ENCG SETTAT
1
CHAPITRE I : ANALYSE DU BILAN
2
La signification de l’analyse fonctionnelle :
A. LA CONCEPTION PATRIMONIALE DE
L’EQUILIBRE FINANCIER :
4
Dans l’approche patrimoniale du bilan, l’appréciation du degré de liquidité
des actifs et d’exigibilité des passifs repose sur la maturité à plus ou moins
un an.
Selon cette appréciation, un actif réalisable à court terme (CT) est un actif
dont le délai de transformation en monnaie est inférieur à un an et une
dette exigible est une dette à moins d’un an.
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B. LA CONSTRUCTION DU BILAN
PATRIMONIAL :
Actif Passif
Actif à plus d’un an Capitaux propres
Actif à moins d’un an Dettes à plus d’un an
Trésorerie Actif Dettes à Moins d’un an
Trésorerie Passif
La somme des capitaux propres (par nature non exigibles) et les dettes à
plus d’un an constitue le financement permanent.
6
- La prise en compte d’éléments hors bilan comptable.
7
- le stock rossignol : qui correspond soit à un produit fini ou
marchandises difficilement vendable sur le marché (démodé,
comportant des défauts ….)
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Deux exemples :
9
A défaut de précisions, elles sont attachées aux dettes à plus d’un
an.
10
e. Les subventions d’Les subventions
d’investissements et provisions réglementées
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Les provisions réglementées : sont des constatées
principalement afin de bénéficier d’avantage fiscal. A ce titre,
on peut citer comme exemple l’amortissement dérogatoire qui
correspond à la différence entre l’amortissement fiscal et
l’amortissement économiquement justifié. Cet amortissement
dérogatoire correspond pour les premières années de la durée
de vie du bien à un avantage donnant droit à une déductibilité
fiscale, après cela, il se transforme en reprises imposables.
L’approche patrimoniale suppose la liquidation de l’entreprise
de ce faite, l’impôt latent inclut dans les provisions régentées
doit être intégré dans les dettes à court terme.
Exemple :
La valeur d’entrée d’un bien est 100000 Dhs.
L’amortissement linéaire sur une durée de 5 ans est
économiquement justifié.
En vertu d’un texte fiscal on peut bénéficier pour bien d’un
avantage fiscal (amortissement dégressif)
L’entreprise a décidé de :
- Présenter correctement ces états de synthèse
en respectant la notion de l’image fidèle ;
- Bénéficier de l’avantage fiscal ;
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Présentation du tableau d’amortissement
Le taux dégressif correspond au taux linéaire pondéré par un coefficient
qui dépond de la durée de vie du bien :
Durées Coefficient
Entre 3 et 4 1,5
Entre 5 et 6 2
Supérieure à 6 ans 3
13
C. LE FONDS DE ROULEMENT
PATRIMONIAL : FDR
14
circulants (baisse des ventes, sur-stockage, retard dans le recouvrement
des créances …). Un FDR financier négatif indique que l’équilibre financier
n’est pas respecté et que les risques d’insolvabilité sont probables.
Remarque :
15
D. LES RATIOS :
a. La liquidité
16
- Le ratio de liquidité immédiate. Ce ratio mesure la capacité de
l’entreprise à payer ses dettes à CT en utilisant ses disponibilités.
Il est devenu peut significatif en raison des découverts bancaires
accordés aux entreprises et de la gestion de trésorerie proche de
zéro.
b. La solvabilité
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E. LES LIMITES DE L’APPROCHE
PATRIMONIALE :
18
F. APPLICATION :
Le bilan de la société « YAH » avant répartition des résultats se
présente ainsi :
Bilan au 31/12/2007 (en valeurs)
Informations complémentaires :
- Divers matériels de transport, totalement amortis, ont une valeur actuelle
de 182.000 Dhs
- Le stock outil, considéré comme immobilisé est évalué à 800.000 Dhs
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- Les titres et valeurs de placements, représentent la valeur de 200 actions
acquises à 728 Dhs l’une ; ces titres sont côtés en Bourse à 780 dhs.
