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PCSO

MECANIQUE III : Energétique


TD 8 : exercice 1

2020-2021
Exercice 1 : Grimpeur à la corde
1) Un grimpeur de masse m = 70 kg monte à une corde de longueur L = 5 m.
On cherche de combien a cru son énergie potentielle de pesanteur (on prend g = 10 m/s-2).
z

H
L
I
𝑊 𝑃 = 𝑚𝑔.
Ԧ 𝑂𝐻 = −𝑚𝑔 𝐿
𝑃 L/2
O

Donc la variation d’énergie potentielle dûe au travail du Poids mg (qui est une force
conservative) sur la longueur L entre les points O et H est :

Pour une force 𝐹Ԧ CONSERVATIVE, on a : ∆𝐸𝑃 = −𝑊(𝐹)


Ԧ
Exercice 1 : Grimpeur à la corde
1) Un grimpeur de masse m = 70 kg monte à une corde de longueur L = 5 m.
On cherche de combien a cru son énergie potentielle de pesanteur (on prend g = 10 m/s-2).
z

Pour une force 𝐹Ԧ CONSERVATIVE, on a : ∆𝐸𝑃 = −𝑊(𝐹)


Ԧ L
I
𝑃 L/2
O
Donc la variation d’énergie potentielle dûe au travail du Poids mg (qui est une force
conservative) sur la longueur L entre les points O et H est :

∆𝐸𝑃 = −𝑊 𝑃 = −𝑚𝑔.
Ԧ 𝑂𝐻 = −( −𝑚𝑔 𝐿 ) = +𝑚𝑔𝐿 = 70 × 10 × 5 = 3500 𝐽 = ∆𝐸𝑃
Exercice 1 : Grimpeur à la corde
1) Un grimpeur de masse m = 70 kg monte à une corde de longueur L = 5 m.
On cherche de combien a cru son énergie potentielle de pesanteur (on prend g = 10 m/s-2).
z

H
2) On se demande si ce déplacement respecte la loi de conservation d’énergie.
L
I
𝑃 L/2
O
Exercice 1 : Grimpeur à la corde
1) Un grimpeur de masse m = 70 kg monte à une corde de longueur L = 5 m.
On cherche de combien a cru son énergie potentielle de pesanteur (on prend g = 10 m/s-2).
z

H
2) On se demande si ce déplacement respecte la loi de conservation d’énergie.
L
I
𝑃 L/2
O

L’énergie cinétique du grimpeur fluctue autour de valeurs très faibles tandis que son énergie potentielle croît régulièrement.
Ce déplacement ne respecte donc pas la conservation de l’énergie mécanique. Cela est du au fait que le corps est un
système complexe qui produit de l’énergie mécanique au cours de l’effort.
Le corps a sa propre source d’énergie interne (ce n’est pas le cas pour un objet…).
Donc EC + EP = EM ≠ cte
Exercice 1 : Grimpeur à la corde
1) Un grimpeur de masse m = 70 kg monte à une corde de longueur L = 5 m.

z
H
O

L
I
𝑃 L/2

3) Le même grimpeur redescend la moitié de la hauteur de la corde depuis H jusqu’au point I. On cherche alors son
énergie potentielle de pesanteur si on considère que celle-ci était nulle au sommet de la corde.

Entre O et H, l’énergie potentielle a crû de 3500 J. Si le grimpeur redescend de moitié depuis H, son énergie potentielle
diminue aussi de moitié. Si on prend H comme référence où EP(H) = 0, alors à mi-hauteur, EP(I) = -1750 J.
Exercice 1 : Grimpeur à la corde - suite

4) Le grimpeur se lâche alors et retombe donc au sol. On se demande si ce mouvement respecte la loi de conservation de
l’énergie mécanique. On cherche son énergie potentielle et son énergie cinétique, lorsqu’il arrive au sol.

