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4 – Banque de questions
Vrai ou faux?
1
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
2
11. Lorsqu’ils cherchent des solutions possibles, les gestionnaires ne doivent
jamais établir un ensemble de plans d’action de rechange pour profiter d’une
opportunité ou pour contrer une menace.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
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cas.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
4
Questions à choix multiples
5
24. Sur lequel des concepts suivants le modèle bureaucratique s’appuie-t-il?
a) Les limites cognitives des gestionnaires
b) L’incertitude concernant les répercussions de chaque possibilité
c) Le choix de solutions qui sont satisfaisantes plutôt qu’optimales
d) Aucune de ces réponses
e) Toutes ces réponses
Niveau de difficulté : complexe
25. Le modèle classique est ________, c’est-à-dire qu’il indique les façons
dont les décisions devraient être prises.
a) heuristique
b) normatif
c) intuitif
d) axé sur le principe du seuil de satisfaction de l’individu
e) juridique
Niveau de difficulté : intermédiaire
6
b) Kahneman et Tversky
c) Peter Senge
d) Mary Parker Follet
e) Fredrick Taylor
Niveau de difficulté : facile
28. La source de parti pris cognitif qui résulte de la tendance à engager des
ressources supplémentaires dans un projet, même lorsque les faits prouvent
qu’il est voué à l’échec, est appelée :
a) erreur systématique;
b) biais de représentativité;
c) escalade des engagements;
d) illusion de contrôle;
e) biais de préjugé.
Niveau de difficulté : facile
7
a) entreprise apprenante;
b) entreprise de pensée de groupe;
c) entreprise privée;
d) entreprise heuristique;
e) Aucune de ces réponses n’est bonne.
Niveau de difficulté : facile
8
32. Analysez les hypothèses de base du modèle classique de prise de
décisions.
9
qui sont conformes à cette stratégie, au travail et en dehors de l’entreprise.
Les préoccupations concernant le développement durable ont une
importance particulière lorsqu’il s’agit de prendre des décisions relatives aux
facteurs de production. En effet, le choix de fournisseurs qui utilisent des
méthodes axées sur le développement durable pose un défi aux entreprises.
Se conformer au principe de développement durable signifie également que
les entreprises doivent faire preuve de transparence et d’ouverture
concernant les problèmes qu’il leur faut affronter. L’adoption par les
gestionnaires d’une stratégie de développement durable en matière de prise
de décisions devrait avoir pour résultats une meilleure qualité de
l’environnement, des pratiques socialement responsables, une plus grande
diversité culturelle ainsi qu’une rentabilité accrue.
Niveau de difficulté : intermédiaire
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Les technologies de l’information aident les gestionnaires à transformer des
données en renseignements, c’est-à-dire qu’elles permettent de les
organiser de façon qu’elles deviennent utiles. Les systèmes d’information de
gestion (SIG) sont des systèmes électroniques conçus pour recueillir, traiter,
emmagasiner et transmettre de l’information en vue de faciliter la tâche des
gestionnaires en matière de prises de décisions, et d’améliorer l’efficacité et
l’efficience de leur planification et de leur contrôle du rendement dans des
domaines tels que la planification des ressources de l’entreprise, la gestion
de la chaîne logistique, la gestion des relations avec la clientèle et celle des
ressources humaines. Les gestionnaires se servent des systèmes
transactionnels et des systèmes d’information des opérations ou de la
production pour la prise de décisions programmées tandis qu’ils emploient
des systèmes d’aide à la décision (SAD) et des systèmes experts pour la
prise de décisions ponctuelles ou non programmées. L’infonuagique leur
permet d’avoir accès, dans Internet, à des logiciels ou à d’autres applications
de services sans avoir à débourser des sommes exorbitantes pour se les
procurer individuellement. Le taux de croissance annuel composé de
l’infonuagique se situe à près de 30 % depuis 10 ans (de 2006 à 2016). Son
utilisation croissante pourrait avoir pour effet la disparition progressive des
grands services de technologies de l’information. Toutefois, l’infonuagique
laisse une empreinte écologique importante, puisque la consommation
d’énergie de ce secteur correspond à des émissions de carbone équivalant à
celles du transport aérien.
Niveau de difficulté : complexe
11
Chapitre 5 – Banque de questions
Vrai ou faux?
