré dans les métropoles ?
D. Un contrôle démographique s'impose dans les grandes villes.
Question 37
A. Le recyclage quotidien est en train de devenir une habitude.
B. Il y a toujours eu et il y aura toujours différentes formes de pollution.
C. Une construction a un impact sur l'environnement durant toute sa vie.
D. Avant de commencer à construire, il faut lister les matériaux nécessaires.
Question 38
A. Et c'est bien là le dilemme de toutes les grandes métropoles
B. Le confort des habitants, dont la meilleure recette est la suivante
C. C'est même une composante essentielle du développement durable
D. Et même les bâtiments ne respectant pas les normes doivent garantir ceci
Question 39
A. Un sentiment qui passe par une reconquête de la citoyenneté.
B. Cela implique une solidarité à toute épreuve.
C. Un épanouissement que l'essor des loisirs favorise largement.
D. Cela passe en général par une réappropriation des rues.
Question 40
A. La ville est devenue le théâtre de la démesure.
B. La voiture ne peut plus être le nerf de la ville.
C. La mobilité écologique peine à se faire une place.
D. La mobilisation pour une ville verte semble vouée à l'échec.
Texte 35 : La dépression par la pression 4/4
En quatre ans, le café psycho, dernière version du café à thème - tarots, philo, géo, socio... - a
essaimé à Paris, puis dans toute la France, où l'on en compte plusieurs dizaines. Mais à la
différence de son prestigieux aîné - le café philo -, il délaisse complètement l'appareil
théorique. On ne vient pas y discuter de Freud et de Lacan, mais de soi. Les questions, les
peurs et les histoires personnelles s'enchaînent. Les participants sont d'âges et de milieux
sociaux très divers, mais en écrasante majorité des femmes. La souffrance est leur seul lien.
Le café, lieu neutre, permettrait de dédramatiser. Ainsi, certains patients, en analyse depuis
plusieurs années, viennent au café pour poser les questions qu'ils s'interdisent sur le divan.
D'autres tentent de court-circuiter leur thérapeute. Ils veulent des recettes, des réponses
faciles, n'importe quoi qui leur donne l'impression d'avancer un peu. Souvent, le café psycho
jouerait un rôle d'étape vers une thérapie traditionnelle. C'est d'ailleurs la seule fonction
positive que lui reconnaissent les analystes. Le problème est que l'on trouve de tout dans les
cafés psycho, dernier avatar des thérapies de groupe: astropsychologues, psychoénergéticiens
et autres adeptes du dogme du « développement personnel » venu tout droit de Californie. Le
risque de tomber entre les mains d'un gourou est certain, les gens qui souffrent étant les plus
malléables. Le marché de l'intimité est en pleine expansion. Il faut rester vigilant et ne pas se
laisser séduire par les marchands de bonheur.
Considérée il y trois peu comme un problème personnel. ... (36) ... l'obésité est liée à un très
grand nombre de problèmes de santé. Résultat : ... (37) ... Le mal au dos, par exemple,
explique Amanda Wynne, porte-parole de l'Association britannique des diététiciens, est la
première cause d'absentéisme.
Or, l'obésité est l'une des principales causes de ce type de douleur. En Outre. ... (38) ... Et ça,
aucun employeur n'en veut Car l'obésité à un coût.
Pour Amanda Wynne. ... (39) ... le rapport sur les moyens d'encourager l'activité physique
que vient de publier le gouvernement britannique consacre tout un chapitre à « Choisir une
activité sur son lieu de travail ». Une entreprise spécialisée a déjà mis au point un programme
santé personnalisé qui propose des conseils et des informations sur les régimes, l'activité
physique, le sommeil et le stress ... (40) ...
Standard Life Healthcare et Unilever ont ainsi constate en un an une nette amélioration de
l'alimentation de leurs salaries.
Question 36 :
A. l’obésité est assimilée aujourd’hui à une faute professionnelle.
B. l’obésité est en passe de devenir une préoccupation des entreprises.
C. l’obésité est délaissée aujourd’hui au profit d’autres préoccupations.
D. l’obésité se transforme en une préoccupation personnelle de chaque salarié.
Question 37 :
A. les employés les plus obeses sont les plus résistants aux maladies.
B. plus les employés sont obèses, plus ils prennent de congés maladies.
C. les employés les plus obèses sont les moins absents au lieu de travail.
D. plus les employés sont obèses, mieux ils supportent la fatigue et le stress.
Question 38 :
A. les salariés qui présentent un excès d’embonpoint ont tendance à être plus efficaces.
B. les salaries qui sont enclins à l’excès de poids sont particulièrement assidus au travail.
C. les salariés qui souffrent vraiment de surpoids ont des risques d’être moins productifs.
D. les salariés qui ont vraiment beaucoup de kilos en trop font preuve d’une grande concentration.
Question 39 :
A. la solution du problème d’obésité appartient entièrement aux intéressés.
B. les employeurs doivent faire des efforts pour l’insertion des obèses dans l’activité professionnelle.
C. les employeurs doivent se préoccuper de l’activité physique et de l’alimentation de leur personnel.
D. le problème d’obésité étant un fléau national, le gouvernement doit prendre en charge ses soins et sa
prévention.
Question 40 :
A. les entreprises qui utilisent ce genre de service obtiennent très vite des bons résultats.
B. les salariés des entreprises qui utilisent ce genre de service souffrent de malnutrition.
C. Mais ce genre de service ne peut pas changer radicalement les habitudes alimentaires.
D. l’outrant les chefs d’entreprises hésitent beaucoup à mettre ce genre de service en œuvre.
Texte 42 : Le réchauffement climatique de la planète
Le réchauffement de la planète ne constitue pas seulement un danger pour l'environnement, il
met aussi en péril la sécurité internationale. Tel est le leitmotiv d’un document établi
conjointement par les services du haut représentant de l’Union européenne et de la Commission, qui
sera présenté prochainement aux chefs d'État, au cours de la réunion du Conseil européen.
Selon ce rapport, les changements climatiques représentent un « multiplicateur de menaces
» qui exacerbe les tendances, les tensions et l’instabilité existantes. Aussi l’Union doit - elle se
donner les moyens de répondre à ces risques en renforçant ses capacités de recherche,
d’analyse, de suivi et d’alerte rapide et en améliorant ses outils de protection civile et de gestion de
crises face aux catastrophes à venir. Le texte distingue plusieurs formes de menaces liées
aux changements climatiques. Certains ont pour cause la recrudescence
prévisible des conflits sur l’accès aux ressources. « La pénurie d'eau en particulier, est susceptible
de provoquer des troubles civils et des pertes économiques substantielles, même dans les
économies solides », écrivent les auteurs, qui mentionnent aussi « les tensions liées à
l'approvisionnement énergétique », dont la multiplication accroîtra l’instabilité. Les conflits
pourraient également s’intensifier autour des ressources situées dans les régions polaires, rendues
exploitables par le réchauffement. Les régions côtières, où vit près d’un cinquième de la
population mondiale, sont particulièrement menacées pour les pertes de territoires. « Les
mégalopoles, et leurs infrastructures de soutien, telles que les installations portuaires et les
raffineries de pétrole, sont souvent implantées en bord de mer ou dans les deltas des rivières
», note le rapport, qui s'inquiète des conséquences de l'élévation du niveau de la mer. De plus,
le recul des côtes et la submersion de vastes zones pourraient entraîner des pertes de
territoires, et même la disparition de pays entiers. Autre conséquence possible,
l'accroissement des migrations risque de créer des situations difficiles.
Selon les Nations Unies, on dénombrera d’ici à 2020 des millions de migrants environnementaux.
Les relations entre la société actuelle et les sciences et techniques évoluent. Des minorités
constituées autour d’un rejet de celle-ci tentent d’imposer leur loi et d’interdire
progressivement tout débat public sérieux. Des scientifiques ne partageant pas leur opinion.
Ces derniers sont de plus en plus interpelés s’ils abordent publiquement et de façon non
idéologique des questions relatives aux ondes électromagnétiques, aux nanotechnologies, au
nucléaire, au gaz de schiste. Il devient difficile de recruter dans les disciplines concernées.
Les organismes de recherche on été conduits à donner une forte priorité aux études portant
sur les risques, même ténus, de ces techniques, réduisant ainsi leur potentiel de
compréhension et d’innovation. Or c’est la science et la technologie qui, par l’élaboration de
nouveaux procédés et dispositifs, améliorent les conditions de vie des hommes, et protègent
l’environnement.
Notre modèle est en difficulté suite à sa perte de compétitivité. Comment imaginer remonter la
pente sans innover ? Comment innover si la liberté de créer est systématiquement contestée
et si la méfiance envers les chercheurs est généralisée ? Les scientifiques doivent pouvoir
s’exprimer dans leurs domaines d’expertise car la démocratie même est menacée si elle est incapable
d’entendre des expertises, mêmes contraires à la pensée dominante.
