Promotion : CRANE
Octobre 2006
REMERCIEMENT
MERCI !
INTRODUCTION …....................................................................................................1
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 4
I – But …………………………………………………………………………………….....34
II – Etude de la transmission de mouvement de l’axe du moteur ver l’axe de
récepteur ou axe de la machine …………………………………………….……..……..34
2 – 1 Paramètre de choix de transmission……………………………………………....34
2 – 1.1 Paramètre de la machine…………………………………………………………34
2 – 1.2 Choix de moteur…………………………………………………………..……….37
2-2 Transmission de l’arbre moteur vers l’arbre de la machine…………………….....38
2 – 2.1 Nombre de transmission………………………………………………………....38
2 – 2 Chaîne cinématique et schéma fonctionnel……………………………………....39
2 – 2.1 Chaîne cinématique…………………………………………………………….....39
2 – 2.2 Schéma fonctionnel………………………………………………………….……41
2 – 3 Etude de la réversibilité de la machine……………………………………………42
2 -3.2 Fonctionnement……………………………………………………………………..43
Chapitre 5
Chapitre 6
IV
Précaution………………………………………………………………….………………83
CONCLUSION...........................................................................................................84
Motorisation d’une cintreuse du Lycée Technique
I- INTRODUCTION :
Chapitre 1
GENERALITES SUR MISE EN FORME
a) Plasticité :
C’est la propriété qu’a un matériel à modifier sa structure sans séparer leurs grains.
Sous l’action d’un effort de traction ou compression, l’ensemble de déplacement des
cristaux qui forment les gains, permet la déformation de matériel en modifiant ces
cristaux et en leur donnant une autre orientation cela provoque une déformation
élastique.
(Fig.1)
b) Ecrouissage :
C’est la conséquence d’une déformation plastique réalisée à la température
ambiante.
(Fig.2)
(fig. 3)
II Formage des pièces
2 -1 généralité
2 – 2.1 Généralité
a) Définitions
Cintreuse une pièce en tôle c’est lui donner, partiellement ou totalement, une forme
cylindrique ou conique.
Le cintrage peut être ouverte ou formé. On dit couramment que la tôle est roulée : on
a réalisé une virole (cylindrique ou conique). Le cintrage des tôles s’obtient par un
effort de flexion provoqué, soit par pression ; à la main ou à la machine (machine à
rouler, presses). Soit par chocs (marteaux, maillets, dégorgeoirs)
(Fig.4)
b) Principe de cintrage
(fig.5)
r′ = fn + 1
- Son symétrique s’est raccourci de 1mm, nous avons : s′ = s − 1
Puis que, avant déformation, nous avons :
s −1 = f n −1
Ce que nous donnons :
s′ = f n − 1
Il en est de même pour les fibres t et u.
(fig.9)
Lors que les extrémités du cintre ne sont pas libres, la longueur nécessaire est égale
à la longueur de la fibre neutre cd ( )
cd = de = fg = ef = gh = hi = jk = kl = lm = mn = np = pq
d ′e ′ = e ′ f ′ = f ′g ′ = g ′ h ′
Et k ′l ′ = m ′ n ′ = n ′ p ′
Et enfin c ′ d ′ < d ′e ′
Et j ′ k ′ > k ′ l ′
Pour tracer une tôle devant être cintrée, calculer le développement suivant le
diamètre moyen. En conséquence, effectuer les épurés d’après le diamètre moyen.
(fig. 6)
cd = π Rf n /2
Lp = a + b + π Rf n / 2
Df n = D i + e
Df = D e − e
Lp = π ⋅ D ⋅ f n
Df n : - diamètre de fibre neutre (Dm)
Di : - diamètre
Remarque :
Les extrémités libres sollicitées en traction et en compression se déforment.
2 -2 Opération de cintrage
a) cintrage à la main
Il ne se pratique que très rarement sur des tôles minces pour exécuter des viroles
courtes et de faible diamètre.
La tôle est placée sur un mandrin rond ou une bigorne, de diamètre inférieur à celui
du cylindre à réaliser.
Le cintrage est obtenu par flexions successives de la tôle, en la déplacent
perpendiculaire aux génératrices du cylindre à réaliser et parallèlement à l’axe du
mandrin. Le manque d’élasticité du métal recuit provoque la déformation plis. On
donne de l’élasticité à la tôle en écrouissant légèrement par plusieurs cintrages
préliminaires de sens opposés, on la brise.
Les extrémités de la tôle restant droites (fig. 7), on achève le cintrage à l’aide du
maillet.
(fig.7)
Remarque :
Il est préférable d’effectuer le cintrage des extrémités avant le cintrage complet.
Cette opération s’appelle (amochage, ou criquage)
Procédé utilisé pour j et tronc de j surtout également utilisé pour l’amorçage avant
cintrage machine.
Principe :
La tôle est placée soit sur un empreint en Y ou sur un fer en U, soit entre deux rails
ou deux barres quelconques (parallèles pour les cintrages cylindrique selon
l’épaisseur de tôle, on emploie un marteau à panne en long ou un dégorgeoir de
forgeron sur lequel un aide frappe avec un marteau (fig. 8)
(Fig.8)
Les coups doivent être alignés suivant des génératrices régulièrement espacées (en
tracer quelques-unes au cordeau). Commencer par l’amochage des deux
extrémités, les mettes au gabarit, et continuer le cintrage en se dirigeant vers la
partie moyenne. Un court espace entre deux génératrices consécutives est
préférable où un grand, le cintrage est plus régulier et on évite ainsi les marques
laissées par un fort coup de matériau.
Cette machine avec son rouleau supérieur en acier et son rouleau inférieur recouvert
d’uréthane, permet le cintrage précis en une seul passe, de tous cylindres complets
ou segments, avec rapidité et économique ; cintre dans un large
Gamme de diamètre des métaux toutes nuances ; est parfaite pour les grandes
comme pour les petites série ou pour un travail expérimental ; réalisée en tôles
souples, elle est robuste et peut être utilisée avec ou sans table support.
(fig. 9)
Les deux rouleaux entraîneurs, fixe en translation, sont situés dans un même plan
horizontal. On leur imprime un mouvement de rotation dans le même sens. Le
rouleau cintreuse tourne fou dans ses coussinets, il est entraîné, en sens inverse des
précédents, que le frottement de la tôle. Il est mobile en translation verticale. (fig.10)
Les deux rouleaux entraîneurs sont toujours de même diamètre. Le rouleau cintreur
a un diamètre généralement supérieur à celui des rouleaux précédents.
(fig.10)
Très robustes, elles ne sont employées que pour le cintrage des tôles épaisses. Les
rouleaux cintreurs se déplacent dans un plan horizontal.
Fig 11
c) Avantage
-Réalisation de cylindre suivant des génératrices perpendicularités au chant
de la tôle qui repose sur le sommier horizontal de la machine. On évite ainsi
l’inconvénient du cintrage en hélice qui serait difficile à rectifier
-Suppression de l’inconvénient d’un cintrage irrégulier provoqué par le poids
de la tôle qui tend à << l’ouvrir >> pendant le cintrage su machine horizontale
(fig.12)
Remarque : Ces machines ne sont pas employées que pour le cintrage de cylindres
droits ; il faut en effet, que la base qui repose sur le sommier, soit perpendiculaire
aux génératrices.