4. Une fois les plans établis, ils ne devraient jamais être modifiés.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
12
6. Les plans efficaces ont cinq qualités.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
9. Un objectif est une déclaration générale qui aide à tracer un portrait
d’ensemble de l’organisation ou qui constitue un énoncé de ses intentions
pour l’avenir.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
13
Niveau de difficulté : facile
14
17. Selon Michael Porter, les gestionnaires doivent choisir entre deux
méthodes fondamentales pour accroître la valeur des produits de leur
entreprise : une qualité accrue ou des coûts inférieurs à ceux de leurs
concurrents.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
18. Des services tels que celui des ventes et celui du marketing établissent
des stratégies d’affaires.
FAUX
Niveau de difficulté : intermédiaire
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c) l’apprentissage;
d) l’organisation;
e) la mise en œuvre.
Niveau de difficulté : facile
24. Un plan qui indique les secteurs et les marchés nationaux dans lesquels
une organisation a l’intention de concurrencer ses rivales est appelé :
a) plan stratégique;
b) stratégie d’entreprise ou directrice;
c) plan fonctionnel;
d) stratégie concurrentielle;
e) plan opérationnel.
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Niveau de difficulté : facile
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27. Laquelle des propositions suivantes donne une idée de l’importance de la
planification?
a) La planification est un moyen efficace de faire participer les gestionnaires
au processus de prise de décisions.
b) La planification est un moyen de donner une orientation à l’organisation.
c) Un plan peut se révéler un instrument utile pour contrôler le rendement
des gestionnaires.
d) Un plan permet de coordonner le travail des cadres de diverses divisions
de manière que tous leurs efforts visent à atteindre le même but.
e) Toutes ces réponses constituent des raisons importantes de faire de la
planification.
Niveau de difficulté : intermédiaire
29. L’évaluation d’une stratégie comporte :
a) un suivi des progrès accomplis;
b) une évaluation des niveaux de rendement;
c) une comparaison entre le rendement et les objectifs fixés;
d) l’application de mesures correctives lorsque la stratégie ne permet pas
d’accomplir la mission et d’atteindre les objectifs fixés.
e) Toutes ces réponses font partie de l’évaluation d’une stratégie.
Niveau de difficulté : intermédiaire
18
Questions à court développement
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Les quatre caractéristiques des plans efficaces sont l’unité, la continuité, la
précision et la souplesse. L’unité consiste pour une entreprise à ne jamais
mettre en application plus d’un plan stratégique au cours d’une période
donnée. La continuité signifie que la planification ne se fait pas en une seule
étape. Au contraire, il est important d’élaborer des plans, de les
perfectionner et de les modifier de façon que tous les niveaux (directeur,
d’affaires ou fonctionnel) se rattachent les uns aux autres pour former une
vaste structure. La précision souligne le fait que les gestionnaires ne doivent
négliger aucun effort pour recueillir et utiliser toute l’information disponible
au cours du processus de planification. Enfin, la souplesse signifie que les
plans devraient être modifiés lorsque la situation change.
Niveau de difficulté : intermédiaire
20
Niveau de difficulté : complexe
Vrai ou faux?
21
de structure organisationnelle.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
4. Le processus d’élaboration des tâches a pour résultat une répartition des
tâches entre les employés.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
22
7. Lorsque les gestionnaires ont déterminé la répartition des tâches entre les
postes de travail, ils doivent prendre une décision consistant à regrouper les
postes à l’intérieur d’unités de travail de façon à répondre aux besoins de
l’organisation en ce qui a trait à l’environnement, à la stratégie, à la
technologie et aux ressources humaines.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
23
Niveau de difficulté : intermédiaire
24
17. La nature de la technologie qu’une entreprise emploie constitue un
facteur important dans le choix de sa structure organisationnelle.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
19. Une structure en réseau est une série d’alliances stratégiques qu’une
organisation conclut avec des fournisseurs, des fabricants ou des
distributeurs.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
25
coordination et le contrôle des activités organisationnelles?
d) Faut-il choisir une structure organisationnelle de nature rigide ou flexible?
e) Les gestionnaires doivent répondre à toutes ces questions.
Niveau de difficulté : facile
22. Le processus qu’utilisent les gestionnaires pour faire des choix
spécifiques en matière d’organisation et qui a pour résultat un type
particulier de structure est appelé :
a) processus d’élaboration des tâches;
b) conception de la structure organisationnelle;
c) développement de la culture organisationnelle ;
d) étendue des responsabilités.
e) Aucune de ces réponses n’est bonne.
Niveau de difficulté : facile
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d) enrichissement des tâches;
e) une délégation des tâches.