D’après Libération
Question 20 : Selon l’article les débats sur la science sont
A- Pollués par les dérives du politiquement correct
B- Freinés par des considérations d’ordre économique
C- Limités à des problèmes de rivalité interdisciplinaires
D- Orientés abusivement vers les applications techniques
Question 32 : Le titre « Écran de fumée pour paquet de cigarettes » signifie ici que
A- les discours politiques cherchent à amplifier les conséquences du tabagisme.
B- le sort des paquets de cigarettes en France est entouré d'un nuage de doute
C- l'Union européenne va faire partir en fumée cette nouvelle mode des étuis
D- D- les fumeurs cherchent à camoufler les messages de prévention sanitaire
Question 33 : selon l'article, les Crazypack sont en vente en France
A- depuis plus d'un an.
B- depuis le 5 juin 2007.
C- depuis février dernier.
D- depuis plusieurs années.
Question 34 : En lançant ces nouveaux produits, les créateurs cherchent à
A- réagir à des mesures politiques qu'ils jugent inefficaces.
B- soutenir les revendications des fumeurs européens.
C- réconcilier les fumeurs avec l'Union européenne.
D- contourner avec ironie les mesures sanitaires.
Question 35 : Cette nouvelle mode suscite aujourd'hui
A- la méfiance des buralistes qui considèrent ces produits comme de simples gadgets.
B- l'intérêt des buralistes qui vont pouvoir exploiter cette invention à des fins
publicitaires.
C- l'indignation de l'Union européenne qui voit d'un mauvais œil toute incitation à fumer.
D- un sentiment de soulagement chez les buralistes car ils vont enfin augmenter leurs ventes.
Texte 50 : La télévision sous contrôle médical
Ils se trouvent trop gras, veulent perdre du poids, et ont décidé de le faire savoir à tout le
monde. Six candidats à l’amaigrissement n’ont pas hésité à se montrer en caleçon dans une émission
télévisée pour convaincre le public de la justesse de leur combat. Grâce à la mobilisation de
six équipes de journalistes pendant quatre mois, les curieux pourront observer l’évolution de
leurs formes et de leurs courbes de poids. Un nouvel avatar de ces programmes de télé réalité qui
envahissent nos écrans ? « Absolument pas », assurent en choeur les dirigeants de la chaine de
télévision qui préfèrent parler de « feuilleton documentaire » ou de « docu-vérité », Et
d’avancer un argument…. de poids : il s’agit de « faire une oeuvre utile» en sensibilisant le
téléspectateur à un problème de santé publique, dans un pays qui compte 15 % d’adultes obèses.
Pas question ici de titiller les penchants voyeuristes du public. La preuve ? Six médecins ont
acceptés de prêter leurs concours à l’entreprise, en prenant en charge chacun un patient qui
testera sa méthode, sous le regard de caméra. Dès le lendemain de sa mise à l’antenne, l’émission a
soulevé un tollé chez les médecins, certains jugeant « cynique ou inconsciente » la démarche de
leurs confrères. Une quarantaine de médecins, universitaires et chercheurs ont fait part de leur
désaccord dans une lettre publiée dans un quotidien national. Ils se désolidarisent de ces
médecins qui apportent leur caution médicale à des messages aberrants et ils mettent en garde,
en particulier les jeunes, contre les risques d’une quête effrénée de minceur. Les médecins qui
participent à l’émission refusent ces leçons de morale. Les gens attendent de nous des solutions
à leurs problèmes de poids. Ils sont assez malins pour faire le tri entre ce qui relève de
l’information et du divertissement ». La polémique a le mérite de mettre le doigt sur une
composante essentielle, mais jusqu’alors peu évoquée, de téléréalité : le médecin-alibi. Plus la
téléréalité progresse, plus elle fait prendre des risques physiques ou psychiques aux candidats
et plus les médecins sont mis en avant. Producteurs et diffuseurs se donnent ainsi bonne
conscience et les éventuels annonceurs, soucieux de ne pas associer leur marque à un
programme avilissant, sont rassurés.
Question 35 : selon l’auteur, le recours des émissions de téléréalité à une caution médicale
A- oblige les participants à dévoiler devant les spectateurs les aspects intimes de leur vie.
B- B- sert de couverture morale aux pratiques de plus en plus dangereuses de ces
émissions.
C- permet aux médecins participant à l’émission de tester des méthodes illicites et farfelues
D- . D- fait croire aux téléspectateurs que des solutions miracles aux problèmes d’obésité existent.
Texte 51 : les troubles du sommeil 3/3
Le somnambulisme est un trouble très fréquent chez les enfants. Il se représente comme un
passage difficile du sommeil profond à l’éveil. C’est pourquoi, le matin, le somnambule a tout
oubli. Si on le réveille, il ne risque pas sa vie mais sera très mal à l’aise et désorienté.
Il faut donc éviter de le réveiller, mais plutôt l’accompagner doucement jusqu'à son lit pour qu’il
finisse sa nuit. Si ce trouble est sans danger, il faut cependant faire en sorte de protéger de tout risque
de chute ou de choque la personne, qui souffre de ce dysfonctionnement.
La somniloquie est un autre trouble du sommeil. On parle parfois au moment de s’endormir,
dans un demi-sommeil et il arrive même qu’on réponde à des questions simples. Parfois aussi, on
marmonne lorsque l’on rêve mais à ce stade, ce que l’on raconte est bien souvent incompréhensible.
Enfin, de nombreux enfants ronflent la nuit : leurs sommeil est agité, ils transpirent à grosses
gouttes et se réveillent fréquemment, ce qui a pour conséquence une fatigue anormale durant
la journée. La responsabilité en revient le plus souvent à des obstacles qui gênent la
circulation de l’air, par exemple les amygdales qu’on peut alors faire enlever.
D’après Genius
Question 16
A- Le principe sera mis en place d’ici la fin de l’année.
B- Le recyclage ne rapporte pas d’argent pour le moment.
C- Ainsi, elle ne finit pas dans une poubelle ou dans une déchèterie.
D- L’opération est financée par une taxe incluse dans le prix d’achat.
Question 17
A- Les tissus et les éclairages ne sont pas encore recyclés.
B- Tous les objets sans exception sont collectés à domicile.
C- Les appareils sont repris lors de la livraison d’un appareil neuf.
D- Les consommateurs peuvent déposer leurs appareils usés chez le vendeur.
Question 18
A- Aussi, les gestes les plus vertueux consistent à ne pas en produire.
B- Seules des décisions prises en haut lieu pourraient inverser la tendance.
C- En cause, les habitudes néfastes de consommation des pays industrialisés.
D- Et malheureusement aucun indicateur ne donne l’espoir d’un changement.
Texte 53 : Grande enquête de consommation 4/4
Savez-vous que plus de 7 nouveaux produits sur 10 disparaissent dans l'année suivant leur
commercialisation car ils ne correspondent pas aux besoins des consommateurs ? Nous avons
décidé d'effectuer un grand sondage afin de déterminer les raisons pour lesquelles des milliers
de nouveaux produits meurent chaque année. En remplissant le questionnaire ci-joint, vous
pourrez aider les entreprises à mieux cibler les besoins et les attentes des consommateurs à
l'égard de nombreux produits. Pour notre étude, il est impératif que vous remplissiez la case «
fiche signalétique > en mentionnant votre identité et votre domiciliation. Ce sondage ne vous
prendra que quelques minutes et si vous nous le renvoyez dans les délais indiqués vous
pourrez bénéficier d’offres spéciales et de bons de réduction sur les nouveaux produits préférés
des ménages. Vous serez de même inscrit(e) sur une liste de consommateurs de marque. Tous
les nouveaux produits sur le marché des cosmétiques vous seront automatiquement offerts.
Vous n'êtes pas obligé(e) de répondre à toutes les questions. Si vous n'avez pas d'avis
particulier sur telle ou telle question, passez à la suivante. Vos réponses sont confidentielles et
personnelles et ne pourront en aucun cas être utilisées ou divulguées à de tierces personnes à
des fins publicitaires. Nous vous remercions par avance pour votre participation à cette
enquête.
Question 2: Que pense la société Findus à propos de l'attitude des français face aux enquêtes ?
A- Ils y répondent rarement
B- Ils s'autocensurent souvent
C- lis décrivent leur vie réelle
D- ils répondent souvent négativement
Economiquement la Bulgarie est, avec l'Albanie, l'un des pays les plus pauvres de l'Europe de
l'Est. Si l'actuel gouvernement peut se vanter d'avoir réussi à maitriser une inflation plus que
galopante, sa gestion des finances s'est révélée catastrophique, 50 % de la population vit avec
moins de 60 dollars par mois et les retraités, la partie sacrifiée de la population, ont juste assez
d'argent pour payer leur ration de pain et de yaourt journalière. La plupart regrettent la période
communiste où, même s'ils n'étaient pas riches, ils pouvaient au moins vivre décemment. Le
ministre de l'Économie, qui avait pour espoir d'attirer les investisseurs étrangers sur le sol
bulgare et pour ambition de faire rentrer le pays dans la communauté européenne, ne sait plus
quoi annoncer à une population qui ne croit plus à ses discours.