Le (fig.12) montre que l’action du rouleau cintreur ne se fait par sentir dès l’extrémité
de la tôle, laissant ainsi subsister un plat à chaque extrémité.
Pour obtenir un cintrage total, il faut donc commencer par amorcer les extrémités.
La longueur d’amorçage, facile à déterminer avec un peu de pratique, dépend de
l’écartement des rouleaux entraîneurs.
(fig.13)
(fig.14)
Jusqu’à 5ou 6 mm d’épaisseur, l’amorçage peut s’exécuter, comme pour les tôles
minces, sur l’un des cylindres inférieur en utilisant un marteau. On amorce aussi en
frappant à l’intérieur avec la panne d’un marteau cette pratique demande de
l’habileté pour ne pas trop marquer la tôle ni frapper sur le rouleau cintreur. On
amorce également au dégorgeoir (fig.13) ou à la (fig.14)
(fig.15)
Il s’exécute à la presse, entre une matrice et une penne de rayon approprié au cintre
à obtenir (fig.23) ou entre une empreinte et une panne arrondie (fig15)
(fig.16)
Le premier outillage fournit un travail plus rapide et plus précis que le second, mais il
est plus coûteux ; il n’est donc utilisé que pour les travaux.
- Cintrage
D’une façon générale, il exécute en plusieurs passes, en serrant de plus en plus le
rouleau cintreur. Les génératrices du cylindre à réaliser doivent toujours se
Présenter parallèlement à l’axe des cylindres. Il faut donc que la tôle soit
convenablement engagée dans la machine et que les axes des rouleaux entraîneur
et du rouleau cintreur restent parallèle entre eux.
Les deux rouleaux entraîneurs sont situés dans le même plan vertical, l’axe de l’un
est fixe, l’autre mobile verticalement. Ils sont tous les deux animés d’un mouvement
de rotation en sens contraire. La pression de ces deux rouleaux sur la tôle suffit à
l’entraînement, alors que dans un machine de type pyramidal, l’action des trois
rouleaux est nécessaire (le rouleau cintreur agissant par pression sur la tôle).
Le cylindre cintreur se déplace obliquement (fig.16) il est commandé, suivant les
types, par cames (petits modèle d’établie), par vis sans fin solidaires (déplacement
se fait toujours parallèlement aux deux autres), ou par vis indépendamment ce qui
permet de donner au cylindre une position oblique et d’obtenir ainsi des corps
conique ;
(fig.17)
(fig.18)
Ces machines modernes, sont construites pour cintrage des tôles moyenne et
épaisses. Elles possèdent deux rouleaux cintreurs (fig18).
(fig.19)
Afin de dégager les viroles fermées, ces machines sont munies d’un dispositif
semblable à celui des fortes machines à trois rouleaux type pyramidal.
Les rouleaux A, fixe en translation, et B mobile en translation verticale, entraînent la
tôle Les rouleaux C1 et C2 mobiles en translation oblique de l’angle d’inclinaison
α = 600 par rapport à l’horizontal.
Elle permet d’amorcer les deux extrémités des pièces sans retour de la pièce. Ou
abaisse le rouleau C1 pour soutenir la virole, on relève le rouleau C2 au calibrage de
rayon de centrage et les deux rouleaux entraîneurs effectuent le croquage de
l’extrémité a et l’opération inverses permet de croquer l’extrémité b.
La cintreuse moderne, les trois rouleaux sont réglables, les deux rouleaux inférieurs
sont réglables suivant le plan incliné et le rouleau supérieur suivant la verticale.
Les trois rouleaux étant disposés suivant le type pyramidal. Cette machine permet de
croque une pièce (l’extrémité de la tôle) sans retour en manipulant seulement les
deux rouleaux inférieur, croquage d’une virole ouverte et croquage des extrémités
des pièces viroles formées (fig.19)
(fig.20)
(fig.21)
Les tôles épaisses peuvent se cintrer à la presse hydrique soit horizontale, soit
verticale. Elles peuvent se inter également à lauriers-tulipiers.
A l’inverse des rouleaux qui agissent par pression continue, la presse travaille par
pression successive.
On utilise, généralement, une empreint en V ou en U reposant sur le plateau de la
presse, et une panne arrondie montée sur le porte poinçon. Pour obtenir un mailler
résultat, on soude sur la panne une tôle épaisse cintrée à un rayon légèrement
inférieur de la pièce à obtenir
(fig.22)
b) Amorçage :
Pou réaliser le cintrage dès l’extrémité de la tôle, il faut, avant d’effectuer la première
pression, déplacer la matrice latéralement (fig.21) ; on remet la matrice à sa normale.
c) cintrage :
Cette machine est une amélioration de la machine à trois rouleaux type planeur ; elle
est caractérisée par la position respective de ses rouleaux croquers dont les axes ne
sont plus situés dans le même plan vertical
La tôle encastrée en les deux rouleaux A et B, est maintenue aussi énergique que
celui demandé par les types planeurs.
(fig.23)
a) Processus de cintrage :
Il est semblable à celui exécuté sur la machine type planeur à trois rouleaux
croquage dans la même condition et cintrage. On peut également procéder à un seul
croquage et aussi sortie la tôle et la présentation de la pièce sur la cote
A leur sortie de la machine, les pièces ne sont pas sur toute leur surface, cintrées
rigoureusement au rayon désiré, il faut les mettre au gabarit. Avec l’aide du gabarit
on repère les plats (parties cintrées à un rayon trop grand) et les creux (partie
cintrées à un rayon trop court). Les plats sont supprimés en frappant à faux à
l’intérieur : on ferme la pièce ; les creux en frappant à faux à l’intérieur : on ouvre la
pièce.
On préfère, surtout pour les tôles minces et moyennes que fermer, car l’extérieur est
toujours d’un accès plus facile. De plus, à l’extérieur, on frappe avec la tête du maillet
ou du marteau à l’intérieur avec d’une panne ; celle-ci peut provoquer des marques
difficiles à faire disparaître. Il y a donc intérêt à cintrer légèrement plus qu’au gabarit.
Les viroles cylindriques, jointes par soudage, ne sont mises qu’approximativement
au gabarit jusqu’à ce que les deux bords à souder soient en contacte. Elles sont
gabariées correctement après soudage car il est plus faible de faire cette opération
sur une pièce fermée que sur une pièce ouverte.
Pour que le croquis porte bien à faux, on peut utiliser pour le gabarit des tôles
minces une cornière munie d’une poignée que l’on déplace parallèlement aux
génératrices au fur et à mesure du martelage (fig.23)
(fig.24)
Chaque fois qu’il est possible, on place les pièces perpendiculairement aux
génératrices pour éviter les déformations dues à l’action de la pesanteur (fig24)
(fig.25)
Quand leur base est plane et q’il est possible de les placer sur une surface plane, on
obtient rapidement une mise approchée au gabarit en frappant extérieurement, le
long des génératrices, sur les parties qui ne portent pas (fig.25). Quand la base porte
en totalité, la pièce, sauf quelques petits irrégularités dort être au gabarit quelle que
soit la section du cône.
Les tôles épaisses sont cintrées avec beaucoup de soin pour réduire au minimum le
travail de réglage, toujours long. Le réglage est exécuté par martelage
(généralement pneumatique)
(fig.26)
La tôle ne fléchit pas sous le choc du marteau, le coup porte et allonge le métal sur
une faible épaisseur. Pour ouvrir, il faut donc marteler l’intérieur et, inversement,
marteler l’extérieur pour fermer.
