* université de Jijel*
*Faculte des scienses de la terre et de la vie*
*Réalisé par :
❖ Beltas Selma
❖ Medjider Rania
*Proposé par :
Mm-Tebib
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Sommaire
Introduction ………………………………………………………………………………...….3
I. Le béton………………………………………………………………………………………...3
A. Déffinition…………………………………………………………………………………..….3
B. Les types de béton…………………………………………………………………………..…3
II. La dégradation de béton……………………………………………………………………….6
A. Déffinition ……………………………………………………………………………..……..6
B. Les phases de dégradatiuon .......................................................................................................6
C. Origine de dégradation ……………………………………………………………………….7
1) La dégradation mécanique ……………………………………………………………………7
2) La dégradation chimoque ……………………………………………………………………..9
3) La dégradation phusique…………………………………………………...…………………11
4) D'autre cause de dégradation…………………………………………………………………14
Conclusion ………………………………………………………………………………......16
Bilbiographie…………………………………………………………………………………17
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Les structures de génie civil réalisées en béton armé sont souvent affaiblies par les pathologies
et les problèmes de dégradation ; de vieillissements, de corrosions, d’agressions diverses, etc…
qui les affectent durant leur vie, ceci est dû à l’environnement qui n’a pas été pris en considération.
La pathologie qui affecte le béton, et surtout, ceux qui sont classées dangereuses seront la cause de
son effondrement si elles sont ignorées. Ces structures étant « plus sensibles », il est indispensable
de les protéger efficacement et d’assurer une inspection et un entretien régulier de ces structures.
Le matériau béton, demeure depuis sa mise au point au début de XIXème siècle, l'élément clé
du domaine de la construction, et fait toujours partie intégrante de la construction au sens structural
du terme. Son emploi large et intensif sur des éléments de plus en plus complexes,
A. Définition :
Le béton est un matériau de construction qui se trouve dans divers domaines du génie civil, il
est le matériau le plus utilisé dans le monde grâce à sa simplicité de fabrication et de sa mise en
œuvre, ses avantages technico-économiques et ses performances ont fait de lui un matériau fiable
et robuste.
Le béton est issu d’un mélange intime de ciment, eau, granulats, et souvent des adjuvants,
réalisé suivant des proportions bien déterminées en fonction des caractéristiques que l’on veut
obtenir. L’ensemble doit être homogène. La pâte résultante des réactions entre le ciment et l’eau,
est l’élément actif du béton.
B. Les types de béton :
a. Le béton ordinaire :
Le béton est un matériau de construction composite résultant du mélange judicieusement dosé
d’un squelette granulaire (granulats : sable +graviers) et d’une matrice pâteuse durcissable
composée de ciment, d’eau et, éventuellement complété par des adjuvants et des additions. Il durcit
progressivement pour former finalement un monolithe. Selon sa formulation, sa mise en œuvre et
ses traitements de surface, ses performances et son aspect peuvent considérablement varier.
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Les BHP ont une porosité extrêmement réduite, plus résistants aux agents agressifs et de façon générale,
présentent une durabilité améliorée et une résistance accrue.
L'utilisation des Bétons à Hautes Performance « BHP » est actuellement en plein développement
dans le domaine du génie civil, notamment dans la construction des ouvrages d'art. Ils peuvent
supporter des charges supérieures ou permettre des constructions plus élancées. Ils peuvent
également présenter des formes plus complexes et permettent de réaliser de plus grandes portées.
c. Les BAP :
Le béton autoplaçant (BAP) se distinguent des bétons ordinaires principalement par son hyper
fluidité, et par ses propriétés à l’état frais, qui sont le résultat d’une formulation spécifique.
Le BAP a la capacité de se mettre en place par lui-même là où il est appliqué sans avoir recours à
un système de vibration pour l’homogénéiser grâce aux différents constituants qui le composent.
Figure 2. Constituants d’un béton Ordinaire (BO) et d’un BAP, Aspect à l’état frais.
Le BAP est majoritairement retrouvé dans les constructions au sol. Il est employé dans de
nombreuses applications : dalles, radiers, planchers chauffant, poteaux, poutres, voiles, fondations
superficielles.