Niveau de difficulté : facile
26. Lequel des facteurs suivants n’influe pas sur la décision concernant la
meilleure façon de regrouper les postes de manière à répondre le mieux
possible aux besoins de l’organisation?
a) L’environnement de l’organisation
b) La stratégie de l’organisation
c) La technologie utilisée par l’organisation
d) Les ressources humaines de l’organisation
e) L’étendue des responsabilités de l’organisation
Niveau de difficulté : intermédiaire
27. Une structure organisationnelle composée de tous les services dont une
entreprise a besoin pour produire des biens ou fournir des services est
appelée :
a) structure par produit;
b) structure par localisation géographique des marchés;
c) structure par départementalisation ou divisionnaire;
d) structure par fonction;
27
e) structure par type de clientèle.
Niveau de difficulté : facile
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Niveau de difficulté : facile
29
l’inverse, lorsqu’ils augmentent le nombre et la diversité des tâches à
effectuer, on parle d’élargissement des tâches. L’enrichissement des tâches
consiste à revoir la conception d’un poste de travail de manière à augmenter
le nombre de responsabilités qu’un employé doit assumer, à lui donner
l’autonomie nécessaire pour qu’il prenne davantage de décisions et à lui
permettre d’effectuer ses tâches comme il l’entend, de développer de
nouvelles habiletés et d’évaluer lui-même son rendement. Il motive les
employés à augmenter les efforts qu’ils fournissent ainsi qu’à renforcer leur
engagement à atteindre les objectifs de l’entreprise. Pour décider de la façon
de répartir les tâches entre les employés, les gestionnaires se basent sur la
manière la plus efficiente de fabriquer un produit ou de fournir un service et
de satisfaire les clients.
Niveau de difficulté : complexe
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et le contrôle du rendement individuel deviennent plus complexes et le
personnel accorde moins d’attention aux éléments de l’environnement
concurrentiel.
Niveau de difficulté : complexe
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partager des habiletés et des bases de connaissances. Les technologies de
l’information et l’utilisation de la téléconférence ont facilité la gestion de ces
alliances parce que, grâce à elles, les gestionnaires peuvent échanger des
renseignements et coopérer plus rapidement et plus facilement que jamais.
Niveau de difficulté : intermédiaire
Vrai ou faux?
1. Les leaders efficaces exercent sur les autres une influence qui aide un
groupe ou une organisation à atteindre ses objectifs de rendement.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
3. Selon French et Raven, il existe six types de pouvoir social que le leader
détient pour influer sur le comportement des gens et pour les amener à agir
de certaines façons.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
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4. La capacité d’un gestionnaire d’accorder ou de refuser des récompenses
matérielles ou immatérielles porte le nom de « pouvoir légitime ».
FAUX
Niveau de difficulté : facile
5. Le pouvoir d’expert est fondé sur les connaissances, les habiletés et
l’expertise particulières que possède un leader.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
8. L’autonomisation est un processus qui consiste à accorder à la haute
direction l’autorité nécessaire pour prendre des décisions.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
33
décisions.
FAUX
Niveau de difficulté : intermédiaire
34
VRAI
Niveau de difficulté : facile
35
Niveau de difficulté : facile
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raison du faible rendement de celui-ci au travail, quel type de pouvoir utilise-
t-il?
a) Le pouvoir de référence
b) Le pouvoir d’expert
c) Le pouvoir de coercition
d) Le pouvoir de récompense
e) Le pouvoir légitime
Niveau de difficulté : intermédiaire
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b) Un avertissement écrit
c) Une suspension sans traitement
d) Un congédiement
e) Toutes ces réponses
Niveau de difficulté : intermédiaire
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c) Un leadership autocratique
d) Un leadership anémique
e) Aucune de ces réponses
Niveau de difficulté : intermédiaire
30. Lequel des éléments qui suivent n’est pas un comportement centré sur
les tâches?
a) Manifester sa préoccupation pour le bien-être des employés
b) Informer ses subordonnés de ce qu’on attend d’eux
c) Déterminer la façon dont le travail devrait être effectué
d) Préparer des horaires de travail
e) Assigner des tâches à des personnes ou à des groupes
Niveau de difficulté : facile
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d) centrés sur l’accomplissement
e) Aucune de ces réponses
Niveau de difficulté : intermédiaire
35. Lorsque les caractéristiques que possèdent des subordonnés, ou celles
d’une situation ou d’un contexte, remplacent l’influence d’un leader et
rendent son leadership inutile, on parle :
a) d’autonomisation;
b) de comportement centré sur les tâches;
c) de comportement centré sur les relations;
40
d) de substitut du leader;
e) de pouvoir de référence.