(fig.27)
La technique de cintrage est à peu près le même au cintrage dus tôles mais, les
rouleaux sont remplacés par des galets. Les galets ont leur formes suivant les
types de profilés à formés.
On remarque que la fibre neutre des profilés passe par le centre de gravité de la
section du profilé.
Pour exécuter les cintrages des cornières, on utilise deux types de machine
-Machine à axes verticaux
-Machine à axes horizontaux
Les trois galets ont des axes verticaux dont deux faits latéralement et l’autre le
cintrage.
(fig.28)
• Généralité
Les cintrages peuvent s’exécuter :
-à froid, le tube est généralement vide
-à chaud ; le tube est vide pour les petits diamètres (φ max = 26.9mm ) ou pour
exécuter des courbes de grand rayon ; généralement. Il rempli d’un corps inertie ; par
plissage (fig.52)
Autre, les méthodes de cintrage proprement dites, les parties coup peuvent être
réalisées par :
-coupes d’onglet et soudage (fig.27)
-éléments couplés et soudés (fig.54)
-coud (ou courbes) à souder en acier (fig.55)
(fig.29)
Il ne s’effectue que sur les tubes de petit diamètre (φ max = 21.3mm ) et suivant de
grands rayons (r ≥ 4φ ) afin d’éviter la formation de plis et l’évaluation de la section.
Il peut s’exécuter :
-Par flexions successives entre deux branches s fixées dans un arbre à trous en
déplaçant le tube au fur à mesurer du cintrage (fg.56)
-Sur une forme, de préférence à gorge, avec un galet à gorge (fig.57)
(fig.30)
Le tube repose sur deux galets à gorge, appelés coussinets latéraux ou galets
d’appui
Une forme à gorge, appelés coussinet presseur ou sabot, exerce une précision
perpendiculairement au milieu du segment de droite que joindraient les coussinets
latéraux.
Les coussinets latéraux sont à écartement fixe pendant le cintrage, mais variable
suivant le rayon du cintre à obtenir c'est-à-dire le diamètre du tube à cintre. Pendant
le cintrage, ils pivotent, chacun autour d’un axe.
Avec les machines travaillant par poussée, le milieu de la forme doit, correspondre
avec le milieu du coude, c'est-à-dire le milieu du développement du coude avant
cintrage (fig.58). Il faut donc repère celui-ci mm (fig.59) d’où le calcul suivant pour
coudage à 900.
L p = L1 + 1,57 R + L 2
L p = C + C1 − ∆ l
Avec ∆l = ρ (t ) du diamètre au sabot
(fig.31)
Principe de fonctionnement : le tube est entraîné par une forme à gorge sur laquelle
il est bloqué par un étrier ou un étau. Pendant le cintrage, le tube est maintenant,
serré légèrement, entre la forme circulaire et une contre forme rectiligne.
Les machines fonctionnant d’après ce principe permettent l’exécution de coude de
rayon plus court que ceux obtenus sur une machine agissant par poussée certaines
d’entre elles peuvent cintrer des tubes d’un diamètre supérieur à 300 mm. Elles sont
très employées pour cintrage des tubes minces, dans ce cas il est nécessaire
d’introduire un mandrin à l’intérieur du tube.
Le mandrin est utilisé également pour le cintrage des tubes gaz ou chaudière lorsque
le rayon du corps est relativement petit. Le mandrin, monter sur une tige de longueur
supérieur à celle du tube, est un cylindre court de diamètre égale, au jeu près, au
diamètre interfère du tube.
(fig.32)
Son extrémité, généralement en forme d’ogive, peut être de formes plus ou moins
allongé ou moins onde, selon les travaux à exécuter (fig.60 et 61). Pour les rayons
très courtes (10 est même moins), on emploie un mandrin constitué d’anneaux
sphériques emboîtes les uns dans les l’autres et terminé par une sphère (fig.62)
Pour obtenir un bon cintrage avec un mandrin à ogive, il faut que le début de l’ogive
1
soit en avant du point de contact de la forme avec le tube ( l ≈ du diamètre
4
intérieur du tube).
Commande de la rotation de la forme, elle est généralement réalisée par poussée
d’un vérin hydraulique.
Remarque :
Les petites machines ( φ max du tube 35mm ; e = 1.5 mm) peuvent être
commandées par manuellement.
La forme est très solidaire du piston par l’intermédiaire d’une chape articulée en O1
(fig.63)
Le de vérin est articulée autour d’un point fixe O2 de l’attelage. Les axes O1 et O2
sont alignés sur l’axe du vérin.
Sous la pression de la poussée de la position, la forme tourne du centre O en
entraînant le tube. Le centre O2 étant fixe, le vérin tourne autour de ce centre, d’où
l’appellation de << vérin oscillant >>
(fig.33)
c) Cintrage à chaud
- Moyens de chauffage
On remplit le tube soit avec du sable maigre, soit avec du grès. Sable et grès doivent
être fins et tamisés pour limiter le vide et bien secs pour éviter que, lors du
chauffage, l’eau, en se transforment en vapeur, n’augmente la pression intérieur ;
cette pression pourrait faire éclater le tube et causer des accidents.
Le tube du remplissage est d’évier les déformations, il faut donc que le sable ou le
grès soit bien tassé. On bouche une extrémité du tube par soudage du fond ; on
remplit le tube placé verticalement et l’on tasse sa matière en frappant sur le tube
avec un marteau ou une petite machine pneumatique que se fixe et se déplace en
montant sur le tube ; on bouche l’autre extrémité avec un bouchon de bois enfoncé
fortement.
Les tubes de petit diamètre se cintrent manuellement, parfois dans l’étau (fig.65),
généralement sur le marbre.
Les tubes de grand diamètre sa cintrent en utilisant un plan dont le garant (brin libre)
s’enroule sur un cabestan fig.66.
Le chauffage, effectué sur la plaque à trous est obtenu à l’aide de brûleurs à mazout
ou à gaz. Pour concentrer la chaleur, on coiffe le tube d’un four mobile (fig.67).
Lorsqu’une position du coude est au gabarit, on la refroidit à l’eau ou l’air, pour éviter
que le cintrage ne s’accentue.
(fig.34)
C’est un cintrage à froid de tubes remplis de glace. Pour obtenir rapide ment la
congélation de l’eau remplissage de tube, place celui-ci dans un récipient alimenté
en azote liquide (température : -196 0 C) grâce au bas niveau de température obtenu,
l’inertie de la glace permet de réaliser le cintrage procédés et outillages couramment
employés. Après cintrage l’eau s’élimine facilement sans laisser aucune trace dans
le tube. Ce procédé est applicable aux tubes métalliques de toute neutre, cuivre,
laiton, aluminium et ses alliages, acier inoxydable, à condition que les basses
températures de congélation n’altèrent pas leur structure (exemple : grossissement
du grain des aciers ferritiques à haute teneur en chrome, ce qui entraîne un
accroissement considérable de la fragilité).Il est particulièrement intéressant pour le
cintrage de tube de faible épaisseur et pour obtenir des courbes de petit rayon.