Si le grimpeur lâche la corde (sans vitesse initiale donc), il n’est alors plus soumis qu’à son propre poids (il n’y a plus de force
de traction), si on néglige les forces de frottements de l’air. Le grimpeur est donc dans un mouvement de chute libre qui
respecte la loi de conservation de l’énergie mécanique :
EP(z)
Entre les points I et O : EC(I) + EP(I) = EM(I) = EC(O) + EP(O) = EM(O)
EP(H) 0J
0 + (-1750) = EC(O) + (-3500)
EP(I) -1750 J
0 + (-1750) – (-3500) = EC(O)

+ 1750 J = EC(O) -3500 J


EP(O)

5) Un instant après avoir touché le sol, on cherche l’énergie cinétique du grimpeur.

Après avoir touché le sol, son énergie cinétique devient nulle tandis que son énergie potentielle ne varie pas (= -3500 J).
L’énergie cinétique a été transmise au sol lors de l’impact et pour l’essentiel dissipée sous forme de chaleur (énergie
musculaire) et de déformation.
Exercice 1 : Grimpeur à la corde - suite

4) Le grimpeur se lâche alors et retombe donc au sol. On se demande si ce mouvement respecte la loi de conservation de
l’énergie mécanique. On cherche son énergie potentielle et son énergie cinétique, lorsqu’il arrive au sol.

Si le grimpeur lâche la corde (sans vitesse initiale donc), il n’est alors plus soumis qu’à son propre poids (il n’y a plus de force
de traction), si on néglige les forces de frottements de l’air. Le grimpeur est donc dans un mouvement de chute libre qui
respecte la loi de conservation de l’énergie mécanique :
EP(z) EP(z)
Entre les points I et O : EC(I) + EP(I) = EM(I) = EC(O) + EP(O) = EM(O)
EP(H) 3500 J EP(H) 0J

EP(I) 1750 J EP(I) -1750 J


Si on change de repère???
EP(O) 0J EP(O) -3500 J

5) Un instant après avoir touché le sol, on cherche l’énergie cinétique du grimpeur.


Exercice 1 : Grimpeur à la corde - suite

4) Le grimpeur se lâche alors et retombe donc au sol. On se demande si ce mouvement respecte la loi de conservation de
l’énergie mécanique. On cherche son énergie potentielle et son énergie cinétique, lorsqu’il arrive au sol.

Si le grimpeur lâche la corde (sans vitesse initiale donc), il n’est alors plus soumis qu’à son propre poids (il n’y a plus de force
de traction), si on néglige les forces de frottements de l’air. Le grimpeur est donc dans un mouvement de chute libre qui
respecte la loi de conservation de l’énergie mécanique :
EP(z) EP(z)
Entre les points I et O : EC(I) + EP(I) = EM(I) = EC(O) + EP(O) = EM(O)
EP(H) 3500 J EP(H) 0J

EP(I) 1750 J EP(I) -1750 J

EP(O) 0J EP(O) -3500 J

5) Un instant après avoir touché le sol, on cherche l’énergie cinétique du grimpeur.

Après avoir touché le sol, son énergie cinétique devient nulle tandis que son énergie potentielle ne varie pas (= -3500 J).
L’énergie cinétique a été transmise au sol lors de l’impact et pour l’essentiel dissipée sous forme de chaleur (énergie
musculaire) et de déformation.
Exercice 2 : Energie potentielle électrique

La force électrique 𝐹Ԧ est attractive entre particules de signes opposés et répulsive entre particules de même signe.
Cette force est conservative (on en reparlera dans le chapitre suivant).

1) Lorsque 2 protons se rapprochent, on cherche comment varie leur énergie potentielle électrique.
A B
x
𝐹Ԧ 0 𝑑𝑥 > 0 xB
position
fixe

On force A à se rapprocher de B, 2 protons, donc de mêmes signes : 𝐹Ԧ s’oppose au mouvement ; son travail sera résistant.

−𝑑𝐸𝑃 = 𝑊 𝐹Ԧ = 𝐹.
Ԧ 𝑑𝑥 = 𝐹Ԧ × 𝑑𝑥 × 𝑐𝑜𝑠𝜋 = −𝐹𝑑𝑥 < 0 donc 𝑑𝐸𝑃 > 0

L’énergie potentielle augmente si on force les protons à se rapprocher.