Rares sont en effet les entreprises étrangères qui ont osé tenter l'aventure dans un pays où la
corruption est quasiment institutionnalisée. Quant aux jeunes, bientôt en minorité vue la
croissance démographique, ils s'acharnent à apprendre les langues étrangères et participent
chaque année à la loterie organisée par les États-Unis pour pouvoir obtenir un visa
d'immigration. La presse est plus que timide et les journalistes n'osent plus critiquer
ouvertement la politique du gouvernement; le ton des articles les plus subversifs se situe entre
un cynisme féroce et un humour des plus noirs.
Question 25 : l’expérience
A- a été critiquée par les marques de prestige.
B- a remporté un faible succès auprès des clients.
C- s’est étendue aux produits de première nécessité.
D- s’est soldé par un échec complet pour les commerçants.
Deux adolescents et un vieux technicien se retrouvent dans un cinéma abandonné. Là, leur
imagination alliée à un peu de technique leur fait créer des histoires dont ils sont les héros. Et
comme dans tout conte qui se respecte, il est question de princes ou de garçons valeureux, de
princesses prisonnières, de sorcières, de félons... La balade nous mène en Egypte où un jeune
paysan pauvre séduit la reine par sa générosité, au Japon où une vieille dame déjoue les plans
d'un méchant voleur au cours d'une très poétique nuit; nous nous trouvons au Moyen Age
dans le merveilleux château d'une sorcière pas comme les autres, dans le futur aussi avec une
reine égoïste... Une paire de ciseaux, du papier à dessin noir, de l'ombre et de la lumière :
voilà, techniquement, ce qu'il a fallu pour fabriquer les six petits bijoux qui composent ce
film d'animation. Plus un talent fou pour nous faire <« voir » des visages qui restent dans le
noir, dans l'utilisation de couleurs, dans le détail suggérant tout un univers, un décor, un pays.
Un grand merci au réalisateur (comment le cinéma a-t-il pu se passer de lui ?) : ces films, réalisés
avant notre Kirikou chéri, ont de la grâce, de I ‘humour et de sacrés effets spéciaux. Quand
l'artisanat devient de l'art...
Question 36
A. Il est le seul garçon, après trois filles.
B. Sa mère, fragile, meurt à sa naissance.
C. Dans la famille, sa naissance est très attendue
D. A sa naissance, sa mère a 28 ans.
Question 37
A. Ce père meurt en 1827.
B. La peinture ne l'intéresse donc pas autant que la poésie.
C. Le fils découvre ainsi la peinture en 1827.
D. Père et fils se souviennent de la révolution.
Question 38
A. Baudelaire assiste au décès de son père.
B. La même année, Baudelaire a reçu à son baccalauréat.
C. Alors, Baudelaire s'engage dans l'armée.
D. Plus tard, Baudelaire s'enfuit est abandonne les études.
Question 39
A. On ne s'oppose pas à cette idée.
B. Il renonce donc un moment à l'écriture.
C. Sa vie est alors bien réglée.
D. On ne fête pas ses 25 ans.
Question 40
A. Il découvre alors la vie en Inde.
B. Il écrit donc ses plus beaux poèmes.
C. Et là, il prend le premier bateau qui revient en France.
D. Là, il retrouve enfin son père.
Texte 67 : Apprendre la solitude pour ne pas la craindre 3/3
Le sentiment de solitude peut être lié à une situation objective mais c'est aussi une notion
hautement subjective. Il n’y aurait pas de différence significative entre les adultes affirmant se sentir
seuls et ceux qui au contraire estiment avoir un nombre d'amis conséquent.
Autrefois limité aux adultes et adolescents, le sentiment de solitude sera de plus en plus
fréquent chez plus les jeunes, comme un fil rouge de la pathologie.
L'affaiblissement des institutions, la montée de la notion de liberté individuelle, l'absence de
consensus éducatif renvoient l'individu à lui-même et le fragilisent. Plus on aurait bénéficié
étant petit d’un environnement rassurant mieux on composerait avec la solitude.
L'intolérance à la solitude s’expliquerait par l'incapacité à invoquer un objet rassurant : la mère, le
père ou tout autre objet d'attachement. Dépendance aux drogues, à l’alcool, au sexe, ou plus souvent
à son conjoint, l’individu se trouve dans le besoin constant de la présence de l'autre. Et pourtant.
La solitude permet de faire émerger ses envies, ses
aspirations, favorise la création artistique ou tout simplement permet de se ressourcer et de se
détendre. Les moments de solitude devraient être des moments où l'on se retrouve en bonne
compagnie » avec soi-même.
Question 28 : Ce texte
A- présente un documentaire télévisé.
B- décrit un phénomène naturel.
C- est un manifeste pour sauver les baleines.
D- parle du scénario d'un dessin animé.
Question 4: Pour les distributeurs, le succès inattendu de ce film s'explique surtout par
A- une bouche à oreille réussi
B- Une bonne campagne publicitaire
C- Un contexte politico-économique tendu.
D- Une prise de conscience du quotidien des Européens.
Texte 71 : Le sport a-t- il un sexe ? 4/4
Face aux prouesses du coureur jamaïcain Usain Bolt, les médias et les athlètes se félicitent
d’avoir pu assister à l’envol d’un pareil phénomène qui a marqué à jamais l’athlétisme. Toute autre est
la tonalité des réactions face aux exploits d’une athlète kenyane. Les commentaires passent très
vite de l’admiration - elle a «assommé la concurrence» - à la suspicion du fait de son physique
androgyne. A l’exception notable de la médaille de bronze Britannique, les autres participantes
n’hésitent pas à alimenter les rumeurs et s’emporte avec virulence jugeant que ce type de
personnes ne devrait pas pouvoir courir à leurs côtés. Bref, l’invraisemblable gamine de 18 ans a
plané sur la piste bleue sera donc soumise à des tests de féminité. Mais que peuvent-ils signifier
puis qu’ils résultent d’un processus complexe mélangeant biologie, génétique, mais aussi
psychologie et endocrinologie ? Quel est le bon équilibre qui définit immanquablement
l’appartenance à genre défini ? Avec cette affaire douloureuse, nous voilà revenus aux temps que
l’on croyait oubliés où le sport faisait peur car il risquait de masculiniser le sexe faible. Pour
séduire les foules et les sponsors, le sport doit il accuser les stéréotypes ou les dépasser ? Le sport
n’est- il pas devenu une machine à produire de la ségrégation ? Il est de notre devoir de
protéger les droits de tous, et de veiller à l’éthique du sport.
Rappelons également que la pratique intensive du sport peut provoquer des modifications
hormonales importantes. Le problème est complexe, même les scientifiques se contredisent.
La jeune femme ne correspond pas aux canons habituels de l’athlétisme et ses performances sont
impressionnantes. Mais celles d’Usain Bolt ne le sont-elles pas ?
Remettrait-on en cause les performances d’un sauteur dont la légèreté et la grâce lui
permettraient de repousser les limites ? Le soumettrait-on lui aussi à de tels tests ? Ces
derniers n’ont pas fait leurs preuves dans la détection de fraudeurs, à la différence des tests
antidopage ! Elle a même été stoppée lors de la conférence mondiale du CIO sur les femmes
et ont fini par être stoppés en 1996, alors ne faisons pas marche arrière. Soumettons l’athlète
Kenyane à des analyses et des contrôles médicaux renforcés liés à la prise de produits dopants.
Comme tous les autres athlètes.
Question 17 : L'intermodalité.
A- est un succès à Montpellier et Orléans.
B- se développera à Strasbourg et Nantes.
C- est une réussite à Strasbourg et Nantes.
D- a commencé à Montpellier et Nantes.
Texte 73 : Dans la chaleur du mélodrame 4/4
Dublin 1967-Agnès Browne qui vend des fruits sur le marché, veuve depuis peu, se retrouve
seule à faire vivre ses sept enfants. Pour assurer des obsèques décentes à son mari, elle a
emprunté de l'argent à un crapuleux usurier qui va lui mener la vie dure. Heureusement,
Agnès s'en sortira grâce à l'apparition du chanteur vedette Tom Jones! C'est vous prédire un
film qui ne s'embarrasse pas de finesses socio- psychologiques. Et pourtant, ça marche; en
tout cas, moi, j'ai aimé ce film sans complexes jamais vulgaire, rythmé comme une ballade
irlandaise. Au départ, un roman très populaire puis une série télévisée ont fait d'Agnès
Browne une héroïne familière aux Irlandais. Sans espérer le chef-d’œuvre de la décennie, ne
laissons pas passer le plaisir simple d'un divertissement chaleureux ; ce qui fut autrefois la
spécialité des cinémas italiens et français... il y a longtemps !
Une sérieuse plainte a été déposée vendredi par la direction du musée parisien du Quai-
Branly. Elle concerne trois bijoux africains, estimés à 600 000 euros, et représentant des
petits visages en or. Ils resteraient introuvables dans les réserves du sous-sol, et pourtant,
aucune effraction n'a été constatée. Les bijoux étaient gardés dans un chariot grillagé et
fermé à clé. Les réserves, fermées au public et sous la stricte surveillance d'un gardien, ne
sont accessibles que par une seule porte et au seul personnel du musée, muni d'un badge à
code magnétique. La nuit, l'ensemble du lieu est placé sous la surveillance d'un système
vidéo sophistique. Le problème auquel est confrontée la police ressemble fort au classique
mystère des lieux clos. L'enquête privilégierait non seulement la possible participation de
certains membres du personnel, mais aussi la piste d'un cambriolage pour satisfaire la
curieuse plainte bijoux soumises à la commande de collectionneurs argentés.