Chapitre 2
CINTRAGEUSE UNIVERSELLE DU LYCEE
TECHNIQUE
I – Présentation générale de la machine
Model de rouleaux
Tableau 2
Longueur Diamètre Diamètre Epaisseur Puissance Encombrement
utile des du Maximal Nécessaire de la machine
de cylindre cylindres cylindre à rouler en [KW ]
En (mm) entraîneurs centreur (mm)
(mm) (mm)
1000 100 98 3 2 1.5 x 1 x 0.6
(fig.39)
Cette machine est constituée par des volants et une manivelle, des organes de
transmissions des rouleaux et des bâties. Les caractéristiques mécaniques de
chaque élément sont données sous forme des tableaux au dessous de leur rôle.
2-3-1 Bâtis
Les bâtis sont en fontes moulés. Ils se divisent en deux parties, l bâti à gauche et le
bâti à droite.
Ils sont même forme, même dimension, Ils sont destiner pour supporter les charges
des constituent et les matières formés ainsi que les actions du mouvement au
moment du travail. Ils maintiennent l’équilibre de tous les systèmes de la machine.
2-3 - 2 Rouleaux
Cette machine possède trois rouleaux, dont l’un est appelé rouleau cintreur et deux
rouleaux appelés rouleaux d’entraînement.
V = N1 D1 = N 2 D2
Et l’entraxe est variable suivant l’épaisseur de la tôle formée.
D1 D2
EX = + +e
2 2
Puis que D1 = D2, l’équation devient :
E X = D1 + e
Tableau 1
Nomb désignati L L1 L2 L3 L4 D d1 d2 Métier
re on (mm) (mm) (mm) (mm) (mm) (mm) (mm) (mm)
01 Rouleau 1493 105 1160 80 148 98 52 40 Acier
Supérieur
01 Rouleau 1493 105 1160 80 148 98 52 40 Acier
inférieur
Tableau 2
3- 3 Organes de transmissions
Caractéristiques mécaniques
Tableau 3
Caractéristiques mécaniques
Tableau 5
Les travaux de planissage ou lamage sont des travaux de rectification des surfaces
des tôles par pression des rouleaux entraîneurs c'est-à-dire mètre les surfaces en
même niveaux.
Chapitre 3
D’après le tableau ci-dessus, nous avons deux pièces défectueuse Le bâti droite sur
le palier du rouleau d’entraînement supérieur et une roue fixée sur une came qui
assurant le réglage du rouleau cintreur.
a)- Bâti :
D’après l’analyse que nous faisions sur place, on constate que la panne provienne
de l’imprudence de l’opérateur au moment de manipulation. Sa peut aussi arriver par
l’incompétence de l’opérateur qui conduit sur la surcharge de la machine c'est-à-dire
l’épaisseur du tôle dépasse la capacité maximale de la machine.
On remarque ci que la vis sans fin est en bon état, mais seulement la roue qu’en état
défectueux. D’après l’analyse que nous faisons ici, on constate que cette panne est
dite à la brutalité de l’opérateur. Et ait aussi par l’incompétence, car avant le
démarrage de l’opération, la machine doit être réglé mais non pas au moment de
l’opération la brutalité de l’opérateur. Le manque de connaissance sur la
manipulation. En fin la saleté de la machine par l’effet du poussier provoque un
obstacle entre les dents
Présenté par : RABENAMBININA Chan Willy
Motorisation d’une cintreuse du Lycée Technique
b)- Roue
On remarque que cette roue est monobloc avec une came. Elle est moulée et
rectifiée. Elle est aussi en fonte. Le problème de cette pièce c’est la partie supérieure
de trois dents sont cassé. La solution que nous donnée sur le tableau ci-dessus c’est
de charger la partie cassée en soudure et rectifier en fraise pour satisfaire les
niveaux des dents et leur norme.
Conclusion
D’après toutes les analyses sur toutes les pièces de la machine, nous trouvons des
pièces qui sont encore récupérable en bon état et quelques pièces en mauvais états.
On observe que les pannes sont dites par l’imprudence, l’incompétence des
opérateurs, les brutalités et le manque des connaissances des matériaux de
construction. En fin l’influence de la poussière sur la machine.
Chapitre 4
MOTORISATION D’UNE CINTREUSE
Vue le travail de cette machine, le Lycée Technique d’Antsiranana, besoin une
machine un peut moderne qui lui permet de travail sens perte des efforts physique
important sur l’entraînement pour satisfaire les opérateurs.
I – But :
a) vitesse de sortie
On vous signal que, nous n’avons pas ni tableau, ni théorème pour calculer la
vitesse de sortie de la tôle au passage dans la cintreuse. Pour estimer cette vitesse
de sortie, on a réalisé une expérience à l’étude pratique au Lycée Technique. Pour
cela, on a utilisé les matériels suivants :
-Tôle d’épaisseur 3 [mm] de largeur 1000 [mm] et de largeur 5000[mm].
-Machine cintreuse de même qualité en bon état du Lycée Technique
-Chronomètre
Procédure :
P = C ⋅ω (1-1)
P : puissance de la machine
C : couple de l’entraînement de la machine
ω : Vitesse angulaire de l’arbre
D’entraînement est formé par la force d’entraînement des l’homme multiplie par la
distance entre axe du poigné et l’axe du volant L = 355[mm] et le couple d’inertie du
volant.
d- 1) Couple fournie par la machine (Cm)
CM = M p1 gL + M p2 gL
Avec M p1 = M p2 = M p
D’où la relation devient :
CM = 2M p gL
Avec :
MP = 50 [kg]
g= 9.81 [N.kg-1]
L = 355 [mm]
D’où :
C M = 348.255[Nm]
Et C TT = F iT ⋅ R
Or pour les corps en mouvement de rotation
r
CTN = 0
r r r r
D’où TC = C TT = FiT ⋅ R
r r
F
Or ip = M a
v T (1-3)
r
aT : Accélération tangentiel
r
a = R ⋅ θ&&
T (1-4)
Avec θ&& : accélération angulaire de l’arbre et le volant
ω 2π ω 2
Avec M v 48 [kg ]
D’où F i = 20 . 45 [kgf
T
]
Alors C T = F i ⋅ R v
T
(fig.1)
Cette chaîne cinématique représente la succession de fonctionnement de cette
machine.
(fig 2)
Pour effectuer les croquages des extrémités de la tôle la machine peuvent être
change leur marche, donc cette machine doit être en deux sens de marche. Pour
éviter les problèmes d’accouplement des mécanismes de transmission, nous
pouvons effectuer ce changement par l’accouplement du moteur en commutant les
deux phases.
(fig.3)
Circuit de commande
(fig.4)
2 -3.2 Fonctionnement
On appuis sur le bouton poussoir marche S2, la bobine de contacteur KM est excité,
alors le moteur tourne et entraîne le réducteur par l’engrainement du pignon. Le
réducteur entraîne les rouleaux entraîneurs pour déplacer la tôle. En ce moment là,
la lampe de signalisation s’allume.
En cas de problème (exemple : les rouleaux entraîneurs sont bloqués) la bobine de
contacteur auxiliaire KA est excitée, alors l’alarme sonne et après quelque (temps)
seconde la contacteur KA1 s’ouvre et entraîne l’arrêt du moteur.
Pour effectuer le croquage de l’autre extrémité de la tôle on appuis sur le bouton
poussoir inverseur, le moteur effectue une rotation inverse c'est-à-dire change une
marche.
N.B :
Avant de changer la marche d’une machine, il faut passer toujours au position d’arrêt
c'est-à-dire il faut arrêter la machine avant changer la marche.