- Un client débiteur de 142.000 Dhs est en liquidation judiciaire, la perte
probable s’élève à 75% du montant de la créance. (aucune provision n’a
été constituée).
- La provision pour risque représente le montant de dommages et intérêts
que l’entreprise a été condamnée à verser après le licenciement d’un
salarier. (le comptable a omet d’annuler la provision).
- La provision pour charge créée pour couvrir le montant d’une grosse
réparation qui s’effectuera au cours de février 2008.
Travail à faire :
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Solution :
Actif fictif
-Imm non val -120000 -120000
-Prime de remb -300000 -300000
1-créances à + 25200 -25200
+ d’un an
2-immobilisations -143900 +143900
à – d’un an
3-dividendes -312500 +312500
4-dettes de fin -845800 +845800
à moins d’un an
*1 plus value sur +182000 +182000
actif immobilisé
* 2 stocks outil +800000 -800000
*3 plus value sur +10400 +10400
Titres de participa
*4 moins value sur -106500 -106500
Créances
*5 provision sans +150000 -150000
Objet
*6 provision à -60000 +60000
Court terme
* 7 impôts latents -70770 +70770
sur plus value et
moins value
Total général 3689500 2612500 1034500 89300 4245130 812700 2308570 0
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*3- Pour les titres de participation on constate une plus-value unitaire
de (780-728) = 52 Dhs pondéré par le nombre d’action de 200 actions
Plus-value nette est de (52x200) soit 10400 Dhs. Les titres et valeurs
de placement ne sont pas facilement cessibles c’est pour cette raison
qu’ils resteront dans les créances à court terme.
*4- En principe, les pertes latentes sont couvertes par des provisions or
le comptable a omet de passer cette provisions c’est pour cette raison
qu’on doit constater la perte : 142000 x 0,75 = 106500 dhs
*5 - La provision pour risque n’est plus justifiée. En effet, le risque
qu’elle couvrait n’existe plus. On doit alors l’annuler sans oublier
l’incidence fiscale (les reprises sur provisions sont des produits
imposables)
*7- Tableau des plus-values et moins-values :
Plus-values Moins-values
Immobilisations corporelles 182000
Titres et valeurs de placement 10400
Provision sans objet 150000
Créances perdues 106500
Total 342400 106500
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Bilan financier :
Actif Valeurs nets Passif Valeurs nets
Immobilisations 3689500 Capitaux propres 4245130
Stocks 2612500 Dettes à LT 872100
Créances à CT 1034500 Dettes à CT 2308570
Trésorerie Actif 89300 Trésorerie Passif 0
Total 7425800 Total 7425800
23
II. LE BILAN FONCTIONNEL
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De manière générale, le bilan fonctionnel peut se présenter
comme suit :
Actif Passif
Immobilisations Brutes Capitaux Propres y compris les
amortissements et provisions sur actif
immobilisé
Actif Circulant Hors Trésorerie Passif Circulant Hors Trésorerie
Trésorerie Actif Trésorerie Passif
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A. LA CONCEPTION FONCTIONNELLE DE
L’EQUILIBRE FINANCIER :
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Le bilan fonctionnel représente la photographie à un moment donné du
déroulement de ces cycles et permet de voir comment s’effectue le
financement des emplois par les ressources.
Au sens strict on peut éclater le cycle d’exploitation en 3 sous cycles :
B. PRESENTATION :
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Actif Passif
Actif immobilisé brut Ressources stables
Le bilan fonctionnel peut être présenté sous la forme d’un graphique ; les
masses sont alors exprimées en pourcentages. Cette présentation en
facilite la visualisation et permet une comparaison rapide de plusieurs
bilans.
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La construction du bilan fonctionnel consiste à effectuer divers
reclassements et retraitements destinés à permettre le passage du bilan
comptable avant répartition du résultat au bilan fonctionnel.