D'après Libération
Spécialiste de la haute couture, Olivier Lapidus martèle le même message depuis dix ans:
...(36)... Demain nos vêtements continuèrent à nous habiller, naturellement, mais ils nous
offriront bien d'autres services. Le tee-shirt sera énergisant et nous inoculera des vitamines,
l'anorak sera chauffant et disposera d'un téléphone intégré, le pull adoptera sa température au
climat extérieur, etc. ...(37)... A chacune de ses collections, Lapidus met son point d'honneur
à déposer un brevet. On lui doit déjà les vêtements à cellules solaires, les tissus à base
d'algues, la machine à coudre sans fil ni aiguille, etc.
...(38)... chacun y va son innovation pour imposer ses produits. Une attitude nouvelle, qui
s'explique largement par la concurrence forcenée des pays à main d'œuvre bon marché d'Asie
du sud, Est ou d'Afrique du Nord. Aujourd'hui, on conçoit des fibres qui ont l'aspect de la soie
et la résistance de l'acier. Demain, on ira encore plus loin ...(39)... Les chemises infroissables,
les nuisettes parfumés, les chaussures anti-odeurs, les maillots de bain bronzants, etc. ...(40)...
80% des vêtements et des tissus que nous porterons dans quelques décennies n'existeront pas.
Question 36
A- Le sur-mesure revient en force.
B- C'est la ligne du vêtement qui est importante.
C- Nous devons créer des vêtements écologiques.
D- La mode doit marier esthétique et haute technologie.
Question 37
A- tout comme autrefois
B- Tout cela, c'est bientôt
C- Rien de très nouveau, en fait.
D- Cela n'a aucune chance d'arriver.
Question 38
A- Le secteur a toujours privilégie la nouveauté.
B- L'industrie textile traverse une crise douloureuse.
C- La mode souffre actuellement d'une absence de créativité.
D- La mode et l'industrie textile sont réfractaires à une révolution technologique.
Cet objet n'est même plus un signe de distinction sociale. Les historiens, les sociologues et
les psychiatres s'intéressent à ce problème. ...(37)... des tendances apparaissent, qui
permettent le succès du portable.
Question 36:
A- La télévision s'est, elle, démocratisée en mois de temps.
B- Amateurs de changement, ils ont spontanément adopté le portable.
C- Aujourd'hui, quarante millions de Français possèdent un téléphone portable.
D- Cette accélération du temps est une caractéristique de la société de consommation.
Question 37:
A- Seuls les démographes ne s'y intéressent pas.
B- Celui-ci insiste sur l'aspect pratique de cet outil.
C- L'utilisation du téléphone mobile révèle, selon eux, l'accélération des changements de
la société française.
D- Ils constatent que l'utilisation des cabines téléphoniques est en baisse constante
depuis cinq ans en France
Question 38 :
A- Deuxièmement, il n’a plus besoin de chercher de cabine.
B- Pourtant, il doit respecter les horaires de ses interlocuteurs.
C- Par conséquent, il peut téléphoner de l’autobus, de sa voiture ou du supermarché.
D- Notamment parce qu’il peut gérer simultanément vie privée, vie professionnel et vie
sociale.
Question 39 (réponse)
A- On peut appeler et être joint à tout moment.
Question 40 (réponse)
B- Il permet d’être dehors tout en étant rassuré.
Texte 80 : Quand la Californie se rêve en vert (texte à trous) 5/5
Sur les derniers kilomètres de la fameuse route 66, en arrivant à Beverly Hills, une
vieille Mercedes avance lentement, et ça sent la friture derrière le vieux break. L’impression
d’étrangeté de la scène ne réside pas dans ce que l’on voit : …..(36)…. Un autocollant plaqué sur la
vitre arrière précise : « Je roule au biodiesel ». …..(37)….. Il n’y a plus qu’à remonter la filière.
…..(38)…. L’endroit fait commerce de filtres trafiqués à poser uniquement sur les voitures de la
marque allemande. ……(39)…… Il a de quoi être enchanté : il vient de revendre sa petite
entreprise à une maison plus importante. Unique activité : faire carburer les Mercedes à
l’essence végétale. « Les clients viennent d’abord parce qu’ils ne veulent plus perdre de l’argent
en achetant de l’essence trop chère », estime un employé. Le garage livre environ deux voitures
par jour et vend sur internet les kits d’installation des nouveaux filtres dans le monde entier.
…..(40)….. A Los Angeles, certains restaurants commencent d’ailleurs à donner gratuitement leurs
huiles de fritures usagées !
D’après Le Point
Question 36
A. Les gros pneus sont toutes lisses.
B. C’est plutôt l’odeur, écœurante !
C. Le véhicule fait un bruit assourdissant.
D. La voiture dégage un gros nuage de fumée.
Question 37
A. Ah….tout s’explique.
B. On a du mal à y croire.
C. Quel avenir pour le pétrole ?
D. Encore un militant pour le nucléaire !
Question 38
A. Rendez-vous est pris au Love Craft Garage.
B. On arrive ainsi devant un drôle de bar-tabac.
C. Difficile mais avec de la persévérance, on y arrive !
D. En route pour un garage réservé aux modèles asiatiques !
Question 39
A. Le propriétaire serre les poings.
B. Le propriétaire se lave les mains.
C. Le propriétaire se frotte les mains
D. Le propriétaire se ronge les ongles.
Question 40
A. Malheur à ceux qui aiment trop les frites !
B. Ça va faire le bonheur d’un tas de petits commerces.
C. Aux utilisateurs, ensuite, de se fournir en huile végétale.
D. Mais la question du prix pour les utilisateurs reste posée.
Texte 81 : Le vélo du Docteur Pineda 3/3
Ce jour-là le téléphone a sonné vers midi : une infection urinaire à 2 km de son cabinet, dans
le 5 éme arrondissement de Paris. Le temps de prendre son matériel et le docteur Roland
Pineda a sauté sur son vélo. « J’y étais en moins de dix minutes », assure-t-il : « quelle que soit
l’urgence, je pars à bicyclette ». Comme cette autre fois où trois habitants du 13 éme
arrondissement avaient été intoxiqués à l’oxyde de Carbonne. SAMU, pompiers, police et le
docteur Pineda avaient été prévenus : « je suis arrivé cinq minutes avant tout le monde ». Pour
Roland Pineda, médecin généraliste et urgentiste à l’hôpital des Gardiens de la paix, le vélo, «
c’est un choix idéologique ». Il « hait » la voiture : elle « pollue », « rend irritable », parce qu’elle
coupe le conducteur des autres usagers de la rue. Bref, « c’est tout sauf convivial et fraternel ».
À la différence du vélo, synonyme de gain de temps et de « sensation de liberté »
Question 18 : selon le texte, l’un des avantages du vélo sur la voiture est que
A- c’est plus écologique.
B- c’est plus économique.
C- c’est plus facile à garer.
D- c’est meilleur pour la forme.
Question 2: Parmi ces arguments publicitaires un seul n'est pas utilisé par les marques de
gomme, lequel ?
A- le chewing-gum permet de se détendre
B- Le chewing-gum calme les douleurs dentaires
C- le chewing-gum évite l’assoupissement
D- Le chewing-gum empêche la formation de caries
Question 3: Parmi les affirmations suivantes, une seule est fausse, laquelle
A- La qualité de l'eau inquiète tout autant les experts
B- les eaux polluées sont néfastes pour la sante
C- La mauvaise qualité de l'eau perturbe l'écosystème
D- Des barrages sont construits pour traiter les eaux usées.
Texte 89 : Deux vitrines brisées : Les auteurs interpellés 3/3
De nouvelles dégradations ont été commises, au cours de la soirée de mercredi, dans le
centre-ville de Saint-Jean. Entre 21 heures et 22 heures, un groupe de jeunes passablement
éméchés a brisé la vitrine de la Banque Royale et la porte de la pharmacie, rue de Nice.
Appelés aussitôt par des témoins, les gens-drames ont interpellé les auteurs en flagrant délit:
trois jeunes de la ville et des environs, âgés d'une vingtaine d'années. Ils ont été placés en
garde à vue à la gendarmerie, où l'enquête se poursuit, car il semble que ces nouvelles
dégradations se situent dans le prolongement des vols et dégradations effectués ces dernières
semaines.
D'après La Nouvelle République.
Question 17 : pour écarter les risques d’obésité chez les enfants, les parents doivent A-
exclure tous les aliments gras.
B- leur interdire tous les aliments sucrés.
C- privilégier des plats légers et liquides.
D- leur faire apprécier les saveurs simples.
Question 17 : ce document
A- informe des maladies de peau les plus fréquentes.
B- encourage les hommes à prendre soin de leur peau.
C- analyse le rapport entre l’âge de l’homme et sa beauté. D-
fait la promotion des produits de beauté pour hommes.