Conclusion
Chapitre 5
Tableau 1
Symboles Valeurs
Désignation
Masse volumique ρ 7,85.10-6[kg/mm2]
Module d’élasticité E 2,1.105[N/mm2]
Contrainte à la charge de rupture R 686[N/mm2]
Contrainte à la limite élastique Re 363[N/mm2]
Limite de la fatigue à la fixation σ 32,4[N/mm2]
purement alternée fa
Limite de fatigue à la torsion purement τ 196[N/mm2]
alternée fa
Seuil de la limite de fatigue en tersions τ 255[N/mm2]
purement alterné sta
Nous avons le rapport de transmission i = 18.146 d’après TCM Vial, Nous avons une
transmission à deux étages. Or i1.i2 = i pour i1 = i2, i2 i
On prend: i1 = 4.26 et i2 = 4.259
Avec :
Pc1 : Pression unitaire de HERZ
F : Force normal sur le flanc de la roue
b : Largeur de la denture b ϕ A1
ϕ : Coefficient de la largeur de dent
ϕ ∈ [0 . 12 ;0 . 6 ] , on prend ϕ = 0.25
A1 : Entraxe du premier étage
ϕ1 , ϕ2 : Rayon de la courbure de denture du pignon et de la roue
Ep,Er : module d’élasticité de la roue et du pignon
α : 20 [0] angle de la pression pour engrenage normale.
D6
ϕ1 = sin α (2-2)
2
D
ϕ 2 = 5 sin α (2-3)
2
A1
P1 = sin α (2-4)
i1 + 1
2 A1 = D 6 + D 5 (2-5)
D6 A5
i = = (2-6)
D5 N6
Avec :
D6 : Diamètre du pignon moteur
D5 : Diamètre de la roue intermédiaire
N 6 = N M : Vitesse de la rotation de l’arbre moteur
N 5 : Vitesse do rotation de l’arbre de la roue
2 A1
D6 = (2-7)
i1 + 1
2 A1 ⋅ i
D5 = (2-8)
i1 + 1
La force de pousser de la dent menant sur la dent menée.
π PM
F = = ’ (2-9)
cos α D 6 N 6 cos α
Avec
2 A1
D6 =
i1 + 1
PM = 2[kw]
PM (i1 + 1)
Alors F = ’ (2-10)
π N 6 2 A1 cos α
Alors la formule de HERZ devient :
PM (i1 + 1) E1 E 2
3
1
Pc1 = [ ] 2
’ (2-11)
2 ⋅ 0,9 .π ϕ 1 A1 N 6 A1 2 sin α (E1 + E 2 ) ⋅ i1
2 2
[ ]
1
2,1 .10 5 N / mm 2 ⋅ 2 .10 6 [Nmm / s ] 3
A1 ≥ (4 , 26 + 1) 2
2
( [
2 ⋅ 0 ,9 (3 . 14 ) 4 , 26 . 0 ,64 . 11,75 [tr / s ]. 0 , 25 . 392 N / mm
2
])
A1 ≥ 140 . 29 [mm ]
D’où on prend A 1 = 140 [mm ]
Avec :
D 5 = 231 [mm ]
m r1 = 1 , 745 [mm ]
⇒ D a5 = 234 , 5 [mm ]
b) Diamètre du pied
D f 6 = D 6 − 2 ,5 m r 1
Avec :
D 6 = 54 , 25 [mm ]
m r 1 = 1 , 745 [mm ]
⇒ D f 6 = 49 , 875 [mm ]
D f5 = D 5 − 2 ,5 m r 1
Avec :
D 5 = 231 [mm ]
m r 1 = 1 , 745 [mm ]
⇒ D f 5 = 226 , 625 [mm ]
c) saillie
S5 = S6 = mr1
Avec :
m r 1 = 1, 745 [mm ]
⇒ S 5 = 1, 745 [mm ]
⇒ S 6 = 1, 745 [mm ]
d) creux
C 5 = C 6 = 1, 25 m r 1
Avec :
m r1 = 1,745 [mm ]
⇒ C 5 = C 6 = 2 ,1875 [mm ]
e) Hauteur de dents
h5 = h6 = S5 + C5 = S6 + C6
Avec :
S5 = S6 = 1,745[mm]
C 5 = C 6 = 2 ,1875 [mm ]
h = 3,9375 [mm ]
g) Pas
P1 = π .m r 1
Avec :
m r 1 = 1, 745 [mm ]
π = 3 ,14
P1 = 5 , 495 [mm ]
h) Largeur de dent
b1 = k .m r 1
Avec : k =10
m r1 = 1,745[mm ]
b 1 = 17 , 5 [mm ]
i) allure de l’engrènement
g) Ligne de pression
T1T2 =
(D5 + D6 )sin α
’ (2-19)
2
Avec : D 5 = 231 [mm ]
D 6 = 54 , 25 [mm ]
α = 20 [0 ]
T1T 2 = 48 , 78 [mm ]
h) Pas de base
pb1 = πmr1 cos α ’ (2-20)
p b 1 = 5 ,16 [mm ]
i) Ligne de conduite
ϕ1 = 90[0 ]− α − γ 1 ’ (2-21)
ϕ 1 = 70 [0 ]− γ 1
D 5 cos α
Or sin γ 1 ’ (2-22)
D 5 + 2 m r1
D’où : γ 1 = 67 , 76 [0 ]
Alors ϕ 1 = 70 [ ]− 67 .76 [ ]
0 0
⇒ ϕ1 = 2 . 24 [ ] 0
ϕ 2 = 90 [0 ]− α − γ 2 ’ (2-23)
ϕ 2 = 70 [0 ] − γ 2
D 6 cos α
Or : sin γ 2 = ’ (2-24)
D6 + 2 m r1
⇒ γ 2 = 61,97 [] 0
D’où : ϕ2 = 8,03[0 ]
j) largeur d’approche
EI =
(D 5 + 2 m r 1 )sin ϕ 1
( []
2 sin 90 0 − α ) ’ (2-25)
⇒ EI = 4 . 876 [mm ]
IF =
(D 6 + 2 m r 1 )sin ϕ 2
( []
2 sin 90 0 − α
’
) (2-26)
⇒ IF = 4 . 292 [mm ]
D’où : EF = EI + IF ’ (2-27)
EF = 9 . 168 [mm ]
D’où Pb1 < EF < T1T2 est vérifié
5 . 16 [mm ] < 9 . 168 [mm ] < 48 . 78 [mm ]
Conclusion :
Pas d’interférence entre les dents de la roue et le pignon.
k) Rapport de conduite
Rc =
EF
⇒ Rc = 1.77 ’ (2-28)
Pb 1
η = 0.95
A2 ≥ 224 , 22 [mm ]
On prend A 2 = 224 , 3 [mm ]
1 – 2.2.1 Calcul du diamètre primitif de la roue et du pignon
1
5, 47 T2 2
mr 2 ≥
K .R p
PM η
Avec T 2 = d’où T 2 = 2571 , 85 [N ]
πD 4 N 4
⇒ m r 2 ≥ 2 , 78 [mm ]
Donc on prend m r 2 = 3 [mm ] dans les valeurs sur le tableau (47 – 13) du guide
dessinateur.
