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Résumé de la micro économique s2

I. Introduction (P  : 10)  :


 Définition  :
Le marché désigne un lieu de rencontre dans un moment donné
des offreurs et des demandeurs d’un même biens ou service. Il s’y
fixe le prix et la quantité. (Ces derniers se fixent par la confrontation
de l’offre et la demande).
 Les types des marchés  :
Pour déterminer une typologie des marchés 4 critères sont
combinés :
1. Le nombre et la dimension des intervenants ;
2. La qualité des produits destinés au même usage ;
3. Les règles d’entrés et de sortie du marché ;
4. Le système d’informations (marché transparent ou non) ;
Les éléments précédents ont permis de construire le tableau de
stackelberg, qui résume toutes les types des marchés.

II. Le marché (P :13)   :


 Définition  :
La loi de l’offre et de la demande : c’est une loi économique,
selon laquelle le prix est le résultat de la confrontation de l’offre et
la demande.
- Offre > demande = Baisse des prix
- Demande > offre = Augmentation des prix
 Les types de marchés  :
A. La concurrence pure et parfaite :
Pour qualifier un Marché de CPP ; 5 conditions doivent se
réunir :
 Atomicité de l’offre et la demande ;
 Homogénéité du produit ;
 Fluidité du marché
 Transparence du Marché ;
 Mobilité des facteurs de productions ;

N.B  :
Ce type (CPP) N'existe pas dans la réalité à cause de
l'impossibilité de réunir toutes les conditions en même
temps, mais il reste un modèle de référence pour les
économistes.
B. Le monopole :
Se définit par l’existence d’un offreur unique face à une multitude
de demandeurs.
C. L’oligopole :
Se définit par la présence d’un nombre limité (petit N bre) d’offreurs
face à une multitude d’acheteurs.
En situation d’Og/ple, chaque E/se se trouve d’interdépendance
malgré le N/bre inferieure de vendeurs; chaque E/se influence
directement la situation des autres Vendeurs.
En distingue 2 types de stratégies en oligopole :
 Stratégie de paix (d’entente) :
Le prix est le résultat d’un accord explicite ou implicite entre les
offreurs.
 Stratégie de guerre (de combat, de rivalité) :
Le prix dans ce cas est un moyen de guerre que chaque
producteur utilise pour éliminer ses concurrents.

D. La concurrence Monopolistique :
Se définit par l’existence d’un grand N/bre d’offreurs et des
demandeurs pour des produits hétérogènes ayant le même usage.
Ce type existe dans la réalité.