Question 1
A- Ce slogan fait sourire
Laetitia.
B- Cette devise est celle de
tous.
C- Cette proposition ne plait pas du tout.
D- C'est ce que Laetitia a accepté de faire.
Question 2
A- Car elle n'a jamais de problème de fins de mois.
B- Finalement, elle veut prendre une année sabbatique.
C- En effet, son salaire atteint tout juste 1000 euros par mois.
D- Son souhait? Travailler à temps partiel.
Question 3
A- Je suis complètement isolée.
B- La chaleur est insupportable.
C- J'ai beaucoup de libertés.
D- Il y fait très froid.
Question 4
A- Cependant, je n'ai pas beaucoup de temps à moi
B- En effet, je ne travaille pas beaucoup
C- Alors, échanger ces heures contre de l'argent
D- C'est pourquoi, vu l'insuffisance de mon salaire
Question 5
A- en effet, je ne tiendrai pas le coup
B- sinon je paierai physiquement
C- d'ailleurs, je ne suis jamais au repos
D- en fait, je ne prendrai pas mes congés
Texte 97 : Les vacances des Français (texte à trous) 5/5
Question 22
A- Parmi eux, il n y’a que de vieilles personnes.
B- Et il ne s’agit pas seulement de gens âgés.
C- Parmi eux, aucun n’est retraité.
D- Ceux qui restent sont tous très vieux.
Question 23
A- Une diminution importante des séjours touristiques.
B- Une augmentation significative des départs en vacances.
C- Une réduction des circuits organisés.
D- Un retour aux vacances sédentaires.
Question 24
A- Ils en profitent pour voyager.
B- Ils aiment aller au cinéma sans faire la queue.
C- Ils préfèrent les circuits touristiques organisés.
D- Ils craignent de s’ennuyer chez eux.
Question 25
A- C’est pourquoi ils veulent des vacances économiques.
B- Alors ils partent pour un ou deux mois.
C- Ils s’offrent ainsi au maximum vingt jours de vacances.
D- Par conséquent, ils recherchent des séjours culturels.
Texte 98 : l’incroyable défi du pianiste de jazz
Québec – À part une tendinite, rien ne pourra l’arrêter. Demain soir à 20h15, Fabrice Eulry
s’attaquera à un défi insensé : jouer du piano vingt-quatre heures non-stop. Avec pour seules
règles celle qu’il a lui-même fixées : pas de partition, interdiction de rejouer deux fois le même
morceau, pas plus de dix secondes d’arrêt entre chaque séquence et une simple pause de cinq
minutes toutes les six heures pour se nourrir.
Ce musicien énergique de 43 ans, soutenu par sa femme Isabelle, entamera son marathon par
un morceau intitulé « boogie boogie pour loonie Mac » devant une salle à moitié pleine pour
l’instant. « Je me suis sevré de piano depuis une semaine pour avoir de l’appétit car c’est la force
mentale qui va me faire tenir » indique Fabrice Eulry.
Certains spectateurs ont prévu de l'accompagner tout au long de cette performance qui devrait
constituer un nouveau record.
Texte 99 : Un patrimoine à défendre 1/1
Paillasse, fougasse, couronne lyonnaise ou bordelaise… leurs noms fleurent bon la
boulangerie d’antan. « A chaque région son pain », vantent les organisateurs de la fête du pain en
France.
Oubliées depuis l’après-guerre, ces spécialités régionales renaissent à nouveau, soutenues par
la nécessité d’enrayer la chute chronique des ventes de pain. Au début du XXe siècle, on en
mangeait jusqu’à 650 grammes par jour, soit quatre fois plus qu’aujourd’hui. Un phénomène
lié à la diversité alimentaire du monde moderne mais aussi à l’abaissement de la qualité de cet
aliment sous l’effet de sa standardisation. Le retour des formes régionales tenterait ainsi
davantage de réconcilier les Français avec leur artisan boulanger que de renouer avec une
tradition centenaire. Rétrospectivement, on tend à exagérer, idéaliser, sentimentaliser l’assise
régionale du pain, note l’historien américain Steven Kaplan, qui juge l’apparition des pains spéciaux
comme un levier marketing répondant avant tout à des paris commerciaux.
Néanmoins, l’historien poursuit sa croisade pour le bon goût. Dans le journal le Monde, il
s’est livré récemment à un vibrant plaidoyer pour la croûte française cuite à point, dont la
disparition marquerait un pas « vers l’américanisation, l’innombrable pain mou, tranché, sous
cellophane ».
D’après Direct matin
Question 18 :
Question 20 :
Texte 100 : Laver son linge sale (texte à trous) 5/5
Aujourd'hui, le lave-linge s’est installé dans toutes les familles et personne n'oserait contester
son utilité. ...(1)... Ainsi en est-il des machines à laver sèche-linge, grosses consommatrices
d'électricité et très peu performantes puisqu'il est souvent nécessaire de renouveler le cycle de
séchage. ...(2)... Les lessives modernes et les nouvelles techniques de lavage suffisent à vous
procurer un linge parfaitement propre et vous épargnerez 15% d'énergie.
...(3)... Pensez par exemple à remplir toujours complètement vos machines sinon utilisez la
touche demi-charge, ...(4)... Il existe aussi des petites balles en caoutchouc qui reproduisent
l'effet de l'ancien battoir à linge que nos grand-mères utilisaient. ...(5)..., privilégiez celles ne
contenant pas de phosphates, qui asphyxient les cours d'eau par la prolifération d'algues.
Question 1
A- Néanmoins, certains professionnels nous mettent en garde.
B- D'ailleurs les dernières innovations le prouvent.
C- Tout d'abord, aucune de nouveautés sur le marché n'est critiquée.
D- Cependant, quelques "innovations" laissent perplexe.
Question 2
A- En revanche, la fonction "prélavage" est plutôt utile.
B- C'est pourquoi la plupart des fonctions sont nécessaires.
C- De même, la fonction "prélavage" est presque toujours superflue.
D- Pourtant, cette fonction s'avère généralement économique.
Question 3
A- Pour réduire votre budget linge, faites attention à la machine que vous achetez.
B- Des petits trucs pouvant aussi réduire votre budget linge.
C- Ce qui nous montre que les solutions pour économiser.
D- Il faut savoir cependant qu'il est difficile de faire plus d'économies.
Question 4
A- vous économiserez ainsi 50% d'eau.
B- mais attendez avant de lancer la machine.
C- et vous utiliserez un peu plus d'eau.
D- afin de mieux laver le linge.
Question 5
A- Mais restez vigilants,
B- Bref pour les machines à laver,
C- En effet celles-ci sont
recyclées,
D- Quant aux lessives,
Texte 101 : Paroles de techno prophète 4/4
Considérés par certains comme un diseur de bonne aventure technologique. Ray Kurzweil est
une vedette de la prospective scientifique. Ses prédictions ont le don de diviser : cela va du
désaccord le plus véhément à une admiration éperdue frisant le culte du héros en passant par
le scepticisme le plus froid. Il imagine sans ciller un monde futur où, notamment, de
minuscules robots annuleront les effets de la pollution et où l’humanité “pourra vivre
éternellement sans vieillir”.
Selon ses estimations, nous serions capables, d’ici à la fin des années 2030, de télécharger le cerveau
humain sur un ordinateur, stockant ainsi «toute la personnalité, la mémoire, les talents et le
passé d’une personne». D’ici là, êtres humains et machines non biologiques pourraient avoir si
parfaitement fusionné que les différences entre eux seraient devenues négligeables. Dès 2045,
l’intelligence humaine, améliorée, pourrait commencer à s’étendre dans l’univers.
Si le rythme du progrès technologique continue de s’accélérer, comme le prédit Kurzweil, il est
probable que le débat sur la singularité connaîtra lui aussi une croissance exponentielle. Tant
cela fait le lien entre des thèmes extrêmement controversés (Dieu, la crise énergétique, le
génie génétique) et des concepts de science-fiction (l’intelligence artificielle, la réalité
virtuelle, l’ingénierie moléculaire).
D’après Courrier international
Un peu d’histoire !