1 – 2.2.3 Calcul de nombre de dents
D4
D 4 = m r 2 .Z 4 ⇒ Z 4 =
m r2
[
Alors Z 4 = 28,4 dents on prend Z 4 ] = 29[dents]
Z 3 = Z 4 i 2 ⇒ Z 3 = 123 . 5 [dents ]
On prend Z 3 = 124 [dents ]
D 3 = m r 2 .Z 3 ⇒ D 3 = 372 [mm ]
D 4 = m r 2 . Z 4 ⇒ D 4 = 87 [mm ]
b) Diamètre de tête
e) creux
C 4 = C 3 = C = 1 . 25 m r 2 ⇒ C = 3 . 75 [mm ]
f) hauteur de dent
h4 = h3 = S 3 + C 3 = S 4 + C 4 ⇒ h = 6 . 75 [mm ]
g) Largeur de dent
b = K .mr 2 ⇒ b = 30[mm ]
T 3 T 4 = 78 . 49 [mm ]
m) Pas de base
pb2 = π m r 2 cos α
p b 2 = 8 . 85 [mm ]
n) Ligne de conduite
ϕ3 = 90 [0 ] − α − γ 3
ϕ 3 []
= 70 0 − γ 3
D 3 cos α
Or sin γ
D3 + 2mr2
3
D’où : γ 3 = 67 , 63 [0 ]
Alors ϕ 3 = 70 [0 ] − 67 . 63 []
0
⇒ ϕ 3 = 2 . 37 0 []
ϕ 4 = 90 [ ]− α
0
− γ
ϕ 4 = 70 [ ]− γ 4
4
0
D 4 cos α
Or : sin γ 4 =
D4 + 2mr2
⇒ γ = 61 , 53 []
0
[]
4
D’où : ϕ 4 = 8 , 47 0
o) largeur d’approche
EI =
(D 3 + 2 m r 2 )sin ϕ 3
2 sin 90 0 − α ( [] )
⇒ EI = 8 . 31 [mm ]
IF =
(D 4 + 2 m r 2 )sin ϕ 4
2 sin 90 0 − α ( [] )
⇒ IF = 7 . 28 [mm ]
D’où : EF = EI + IF
EF = 15 . 6 [mm ]
D’où Pb 2 < EF < T 3 T 4 est vérifié
8 . 85 [mm ]< 15 . 6 [mm ]< 78 . 49 [mm ]
Conclusion :
Pas d’interférence entre les dents de la roue et le pignon.
p) Rapport de conduite
EF
Rc = ⇒ R c = 1 . 76
Pb 2
D’où R c > 1 . 25
Alors la transmission fonctionne silencieusement
Avec :
qK : Facteur géométrique de dent
qε : Facteur de conduite
qL : Facteur de qualité
T1 : Effort tangentiel sur le pignon
b1 : Largeur de dent
mr1 : Module de 1ère étage
⇒ q K = 2.38(diag 2 − 1)
r) Facteur de qualité
b1
qL = ⇒ q L = 0 .32 < 0 .9 ’ (2-32)
D6
On prend q L = 1
s) Facteur de conduite
1
qε = ⇒ q ε = 0 . 56 ’ (2-33)
Rc
Avec :
qL = 1
b 1 = 17 . 5 [mm ]
q ε = 0 . 56
q K = 2 . 38
T 1 = 1011 . 34 [N ]
m r1 = 1 . 75 [mm ]
⇒ σ b1 [
= 44 . 014 N / mm 2
]
0 .7σ
σb = schg
’ (2-34)
υ
σ b : Contrainte admissible de flexion à la fatigue
ν : Coefficient sécurité à la rupture par fatigue
σ schg : Limite de la contrainte de flexion nominale
Avec :
σ schg [
= 200 Nmm 2
] Pour A 10
υ = 1 .5
⇒ σ b = 93.33[N / mm 2 ]
D’où σ b1 < σ b
Conclusion :
La tenue de la dent du pignon à la flexion répétitive de HERZ est admissible.
a) Fatigue du pied de la dent de la roue à la flexion répétitive de HERZ
T1 .η
σ b 2 = q K .q L .q ε . ’ (2-35)
b1 m r 1
η = 0.95
⇒ σ b2 [
= 41 . 81 N / mm 2
]
σ b2 < σ b
Conclusion
La tenue de la dent de la roue à la flexion répétitive de HERZ est admissible
T (1 + i1 )
1
2
Pc 1 = Y c .Y β .Y ε . 1 ’ (2-36)
b1 D 6 i 2
Pc1 : Pression d’écrasement de dent du pignon par unité de surface
Yc : Coefficient de facteur de laminage
Yε : Facteur de la nuance du matériau
Yβ : Facteur d’irrégularité des charges
Facteur de laminage
1
1 2
Yc = ’ (2-37)
cos α .tg α
2
⇒ Yc = 1.76
- Facteur de la nuance de la matière (Diag. 2 – 5)
Yε = 0.3TE
Avec E =775 [N/ mm2] d’après le tableau du (diag 2 – 5)
[
D’où Yε = 16.47 N / mm 2 ]
T (1 + i1 )
1
2
Pc 1 = Y c .Y β .Yε . 1 ’ (2-38)
b1 D 6 i 2
Yβ = 0.825
[
⇒ P c 1 = 27 . 42 N / mm 2
]
PD
Or Pc =
1 .5
[ ]
PD = 181.5 N / mm 2 : Résistance limite à la fatigue
⇒ Pc = 121 [N / mm 2 ]
⇒ Pc 1 < Pc
Conclusion
T η (1 + i1 )
1
2
Pc 2 = Y c .Y β .Yε . 1
b1 D 6 i1
Yβ = 0.825
[
⇒ P c 2 = 26 . 73 N / mm 2
]
η = 0.95
⇒ Pc 2 < Pc
Conclusion
de = 0 ⇒ déport
Z = Z3 + Z4 ⇒ Z f = 76 . 5
f
2
⇒ q K = 2.3(diag 2 − 1)
c) Facteur de qualité
b2
qL = ⇒ q L = 0 . 34 < 0 . 9
D4
On prend q L = 1
d) Facteur de conduite
e)
1
qε = ⇒ qε = 0.57
Rc
Rc = 1.76 : Rapport de conduit
Avec :
qL = 1
b 2 = 30 [mm ]
q ε = 0 . 57
q K = 2 .3
T 2 = 2571 . 85 [N ]
m r 2 = 3[mm ]
[
⇒ σ b 3 = 37 . 46 N / mm 2
]
σ b = 93 . 33 [N / mm ] 2
Conclusion :
Conclusion
T (1 + i1 )
1
2
Pc 3 = Y c .Y β .Y ε . 1
b 2 D 4 i2
Pc 3 : Pression d’écrasement de dent du pignon par unité de surface
Yc : Coefficient de facteur de laminage
Yε : Facteur de la nuance du matériau
Yβ : Facteur d’irrégularité des charges
Facteur de laminage
1
1 2
Yc =
cos
2
α .tg α
⇒ Y c = 1 . 76
Conclusion
T η (1 + i1 )
1
2
Pc 4 = Yc .Y β .Yε . 1 ’ (2-38)
b1 D 4 i 2
Yβ = 0.825
⇒ Pc 4 = 26 . 46 N / mm [ 2
]
η = 0.95
⇒ Pc 4 < Pc
Conclusion
L’arbre du pignon moteur et l’arbre de la roue menée terminal sont déjà connus donc
il nous reste à déterminer la dimension de l’arbre intermédiaire. A70 ne convient pas
pour le calcul, de l’arbre car on a une diamètre très grand donc, on a choisie l’acier
allié 35NCD16 de caractéristique mécanique :
⇒ T Epm = T M . f 1 . f 2 ’ (2-39)
Avec :
f1 : Coefficient d’état de surface de l’arbre avec f 1 ∈ [1 . 1 ;1 . 3 ] (T.C.M Vial), on
prend f 1 = 1.2 .