1. La courbe de la demande  :
En réalité la D/de est une fonction de plusieurs variables; de prix
(Px), Du revenu du consommateur (R), du prix des bien
substituts et compléments (Pi), des préférences des
consommateurs (T) et du N/bre de consommateurs potentiels sur
le marché (N). Donc :
La Dx = f (Px, R, T, Pi, N)
Et pour simplifier :
Dx = f (px)
- L’équation de la demande c’est :
Dx = a * px + b Avec a > 0, Et " a " c’est la pente de la droite.
- La fonction inverse de la Dx c’est :
Px = (Dx / a) – (b / a)
Graphe1: La courbe de la Dx (p 17)
a) Propriétés de la courbe de la Dx :
- La courbe de la Dx pour les B/S ont une pente descendante
(négative), il existe une relation inverse entre le Px et la Qté ;
- La courbe doit concerner une période particulière ;
- Quand le prix d’un bien change et les autres facteurs qui affectent la
consommation restent constant, la Qté demandé changé ;
- Quand les autres facteurs varient, la courbe entière de la Dx se
déplace soit à droite ou à gauche.
b) Les raisons de ces variations :
Ces variations peuvent être dues notamment :
- à l’augmentation des revenus des consommateurs ;
- à la variation des prix des biens proches de ce bien, soit des
biens substituables ou compléments ;
- au changement des préférences des consommateurs ;
A. Graphe 2  : décalage de la demande sous l’effet de la
variation d’autres facteurs. (p18)
2. La courbe de l’offre  :
Selon la loi de l’offre, plus le Px d’1 bien augmente plus la
Qté produite augmente, cette relation est valable
seulement si les autres facteurs qui affectent les décisions
de ces E/ses restent constants.
La Qté produites par les E/ses dépend principalement de la
technologie utilisés pour la production, du cout des f. de
production … etc.
La fonction de l’offre « supply »  est donc fonction des prix
soit : S = f (Px)
- L’équation de l’offre :
Sx = (a * Px) + b avec a > 0, et '' a '': la pente de la droite.
- La fonction inverse de Sx c’est :
Px = (Sx / a) – b / a
Graphe 3 : La courbe de Sx (p 19)
a) Propriétés de la courbe de Sx :
- La courbe de l’offre du M/ché est une courbe ascendante, car
l’industrie produira plus lorsque le Px est plus élevés, ainsi les couts
unitaires de production varient lorsque le N/bre d’unités s’accroit ;
- Elle représente les possibilités alternatives pour une même période
donné;
- Quand le Px de vente du produit varie et les autres facteurs restent
constant la Qté changé varie aussi ;
- Quand les autres facteurs qui affectent la production (output)
varient, la courbe d’offre qui se déplace soit en bas ou en haut ;
3. Le prix d’équilibre  :
Simplement le prix d’éq/bre se détermine à l’intersection
des courbes de demande et d’offre.
C’est un éq/bre à CT, c-à-d que le Px ou la Qté ne change
pas tant que les conditions du M/ché ne changent pas.
 L’excès de Dx et l’excès de Sx :
(Voir graphe 5 et son interprétation p : 21)
 L’augmentation de la Demande :
(Voir graphe 6 et son interprétation p : 22)
 L’augmentation de l’offre :
(Voir graphe 6,7 et son interprétation p : 22, 23)
4. Etude de cas  :
(Voir p 23,24)
Déf  :
 Valeurs mobilières  :
Les valeurs mobilières sont des titres négociables
interchangeables et fongibles, ils peuvent être cotés en
bourse, Les deux grandes catégories de valeurs
mobilières sont les actions et les obligations.
 Contrats à court terme  :
Un contrat à terme est une opération négociée entre deux
contreparties (l’acheteur et le vendeur) sur un marché
organisé et réglementé appelé « marché à terme ». Il
constitue un engagement d’acheter (pour l’acheteur), de
vendre (pour le vendeur) un actif sous-jacent à un prix
fixé dès aujourd’hui mais pour une livraison et un
règlement à une date future.  
 Liquidité  :
La liquidité signifie le changement rapide des titres et faire
l'objet d'une grande quantité de transactions sans que cela
ait d'effet majeur sur les prix.

III. Les marchés de concurrence pure et parfaite (p  :27)   :


 caractéristiques  :
- = modèle de référence (le monde « parfait »)
- ≠ réalité
- c’est un M/ché ou il y a un grande N/bre de petits offreurs face a un
grande N/bre de petits demandeurs.
- Le producteur n’a aucune influence sur le prix,
- Le M/ché de CPP insiste sur des conclusions normatives, c-à-d;
« voila comment les choses devrons êtres » ou « voila ce qu’il faut
faire ».
- L’entreprise est preneuse de prix « Price taker » en CPP.
- Ex : la prod° du blé, de la pomme de terre … etc.
 Les conditions de la CPP  :
Pour parler d’un M/ché de CPP 5 conditions doivent se réunir ;
On distingue 2 type ; les conditions de pureté (A) et celle de la
perfection (B). 
A- les conditions de pureté  :
 L’atomicité du M/ché : Il existe une multitude d’acheteurs et
de vendeurs sur le M/ché, et Personne ne possède d’une
puissance suffisante pour influencer le m/ché.
 L’homogénéité des produits : tous les P/dts vendus sur un
M/ché donné présentent des caractéristiques identiques.
 Fluidité du marché : tout producteur et tout acheteur sont
libres d’entrer sur un marché et d’en sortir.