En 1760, Horace-Bénédict de Saussure savant Genevois désireux de faire des observations
scientifiques sur la cime la plus haute des Alpes, promet une forte récompense au montagnard qui
trouvera une route praticable pour y parvenir. Sur le moment la chose parut sans doute extravagante,
car la première tentative n’eut lieu qu’au bout de 15 ans. Elle fut arrêtée, comme les suivantes, plutôt par la
longueur de la course, l’étonnement, le dépaysement des hautes neiges que par de véritables difficultés. Le
glacier des Bossons, la Mer de Glace, l’Arête du Goûter sont successivement explorés, sans succès. Il faut,
pour que le pas décisif soit franchi, l’entrée en scène de Jacques Balmat. Originaire du village des Pèlerin,
déjà père de famille, Jacques Balmat avait 24 ans en 1786. C’était un grand coureur de glaciers ; il
conduisait des voyageurs, mais n’était pas guide en titre. Le 30 Juin de cette année-là, descendant d’une
course, il rencontre un caravane qui part conquérir la récompense promise par Saussure. Il se joint à
eux, fait une tentative par l’Arête des Bosses, est abandonné par ses compagnons et redescend sur le
Grand Plateau. Il raconte ensuite avoir ensuite gravi la pente à droite des Rochers Rouges, atteint l’épaule
du Mont Blanc et vu à ses pieds le versant italien. Mais pris par le brouillard, il ne peut continuer ce soir-
là. Après un bivouac improvisé, il redescend dans la vallée, sûr d’avoir trouvé l’accès à la cime. Un mois
après, le 7 Août, Balmat repart avec Michel Gabriel Paccard. C’est le docteur de Chamonix, neveu du doyen
des guides de la vallée, homme instruit, qui a déjà fait trois tentatives au Mont Blanc. Après une nuit
passée au sommet de la montagne de la Côte, reprenant l’itinéraire des Rochers rouges, ils arrivent tous deux
au sommet à 18h30. Le Mont Blanc était vaincu, la plus grande « première » des Alpes était
accomplie. Saussure lui-même se fit conduire au Mont Blanc en 1787. Il fit un long séjour en 1788 au
col du Géant, multipliant les observations scientifiques. Si la science lui avait fait faire la conquête du
Mont Blanc, on peut dire qu’en retour les Alpes l’avaient conquis, comme beaucoup d’entre nous. C’est
seulement en 1808, qu’une servante de Chamonix, Maria Paradis, fit la première ascension féminine.
Citons aussi la tragique expédition du docteur Hamel en 1820, l’ascension de Mlle d’Angeville (1938)
qui, exténuée, disait à ses guides: «Si je meurs avant d’avoir atteint la cime, promettez-moi d’y porter
mon corps et de l’ensevelir là-haut. »Mais aucun des amateurs qui suivent les traces de Saussure, ne
laisse une trace durable dans l’histoire alpine. Ils sont venus là par curiosité, peut-être pour la gloire. La
preuve en est que malgré le nombre de ces ascensions, l’exploration du Mont Blanc n’avance pas. La
première voie, avec toutefois le détour par le mur de la Côte, est la seule connue jusqu’en 1855. Cette année-là
seulement est faite l’ascension par l’Arête du Goûter, bien que la voie ait été reconnue dès les premières
tentatives. L’Arête des Bosses ne sera vaincue qu’en1859.Quand à la connaissance du massif, il semble
qu’elle se borne à la voie du col du Géant. Dans le reste des Alpes, c’est le silence.
Arequipa, Pérou – Le week-end dernier, vingt couples péruviens ont grimpé au sommet d’un volcan de la
cordillère des Andes. Ils désiraient se marier à l’altitude record de 5825 mètres.
Le sommet n’était pas facile à atteindre. Ces couples ont dû grimper le volcan pendant cinq jours.
Personne d’entre eux n’est un alpiniste professionnel. Alors, ils ont été accompagnés par Edward et Léa,
varappeurs spécialistes, qui les ont guidés tout au long cette aventure.
Marion et Éric, un couple quinquagénaire, avait eu cette idée originale. Les deux voulaient célébrer leur
deuxième mariage d’une manière différente. Alors, ils ont créé un groupe sur Facebook pour informer
toute la communauté de leur idée et afin d’inviter tous ceux qui l’osent à se joindre à eux.
La préparation pour cet évènement n’était pas facile. Les invités se sont rendus au sommet du volcan par
hélicoptère. Même les coiffeurs et les stylistes attendaient les couples à 5825 mètres. La cérémonie s’est
déroulée à six heures, au coucher du soleil. Le spectacle était magnifique.
Ces couples ont alors pu se marier dans un endroit qui coupe le souffle et ont aussi décroché un record qui
sera assez difficile à briser.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô â
Hier, à la tombée de la nuit, un gardien de zoo a remarqué que le lion n’était plus dans sa cage. Aussitôt
après, il a entendu de grands cris.
Ce n’était pas un jour comme les autres pour ce gardien. Il faisait sa tournée habituelle dans le zoo avant la
fermeture. À sa grande surprise, le roi des animaux avait disparu. Il examina la porte de la cage. Elle ne
paraissait ni casser ni ouverte avec force. Elle était intacte. « À cet instant-là, j’ai commencé à avoir peur »
affirma-t-il, « On ne s’attendait pas à ce que le lion s’enfuie de sa cage! C’était quasiment impossible! »
s’exclama-t-il.
Les cris des visiteurs l’ont guidé à l’endroit de l’animal. Il s’était endormit devant la cage de la lionne. Ces
deux animaux ont été captivés ensemble dans la savane, mais on les avait séparés dans le zoo. Alors, le
gardien a évacué le périmètre de la cage et a appelé la sécurité du zoo. Ensemble, ils ont pu enfermer le
lion dans une cage provisoire.
Aujourd’hui, des spécialistes ont examiné la cage où se trouvait le lion. Il paraît qu’il aurait réussi à creuser
un trou à l’arrière de sa cage, ce qui lui a permis de se faufiler vers sa bien-aimée.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
En creusant dans son jardin pour planter un arbre, un habitant de Montréal a fait une très agréable
découverte.
David, 25 ans, ne s’attendait pas à trouver ce coffre enfouiller dans son jardin. Depuis sa tendre enfance,
son père lui racontait que son arrière-grand-père avait caché un énorme trésor près de leur maison, mais
personne n’était arrivé à le trouver. Toute la famille croyait que cet argent avait disparu.
« J’ai tout de suite appelé mon père! Je ne croyais pas mes yeux! On avait enfin trouvé ce fameux coffre! »
s’exclama-t-il. À l’arrivée de Mario, son père, les deux se sont mis à examiner la boîte afin de trouver un
moyen pour l’ouvrir. Elle paraissait être en un bon état. Alors, le père décida de l’ouvrir à l’aide d’un
marteau.
Mario a réussi de l’ouvrir. Toutefois, le trésor longuement attendu l’a déçu. Il s’agissait de photos de
famille ainsi que des pièces de monnaie qui ne valaient plus rien. « J’ai passé toute mon enfance à la
recherche de ce coffre. J’imaginais que j’allais trouver de l’or et de l’argent. » nous déclara le père, un peu
triste.
David de son côté était ravi. Il pense que ses photos sont aussi précieuses que de l’argent. « Je peut enfin
voir à quoi ressemble mon arrière-grand-père! Je trouve cela assez génial! » dit-il.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Une dame âgée de 80 ans a surpris deux hommes en train de voler sa voiture. Pas effrayée, elle a décidé
de leur donner une bonne leçon.
Margot Stinson habite dans un quartier calme près de Laval. Malgré son âge, elle garde toujours une
bonne forme. Elle possédait une ancienne Mustang, fabriquée en 1970 et très bien entretenue. Puisqu’elle
avait 80 ans, la société d’assurance automobile du Québec a révoquée son permis de conduire.
Mardi, le jour de l’incident, Margot était allée faire les courses dans un supermarché près de sa maison.
Puisqu’elle ne pouvait plus utiliser sa voiture, elle allait à pied. En rentrant chez elle, elle remarqua
quelque chose de bizarre dans sa Mustang. Il paraissait qu’il y avait quelqu’un à l’intérieure. Courageuse et
intrépide, elle décida d’affronter le voleur.
En s’approchant de la voiture, elle a remarqué qu’il y avait deux hommes à l’intérieur. Ces bandits étaient
en train d’essayer de trouver une façon de démarrer l’auto. Mais il y avait un détail très important qu’ils ne
connaissaient pas : Margot détenait une ceinture noire en Karaté. Quand ils se sont rendu compte de sa
présence, ils ont essayé de l’attaquer afin de se débarrasser d’elle. À leur grande surprise, la vieille dame a
pu les abattre. Ces deux voyous ne s’attendaient pas à cette fin misérable.
Les deux hommes ont alors essayé de s’enfouir, mais les voisins de Margot avait déjà appelé la police.
Alors, au lieu d’avoir volé une voiture qui valait une fortune, ces voleurs vont devoir passer un certain
temps dans une prison. Quant à Margot, elle a été félicitée par la police pour sa prouesse et bravoure.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
À l’attention de la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal soulignant l’urgence d’arrêter la diffusion de publicités
à la télévision, ce qui ne me paraît pas logique. Je pense que ces annonces sont assez importantes.
Premièrement, les publicités sont une source de revenu pour les stations de télévision. Sans cet argent, les
stations auront du mal à payer le salaire de tous leurs employés. En effet, pas toutes les publicités ont le
même coût. Par exemple, lorsqu’une agence de commercialisation veut que son message soit diffusé lors
de l’heure de prime ou durant le journal du soir, elle aura à payer beaucoup plus qu’une autre qui le
diffuse très tôt le matin ou tard le soir. Donc, cet argent aidera l’entreprise à payer se qu’elle doit à ses
employés.
Deuxièmement, beaucoup d’annonces sont, réellement, des campagnes de sensibilisation. De nos jours,
on constate que les publicités visent à nous fournir des informations concernant la Covid-19. La majorité
de ces messages ont pour but d’inciter les gens à porter leur couvre-visage afin d’éviter une nouvelle
vague de propagation et d’autres éclosions. Ainsi, les gens qui regardent la télévision souvent, et qui ne
sont pas assez actifs sur les réseaux sociaux, peuvent être conscients des dangers qui les entourent.