f 2 : Coefficient de service de l’engrenage f 2 = 2.3 (T.C.M Vial),
⇒ T Epm = 1558 .79[N ]
T 2 = T Epm .η
’ (2-40)
⇒ T 2 = 1480 . 85 [N ]
U 2 = T2 tg α
⇒ U 2 = 538 .98 [N ]
’ (2-42)
U 3 = T 3 tg α
⇒ U 3 = 1431 . 09 [N ]
r r r r r r
D’où F 1 = T 2 X + U 2 Y et F 2 = T 3 X + U 3 Y ’ (2-43)
a) Dans le plan YZ
Condition
r r d’équilibre
∑ Frext = 0r r r r
⇒ R DY + U 2 + U 3 + R EY = 0
’ (2-44)
R DY − U 2 + U 3 − R EY = 0
( )
r r
∑ m D Fext = 0
REY (L1 + L2 + L3 ) + U 2 L1 − U 3 (L1 + L2 ) = 0
U (L + L2 ) − U 2 L1
⇒ REY = 3 1
L1 + L2 + L3
REY = 820.37[N ]
D’où : RDY − U 2 + U 3 − REY = 0
RDY = −71.74[N ]
Efforts tranchants
TY ( Z ) = R DY µ ( z ) − U 2 µ ( z − L1 ) + U 3 µ ( z − L1 − L 2 ) − R EY µ ( z − L )
µ ( z − 200 )
0 < Z < 62 ⇒ TY (Z ) = − 71 . 74 [N ] ’ (2-45) ’
62 < Z < 138 ⇒ TY (Z ) = − 610 . 72 [N ]
138 < Z < 200 ⇒ TY (Z ) = 820 . 37 [N ]
Moment fléchissant
b) dans le plan XZ
- Condition d’équilibre
r r
∑ rext r r r r
F = 0
⇒ R DX + T2 + T3 + R EX = 0
R DX − T2 + T3 − R EX = 0 ’
( )
r r
∑ m D Fext = 0
REX (L1 + L2 + L3 ) + T2 L1 − T3 (L1 + L2 ) = 0
T 3 ( L 1 + L 2 ) − T 2 L1
⇒ R EX =
L1 + L 2 + L 3
R EX = 2253 . 95 [N ]
D’où : RDX − T2 + T3 − REX = 0
RDX = −197.11[N ]
Efforts tranchants
T X (Z ) = − R DX µ ( z ) + T2 µ ( z − L1 ) − T3 µ ( z − L1 − L 2 ) + R EX µ (z − L )
µ (z − 200 )
0 < Z < 62 ⇒ T X (Z ) = 197 .11[N ]
62 < Z < 138 ⇒ T X (Z ) = 1677 .96 [N ]
138 < Z < 200 ⇒ T X (Z ) = − 2253 .95[N ]
Moment fléchissant
Fig 4
[
M f max = M 2 X max + M 2 Y max ]
1/ 2
’ (2-46)
M X max = 119000.65[Nmm]
Avec M Y max = 31062.36[Nmm]
⇒ M f max = 123000.65[Nmm]
Mt
δ1 = (2-49)
GI P
Avec : G : Module de glissement,
I P : Moment d’inertie polaire de la section.
E
Avec ; G = (2-50)
2(1 + ν P )
E : Module d’élasticité, E = 2.1.10 5 [N / mm]
ν P : Coefficient de poisson, pour l’acier ν P =025
⇒ G = 84000[N / mm]
πd 2
IP =
32
⇒ I P = 965009.92 mm 4 [ ] (2-51)
Conclusion
EI XX ′Y ′′ = M f (Z ) (2-52)
Y′ =
1
[−RDYZµ(Z) +U2(Z −L1)µ(Z −L1) −U3(Z −L1 −L2 )µ(Z −L1 −L2 )]
EIXX′
Y′ =
1
−
Z2
µ( ) +
(Z − L1 )2 µ(Z − L ) −U (Z − L1 − L2 )2 µ(Z − L − L ) +C
DY
R Z U2 1 3 1 2 1
EIXX′ 2 2 2
Y=
1
−
Z3
µ( ) +
(Z − L1 )3 µ(Z − L ) −U (Z − L1 − L2 )3 µ(Z − L − L ) + C Z + C
DY
R Z U2 1 3 1 2 1 2
EIXX′ 6 6 6
Calcul de C1 et C 2
U2 3 U3
− 6 L1 + 6 (L1 + L2 ) + C 2 = 0
1
Pour Y = 0, Z = 0 ⇒
EI XX ′
⇒ C 2 = 0.034
Pour Y = 0, Z = L ⇒
1
−
L3
+
(L − L1 )3 − U (L − L1 − L2 )3 + C L + C = 0
DY
R U 2 3 1 2
EI XX ′ 6 6 6
⇒ C1 = 9,2.10 −5
1 Z3 (Z − L1 )
3
( Z − L1 − L2 )
3
X ′′ =
1
[− RDX Zµ(Z) + T2 (Z − L1 )µ(Z − L1 ) −T3 (Z − L1 − L2 )µ(Z − L1 − L2 )]
EIYY′
1 Z2 (Z − L1 )
2
( Z − L1 − L2 )
2
X′ = − RDX µ(Z) + T2 µ(Z − L1 ) − T3 µ(Z − L1 − L2 ) + C1
EIYY′ 2 2 2
1 Z3 ( Z − L1 )
3
( Z − L1 − L2 )
3
X= − RDX µ(Z ) + T2 µ(Z − L1 ) − T3 µ(Z − L1 − L2 ) + C1Z + C2
EIYY′ 6 6 6
Calcul de C1 et C 2
T2 3 T3 3
− 6 L1 + 6 (L1 + L2 ) + C 2 = 0
1
Pour Y = 0, Z = 0 ⇒
EI YY ′
⇒ C 2 = −95.10 −3
Pour Y = 0, Z = L ⇒
1 L3 ( L − L1 )
3
( L − L1 − L2 )
3
− RDX + T2 − T3 + C1 L + C2 = 0
EIYY ′ 6 6 6
−4
⇒ C1 = 2.61.10
Pour Y ′ = 0 ⇒
1 Z3 (Z − L1 )3 (Z − L1 − L2 )3
−
DYR + U 2 − U 3 + C1 = 0
EI XX ′
6 6 6
Nous avons une équation du second degré par rapport à Z
− 6.386.10 −8 Z 2 + 3.07.10 −5 Z − 1.7.10 −3 = 0
Z = 2.66.10 −5 [mm]
D’où les solutions 1 ⇒ Z X = Z1
Z 2 = 4,10.10 −6 [mm]
f (Z ) = [Z X + Z Y ]
1/ 2
Or (2-53)
⇒ f ( Z ) = 7,714.10 −5 [mm]
La flèche admissible du matériau est f adm = 0.46[mm]
f adm f f Z
Conclusion
La tenue de l’arbre à la rigidité à la flexion est assurée
⇒ m1 = 5.42[Kg ]
Masse du couronne de sortie du pignon en acier
π
[
m 2 = b4 ρ D4 − d 2
4
2
]
⇒ m2 = 0.82[Kg ]
Masse de l’arbre en acier
π
m3 = L.ρ .d 2 (2-55)
4
⇒ m3 = 3.865[Kg ]
mT = m1 + m 2 + m3
⇒ mT = 10.105[kg ]
Nc =
1 g 2 ⇒ N = 25.45[tr / s ] (2-57)
2π f ind
c
Conclusion
La vitesse N= 11.75 [tr/s] n’appartiens pas dans le nuage de la vitesse citrique donc
la conduction d’équilibre dynamique est vérifiée de :
c) Résistance
d) Résidité
e) Equilibre
a) Elongation angulaire
α = N 5 .L h (2-58)
N5: vitesse de rotation de l’arbre intermédiaire
Lh: durée nominale de fonctionnement.
