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La résonance de Schumann et le taux vibratoire


de la terre

Sommaire 
1. La résonance de Schumann : une mesure scientifique
1.1. Qu’est-ce que la résonance de Schumann ?
1.2. Mesure de la résonance de Schumann
1.3. Découverte
2. Petit historique des recherches scientifiques liées
2.1. Résonance de Schumann et ondes cérébrales alpha
2.2. Résonance de Schumann et ADN
2.3. Emission de la résonance de Schumann à visée thérapeutique, première
expérience
Confidentialité -
Conditions
3. Applications scientifiques des mesures de la résonance Schumann
3.1. Météorologie et climatologie terrestre et spatiale
3.2. Changement climatique
4. Effets biologiques de la résonance Schumann : un outil thérapeutique
4.1. Effets biologiques
4.2. L’équilibre vibratoire
4.3. Emission de la résonance Schumann à visée thérapeutique
5. Résonances de Schumann et spiritualité
5.1. Le diapason de la terre et de la vie
5.2. Corps humain, corps de la planète, corps de conscience
5.2.1. Ascension
6. 7,83 Hz, résonance physique et mystique

La résonance de Schumann : une mesure


scientifique
Qu’est-ce que la résonance de Schumann ?
La résonance de Schumann est le nom donné à la fréquence
électromagnétique de la terre. C’est une mesure scientifique, qui s’intéresse à
la résonance telle que définie par la physique, c’est-à-dire l’augmentation de
l’amplitude d’oscillation d’un système au contact d’une de ses fréquences
propres. Dans le cas de la résonance de Schumann, les éclairs sont la
principale source de cette fréquence. L’ionosphère, qui est une couche de
l’atmosphère terrestre comprise entre environ 60 et 1000 km d’altitude, se
comporte alors comme un guide d’ondes pour les très basses fréquences
(entre 3 et 30 kHz) et les fréquences extrêmement basses (ou EBF, entre 3 et 30
Hz). On la nomme ionosphère car elle est composée de gaz ionisés. Le signal
généré par les éclairs, ou d’autres décharges électriques, y est amplifié. Selon la
Nasa, il y aurait à tout moment environ deux mille orages produisant environ
cinquante flashs de lumière par seconde. Chacune de ces décharges
électriques produisent des ondes qui se combinent et s’amplifient, donnant
naissance à la résonance de Schumann.

Les champs électromagnétiques font partie des forces fondamentales de la


nature, comme la gravitation. C’est la rencontre entre la charge électrique qui
caractérise toute vie (étant positive, négative ou neutre) et les champs
magnétiques. La résonance de Schumann est donc une mesure importante en
soi. C’est la pulsation de la planète. Mais c’est lorsqu’elle fut comparée aux
fréquences du cerveau humain que de multiples hypothèses sont nées, quant
à son rôle biologique, cognitif ou spirituel.

Mesure de la résonance de Schumann


Actuellement les résonances de Schumann sont mesurées en continu dans
différentes stations au travers du monde. On observe une variation normale de
plus ou moins 0.5 Hz non significative ainsi que des pics au courant d’une
journée. On mesure le champ magnétique horizontalement et le champ
électrique verticalement, à l’aide d’inducteurs magnétiques.
Les mesures des résonances sont disponibles en direct en ligne via plusieurs
sites internet qui les relaient. Le plus souvent on se sert du spectrogramme, qui
permet de visualiser les fréquences entre 1 et 50 Hz par bandes de couleurs.
Découverte
Prédites pour la première fois en 1952, et estimées autour de 10 Hz, les
résonances de Schumann sont mesurées pour la première fois en 1957 par
Winfried Otto Schumann, qui repère la principale onde permanente, mesurée à
7,83 Hz, lui donnant ainsi son nom. Schumann, un physicien allemand de
Tübingen fait alors équipe avec Herbert Konig. Depuis les années soixante, cette
mesure a été largement répliquée et confirmée par de nombreux scientifiques.
L’existence de la résonance de Schumann avait déjà été postulée au préalable
par différents chercheurs dont Nikola Tesla. Dans les années soixante, les
techniques d’analyse et de mesure s’affinent avec Balser et Wagner,
permettant de valider la mesure de 7,83 Hz.

Petit historique des recherches scientifiques


liées
Résonance de Schumann et ondes cérébrales alpha
A cette époque, l’inventeur de l’EEG, Hans Berger, découvre et nomme les ondes
alpha, en mesurant l’activité électrique du cerveau. Ces ondes, qui
correspondent à un état éveillé calme et détendu, se situent dans la fourchette
de fréquence de 8 à 12 Hz, en parfaite adéquation avec les mesures des
résonances de Schumann. Cette corrélation est relevée par le Dr Anker Mueller,
un collègue de Hans Berger. La découverte soulève de nombreuses questions,
car elle ne concerne pas que l’humain mais l’ensemble des mammifères.
L’hypothèse d’une fréquence caractérisant la vie et bénéfique ou essentielle à
la vie, est postulée. Selon ses défenseurs, son usage pourrait révolutionner la
médecine et la science.