Exercice 2 : Energie potentielle électrique - suite

La force électrique 𝐹Ԧ est attractive entre particules de signes opposés et répulsive entre particules de même signe.
Cette force est conservative (on en reparlera dans le chapitre suivant).

2) Lorsque 2 particules de signes opposés se rapprochent, on cherche comment varie leur énergie potentielle électrique.
A B
𝐹Ԧ x
0 𝑑𝑥 > 0 x B
position
fixe

A se rapproche naturellement de B : 𝐹Ԧ est dans le sens du mouvement ; son travail sera moteur.

−𝑑𝐸𝑃 = 𝑊 𝐹Ԧ = 𝐹.
Ԧ 𝑑𝑥 = 𝐹Ԧ × 𝑑𝑥 × 𝑐𝑜𝑠0 = 𝐹𝑑𝑥 > 0 donc 𝑑𝐸𝑃 < 0

L’énergie potentielle diminue entre 2 particules de signes opposés, qui se rapprochent.


Exercice 3 : Butoir
Une masse m = 4 kg glissant à v = 3 m/s sur une table horizontale et sans frottement vient heurter un butoir mécanique
particulier, qui se caractérise par l’exercice d’une force constante F = 120 N lorsqu’il est soumis à compression (le butoir n’est
donc pas un ressort dont la force de rappel dépend de sa compression ou de son allongement).
1) On se demande si la force exercée par le butoir comprimé est conservative :

𝐹Ԧ t = 0 : début de compression 𝐹Ԧ est la force que le butoir


comprimé exerce sur la masse m ;
à la compression comme à la
𝐹Ԧ t : compression maximale détente, elle est orientée vers la
gauche (sur ce schéma).

A B

Une force est conservative si son travail ne dépend pas du chemin suivi par son point d’application ; ou encore, sur
un circuit fermé, le travail d’une force conservative est nul.
Lors de la compression : 𝑊 𝐹Ԧ = 𝐹.
Ԧ 𝐴𝐵 = 𝐹Ԧ × 𝐴𝐵 × 𝑐𝑜𝑠𝜋 = −𝐹 × 𝑑𝑥 < 0

Lors de la détente : 𝑊 𝐹Ԧ = 𝐹.
Ԧ 𝐵𝐴 = 𝐹Ԧ × 𝐵𝐴 × 𝑐𝑜𝑠0 = 𝐹 × 𝑑𝑥 > 0

Donc sur un aller-retour (c’est-à-dire un circuit fermé), la travail total est nul. Donc cette force est conservative.
Exercice 3 : Butoir - suite
2) On cherche l’énergie cinétique au début de l’interaction.

Juste avant de heurter le butoir, la masse a une énergie cinétique Ec(A) = ½ mv² = ½ x 4 x 3² = 18 J = Ec de la masse(A)

3) On cherche la compression maximale 𝐴𝐵 du butoir.

Direction du mouvement

Comme 𝐹Ԧ est conservative : Em se conserve, donc …?


Exercice 3 : Butoir - suite

3) On cherche la compression maximale 𝐴𝐵 du butoir.

Quand le butoir est comprimé au maximum, l’objet a une vitesse nulle (un ½ tour ne peut se faire qu’à vitesse nulle) et
toute son énergie cinétique est transférée au butoir sous forme d’énergie potentielle :

Comme 𝐹Ԧ est conservative : Em se conserve, donc EP du butoir (B) = 18 J

Comme force 𝐹Ԧ que le butoir exerce sur la masse étant conservative, son travail est relié de l’énergie potentielle par:

−∆𝐸𝑃 = 𝑊 𝐹Ԧ = 𝐹.
Ԧ 𝐴𝐵

∆𝐸𝑃 = −𝑊 𝐹Ԧ = −𝐹.
Ԧ 𝐴𝐵

∆𝐸𝑃 = 𝐸𝑃 (B) - 𝐸𝑃 (A) =?


Exercice 3 : Butoir - suite

3) On cherche la compression maximale 𝐴𝐵 du butoir.