Troisièmement, les publicités sont souvent informatives. Elles annoncent des messages du gouvernement
et parfois nous introduisent des produits qui pourraient nous faciliter la vie. En d’autres termes, elles
peuvent fréquemment nous transmettre un message qui sera utile pour notre quotidien.
Voilà pourquoi je crois que votre affirmation concernant ce sujet n’est pas valable.
Enfin, j’aimerais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et me donner la chance de
m’exprimer autour de ce sujet.
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice ardente.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
À l’attention de la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal indiquant que l’accès aux activités culturelles devrait
être sans aucun frais, ce qui ne me paraît pas tout à fait faisable. Je pense que les établissements culturels
devront toujours imposer des frais d’admission à leurs visiteurs.
D’abord, ces établissements ont besoin de beaucoup d’entretien. Les expositions doivent prendre soin des
sculptures et peintures, les cinémas doivent maintenir les fauteuils et les projecteurs, et les théâtres
doivent garder le décor et les costumes en un bon étant. Ces milieux sont de moins en moins populaires,
surtout parmi les jeunes. Alors, si on les déprivent du revenu que leur apportent leurs quelques visiteurs,
ils auront du mal à préserver leurs établissements dans un état accueillant.
Ensuite, la plupart des artistes et acteurs comptent sur les frais d’admission à leur exposition ou pièce de
théâtre pour gagner de l’argent et subvenir à leurs besoins. Ils traitent leur passion comme un métier et
aspirent à devenir connus par leur art. Ne pas les payer pour ce qu’ils nous offrent pourrait causer des
problèmes au niveau de leur vie professionnelle et privée. Cela pourrait donc les obliger à laisser tomber
leur rêve.
De plus, il est évident que la plupart des gouvernements ne donnent pas beaucoup d’importance pour le
secteur culturel et artistique. De ce fait, les subventions dédiées à ce secteur sont minimes. Ceci nuit au
pouvoir des établissements culturels de payer leurs employés et même assurer la continuité de cet
endroit. Ces milieux apportent beaucoup de richesse et de beauté à notre société, alors on risque de les
perdre si on les rend tous gratuit.
À mon avis, il faut trouver une autre façon d’inciter la population à s’engager plus dans la culture.
Supprimer les frais d’admission plaira aux gens pour une courte durée mais nuira aux cinémas, théâtres et
exposition pour beaucoup plus longtemps.
Enfin, j’aimerais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et me donner la chance de
m’exprimer autour de ce sujet,
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice ardente.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
À l’attention de la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal indiquant que « les réseaux sociaux représentent un
danger permanent pour les enfants », ce qui ne me semble pas tout à fait correcte. Je pense que c’est un
sujet assez polémique qui doit être traité d’une manière assez délicate.
Premièrement, je crois que les réseaux sociaux peuvent aider les enfants à s’épanouir et acquérir de
nouvelles connaissances. Par exemple, sur YouTube les enfants peuvent regarder plusieurs vidéos qui ont
un but éducatif. On trouve beaucoup de chaînes sur cette plateforme qui visent à enseigner les enfants les
mathématiques d’une façon amusante, alors ils seront capables de compter, faire des additions simples,
etc., dès un jeune âge.
Deuxièmement, les réseaux sociaux peuvent aider à créer un lien entre l’enfant et son pays d’origine. En
effet, au Canada, par exemple, beaucoup de familles sont immigrantes. Donc, les petits enfants sont
presque détachés de leurs racines. De ce fait, leurs parents essayent de leur apprendre leur langue
maternelle à travers des vidéos postés sur Internet et notamment sur des sites comme Facebook ou
YouTube. Ceci leur permettra de devenir plus familier avec leur origine.
Toutefois, les réseaux sociaux ne sont pas sans péril. Beaucoup de parents ne surveillent pas leurs enfants
lorsqu’ils sont en train de surfer l’Internet. Ils n’imposent même pas la surveillance et contrôle parental
qu’offrent quelques sites. De ce fait, les petits seront exposés à des contenus qui ne sont pas adaptés à
leur âge, ou même tombent dans le piège d’un arnaquant. Dans ce cas, un grand danger leur fait face.
Ainsi, il ne faut jamais négliger nos petits lorsqu’ils utilisent les réseaux sociaux. Il faut toujours leur
imposer des règles d’usage et les surveiller de près. De la sorte, ils auront la chance de profiter de toute
l’éducation qu’offre les sites divers.
Enfin, j’aimerais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et de m’exprimer autour de ce sujet.
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice ardente.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Attention à la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal indiquant que « les voyages organisés sont
incompatibles avec la découverte réelle d’un pays », ce qui me paraît tout à fait juste. Je pense que les
tours touristiques guidés ne donnent pas la chance aux touristes d’embarquer dans des aventures
inoubliables.
Premièrement, les publicités que les agences de voyages font sont la plupart du temps trompeuses. Elles
nous font croire qu’on a la chance de réserver dans des hôtels luxueux et d’essayer de nouvelles cuisines
dans des restaurants très connus. Toutefois, ce n’est pas vraiment le cas. Par exemple, lors d’une visite
guidée à Québec que j’avais faite l’année passée, l’agence nous a obligé à prendre notre déjeuner dans un
restaurant qui était assez loin de la ville et qui n’était même pas québécois. Alors, on s’est rendu compte
que l’agence obtenait une commission à chaque fois qu’un groupe dine chez cet établissement.
Deuxièmement, je trouve que la durée consacrée à un voyage organisé est assez serrée. La majorité du
temps est passé en route, se déplaçant d’un endroit à l’autre. De plus, pas beaucoup de temps est passé
dans chaque lieu visité. On doit toujours respecter un certain programme afin de visiter le plus d’endroits
possible. En effet, durant la même visite de Québec, on avait seulement trente minutes pour visiter
l’observatoire de la capitale, ce qui était un peu décevant. C’était un monument très intéressant à
découvrir, mais le temps qu’on avait ne nous le permettait pas.
Troisièmement, il est évident que les guides prennent les visiteurs dans les endroits les plus connus et
fameux. Ces lieux sont plus chers que la plupart du pays car ils sont toujours abondés par des touristes.
Cependant, ces monuments et établissements ne représentent pas toujours la véritable image du pays
visité. Ainsi, lorsqu’on visite une ville comme Paris, les guides nous montrent toujours la tour Effel et les
Champs Élysée mais ne nous prennent jamais dans les marchés publics où on peut vraiment faire la
connaissance des français et de leur mode de vie.
En d’autres termes, je pense qu’avec la globalisation et l’Internet il est maintenant possible de faire une
petite recherche sur la ville ou pays étranger qu’on veut visiter. Cela nous permettra de créer un itinéraire
flexible et adapté à ce qu’on désire réellement voir durant notre aventure.
Enfin, je voudrais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et me donner la chance de
m’exprimer autour de ce sujet.
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice fidèle,
Léa
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
À l’attention de la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal indiquant que la lecture des journaux est beaucoup
plus importante que celle des romans, ce qui ne me parait pas tout à fait juste. Je pense que lire des livres
est un loisir très important dans notre vie.
Premièrement, la lecture des romans permet d’enrichir notre vocabulaire. En effet, étant francophone, je
cherche toujours à apprendre de nouveaux mots et de nouvelles expressions pour que j’arrive à maîtriser
la langue. Les romanciers utilisent la plupart du temps des mots plutôt difficiles, qu’on n’entend pas dans
la vie courante. En apprenant ces termes, on pourrait élargir notre répertoire de mots. Par exemple,
durant ma préparation pour le Test d’Évaluation de Français, je lisais chaque jour un chapitre d’un roman
rédiger par Jules Vernes. Ceci m’a beaucoup aidé à rafraîchir mon lexique.
Deuxièmement, les articles des journaux ne sont pas adaptés à tous les âges et niveaux d’éducation. Ainsi,
les enfants ne peuvent pas lire le journal quotidien avant d’aller dormir; son contenu ne les intéresse pas.
De plus, la majorité des journalistes utilisent un lexique et des mots techniques appartenant au sujet qu’ils
discutent. Donc, une personne qui n’est pas assez éduquée ne pourrait pas comprendre le but de l’article.
Mais, grâce à la diversité des livres et romans, chaque personne aurait la chance de choisir ce qu’elle croit
être convenable pour elle. Ainsi, dans une librairie on trouve des livres et histoires pour les petits, des
romans policiers pour les amoureux d’action et des livres scientifiques pour les amateurs de sciences et de
découvertes.
Cependant, l’importance de la lecture des livres et romans ne nie pas celle des journaux. Les articles de
presse nous fournissent de nouvelles connaissances et nous laissent toujours au courant de ce qui se passe
autour de nous. Alors, les journaux contribuent aussi à notre enrichissement et culture. Effectivement, la
plupart des gens commence leur journée par la lecture du journal quotidien. Je constate ceci chaque jour
en prenant le métro pour aller au travail.
