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Les mercantilists
Selon eux, les objectifs visés sont simples : richesse et puissance et pour ce faire, on compte trois
facteurs de croissance :
Roles Etat
être centralisé pour pouvoir imposer sa politique et contrôler les échanges commerciaux
Les physiocrates
En réponse aux mercantilistes, les physiocrates affirment que l’État n’a pas à intervenir dans la sphère
économique.
C’est inutile puisque l’économie est gouvernée par des lois naturelles analogues aux lois physiques. Cela
met tout le monde sur un pied d’égalité si on respecte la « liberté du commerce » et la « liberté de
l’industrie ». Bannir les « servitudes seigneuriales » pour les paysans et les « servitudes
gouvernementales » pour les industriels qui mettent des freins au développement économique. Il faut «
laisser faire, laisser passer » et supprimer toutes les barrières douanières.
les physiocrates estiment que seule la nature, et donc les paysans, produisent de la richesse. Les
propriétaires fonciers vivent du surplus dégagé par les agriculteurs. Artisans et ouvriers, ils ne font que
transformer des produits qui proviennent de la natute -- une « classe stérile »
Les classiques
l’intervention directe de l’État dans l’économie doit être limitée au minimum nécessaire pour garantir le
bon fonctionnement du marché ( pensee liberale)
la « baisse tendancielle du taux de profit ». Cette baisse progressive du profit s’explique ainsi : ce qui
donne de la valeur à un produit, c’est, pour Marx, le travail qui a été nécessaire pour sa production.
Mais les capitalistes doivent investir de plus en plus dans les moyens de production (les machines,
aujourd’hui les ordinateurs, les robots…) pour faire face à la concurrence. Il faut donc de plus en plus de
capital pour financer ces investissements, mais la valeur des biens produits n’augmente pas pour autant
puisque cette valeur repose, selon la théorie marxiste, sur le travail uniquement. Le taux de profit baisse
ainsi inévitablement.
Les keynesiennes
Si la demande est forte, l’offre trouvera toujours du capital pour financer les investissement
- Les marches ne conduissent pas naturellement a l’optimum eco. Cela conduit en fait a un
blocage de prix a un minimumqui est celui ou l’entreprise ne fait plus de benefice.
Donc pas d’alternance infletion et deflation, mais sous emploi et suremploi de l’outil de production.
L’ajustement ne se fait pas par une baisse de salaire, mais par une hausse du chomage
- L’Etat doit augmenter ses depenses, sans augmenter les impots. Consequences : reduir la
demande privee – hausse de demande globale(reprise de la production, baisse de chomage)
Le monnaitarisme
L’augmentation de masse monnaitaire se traduit par l’augmentaion des prix, donc inflation(monnaie
instrument d’echange, ne cree la richesse)
Le volume de la monnaie en circulation (la « masse monétaire ») doit être suffisant pour financer les
transactions correspondant à l’activité économique d’un pays. Pas plus pas moins.
Neoclassique
avant de décider d’investir, de produire, de consommer ou d’épargner, tous les agents économiques
utilisent rationnellement les informations de plus en plus nombreuses dont ils disposent.
avant d’agir, nous anticipons l’avenir. Ces « anticipations rationnelles » sont immédiates, selon les
nouveaux classiques. Inutile donc, par exemple, de tenter de relancer la consommation en baissant les
taux d’intérêts ou en augmentant la masse monétaire. Les banques vont anticiper une reprise de
l’inflation et remonter les taux de prêts aux consommateurs. Cette course à l’échalote rend donc vaine
les politiques économiques puisque les acteurs anticipent ses conséquences négatives.