Niveau de difficulté : facile
41
c) Le degré de confiance et de coopération au sein de l’entreprise
d) Le degré d’efficacité de l’entreprise à l’avenir
e) Le degré d’influence générale sur l’expérience de leadership
Niveau de difficulté : complexe
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que l’un ou l’autre type de comportement convenait à toutes les situations.
En effet, comme l’ont constaté les théoriciens de la génération suivante, la
pertinence des actions des leaders dépend de facteurs liés aux diverses
situations. Cette découverte a mené à la formulation des modèles de
contingence du leadership.
Niveau de difficulté : intermédiaire
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poste constitue le degré du pouvoir légitime, de récompense et de coercition
qu’un leader possède en raison du poste qu’il occupe dans une organisation.
Les situations sont plus favorables pour diriger lorsque le pouvoir lié au
poste est grand. Selon Fiedler, lorsqu’une situation est favorable au
leadership, il est relativement facile pour les gestionnaires d’influencer leurs
employés de façon qu’ils aient un rendement élevé. Dans une situation
défavorable pour diriger, il leur est beaucoup plus difficile d’exercer une telle
influence. Ainsi, les leaders centrés sur les relations se montrent
extrêmement efficaces dans des situations modérément favorables. Les
leaders centrés sur les tâches font preuve de la plus grande efficacité dans
les situations très favorables ou très défavorables. Les exemples varieront.
Niveau de difficulté : intermédiaire
44
Niveau de difficulté : complexe
42. Comparez le leadership transformationnel au leadership transactionnel
en insistant sur leurs différences. Lequel de ces types de leadership vous
paraît le plus logique? Justifiez votre réponse.
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humeurs et émotions ainsi que de canaliser et de contrôler ces émotions de
façon à rendre le milieu de travail inspirant. Une telle atmosphère aide
l’organisation à se créer une vision que ses employés veulent réaliser, elle
augmente leur satisfaction dans leur travail, de sorte que leur rendement
s’améliore et que l’efficacité de l’entreprise dans son ensemble s’en trouve
accrue. Niveau de difficulté : intermédiaire
Vrai ou faux?
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d’autorité et les promotions.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
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9. On interdit généralement aux gestionnaires de former des groupes
d’amis.
FAUX
Niveau de difficulté : intermédiaire
11. Les rôles adoptés par des membres d’un groupe pour s’assurer de
l’exécution des tâches qui lui sont assignées portent le nom de « rôles
d’entretien ».
FAUX
Niveau de difficulté : facile
12. La remise en question d’un consensus est un rôle qui sert uniquement à
développer et à maintenir de bonnes relations à l’intérieur d’un groupe.
FAUX
Niveau de difficulté : complexe
14. Des chercheurs ont déterminé six étapes qui semblent faire partie de
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l’évolution de la plupart des groupes.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
20. Un conflit lié à la tâche (ou conflit constructif) survient lorsque les
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membres d’un groupe perçoivent un problème ou sont en désaccord
concernant leurs relations les uns avec les autres.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
21. L’ensemble des moyens que les gestionnaires utilisent pour prévoir les
besoins actuels et futurs de leur organisation en matière de ressources
humaines porte le nom de :
a) planification des ressources humaines;
b) sélection;
c) recrutement;
d) évaluation du rendement;
e) rétroaction sur le rendement.
Niveau de difficulté : facile
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du recrutement interne?
a) Les candidats à l’interne connaissent déjà les objectifs de l’entreprise.
b) Les gestionnaires connaissent déjà ces candidats.
c) Le recrutement à l’interne peut encourager les employés qui n’ont pas
encore eu de promotion.
d) Les candidats connaissent bien la culture de l’entreprise.
e) Le recrutement à l’interne a tendance à assurer le maintien du statu quo.
Niveau de difficulté : complexe
26. L’étape de l’évolution d’un groupe pendant laquelle ses membres font
connaissance les uns avec les autres et s’efforcent de s’entendre sur la façon
51
dont chacun devrait se comporter au sein du groupe porte le nom de :
a) phase des conflits;
b) cohésion;
c) formation;
d) cessation des activités;
e) exécution.