Résonance de Schumann et ADN


Rares sont les scientifiques qui ont directement travaillé sur le lien entre la
résonance de Schumann et la vie. Néanmoins, un scientifique français connu et
controversé met à contribution la fameuse fréquence dans ses recherches sur
la réplication de l’ADN. Il s’agit de Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour
sa découverte du VIH, et hautement débattu pour ses travaux sur la mémoire
de l’eau, ses positions sur les vaccins, ou plus récemment ses théories sur
l’origine du coronavirus. Montagnier travaille sur les fréquences extrêmement
basses échangées entre des brins d’ADN. Il soutient qu’elles ont un rôle clef
dans la transformation et la réplication de l’ADN. Cette expérience, malgré les
questions fascinantes qu’elle soulève, n’est pas bien reçue par la communauté
scientifique, et n’a pas été répliquée.

Emission de la résonance de Schumann à visée


thérapeutique, première expérience
Ces questions donnent naissance à de nombreuses recherches scientifiques,
dont l’une des plus marquantes est certainement l’expérimentation menée par
Rütger Wever, qui s’intéressait alors aux rythmes circadiens. Il mena une
expérimentation dans un bunker, isolant les sujets de la fréquence de la terre
pendant deux semaines. Les sujets développèrent des maux de tête, et des
souffrances émotionnelles dans ces conditions d’isolement. Wever apporta un
générateur de fréquence, pour les exposer à la résonance de Schumann, ou
7,83Hz. Il rapporta de nettes améliorations répétées immédiatement suite à
cette exposition. Cette expérience ouvrit la porte à de nombreuses nouvelles
questions, bien qu’elle semble manquer de contrôles sur les tous les effets liés à
l’enfermement, au manque de lumière, etc… inhérent au protocole. Néanmoins,
c’est la première fois qu’un scientifique expose volontairement ses sujets à la
fréquence de la résonance de Schumann à des fins de recherche
thérapeutique.

Applications scientifiques des mesures de la


résonance Schumann
Il faudra attendre les années quatre-vingt dix pour que les résonances de
Schumann éveillent un intérêt scientifique majeur, alors qu’elles viennent
compléter l’arsenal de mesures permettant d’étudier le changement
climatique. Loin des bunkers et des tubes à essai, la résonance de Schumann
fait son entrée en sciences de l’environnement, et climatologie terrestre et
spatiale.

Météorologie et climatologie terrestre et spatiale


Les résonances Schumann sont utilisées pour l’analyse de l’ionosphère, en
particulier le suivi scientifique des phénomènes dans la couche D de cette
dernière (60 à 90 km). Ces mesures, aux côtés d’autres paramètres, rentrent
dans la boîte à outil de la compréhension du climat terrestre mais aussi du
climat spatial et des climats d’autres planètes. Sur terre, elles sont utiles pour
détecter à court terme les éclairs, les tempêtes, les tremblements de terre, ou
d’autres évènements climatiques majeurs.

Changement climatique
Elles nous informent aussi sur les changements de température, en faisant une
clef dans les sciences du changement climatique, aujourd’hui en plein
développement.

Effets biologiques de la résonance Schumann :


un outil thérapeutique
Effets biologiques
L’effet de la résonance de Schumann sur l’humain est un domaine d’étude au
croisement de la physique, de la médecine et la biologie. Son étude n’est pas
complète et de nombreuses pistes sont explorées et le seront dans un futur
proche.
Néanmoins, nous savons que l’ensemble des fonctions biologiques sont
affectées par les champs électromagnétiques. L’emploi des fréquences a une
influence sur l’ensemble de l’être : au niveau cellulaire et bactérien, comme au
niveau électrique, ce qui se répercute au niveau du cerveau par un
changement d’état de conscience (mesurable par l’EEG) lorsque nous nous
synchronisons sur les ondes alpha.

L’équilibre vibratoire
La santé humaine dépend de nombreux facteurs, l’un d’entre eux étant
l’environnement géophysique dans lequel évolue le sujet. Cette interrelation
fréquentielle peut affecter notre santé et notre état émotionnel, comme le
postule Hainsworth. Son idée se résume à la notion d’équilibre vibratoire.
Lorsque nous sommes exposés à certaines fréquences de façon répétée, nous
pouvons perdre cet équilibre, ce qui se manifeste par une baisse d’énergie, une
baisse du système immunitaire, et un affaiblissement général, avec des
conséquences cognitives. Au contraire lorsque le corps est accordé à la
résonance de la planète, il retrouve vitalité et équilibre.
Sachant que notre corps lui aussi émet une fréquence, l’idée que notre bonne
santé correspond à une résonance fréquentielle biologique optimale, est
derrière tous les usages de thérapies fréquentielles qui visent à stimuler, par
exposition ou impulsion, les fréquences biologiques du corps.