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d’améliorer certaines caractéristiques du béton telles que la résistance en flexion ou la limitation de
la fissuration.
En effet, de par leurs propriétés, les fibres trouvent un vaste domaine d’applications où il faut
réduire les risques de fissuration, augmenter la résistance aux impacts et tirer parti de
l’amélioration de la performance du béton pour optimiser le dimensionnement des ouvrages. Le
béton fibré est utilisable dans tous les domaines du génie civil, aussi bien dans les constructions
industrielles, commerciales et institutionnelles, que résidentielles.
e. Le béton léger :
Le béton léger est un béton très malléable et très léger. Il est efficace pour tous les travaux de
rénovation. Il résiste aux chocs et remplit très bien sa mission d’isolant thermique. Le béton léger
s'emploie particulièrement pour les murs porteurs et les dalles.
f. Le béton lourd :
Le béton lourd dispose de granulats très lourds, ce qui permet de répondre à des besoins très
précis tels que les ouvrages des centrales nucléaires. L'emploi de ce béton permet de ne laisser
passer aucune trace de radiation et de répondre à des normes très strictes de sécurité
g. Le béton armé :
Le béton armé reprend les codes du béton pour fondation traditionnelle, mais auquel il est
rajouté un nouveau matériau : l’acier. En posant des armatures de cette matière, la solidité d’une
fondation en béton est renforcée. En effet, l’acier est un matériau très résistant aussi bien lorsqu'il
est tracté ou compressé.
Le principal objectif de ce béton est de compenser les principales faiblesses d’un béton plus
conventionnel, à savoir sa résistance globale, et les risques de fissuration sur le plus long terme
h. Le béton projeté :
Il s’agit d’un béton qui porte bien son nom, car il est volontairement projeté sur une surface
solide par le biais d’un projecteur d’air comprimé. Le but est de limiter l’affaissement et le coulage
ultérieur du béton. En termes de composition, le béton projeté dispose de caractéristiques similaires
au béton pour les fondations plus traditionnelles.
i. Le béton de ciment alumineux :
Le béton de ciment alumineux, se compose comme son nom l’indique de ciment alumineux. Ce
type de ciment, à base d’aluminate de calcium, apporte différents avantages au béton : la prise est
plus rapide, et la résistance est plus importante sur le long terme et également vis-à-vis des fortes
chaleurs.
j. Le béton précontraint :
Le béton précontraint est un béton ayant la particularité de rester dans un état de compression
optimal. Cet état de compression permet au béton d’être utilisé dans les meilleures conditions, ce
qui favorise une meilleure finition.
k. Le béton prêt à l’emploi :
Les bétons prêts à l’emploi sont des bétons directement conçus par les industriels dans leurs
centrales à béton. Il est ensuite transporté à l’aide d’un camion toupie et directement transféré sur
les chantiers clients. Une fois sur place, le béton prêt à l’emploi est appliqué par le camion toupie,
soit par la pompe à béton, soit par la goulotte.
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Type de béton Aventages
Malléable et léger
Béton légèr Résistant aux chocs
Répond à des normes de sécurité très strictes
Béton lourd Dispose de granulats très lourds
A. Définition :
Avant, pendant et après la prise du béton, de multiples phénomènes interviennent et les
conditions de leur déroulement influencent directement la durabilité du béton.
Le système chimique qui caractérise le béton se traduit par un milieu fortement basique dont le
pH varie de 12.5 à 13.5. Ce système est en déséquilibre avec le milieu environnant dont le pH est
généralement très inférieur. Ce déséquilibre favorise de multiples formes d'agressions chimiques,
l'eau est le premier vecteur d'agression.
Plus le béton est poreux, plus il est exposé aux agressions extérieures, synonymes d'altération et
donc d'atteinte à la durabilité, mais le béton possède aussi des mécanismes de défense, par ses
couches protectrices, s'il est suffisamment dosé et de forte compacité, les risques d'altération sont
relativement faibles.