Enfin, j’aimerais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et de me donner la chance de
m’exprimer sur ce sujet.
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice ardente,
Léa
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Un fourgon blindé banalisé de transport de fonds a fait un accident et des sacs d’argent se retrouvent
partout sur la route.
Ce n’était pas une journée comme les autres pour Fred, chauffeur d’un fourgon pour l’agence GardArgent.
Mardi, il prenait la route habituelle vers la banque centrale. Tout paraissait normale. Soudain, il aperçut
des hommes vêtus tout en noir. C’était comme s’il l’attendait.
Alors, Fred freina brusquement. À sa grande surprise, le fourgon s’est incliné et tomba sur la route. Cet
accident a causé la porte du camion de s’ouvrir et les sacs d’argent de tomber par terre. Les hommes se
sont alors précipités vers lui. « Ils paraissaient comme des lions qui chassaient leurs proies » décrit Fred.
Son premier réflexe était de sortir du camion et de les menacer avec un pistolet qu’il gardait caché.
Heureusement pour lui, des policiers le suivaient de loin afin de s’assurer que le transport d’argent se
faisait sans problèmes. Ils sont arrivés juste à temps, empêchant les voyous de toucher à l’argent. « Je
pensais que ces hommes allaient me tuer et tout prendre. J’étais énormément soulagé quand j’ai vu la
voiture des policiers arrivée. » nous a confié le chauffeur.
La compagnie a finalement décidé d’adopter de nouveaux trajets afin d’éviter qu’un incident pareil se
répète.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Sujet A :
Le début du Mardi 22 Septembre n’était pas comme les autres pour Maria. Elle se préparait à ouvrir son
magasin comme elle en a l’habitude de faire chaque jour à dix heures. En faisant sa tournée matinale, elle
a constaté qu’il y avait un petit garçon endormit dans les bras d’une peluche géante.
« Je me suis sentit toute paralysée. Je ne savais pas quoi faire! » a-t-elle affirmée. Alors, elle s’approcha
tout doucement du gamin. Ce dernier ouvrit soudainement ses yeux. « Il a commencé à trembler; c’était
comme il avait peur de moi. » nous-a confié Maria. Donc, elle le rassura en lui disant qu’il n’avait rien à
craindre.
Maria a remarqué que le petit était sal et que ses habits étaient déchirés. Elle conclut qu’il pourrait être
sans-abri. Le petit lui raconta qu’il a perdu ses parents dans un accident l’année passée, et qu’il n’y avait
plus personne pour prendre soin de lui. « Il m’a dit qu’il se faufilait chaque jour dans un magasin pour y
passer la nuit et y trouver quelque chose à manger » nous – a raconté la gérante.
Heureusement pour ce garçon, Maria avait un esprit humanitaire. Elle a décidé de l’adopter puisqu’elle
n’était pas mariée et n’avait pas d’enfants.
Cette belle histoire nous a fait chaud au cœur. Espérons qu’il reste toujours des personnes aimables
comme cette jeune dame.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Sujet B :
Attention à la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal indiquant qu’une grande ressemblance existe
désormais entre les pays à cause du tourisme, ce qui ne me semble pas tout à fait correcte. Je pense que
chaque nation a des traits uniques qui ne peuvent pas être imités par un autre pays.
Premièrement, pas tous les pays sont visités par des touristes pour la même raison. En effet, il existe des
pays où on peut avoir des expériences culinaires fantastiques, et d’autres où on peut vivre des aventures
incomparables. Ainsi, les touristes visitent la France pour déguster des mets raffinés et se promener tout
au long des Champs Élysées, alors qu’ils voyagent en Afrique pour faire des safaris et être en contact avec
la nature et les animaux.
Deuxièmement, la langue est une caractéristique propre à chaque pays. Même si deux pays voisins parlent
la même langue, le dialecte de chaque peuple est différent. Effectivement, le français est parlé en France
et en Belgique, et beaucoup de touristes visitent les deux pays. Mais ceci ne les a pas rendus semblables.
Les français sont toujours connus par leurs pâtisseries savoureuses et les belges par leur chocolat
succulant. De plus, la langue courante n’est pas identique dans les deux pays, les habitants de la France
préservent toujours le vrai français, alors que leurs voisins le mélange avec un peu d’allemand et de
deutch.
Cependant, la globalisation a répandu la culture de chaque pays partout dans le monde. On trouve un petit
bout de chaque nation dans d’autres. Prenons Montréal comme exemple. En découvrant cette ville
magnifique, on peut constater qu’il y a des quartiers latins, portugais, arabes, etc. Alors, si un italien visite
cette ville de Québec, il pourrait facilement trouver des restaurants qui offrent une cuisine italienne
authentique.
En somme, chaque pays a sa propre culture et son identité unique. Si toutes les régions se ressemblaient,
l’industrie du tourisme parviendrait à ses fins.
Enfin, j’aimerais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et de me donner la chance de
m’exprimer autour de ce sujet.
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice ardente,
Léa
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Sujet B :
Attention à la rédaction,
Je fais suite à l’article qui a paru dans votre journal indiquant que « dans un monde moderne les magasins
ne devraient pas fermer », ce qui ne me paraît pas juste. Je ne pense pas qu’au nom de la modernisation
les employés de ces établissements doivent mettre leur santé et vie sociale en péril.
Premièrement, un monde moderne n’est pas synonyme à un monde toujours éveillé. La modernisation est
un état que les hommes ont pu atteindre grâce à leurs innovations et leur développement continu. Ceci
n’a aucun lien avec les magasins et leurs heures d’ouverture. En effet, nous allons dans ces boutiques et
commerces afin de nous procurer des produits dont on a besoin, et qui sont le plus souvent le fruit d’une
invention qui a abouti à une société moderne. Mais cela ne signifie pas que si on ferme les magasins tôt,
on perdra ce statut.
Deuxièmement, les employés des magasins ont le droit de se reposer et de vivre une vie normale. Ces
personnes consacrent de longues heures durant leurs journées pour satisfaire le besoin de leurs clients et
parvenir à leur procurer tous leurs désirs. À un moment donné durant leur quart de travail, ils n’auront
plus assez d’énergie pour continuer. En plus, si on les oblige à travailler jour et nuit on pourrait leur causer
des problèmes au niveau de leur santé. Par exemple, un employé n’ayant pas dormi assez, serait plus
incliné à faire un accident lors de conduire car son réflexe serait réduit. De même, les longues heures de
travail pourraient causer les liens familiaux à se désintégrer. Donc, il est préférable que chaque salarié ait
un horaire de travail régulier.
Troisièmement, notre avancement et notre modernisation nous ont permis d’avoir beaucoup de produits
à une portée de main. Effectivement, on peut, du confort de notre maison, nous rendre sur le site de notre
magasin préféré et commander ce dont on a besoin. Ces articles seront livrés à notre porte sans qu’on
fasse le moindre effort. Alors, on a la chance de magasiner sans qu’on oblige d’autres personnes à rester
cloués dans des boutiques pendant de longues heures.
En somme, je pense que plus on permet aux employés de se reposer et de travailler pendant des horaires
réguliers et flexibles plus on a de la chance de préserver et améliorer la société moderne dont on est fier.
Garder tous les marchés et boutiques ouverts ne servira à rien. Au contraire, ceci causera un recul énorme
et anéantira tout ce qu’on a bâti.
Enfin, je voudrais vous remercier d’avoir pris le temps de lire ma lettre et de m’exprimer autour de ce
sujet.
Mes salutations distinguées,
Votre lectrice ardente,
Léa.
È É Ê À à è é ê ë û ù ç ô âî
Sujet A :
Angie, une femme de 27 ans, avait récemment perdu son travail. Elle était si endettée qu’elle a accepté de
faire le ménage dans l’appartement d’un homme d’affaire très riche. « La position était assez payante, et
j’avais tellement besoin d’argent » nous a-t-elle confié.
François Daoust, son patron, lui a un jour demandé de nettoyer l’ascenseur qui menait à son appartement.
À sa grande surprise, la porte de l’élévateur s’est fermée derrière elle, et elle n’arrivait pas à l’ouvrir. « Je
suis claustrophobe! C’était un cauchemar! » s’exclama-t-elle. Elle a pensé que François jouait une
mauvaise blague sur elle et qu’il allait lui ouvrir la porte bientôt.
Hélas! Cela n’était pas le cas. Le jeune milliardaire avait quitté sa demeure il y avait une demi-heure pour
aller passer quelques jours dans une cabine privée près de Gatineau. La jeune femme n’avait pas son
portable, alors elle ne pouvait appeler personne.
« J’ai crié et demandé de l’aide mais personne ne m’entendait! » expliqua Angie. Elle a dû attendre jusqu’
à Lundi pour qu’elle soit libérée. Son patron était retourné de sa petite escapade. « Je l’ai trouvé assise par
terre, si pâle et si fragile. Donc, j’ai tout de suite appelé une ambulance! » décrit – il.
Heureusement pour Angie, son patron était retourné chez lui plus tôt que prévu. Sinon, elle aurait dû
rester coincée dans l’ascenseur pour encore deux jours.