Niveau de difficulté : facile
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a) Les membres du groupe s’efforcent d’empêcher l’expression d’opinions
qui ne font pas l’unanimité.
b) Des membres du groupe jouent le rôle d’avocats du diable.
c) Les membres du groupe s’efforcent de parvenir à une entente au
détriment de la prise d’une décision optimale.
d) Les membres du groupe n’examinent pas tous les plans d’action
possibles.
e) Les membres du groupe font disparaître les opinions minoritaires.
Niveau de difficulté : intermédiaire
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a), par d’autres gestionnaires qui sont au-dessus de lui dans la hiérarchie
organisationnelle (même s’ils ne le supervisent pas directement) et par des
clients qui ont régulièrement affaire à lui. Pour que ce type d’évaluation soit
utile, il faut que tous les membres de l’organisation comprennent clairement
les aspects du rendement qu’on veut évaluer et que la confiance règne à
tous les échelons. Les gestionnaires doivent considérer avec prudence les
évaluations anonymes de pairs et s’assurer de leur objectivité.
Niveau de difficulté : complexe
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pour qu’elles puissent vraiment se gérer elles-mêmes, rendre leur travail
suffisamment complexe pour qu’il en résulte un produit fini quelconque et en
choisir méticuleusement les membres pour qu’ils possèdent des habiletés qui
permettront à leur équipe d’accomplir avec succès la tâche qu’on lui a
confiée. Enfin, ils peuvent guider et soutenir ce type d’équipes plutôt que de
contrôler constamment leur travail.
Niveau de difficulté : complexe
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contre, des degrés modérés de déviance peuvent stimuler la créativité et
l’élaboration de nouveaux plans d’action. Des degrés modérés de cohésion
entraînent chez les membres d’un groupe une volonté d’atteindre à la fois
les objectifs de leur groupe et ceux de leur organisation. Lorsque les normes
de rendement sont peu élevées, un certain degré de déviance peut se
révéler nécessaire pour amener un groupe à les réévaluer et à les reformuler
de façon qu’elles visent un rendement plus élevé.
Niveau de difficulté : intermédiaire
Vrai ou faux?
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décisions et de faciliter le travail en équipe.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
5. Les systèmes de contrôle du rendement aident les gestionnaires à
composer avec la complexité.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
8. Il est plus difficile de mesurer la production que les comportements parce
qu’elle est plus tangible de nature.
FAUX
Niveau de difficulté : intermédiaire
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minutieuse des produits dont on a besoin est un exemple de contrôle
proactif.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
13. Les ratios d’activité donnent des mesures de l’efficacité avec laquelle les
gestionnaires utilisent les ressources de leur organisation pour générer des
profits.
FAUX
Niveau de difficulté : intermédiaire.
14. Après avoir établi les objectifs généraux d’une entreprise, ses cadres
supérieurs adoptent des normes de rendement pour chacune de ses
divisions et chacun de ses services.
VRAI
Niveau de difficulté : facile
15. Un budget d’exploitation est un plan qui indique la façon dont les
gestionnaires comptent utiliser les ressources de l’organisation pour
atteindre ses objectifs avec efficacité.
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VRAI
Niveau de difficulté : facile
19. Le problème qui réside dans le fait de se fier surtout aux règles et aux
règlements, c’est qu’ils peuvent nuire à la créativité et à l’innovation.
VRAI
Niveau de difficulté : intermédiaire
20. Le contrôle exercé par le clan (ou basé sur l’engagement) constitue un
système de contraintes imposées de l’extérieur.
FAUX
Niveau de difficulté : facile
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VRAI
Niveau de difficulté : facile
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25. Les diverses normes que les gestionnaires établissent s’appliquent à
tous les éléments qui suivent, sauf :
a) au temps;
b) au contrôle par le clan;
c) aux produits;
d) à la qualité;
e) aux comportements.
Niveau de difficulté : facile
27. Lorsqu’ils comparent le rendement réel aux normes établies, les
gestionnaires doivent déterminer si l’écart entre les deux justifie l’adoption
de mesures correctives. Pour ce faire :
a) ils établissent un éventail acceptable de niveaux de rendement inférieurs
et supérieurs à la norme;
b) ils calculent l’écart;
c) ils déterminent si l’écart est important;
d) ils déterminent la cause de l’écart et adoptent des mesures correctives.
e) Toutes ces réponses sont bonnes.