B. Les phases de dégradation :
La dégradation du béton armé comporte deux phases successives:
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•Une phase d’incubation ou de latence (dite parfois d’amorçage) qui correspond à l’altération lente
du béton, sans qu’il ne se produise encore des effets visibles,
•Une phase de développement (dite parfois de croissance) des dégradations du matériau. La phase
d’incubation s’arrête:
*Soit lorsque les produits formés par les réactions internes du ciment atteignent un “volume
critique ” provoquant un gonflement néfaste du béton (par exemple, par réaction sulfatique.
*Soit lorsque l’enrobage de béton ne protège plus les aciers contre la corrosion (par exemple, si
l’enrobage est carbonat).
La phase de développement est celle où les dégradations sont visibles. A ce stade les réparations
deviennent lourdes et coûteuses.
C. Origine de la dégradation :
Il y a plusieurs origines des dégradations:
-Dégradation d'origine chimique.
-Dégradation d'origine mécanique.
- Dégradation d'origine physique.
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comme un impact ou une explosion, provoquent une dislocation plus ou moins importante du
béton, le lien entre les dégâts et leur cause est généralement évident. Avant de procéder à des
réparations, on s’assurera toutefois que d’autres mécanismes de dégradation actifs ne doivent pas
être traités au cours des travaux.
Des désordres résultant d’une faible surcharge permanente ou d’un tassement des appuis
sont en effet plus lents à se manifester, notamment en raison du fluage du béton. Outre une
inspection in situ, une étude de stabilité sera nécessaire afin d’évaluer l’action d’une surcharge
éventuelle.
a. Erreurs de conception et d'exploitation:
Les différentes erreurs de conception peuvent être résumées comme suit :
Un tassement: il résulte de 2 types de tassement :
*Lorsque les tassements sont uniformes, ils ne provoquent pas de désordres dans les
constructions, si ces dernières possèdent une certaine raideur.
* Lorsqu'un sol tasse d'une façon inégale sous les différents points d'une fondation, on dit
qu'il y a un tassement différentiel. Il se manifeste soit par un basculement soit par de graves
désordres dans les éléments non structuraux et parfois dans la structure elle-même si les
efforts sont incompatibles avec la sécurité des matériaux.les causes de ces tassements sont
multiples, mais les plus fréquemment rencontrés sont:
Les sols compressibles ; les remblais récents ; les remblais d'épaisseurs ; la non homogénéité
du sous-sol de fondations ; l'emploi des fondations hétérogènes
Une poussée à vide dans les escaliers.
Une surcharge que la structure ne peut subir c'est-à-dire qu'il s'agit d'ouvrages ayant supporté
des charges trop importantes qui ont entraîné des fissurations et des éclatements du béton:
Un manque de joints.
Un manque de joints.
b. Défauts d'exécution :
Le défaut d’exécution sont dus généralement à :
Une mauvaise position des armatures d'aciers.
Une mauvaise mise en oeuvre du béton.
Un mauvais coffrage.
Une mauvaise formulation du béton.
Un recouvrement insuffisant des armatures d'aciers.
c. Le phénomène de choc peut provenir de :
Les chocs des véhicules sur pont
Les chocs de bateaux sur piles.
La mauvaise manutention d'éléments préfabriqués
Ondes de chocs : Le béton est susceptible de s'épaufrer quand il est soumis à des ondes de
choc. Ceci est dû aux différentes vitesses de propagation des ondes dans les différents
matériaux (les agrégats, le liant et les armatures). La résistance aux chocs peut être améliorée
par l'emploi pour la confection du béton, d'agrégats anguleux et rugueux et par l'utilisation de
sections fortement armées.
d. Dégradation des matériaux :
Erosion, abrasion, chocs.
Altération physico-chimique du béton.
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2) Les dégradations chimiques :
a. Réaction alcali-granulat :
La réaction alcali-granulats est une réaction chimique à évolution lente entre certains granulats
dits « réactifs » et les alcalins normalement présents dans la solution interstitielle du béton ou
introduits par des agents extérieurs. Cette réaction conduit à la formation d’un gel de silicate suivie
d’un gonflement du béton qui provoque une fissuration importante et une perte de résistance
considérable. Afin qu’une réaction alcali-granulats ait lieu, les trois conditions suivantes doivent
être réunies mais ne donnent pas forcément lieu à la réaction :
présence de granulats potentiellement réactif : La réaction se produit seulement si la teneur en
réactifs se situe à l’intérieur d’un domaine critique (pessimum) dont les limites dépendent de
la composition minéralogique des constituants.
humidification permanente ou régulière de la structure teneur élevée du béton en alcalis.
