SEMESTRE 4
LA NOTE DE SYNTHÈSE
Mme METGE
Idée 2 : Le maire doit remplir ses devoirs, il doit collaborer avec ses collaborateurs.
Argument 1 : Article L132-2 : « […] (« Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire (…),
est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République (…). Le maire est tenu de signaler sans
délai au procureur de la République, les crimes ou les délits dont il acquiert la connaissance dans
l’exercice de ses fonctions. (…) » / (DOCUMENT n°2)
Argument 2 : Le maire est aussi chargé d’exécuter des délibérations (Collectivités locales).
Argument 3 : […] Dans toutes les communes détenant des armes, (…), il est tenu un registre d’inventaire de
ces matériels permettant leur identification. Le registre, côté et paraphé à chaque page par le maire (…).
Doit également être tenu un état journalier (conservé pendant trois ans) (…). (DOCUMENT n°7)
Mini-bilan :
Étant constamment confronté à des besoins culturels croissants et à des problématiques récurrentes, le maire n’est pas délaissé
face à ses missions spécifiques (catégoriques) : les représentants du Gouvernement de la République et les Collectivités
territoriales coopèrent avec lui en permanence, ce qui lui permet de développer des aptitudes, telles la disponibilité et l’efficacité.
Le représentant de l’état-civil aide, compatie, (ré)innove, construit, et s’illustre dans les mémoires, comme étant le « père de sa
commune ». Cependant, celui-ci ne doit pas se laisser attendrir pour autant, par quiconque, et doit prendre des mesures bien
définies, en fonction de chaque situation (contextes), et du degré de leur gravité.
II. Les stratégies de sécurité et de prévention pour lutter contre la délinquance juvénile.
Idée 2 : La sécurité des citoyens et des agents municipaux, assurée et maintenue par le maire.
Argument 1 : Article L223-8 : (…) prévention d’actes de terrorisme, de protection des abords des
établissements, installations ou ouvrages ou de protection des intérêts (…) mise en œuvre de systèmes de
vidéoprotection. » ; 370 stratégies conclues ou en cours d’élaboration » (DOCUMENT n°2)
Argument 2 : (CDDF), CNV, politiques locales de prévention, CLS, 60% du FIPD, soit 30 millions d’euros /
la prévention socio-éducative + prévention situationnelle (DOCUMENT n°6)
Argument 3 : « Vidéosurveillance » (DOCUMENT n°5)
Argument 4 : « palpations de sécurité, consultation des papiers, consultation des images de vidéosurveillance
des immeubles, inspection visuelle ou fouille des sacs et bagages, dépistage d’alcoolémie » (DOCUMENT
n°8)
Argument 5 : (CLSPD), implantations de caméras citadines, écrans de contrôle mis à disposition pour le
maire (DOCUMENT n°10)
Argument 6 : Mise en place de vidéosurveillance, au sein de la commune, des agglomérations, des centres
commerciaux et à proximité des lycées (Rosa Parks). (DOCUMENT n°9)
Argument n7 : Le maire se soucie des risques que prennent quotidiennement, les policiers municipaux.
En effet, ces derniers sont exposés (confrontés) à des dangers extérieurs, dont les jeunes délinquants.
C’est pourquoi, après la demande motivée du maire, et l’autorisation nominative accordée par le Préfet
(représentant de l’État), ces policiers peuvent exercer légalement, avec leurs armes. (DOCUMENT n°7)
Idée 1 : L’application des pénalités conformes au Code civil, et au Code de procédure pénal
Argument 1 : Article L132-2 : « […] Le procureur de la République peut porter à la connaissance du maire
ou du président de l’établissement public de coopération intercommunale toutes les mesures ou décisions de
justice, civiles ou pénales, (…) engagées ou coordonnées par l’autorité municipale ou intercommunale. (…) »
(DOCUMENT n°2)
Argument n°2 : (…) l’interdiction de circulation commence dès 22 heures (zone urbaine concernée), le maire
s’est engagé (…) pour repousser de 22 à 23 heures le début de la période nocturne réglementée. »
(DOCUMENT n°4)
Argument 2 : les compétences répressives, contraventions, (APJA), code de procédure pénale ou les lois
spéciales, recherches d’infractions diverses, droit d’accès aux parties communes des immeubles, pouvoir
d’ordonner l’immobilisation du véhicule, prescription de la mise en fourrière, prérogatives, loi, LOPPSI 2.
Mini-bilan :
Pour exercer en toute sécurité et efficacité, les policiers municipaux sont équipés d’armes. À ce titre, ces professionnels sont au
même niveau que les policiers nationaux (quand bien même, si ces derniers possèdent des armes sophistiquées). Sur le plan
stratégique, le maire rempli et supervise ses devoirs envers ses supérieurs hiérarchiques, le Préfet et l’État, et de ce fait, gagne la
confiance et le mérite de ses concitoyens.
(Conclusion)
Chez nos gouvernants, le problème de la délinquance juvénile est récurrent. Elle expose les jeunes qui sont
naturellement, les principales victimes. Habitant les quartiers (ghettos) défavorisés et insalubres, ces derniers n’ont
aucun soutien, si ce n’est que de supporter les brimades (blâmes) de leurs familles, de leur entourage, constamment.
Les inégalités sociales et éducatives (accès aux études), les entraînements de groupes (vagabondages), les facteurs
entraînants cette forme d’incivilité sont nombreux, et certains sont difficilement décelés. C’est pour ces raisons que les
jeunes doivent être accompagnés et entendus, et ce, de manière franche et bienveillante. Se porter garant de la sécurité
des citoyens en exerçant des mesures préventives (passives et actives), en surveillant les repris de justice (caméras,
vidéosurveillance, vidéoprotection), et bien plus encore. Finalement, cela reste pour l’État et le maire, une
problématique qui doit être prise au sérieux et être perpétuer, cela dit, jusque dans un avenir proche.