la revue História Viva, sur l’héritage français au Brésil, de faire en sorte que le Brésil connaisse l’influence qu’il
ainsi qu’un travail pour exposer les relations aéronau- exerce sur d’autres sociétés.
tiques entre les deux pays (de Santos-Dumont à Saint-
Exupéry et à l’aventure de l’Aéropostale), en plus de la Pour lui, le plus important c’est l’échange, ou la « flui-
présentation de groupes français qui jouent des rythmes dité », selon ses propres mots. Ses projets avancent :
brésiliens, comme la « batucada » (Zalindé), le « maraca- soutien à Bande Ciné (groupe brésilien qui chante en
tu » (Maracatu Nação Oju-Oba) et même la musique du français), au chanteur guyanais Chris Combette, à la
carnaval (avec l’école de samba Bloco de Paris). « capoeira », aux manifestations rituelles comme le
« candomblé », aux peintres brésiliens et à tant d’autres.
Le brésil à voir par le brésilien L’année de la France au Brésil n’a pas encore commencé,
L’intérêt de cette partie du projet serait justement de mais nous pouvons être sûrs que Jean-Pierre Guis sera un
montrer aux Brésiliens le travail d’appropriation que les des noms emblématiques de l’événement.
groupes français développent à partir de notre culture.
Ce serait une présentation enrichie par les traditions des Traduction: V.O.