Teneur suffisante en alcalins dans le béton (calcium, sodium).
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- Teneur en SO3 et Al2O3 (C3A) du ciment,
- Formulation du béton (dosage en ciment, E/C, granulats);
- Humidité relative du milieu.
➢ Dégradation dus à la réaction sulfatique interne : Les désordres provoqués par l’attaque
sulfatique sont dus principalement au gonflement du béton.
-un faïençage à mailles plus ou moins larges
-éclatements localisés de la matrice cimentaire au droit du granulat.
c. Attaques Acides :
Le béton présente un caractère basique élevé induit par les composés hydratés de la pâte de
ciment (la phase interstitielle contenue dans le béton a un pH très élevé).
Il peut donc présenter une certaine réactivité vis-à-vis des solutions acides telles que les
pluies acides, les eaux naturelles chargées en dioxyde de carbone, les eaux résiduaires, les eaux des
industries agroalimentaires ou industrielles contenant des acides organiques, les eaux chargées en
acides minéraux, mais aussi les eaux pures.
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Figure 8. Lixiviation.
e. Carbonatation:
La portlantdite du ciment réagit petit à petit avec le CO2 de l’air. Cette réaction réduit donc le
pH du béton de 13 à 9. Lorsque le front de carbonatation atteint les armatures, elles corrodent les
armatures qui gonflent et éclatent le béton.
Il résulte de e gros désordres structurels se présentent .Les aciers perdent beaucoup en résistanc
et le béton risque de rompre.
Le CO2 ainsi diffusé réagit avec les principaux hydrates, notamment la portlandite selon la
réaction suivante (1): Ca(OH) 2 +Co2 +H2o CaCo3 +2H2o
Le calcium Ca2+ est dissout et passe en solution, abaissant la basicité de la solution interstitielle
jusqu’à un pH inférieur à 9, l’acier est alors dépassivé. Dès lors, les armatures s’oxydent selon
l’équation: Fe Fe2+ +2e-
Les principaux facteurs influant la carbonatation sont : la composition du béton ,le dosage en
eau et en ciment rapport E/C; le milieu et la nature de l’ouvrage, le rapport surface/volume
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la rouille. Cette rouille possède un volume très supérieur à celui de l’acier dont elle est
issue.
Corrosion des armatures dans les structures en béton armé : la corrosion des armatures
passives dans un ouvrage en béton armé provoque :
o Un éclatement du béton résultant de l’important gonflement de l’acier lors de son
passage à l’état rouille ;
o La diminution de la résistance à la fatigue et de la ductilité des armatures.
Figure 10. Corrosion des armatures dans les structures en béton armé
3) Les dégradations physiques :
a. Le retrait :
Il en existe de différents types et à divers stades de la vie du béton, mais tous mènent au même
résultat, une réduction du volume du béton par réaction chimique. Ce phénomène, s’il est empêché
par frottement, mènera inévitablement à des fissures. Un béton composé avec beaucoup de ciment
aura plus tendance à se retirer, donc il faudra faire attention à la formulation.
Le retrait hydraulique s'effectue sous l'action de l'évaporation d'une partie de l'eau de gâchage
b. Le ressuage:
Lors de son séchage, le béton se tasse et une pellicule d’eau vient se former à sa surface. Les gros
granulats ou les armatures peuvent faire office d’obstacle à ce tassement et ainsi fissurer le béton
avant sa prise complète.
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Ce phénomène est aggravé, en surface, par l’application des sels de déverglaçage (ou fondants
routiers), qui engendrent un accroissement des gradients de concentrations en sels générant ainsi
des pressions osmotiques plus élevées.
Les dégradations occasionnées par le gel peuvent être de deux types:
–Une microfissuration répartie dans la masse du béton (feuilletage parallèle aux parois) provoquée
par un mécanisme de gel interne;
–Un délitage de la zone superficielle (dégradation superficielle), appelé écaillage, sous l’effet
conjugué des cycles de gel-dégel et des sels de déverglaçage.