Or la force 𝐹Ԧ que le butoir exerce sur la masse étant conservative,

−∆𝐸𝑃 = 𝑊 𝐹Ԧ = 𝐹.
Ԧ 𝐴𝐵

∆𝐸𝑃 = −𝑊 𝐹Ԧ = −𝐹.
Ԧ 𝐴𝐵

∆𝐸𝑃 = 𝐸𝑃 (B) - 𝐸𝑃 (A) = 𝐸𝑃 B − 0 = 𝐸𝑃 B = −(𝐹. 𝐴𝐵) = − 𝐹Ԧ × 𝐴𝐵 × 𝑐𝑜𝑠𝜋 = + 𝐹Ԧ × 𝐴𝐵

𝐸𝑃 B = + 𝐹Ԧ × 𝐴𝐵

𝐸𝑃 B 18
= 𝐴𝐵 = = 0,15 𝑚 = 𝐴𝐵
+ 𝐹Ԧ 120
Exercice 4 : Ressort
On considère un ressort dont la force de rappel est de la forme F = -kx avec k = 200 N/m. On place une masse m = 0,5 kg
contre l’extrémité libre du ressort et on pousse celle-ci (on comprime donc le ressort) de L = 10 cm.
On lâche alors la masse.

𝑅
(1)
k M O 𝐹Ԧ
L
P

𝑅
k M=O
(2)

x
P
D’autres exemples:

Le cas du ressort: le travail de la force de rappel ( force élastique)

y 𝐹Ԧ = −𝑘 ∙ Δ𝑥Ԧ

O x
Exercice 5 : Trajectoire d’une bille
Une petite bille de masse m = 10 g, assimilée à un point matériel, est lancée depuis le sol terrestre avec un vecteur vitesse
initiale v0 = 7,2 km/h et faisant un angle a = 60° avec l’horizontale. Nous négligerons les frottements de l’air dans l’ensemble
de cet exercice et nous considérerons g = 10 m/s².

1) Calculons l’énergie mécanique initiale de la bille dans le champ de pesanteur uniforme (on prendra Ep = 0 au niveau du sol).

La bille n’est soumise qu’à son poids, vertical vers le bas.


𝑣0

𝑃
Exercice 5 : Trajectoire d’une bille
Une petite bille de masse m = 10 g, assimilée à un point matériel, est lancée depuis le sol terrestre avec un vecteur vitesse
initiale v0 = 7,2 km/h et faisant un angle a = 60° avec l’horizontale. Nous négligerons les frottements de l’air dans l’ensemble
de cet exercice et nous considérerons g = 10 m/s².

1) Calculons l’énergie mécanique initiale de la bille dans le champ de pesanteur uniforme (on prendra Ep = 0 au niveau du sol).

La bille n’est soumise qu’à son poids, vertical vers le bas.


𝑣0
Par définition : EM(t=0) = EC(t=0) + EP(t = 0)
On fait l’hypothèse que EP(t = 0) = 0
a
Il reste : EM(t=0) = EC(t=0) = ½ m v0² = ½ x 0,01 x (7,2 103/3600)²

𝑃 en m/s
EM(t=0) = 20 10-3 J = 0,02 J = EM(t=0)
Exercice 5 : Trajectoire d’une bille
Une petite bille de masse m = 10 g, assimilée à un point matériel, est lancée depuis le sol terrestre avec un vecteur vitesse
initiale v0 = 7,2 km/h et faisant un angle a = 60° avec l’horizontale. Nous négligerons les frottements de l’air dans l’ensemble
de cet exercice et nous considérerons g = 10 m/s².

1) Calculons l’énergie mécanique initiale de la bille dans le champ de pesanteur uniforme (on prendra Ep = 0 au niveau du sol).

𝑣0 2) Calculons la vitesse de la bille juste avant son impact sur le sol.