B- les conditions de perfection :


 Transparence du M/ché : les agents éco° sont parfaitement
informés sur tous les facteurs significatifs du M/ché.
 Mobilité des facteurs de productions : la libre circulation des
facteurs de production (travail et capital).
 Le fonctionnement du M/ché du CPP  :
On distingue 2 types ; l’équilibre à courte terme (A) et celle de long
terme (B).
A- l’équilibre à courte terme  :
- L’équilibre du M/ché s’obtient lorsque : l'offre = demande
- Prix résultent de la confrontation de l’offre et de
La demande (voir graphe 8, p30).
- Les variations de prix corrigent les déséquilibres (G9, p:30)
- Le surplus (la rente, gain) du Consommateur est égal à :
Valeur accordée par les acheteurs —  Prix payé par eux.
- Le surplus (la rente, gain) du producteur est égal à :
Somme perçue par les vendeurs — Coûts supportés par les vendeurs.
(Voir graphe 10, p : 32).
- L’équilibre de l’E/se :
L’E/se est en équilibre ; c-à-d maximise son profit lorsque :
 Graphiquement  :
 L’entreprise doit choisir la quantité qui maximise Son profit.
 Le P est une contrainte, elle ne peut agir que sur ses coûts.
Donc le :  est Max = Rm = Cm (G :11, P:33)
 Analytiquement  :
L’équation du  = RT- CT → P.Q – F(Q)
Analytiquement le est Max ° lorsque :
er
’ou encore P = Cm (cond du 1 ordre)
’’ (cond du 2 éme ordre)
En cpp et en CT, le P ⇒ donnée du M/ché. Ce P représente
pour L’E/se a la fois RM et la Rm, donc on a :
Cm=P=RM=Rm
Ainsi on à CT :
RT = P. Q
RM = RT/Q = P unitaire
Rm = dRT / dQ
A. l’équilibre à long terme  :

À l’équilibre de CT, l’E/se peut faire un positiveou un nul.


En cas de profit positif, le M/ché va attirer plus d’E/ses, mais
En cas nul, quelques E/ses vont quitter le M/ché.
Cette dynamique aboutit au résultat suivant : toutes les
E/ses sont amener à travailler dans les mêmes conditions et
à produire avec un profit nul.
Donc toujours en CPP et a LT, le = 0

IV. Les marchés de monopole (p  : 41) :


 Caractéristiques :
- Un seul producteur de biens face à une multitude d’acheteurs.
- La demande du M/ché est égale la demande reçue par l’E/se.
- Importante barrières a l’entrée de ce M/ché.
- Les autres hypothèses de CPP sont compatibles au monopole.
- L’E/se est faiseuse du prix « Price maker ».
- L’E/se à l’exclusivité de l’offre, donc il choisi une Qté qui répond à
la D/de du M/ché.-
- La demande est décroissante.
- La D au niveau de Cpp est ≠ de celle du monopole (G14, P44).
- En CPP l’entrepreneur s’adapte par les Qtés.
- En monopole l’entrepreneur s’adapte par les prix et les Qtés.
 Les Recettes  :
L’E/se détermine son équilibre par l’étude de la Demande et les
recettes.
On a vue en CPP que :

RT = P. Q

RM = RT/Q = P unitaire P = Rm = RM
Rm = dRT / dQ

Ms au monopole on démontre que Rm ≠ RM (Voir P : 45 et 46)