Cycles dé gel-dégel : ces dégradations affectent principalement les parties non protégées
par un revêtement étanche et sont amplifiées par l’utilisation de sels anti-verglas.les
symptômes les plus courants sont l’écaillage de surface et le gonflement de tout ou d’une
partie de la structure accompagnée le plus souvent d’une fissuration en réseau.
Figure 12. Photo réalisée par le MEB d’une fissure interne causée par Gel-Dégel.
Sels dé déverglaçage : Les sels de déverglaçage employés pour faire fondre la glace induisent
une réaction endothermique, c.-à-d. une réaction au cours de laquelle le milieu environnant
cède une partie de sa chaleur. En l’occurrence, la chaleur est prélevée dans la couche
superficielle du béton qui,en raison de la chute brutale de température, subit un choc
thermique et s’expose ainsi à un risque d’écaillage. Le risque de dégradation par le gel est
encore accru lorsque des précipitations neigeuses prolongées alternent avec des épandages de
sels répétés et que la couche superficielle du béton peut se trouver saturée en eau. La nature
des sels de déneigement peut également avoir une incidence sur le processus de dégradation
observé
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Figure 14. Fissures polygonales et zones d’érosion par abrasion.
e. L'abrasion :
Le phénomène d’abrasion est due généralement à :
Une circulation intense de l'eau (barrages).
Les charges mécaniques répétées (chaussées, dallage industriel(.
L’action du courant d'eau sur corps immergés ou flottants (piles de ponts, plate-forme
...etc).
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Vibration trop importante : une vibration trop longue peut entraîner une ségrégation du béton et
par conséquent une mauvaise répartition des constituants.
Absence de cure du béton : la cure du béton est indispensable par temps chaud venté. Sans
protection de surface, le béton se faïence en surface.
a. Efflorescence :
L'efflorescence est le résultat de l'hydrolyse des composants da la pâte de ciment dans le béton.
L'efflorescence est indiquée par la présence des dépôts blancs sur le béton, le plus souvent sur le
dessous des ponts et viaducs et indique que l'eau utilisée dans le processus de mélange de béton a
été contaminée.
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Figure 18. Ségrégation des éléments de béton.
Tous les ouvrages en génie civil sont soumis à des sollicitations toujours croissantes dont les
causes sont multiples. Ceci engendre des dégradations résultant de l’augmentation des charges et
des divers phénomènes naturels et physico-chimiques qui sont enregistrés et s’ajoutent au cycle
naturel du vieillissement des structures. Donc une connaissance aussi précise que possible des
mécanismes de dégradation des matériaux, et perte de performance ou de comportement, sont dues
à plusieurs facteurs qu’on ne peut pas maitriser
A cet effet la compréhension des mécanismes de dégradation nécessite la maitrise des
méthodes de surveillance, de détection des causes et des pathologies
L’apparition de ces problèmes ne laisse que deux solutions: la reconstruction ou la réparation.
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Bibliographie
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académique . s.l. : université de Larbi Tébéssi, 2015-2016.
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d’endommagement d’une poutre. Mémoire de master . Geulma : Université de 08 mai
1945, juin 2018.
3. Khobizi, S. Réhabilitation des structures en béton armé. Mémoire de mastre .
Geulma : Université de 08 mai 1945 , Juin 2017.
4. Kaouadji, MS. Dégradation au niveau de l'usine Alizinc constates et
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5. Kaci, O. Outil d'aide à la décision applique aux ouvrages d"arts. Mémoire de
mastre . Tizi-ouzou : Université de MOULOUD MAMMERI, 2016-2017.
6. La corossion et les ouvrages en béton armé dans les zones humiude en Alégrie :
cas de wilaya d'Annaba. Chabbi, R et Ferhoune, N et Bouabdallah, F. Oran :
Université de Larbi Ben Mhidi, Novembre 2018.
7. Meziane, L. Etude éxpérimentale d'un béton faibré ultra haute performances
(BFUP) à base de sable de dune . Mémoire de mastre . Tizi-ouzou : Université de
Mouloud Mammeri, 2018-20119.
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