Emission de la résonance Schumann à visée


thérapeutique
A partir de l’expérimentation de Wever, d’autres chercheurs ont continué à
expérimenter l’émission de la fréquence de Schumann à visée thérapeutique.
Lorsque notre champ électromagnétique est perturbé (par un excès d’ondes
au bureau par exemple), le fait de se réexposer à la résonance clef du corps et
de la terre permet de promouvoir un état calme propice à l’équilibre et la
guérison.
Cette approche et cette pratique trouvent un écho particulièrement fort, au
moment où nous vivons la pollution électromagnétique la plus élevée que
l’humanité n’ait jamais connue. Pour contrebalancer l’effet des bains d’ondes
électromagnétiques qui règnent particulièrement en zone urbaine, et affectent
notre équilibre, la proposition est de s’exposer à la fréquence de la planète, ou
7,83Hz pour stimuler nos rythmes circadiens naturels. En répliquant la
résonance naturelle et en stimulant sa résonance physique grâce à des
impulsions magnétiques, on cherche à ramener à l’équilibre l’état vibratoire du
sujet.
Cette proposition repose aussi sur des hypothèses scientifiques qui postulent
un lien entre notre environnement électromagnétique et notre capacité à gérer
nos niveaux de mélatonine (hormone régulatrice du sommeil), via le rôle
notamment des cryptochromes. Ces dernières sont des protéines présentes
chez les animaux, les végétaux et chez l’humain, impliquées les rythmes
circadiens et la détection des champs magnétiques. Les cryptochromes
absorbent la lumière bleue et peuvent détecter le champ magnétique à partir
de celle-ci. Néanmoins, ce chapitre scientifique demande encore à être mis en
lumière…

Adopter une posture neutre et détachée pour penduler

Résonances de Schumann et spiritualité


Le diapason de la terre et de la vie
La résonance de Schumann est souvent décrite comme « le diapason de la
terre ». Partant de l’idée que la résonance de Schumann est un diapason du
vivant, nous y exposer nous permet de nous remettre en contact
instantanément avec ce point de repère électromagnétique et physique. Entrer
en résonance avec cette fréquence nous permet de recouvrer notre équilibre
naturel. Cet équilibre stimule la capacité du corps à se régénérer et donc à
guérir.
Ce processus d’entrée en résonance explique partiellement pourquoi nous
nous sentons aussi bien dans la nature : nous retrouvons cet état vibratoire
naturel, auquel nous souhaitons toujours revenir, car il est synonyme
d’harmonie et de détente. C’est en entrant en contact avec la fréquence qui
contient la mémoire de cette harmonie que nous trouvons le chemin vers notre
propre harmonie. C’est l’harmonie de nos rythmes et mouvements internes, en
synchronisation avec les rythmes et mouvements de l’univers. L’harmonie c’est
l’équilibre des rythmes de la vie. Notre corps fonctionne comme un instrument
de musique qu’il faut parfois réaccorder, pour pouvoir jouer sa partie dans la
grande symphonie du vivant.

Énergies du corps

Corps humain, corps de la planète, corps de


conscience
La résonance Schumann affecte la surface de la terre (l’ionosphère) qui peut
être comparée symboliquement à la peau de notre planète. Cette couche de
l’atmosphère est très proche de nous et nous affecte en tant que collectivité,
que corps.
Les êtres humains, tout comme l’ensemble du vivant sont affectés par les
modifications du champ magnétique de la terre. Mais, il ne s’agit pas là d’un
effet unilatéral : l’être humain affecte lui aussi de façon collective la fréquence
de la terre. C’est une chaîne du vivant fréquentielle : ma vibration individuelle
affecte et est affectée par la vibration collective du vivant, elle-même affectée
et affectant la vibration de la terre. Nous sommes tous à la fois émetteurs et
récepteurs. C’est l’interrelation de tous les corps conscients. Dans ce
paradigme, la terre a, elle aussi, une conscience, souvent évoquée par son nom
grec : Gaia. Il existe une corrélation entre les mouvements de l’univers, de la
planète, et du vivant, et donc une corrélation entre notre résonance individuelle
et le monde.

Ascension
Dans cette approche, les conditions vibratoires de la planète déterminent ce
qui peut ou non être manifesté. L’interrelation vibratoire des corps de
conscience permet à l’humain d’affecter volontairement la fréquence de la
terre : c’est l’idée derrière la notion d’ascension, l’augmentation collective de la
fréquence vibratoire de l’humanité, accompagnant un changement de
paradigme planétaire vibratoire et spirituel.

7,83 Hz, résonance physique et mystique


7,83Hz. De la détection des éclairs à l’ascension de la conscience collective, les
résonances de Schumann font raisonner les scientifiques et vibrer les
mystiques. Fidèle à sa sémantique, la résonance, telle que l’entend la physique,
cohabite avec la résonance dans son sens le plus large, ce qui nous fait vibrer ;
comment retentit en nous un vécu ou une sensation…

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