Niveau de difficulté : intermédiaire
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28. À l’étape du contrôle du processus de ___________, les gestionnaires
utilisent généralement des mesures de contrôle ________ pour obtenir une
rétroaction immédiate concernant le degré d’efficacité de la conversion des
facteurs de production en produits finis.
a) transformation; continu (ou concourant)
b) contribution; rétroactif
c) production; proactif
d) contribution; continu
e) production; continu
Niveau de difficulté : complexe
29. Un budget qui énonce la façon dont les gestionnaires comptent utiliser
les ressources de l’organisation pour réaliser ses objectifs porte le nom de :
a) budget financier;
b) budget d’investissement;
c) budget opérationnel;
d) budget d’exploitation;
e) budget directeur.
Niveau de difficulté : intermédiaire
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des mesures correctives prises lorsque c’est nécessaire.
e) Aucune de ces réponses n’est bonne.
Niveau de difficulté : intermédiaire
31. Le processus par lequel un gestionnaire négocie avec ses subordonnés
l’établissement d’objectifs précis que ceux-ci doivent atteindre puis,
périodiquement, évalue la mesure dans laquelle ces employés sont parvenus
à réaliser les objectifs en question porte le nom de :
a) gestion par objectifs (GPO);
b) supervision directe;
c) règles;
d) procédure d’exploitation uniformisée;
e) contrôle de la production.
Niveau de difficulté : facile
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Le contrôle proactif permet de prévoir des problèmes potentiels par le
contrôle des facteurs de production qui entrent dans le système de
production. Le contrôle continu ou concourant fournit aux gestionnaires une
rétroaction immédiate concernant le degré d’efficacité de la conversion des
facteurs de production en produits, de façon à leur permettre de régler les
problèmes dès qu’ils se présentent. Le contrôle rétroactif se fait lorsque le
processus de production est terminé. Les gestionnaires utilisent ce type de
contrôle (p. ex. le nombre de retours sur vente) pour évaluer les réactions
des clients au produit et pour prendre des mesures correctives au besoin.
Niveau de difficulté : intermédiaire
35. La gestion par objectifs (GPO) est un des processus qui permettent aux
gestionnaires de se servir des objectifs organisationnels pour évaluer le
rendement de leurs subordonnés. Discutez des étapes à suivre pour
appliquer cette technique en vous servant d’un exemple précis de votre
choix.
64
Les étapes sont les suivantes :
1re étape : Établir des objectifs propres à chaque échelon de l’organisation
2e étape : Déterminer avec ses subordonnés les objectifs que ceux-ci doivent
atteindre
3e étape : Réviser périodiquement avec ses subordonnés leurs progrès quant
à la réalisation des objectifs et leur offrir des récompenses pour les progrès
accomplis. Les exemples varieront.
Niveau de difficulté : complexe
65
investisseurs, les employés, le milieu environnant et les collectivités. L’échec
des activités d’autoréglementation des entreprises a mené les investisseurs,
en particulier, à réclamer une réforme des règles de gouvernance des
entreprises. Parmi les exemples de comportements illégaux et contraires à
l’éthique, on peut citer ceux de cadres supérieurs bien connus, qui ont
éclaboussé des sociétés telles Enron, WorldCom et Satyam. De nouvelles
règles ont donc été élaborées pour obliger les gestionnaires à rendre des
comptes et à avoir des comportements plus transparents. Ainsi, en 2002, le
gouvernement américain a adopté le Sarbanes-Oxley Act. Des règles
similaires ont été mises en place au Canada en 2004. Ces règles stipulent,
entre autres choses,
1) que la présidence du conseil d’administration (CA) doit désormais être
indépendante de la haute direction;
2) que le CA doit surveiller le chef de la direction et les systèmes de
contrôle;
3) que les membres du CA doivent n’avoir aucun lien d’intérêt avec
l’entreprise;
4) que les membres du CA doivent posséder une expertise pertinente en
ce qui a trait au secteur auquel appartient l’entreprise;
5) que le CA doit se réunir fréquemment et qu’il doit alors disposer de
toutes les ressources requises;
6) que les activités et les transactions de l’entreprise doivent être
communiquées au CA en temps opportun;
7) que l’entreprise doit avoir un comité d’audit interne indépendant.
Ces règles remplacent les anciennes selon lesquelles
1) le chef de la direction est également président du CA;
2) le CA prend ses décisions et régit ses pratiques lui-même;
3) les membres du CA ont des liens étroits avec l’entreprise;
4) le CA se fie à l’expertise de la haute direction;
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5) le CA se réunit rarement;
6) les opérations d’initiés et autres activités similaires ne sont pas
divulguées publiquement.
Niveau de difficulté : intermédiaire
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