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BEKKITA OUMAIMA L3-S5 MÉTHODOLOGIE CC2

Le vent de l’amour a soufflé dans le cœur d’une jeune femme dans la vingtaine,
et le destin a donc eu un autre tournant qui n’a pas été pris en compte. Après
un court lape de temps d’environ douze mois, la maîtresse de Stan, a obtenu
une place dans une université française pour être couronnée d’un diplôme en
journalisme, si loin du pays où il vivait son histoire d’amour. Si la vie avait souri
devant cette chérie dans le cheminement de carrière alors, elle a froncé les
sourcils sur son amour tragique. Mettre fin à une relation c’est toujours
opaque. Le tissu de de ce passage est cousu avec une aiguille, son œil nous fait
regarder une scène, plaçant son microscope dans les moindres détails.
L’imagination de l’amante l’a jetée dans une atmosphère de la suspicion et de
doute qui l’avait tourmentée lorsqu’elle annonçait la nouvelle à Stan « – I
finally got the official letter from the French University: I will enroll the master’s
program in journalism this October ». Ces quelques mots suffisaient à donner
au silence le pouvoir de briser leur dialogue. Alors que la jeunne fille souaitait
un peu d’espoir ou la moindre suggestion qui lui donnerait une place au sein
de son amant, il n’a fait aucun effort, au point qu’elle préférait qu’elle laisse
cette opportunité, mais la rigidité des sentiments de son amant était plus forte
que les sacrifices auxquelles elle réfléchissait. Les labyrinthes de doute et de
déception ont conduit l’amante à se plonger dans les détails insignifiants qui
attirent son attention dans le domaine du restaurant dans lequel ils étaient
présents, ainsi que l’incapacité de son amant à prononcer un mot à ce
moment-là, lui faisait décrire tout ce qui lui est extérieur et lui lié… parce que
tout ce qui se passait , que ce soit dans l’imagination de Stan ou dans son
cœur , lui est complètement inconscient. Ici, nous pouvons épousseter cœur de
la fille triste, si malheureuse. Son état de santé reflète dans toute la mesure, les
lacunes laissées par le destin et la distance détestée. Un cœur enflammé, à
l’image de la souffrance vécue, une angoisse qui accroît la vulnérabilité des
amoureux … la langue de la séparation est les larmes, sa parole est le silence et
son regard parcourt le ciel, la rupture amoureuse est le tueur silencieux, le
vainqueur des morts, la blessure qui ne guérit pas et la maladie qui transporte
son remède. L’adieu a-t-il une place, ou est-ce un bateau son voile ?

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