 Type  :
- Le monopole discriminant (A);
- Le monopole simple ou pur classique (B) ;
A- Le monopole discriminant  : 
 Hypothèses  :
- C’est l’existence d’1 seul offreur face à plusieurs demandeurs.
- La discrimination reflète la vente d’un même bien à des prix
différents selon les conditions sociaux économique des
consommateurs.
- La discrimination permet au producteur l’augmentation du profit.
- Son principe est de couvrir toutes les demandes de différentes
catégories de consommateurs.
 la maximisation du profit  :
On a :
- La RT pour le monopole est égale la somme des RT réalisé sur les
différentes M/ché, soit :
RT = ∑ Ri (Qi) avec Q ce sont les Qtés vendus.
- le CT est une fonction du volume de l’offre total, soit :
CT = C (∑ Qi) avec C c’est la fonct du cout.
- Donc le ∑ Ri (Qi) - CT = C (∑ Qi)
- Ce est Max° c'est la ∂ première de la fonct du 
⇔ ∂ Ri – ∂ C = 0 Donc le est Max lorsque: Rmai = Cma
Avec '' a '' est un seul M/ché, et ∂ c’est la dérivée partielle.
B- Le monopole simple : 
 Hypothèses  :
- il pratique un prix de vente unique sur tous les marchés.
 la maximisation du profit  :
- On sait que RT – CT
- Le Max lorsque : ∂  ⇔ ∂ RT - ∂ CT ⇔ Rm = Cm
(Condition du 1er ordre)
’’ ⇒ RT ’’ – CT ’’ ⇒ RT ’’CT ’’
(Condition du 2 eme ordre)
 le Monopsone :
- Caractéristique d'un marché sur lequel on trouve un demandeur
unique face à une multitude d'offreurs.
Ex : le M/ché de la canne à sucre.
- Le P du monopsone (Ps) est inferieure au prix de concurrence (Pc),
lui-même inferieure au P du monopole (PM) : PS <PC<PM
- La Qté acheté au monopsone comme en monopole soit QM est plus
faible qu’en concurrence QC.

(Voir p 53 et 54 et 55)
V. La concurrence monopolistique  :
 Caractéristiques (p : 57):
- La concurrence monopolistique est une structure de M/ché située à
mi-chemin entre le monopole et la concurrence pure et parfaite.
- La forme la plus observée dans la réalité économique d’aujourd’hui.
- Se caractérise par la différentiation des produits et un grand N/bre de
vendeurs.
- différentiation = produits non homogènes (hétérogène).
- Importance de l’entrée de concurrents sur le marché.
- En CPP la différentiation est par les prix.
- En Conc° Monop° la différentiation est par les produits.
- La C.M présente à la fois les caractéristiques du monopole et de la
CPP concernant la réalisation de l’équilibre.
 La concurrence monopolistique  à CT  :
(Ressemblance avec le monopole à CT)
- Comme le monopoleur, elle détient le pouvoir de déterminer à la fois
le P de vente de son pdts et la Qté qui maximise le profit.
- Elle doit se comporter comme un monopoleur pour déterminer le P*
et la Q* qui lui permettra d’atteindre son objectif : = Max
 Q* déterminé par : Rm = Cm.
 P* donné par sa courbe D.
 La concurrence monopolistique  à LT  :
(Ressemblance avec le CPP à LT)
- Comme il n’y a aucune barrière à l’entrée, lorsque les E/ses réalisent
des éco, elles attirent d’autres firmes Désireuse, elle aussi réaliser
des 
- L’arrivée de ces nouveaux concurrents fait baisser la demande à la
firme.
- A mesure que la courbe D se déplace vers le bas, la Qté qui
maximise le  diminue, et le prix baisse.
- A LT, les E/ses en con. Monop Réalisent un éco nul.
 Comparaison :
En CPP En CM

