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Ecole Supérieur en Génie Electrique et Energétique, Oran

Construction des machines électriques II

8eme séance 06/02/2021


5.7 L’inductance de magnétisation
On suppose que l’induction dans l’entrefer soit sinusoïdale, à vide le courant du
rotor est nul.
0 F1 phase
Bg1 
gK c K s (1)
Avec F1 est l’amplitude du FMM par pole

2 N1 2I 0 K w1
F1 phase 
 p1 (2)
Pour une machine triphasée à vide

3N1 2 I 0 K w1
F1m 
 p1 (3)
Et le flux total par pole pour le fondamental 1 est
2
1  Bg1 Le
 (4)
Avec le flux total phase (a=1) est
 11  N1Kw11 (5)
L’inductance de magnétisation pour une phase, sachant que les autres phases du
stator et rotor sont ouvertes.
On remplace 2 à 1 pour trouver Bg1 puis en 4 pour trouver la dernière équation
 11
L11m 
I0 2 (6)
2
40  N1K w1  Le
L11m  2
 pgKc K s
(7)
Ks le facteur de saturation total
Pour une alimentation triphasée on utilise la même procédure, mais en remplace
F1m par F1phase
2
60  N1 K w1  Le
L1m  2
 pgK c K s (8)
Si le courant à vide augmente, le facteur de saturation est aussi augmente,
l’inductance de magnétisation L1m sera démunie.

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2
60  N1 K w1  Le
L1m 
2 pgK c K s ( I 0 / I n ) (9)
En générale, l’inductance normale Ln est définie comme suite
Vn L1m
Ln  avec l1m 
I nn Ln

L’inductance de magnétisation en fonction de I 0/IN


L’inductance de magnétisation du rotor est L22m ce calculer par la même manier de
l’inductance statorique
Pour l’inductance de magnétisation mutuelle entre le stator et le rotor
4 0 Le
L12 m 
2
N K
1
s
w1 N2 K wr 1 
pgKc K s (10)
À partir des équations 7 et 10
L12 m N 2 K wr 1 K c

L11m N1 K ws 1 (11)
r r
dans le cas rotor a cage d’écureuil K  K 1
q1 y1 , pour chaque encoche on peut
considère N2=1/2 spires pour chaque phase
L’inductance L11m et L22m sont appelés les selfs inductances et L1m est l’inductance
cyclique, en général pour m phases
m
L1m 
L11m
2
6. Calcul des résistances
6.1. La résistance statorique Rs est
Na 1
Rs  colc KR
a Acos

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Avec
co est la résistivité du cuivre (1.8*10-8m, 25 C°)
lc langueur d’une spire lc  2 Le  2lec
Le : langueur du stator
lec : langueur du tètes bobines
Na : nombre des spires par vois, si a=1 Na=N1spire/phase
Acos : section du conducteur
a : nombre des vois
KR : le rapport entre les résistances en alternatif et en continu.

6.2 La résistance de la cage


La géométrie de la cage est comme suite

Géométrie de la cage
Pour calculer les résistances de bar et de l’anneau
lb li  Di
Rb  b Ri  i Ai  a * b li 
Ab Ai Nr
Si la fém. dans le rotor est sinusoïdale, le déphasage er entre deux fém. du deux
2 p
barres contigües  er 
Nr

Le courant dans les bars Ibi est la différence entre les deux courants Iii et Iii+1

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 
I bi  I ii1  I ii  2 I i sin  er 
 2 
La résistance équivalente Rbe
Rbi Ibi2  Rb Ibi2  2Ri Ii2
Ri
 Rbi  Rb 
 p 
2 I i sin 2  
 Nr 

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