Comme il n’y a pas de frottement, et le poids étant une force conservative, après avoir atteint une hauteur maximale, la
bille conserve son énergie totale et la vitesse d’impact au sol est égale à la vitesse de départ (trajectoire parabolique).

vf = 7,2 km/h = 2 m/s


Exercice 5 : Trajectoire d’une bille - suite
3) Calculons la vitesse de la bille au sommet S de la trajectoire

z 𝑣Ԧ𝐻𝑚𝑎𝑥 En Hmax, la vitesse 𝑣Ԧ est horizontale : elle a sa composante


Hmax 𝑂𝑥 ≠ 0 et sa composante 𝑠𝑢𝑟 𝑂𝑧 = 0.
𝑣0 En effet, la vitesse verticale diminue sous l’effet du poids qui
𝑣0𝑧
ralentit le mouvement vers le haut ; comme il n’y a pas de
frottement rien n’agit sur la vitesse horizontale qui, elle, reste
a constante.
𝑣0𝑥
𝑣𝐻𝑚𝑎𝑥 = 𝑣0𝑥
𝑃
Et 𝑣0𝑥 = 𝑣0 cosα = 𝑐𝑡𝑒 = 2 × cos 60 = 1 m/s

4) On cherche Hmax :
La seule force en présence, le poids, est une force conservative, donc il y a conservation de l’énergie mécanique.
EM(O) = EM(Hmax)
EC(O) + EP(O) = EC(Hmax) + EP(Hmax)
2
½ m v0² + 0 = ½ m 𝑣𝐻𝑚𝑎𝑥 + mgHmax
1 2 2
1
𝑣 − 𝑣𝐻𝑚𝑎𝑥 = 𝐻𝑚𝑎𝑥 = 2² − 1² = 0,15 𝑚 = 𝐻𝑚𝑎𝑥
2𝑔 0 2 × 10
Exercice 5 : Trajectoire d’une bille - suite
3) Calculons la vitesse de la bille au sommet S de la trajectoire

z 𝑣Ԧ
Hmax

𝑣0
𝑣0𝑧

a
𝑣0𝑥

4) On cherche Hmax :
La seule force en présence, le poids, est une force conservative, donc il y a conservation de l’énergie mécanique.
Exercice 5 : Trajectoire d’une bille - suite
3) Calculons la vitesse de la bille au sommet S de la trajectoire

z 𝑣Ԧ
Hmax

𝑣0
𝑣0𝑧

a
𝑣0𝑥

4) On cherche Hmax :
La seule force en présence, le poids, est une force conservative, donc il y a conservation de l’énergie mécanique.
EM(O) = EM(Hmax)
EC(O) + EP(O) = EC(Hmax) + EP(Hmax)
½ m v0² + 0 = ½ m v(Hmax)² + mgHmax
1 2 2
1
𝑣 − 𝑣𝐻𝑚𝑎𝑥 = 𝐻𝑚𝑎𝑥 = 2² − 1² = 0,15 𝑚 = 𝐻𝑚𝑎𝑥
2𝑔 0 2 × 10
Exercice 6 : Du parachute au trampoline
Une personne de masse m = 50 kg équipée d’un parachute se laisse tomber d’un viaduc. Elle reste en vol libre un certain
temps avant d’ouvrir son parachute. Nous considérerons g = 10 m/s².

1) Les frottements avec l’air sont supposés négligeables dans la partie de vol libre. Cherchons la hauteur H parcourue durant
le vol libre, sachant que la personne atteint la vitesse de 20 m/s.

z1

H = z1 – z2

z2

sol
Exercice 6 : Du parachute au trampoline
Une personne de masse m = 50 kg équipée d’un parachute se laisse tomber d’un viaduc. Elle reste en vol libre un certain
temps avant d’ouvrir son parachute. Nous considérerons g = 10 m/s².

1) Les frottements avec l’air sont supposés négligeables dans la partie de vol libre. Cherchons la hauteur H parcourue durant
le vol libre, sachant que la personne atteint la vitesse de 20 m/s.

La personne part du point 1 à l’altitude z1 avec une vitesse v1 = 0 et atteint le point 2 à l’altitude z2 avec une vitesse v2,
avec H = z1 – z2. Sur tout ce trajet, la seule force qui s’applique sur la personne est son poids ; c’est une force conservative
donc…

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