- P = Cm = CM - P = RM = CM
-  - P > Cm
- Eq : Min de CM - 
- Eq tangence de CM
avec RM
VI. L’oligopole  :
 Caractéristiques (p : 68):
- Situation où le Nbre de producteurs est limité et où l’action de chacun
d’entre eux influence celle des autres.
- Le volume de prod d’une firme influence la production totale.
- L’existence d’une interdépendance entre les différents offreurs.
- L’objectif de l’E/se est de maximiser un profit joint.
- Chacune des firmes doit tenir compte de la stratégie de ses rivales :
anticiper la réaction des autres à ses propres actions.
- Evincer ses concurrents, mais risque de guerre des prix, avec aucun
gagnant.
- Coopérer avec ses concurrents dans le but d’accroître le prix et le
profit à se partager en rationnant la demande.
 Stratégies  :
Ces strat différent selon la tendance de la recherche de profit joint Max
ou la recherche de la part de profit Max, on trouve :
- La coordination parfaite  : c’est une coopération entre firmes, par
des accords, ces derniers appelées aussi les cartels.
Le cartel : est une entente (accord) entre les producteurs dans un
M/ché sur le P* à affiché et que chacun s’engage à respecté.
Ex : L’OPEP est le cartel des producteurs de pétrole.
- La collusion : c’est un accord implicite ou explicite entre firmes en
places sans constitution d’un cartel.
- La firme pilote : opération basée sur le principe d’existence d’une
firme qui fixe la première, soit son P*, soit sa Qté.
- L’oligopole incoordonné : situation ou il n’existe pas d’une
coordination entres les firmes de la branche.
 Modèles :
 Stratégies relatives aux quantités 
- Modèle de Cournot  : chaque E/se choisit sa production de façon à
maximiser son profit, sur la base de ses anticipations quant au choix
de l’autre firme.
- Modèle de Bowley : chaque E/se agissent sur le contrôle de
l’adversaire, Cela débouche sur des équilibres instables.
- Modèle de Stackelberg : situation par lequel un E/se contrôle et
maitrise et l’autre s’adaptant. Cela débouche sur des équilibres
stables et durables.
 Stratégies relatives aux prix :
- Modèle de Bertrand  : les firmes se font concurrence par les Prix,
cela me conduire à l’élimination de l’un des concurrents et donc au
monopole.
VII. La théorie de jeux  :
- Une théorie de jeux est l'étude de l'interaction entre un groupe
d’agents rationnels qui se comportent de manière stratégique.
- Cette théorie est formulée par John Van Neuman et Oscar
Morgenesten.
- Elles a des applications dans plusieurs domaines.
- Ses règles sont :
 Les joueurs,
 Les espaces de stratégies (actions ou décisions),
 La séquence des décisions,
 Les gains ou l’utilité des joueurs,
 L’information à la disposition (parfaite/complété),
- La stratégie est un plan d'action global qui détermine ce que les
joueurs vont faire à chaque étape concernant les décisions pendant
le jeu.
- Les résultats d’un jeu peu se représenté par :
 Sous forme d’arbre (extensive),
 Sous forme d’une matrice (normale),
- Les jeux à sommes nulle : c’est un type de jeux non coopératif, chaque
joueur cherche seulement à son intérêt personnel, la somme des gains et
des pertes est nulle (ce que gagne l’un est perdu par l’autre).
- Les jeux à sommes non nulle : c’est un type de jeu, la somme des
gains et des pertes est différente de zéro (positive ou négative).
- L’équilibre du jeu : On appelle la solution d’un jeu, quand elle existe,
un équilibre, on distingue2 type de strat ;
 Une strat dominante : Une stratégie est dite dominante pour le
joueur A si, quelque soit l’action des autres joueurs, elle
permet de maximiser le gain du joueur A.
 Une strat dominée : Une stratégie est dite dominée pour le
joueur B si, quelque soit l’action des autres joueurs, elle
permet de maximiser un gain inférieur à celui d’au moins une
des autres strat à sa disposition.
- L’équilibre de Nash : est une combinaison de stratégies telles
qu’aucun joueur n’a intérêt à modifier sa stratégie.
- Le dilemme du prisonnier : est énoncé en 1950 par Albert W.
Tucker , caractérise en théorie des jeux une situation où deux
joueurs auraient intérêt à coopérer, mais où, en absence de
communication entre les deux joueurs, chaque joueur choisira de
trahir l'autre lorsque le jeu n'est joué qu'une fois. La raison à cela est
que si un coopère et l'autre trahisse, le coopérateur est fortement
pénalisé. Pourtant si les deux joueurs trahissent, le résultat est
moins favorable que si les deux avaient choisi de coopérer.
- Exemple voir p : 80,81.
N.B  : Pour plus de détails, lisez le livre !!
     KHoooooti laaaah yofaa9akom      

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