Pour une machine qui travail 8h par jours, Lh = 104 [h] avec N5 =165.493 [tr/mn]
α = 99295800[tr / mn]
b) charge dynamique de basa
Les réactions de palier
R EY = R 2 EX + R 2 EY
R EX = 2253.95[N ]
R EY = 820.37[N ]
⇒ R E = 2398.6[N ]
R D = R 2 DX + R 2 DY
RDX = −197.11[N ]
R DY = −71.74[N ]
⇒ R D = 209.76[N ]
RDX la valeur de la charge dynamique se trouve sur la réaction la plus grande.
Pe = X 1 .Y .Fr + Y .Fa (2-59)
Dans notre cas le roulement ne soumis pas des charges axiales c’est-à-dire Fa=o
d’où Fr = RE ⇒ Fr = 2398.6[N ] : charge dynamique équivalente.
⇒ C b = 11107.268[N ]
d’où les paramètres de choix de roulement :
N = 165.493[tr / mn]
C b = 11107.268[N ]
d = 56[mm]
Alors standard
N = 9.10 3 [tr / m ]
C = 28100[N ]
d = 55[mm]
Série de dimension 10
e) Lubrification
f) Ajustage
TM .VC
D’où L ≥ (2-63)
τ adm .a
D’après le tableau (38.11) de guide de dessinateur pour d =50 [mm] alors a = 14
[mm] et b = 9 [mm]
Avec TM = 999.2234 [N]
τ adm = 160[N / mn] ⇒ L = 11.35[mm]
VC = N C = 25.45[tr / s ]
On prend L = 18 [mm]
h) Tableau recapitaliser
V r =V t =2 [m / mn] ⇒ V r = 0,033 [m / s ]
Pr
or P r =T r . V r ⇒ T r =
Vr
⇒ T r = 42834,234 [N ] d’où T R c’est l’effort utilisé pour déformer les pièces en
tôle cintrée dans cette machine.
R A = R B = R ⇒ R A = 21417,117[N ]
T
2
⇒ RB = 21417,117[N ]
D’où la force agissant sur le palier à droite est égale à R A = 21417,117[N ]
L1 = L3 = L4 = 60[mm], L2 = 42[mm]
Pour l’exécution, on
prend : J s = 4[mm], i s = 2,5[mm] et l’épaisseur de la soudure est 5 [mm]
⇒ F4 adm = 33000[N ]
D’ou Fadm = F1 adm + F2 adm + F3 adm + F4 adm
Fadm = 122100[N ]
Or la charge qui sollicite la section est :
R A = 21417,117[N ]
D’où la résistance de la soudure du bâti : Fadm ≥ R A est vérifié , donc la tenue de la
soudure est admissible .
D’où nous pouvons laisser le renforcement vu à l’écart de l’effort appliqué sur la
soudure et l’effort admissible de la soudure F adm
Chapitre 6
MANIELLE D’UTILISATION D’UNE MACHINE CINTREUSE
Pour pouvoir donner des produits meilleurs, il faut et il suffit de suivre les différentes
règles sur les méthodes de travail, faire la maintenance et entretien de la machine et
fin suivre les manuel d’utilisation ou les précautions.
Les documents utilisés sont les documents de contrats de phase ces documents
contient les différents procédés d’opération, les caractéristiques des machines à
utiliser, les définitions des pièces à fabriquer.
d) Pratique
Expérimentation: Réglage des rouleaux d’après un abaque
Sur cintreuse à profilés type pyramidale: EDNOR 32F50
CONTRAT DE PHASE
Diamètre ext. de cintrage:____________mm
Dimensions du profilé:_______________mm
Longueur du débit:__________mm
Course. (Abaque)______mm
Fig 2
Fig 3
Fig 4
Fig 5
Fig 6
a. Outillages
i)
Les Outillages utilisés sont les outils nécessaires pour l’exécution des pièces à
fabrique comme : équerre, les gabarits au x diamètres, etc…
Pour avoir une bonne poste de travail, il faut et il suffit de suivre les différents
procédés suivants :
j) Vérifier la position basse des rouleaux entraîneur inférieur et cintreur
k) Vérifier la mise en position d’une pièce entre les rouleaux entraîneur et cintreur
l) Vérifier la position de la pièce par rapport aux rouleaux
m) Vérifier le réglage de rouleau d’entraîneur
n) Vérifier le réglage de rouleau cintreur
o) Vérifier le réglage de la course du rouleau cintreur après la valeur lue sur
l’abaque de cintrage
Pour avoir une benne position de la pièce, la pièce ne doit pas glisser latéralement
vérifier le contrôle de l’équerrage et de parallélisme de la pièce et les rouleaux. En fin
la pièce doit être du côté du rouleau cintreur.
Le contrôle ne doit pas être glissé latéralement. On fait ce réglage par le volant de
réglage
Pour avoir un bon réglage, il faut que la pièce soit horizontale et la valeur de la cour
doit être bien précise.
a) Entretient
L’entretien d’une machine se fait après la fin du travail c'est-à-dire chaque jour cet
travail se comporté sur l’efface des poussières et des dépôts laisses par les pièces
sur la machine et maitre des éléments de lubrification sur les mécanismes c'est-à-
dire lubrifier les parties tournantes.
b) Maintenance
La maintenance c’est une opération de l’entretien mais plus profond et de vérification
des pannes ou petit obstacle sur la machine, c'est-à-dire révision générale de la
machine. Cette opération s’effectue par semestre ou par ans, mais il faut faire
régulièrement.
Remarque :
Les manuels d’utilisations sont des méthodes à suivre pour éviter les accidents sur la
manipulation des machines. Donc pour pouvoir travailler sans risque, il faut suivre les
règles suivantes.
1) Porter une combinaison et bien fermer avec élastique les extrémités pour
éviter le tirage du vêtement par les rouleaux
2) Eviter de discuter avec quelqu'un au moment de travail
3) Eteint la machine avant de partir
4) Ne passer pas la capacité maximale atteinte par la machine pour éviter la
détérioration de la machine et de la manipulation
5) Vérifier bien le serrage de la pièce sur les rouleaux pour éviter le
refoulement de la pièce
6) Il faut arrêter la machine avant charger leurs marche
IV Précaution
Pour éviter tel erreur, Cette qualité la machine c’est très simple et facile à
manipuler mais demande toujours de savoir et de compétence sur l’utilisation des
documents techniques, les outillages ainsi que les différents opérations sur tous les
poussières.
CONCLUSION
ANNEXE