C. LES RETRAITEMENTS :
a. De l’Actif :
- Les postes d’immobilisation
o L’ensemble des immobilisations inscrites dans le bilan
comptable se retrouve dans le bilan fonctionnel.
o Les immobilisations amortissables. Il faut vérifier l’état
général des immobilisations corporelles (constructions et
matériels). Un taux d’usure (amortissement/immobilisations
brutes amortissables) qui est supérieur à 80% signifie
souvent que les entreprises ne sont plus en mesure de
renouveler leurs immobilisations. Dans le cas
d’immobilisations peu élevées, il faut vérifier si l’entreprise
n’a pas financé du matériel par crédit-bail.
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Méthode :
- On ajoute en immobilisation corporelle la valeur d’origine des biens
du crédit-bail ;
- On ajoute en fonds propre interne (ressource stable) les dotations
aux amortissements qui ont été pratiquées sur le bien considéré.
- On ajoute aux dettes de financement la valeur nette
d’amortissement du bien en crédit-bail.
- L’actif circulant
o L’actif circulant d’exploitation. On retrouve la totalité des
stocks en valeur brute, les avances que l’entreprise a faites à
ses fournisseurs, les créances clients,
o les autres créances d’exploitation (salariés, Etat …).
o Les créances clients. Il faut être vigilant en cas de forte
augmentation car cela signifie soit que l’entreprise se
développe rapidement et est donc fragilisée, soit que le poste
client est mal maîtrisé et que le risque d’impayés peut
devenir important.
30
d’affacturage contre règlement de ces créances (déduction faite
d’un intérêt et des frais de gestion). La différence entre les effets
de commerce et l’affacturage est que la société d’affacturage ne
peut se retourner contre l’entreprise en cas de non-paiement
Méthode de retraitement :
31
étrangères (donc en devise). Il y a donc un risque de change (perte
ou gain d’attente).
Méthode de retraitement :
b. Du passif
32
obligataires convertibles (les porteurs de l’obligation peuvent
demander à certaines périodes la conversion de leur
obligation en une action), les autres emprunts obligataires,
les emprunts financières diverses, et les emprunts de crédit-
bail.
33
Les intérêts courus non échus : ces intérêts sont payés
un an après.
- La trésorerie de passif :
o On y trouve les financements de CT :
Concours bancaires courants et les soldes créditeurs
de banque
Les obligations cautionnées : l’entreprise peut
bénéficier, à un moment donné, d’un report de
paiement (exemple : la TVA) mais en contrepartie elle
doit trouver un établissement
34
D. INTERPRETATION DU BILAN
FONCTIONNEL :
Rappel : une des règles de l’équilibre financier est que les emplois
durables doivent être financés par des ressources durables. Le
fonds de roulement représente une ressource durable (ou
structurelle) mise à la disposition de l’entreprise pour financer des
besoins du cycle d’exploitation. Il s’agit donc pour l’entreprise
d’une marge de sécurité financière destinée à financer une partie
de l’actif circulant. Son augmentation accroît les disponibilités de
l’entreprise.
35
(firmes industrielles <> firmes commerciales). En effet, plus le
cycle d’exploitation est long, plus le BFR sera important.
Mais il possède également une dimension temporaire qui évolue
On fonction des fluctuations saisonnières (agissant sur les
ventes, les achats et les stocks) et du niveau d’activité (le BFR
varie en fonction du CA). Cette distinction pose le problème de
savoir quelle est la nature du financement qui sera affecté à ces
deux parties. La partie variable du BFR peut être financée par des
ressources à CT. La partie fixe du BFR ne peut être financée que
par des ressources à LT car il s’agit de besoins durables.
36
Représentation graphique :
Valeur
BFR Exploitation
Temps
37
Le BFR évolue constamment dans le temps au grès du cycle.
Si le BFR > 0, il y a plus d’élément à financer que de financement reçu.
Si le BFR < 0, les ressources excédent les emplois. Il est bien sûr
préférable d’avoir un BFRE négatif car sinon il faut le financer par de
la dette ce qui est coûteux pour la firme.
38
Le fonds de roulement
39
La trésorerie
TN = FDR – BFR
40
Si la trésorerie est proche de zéro alors l’équilibre financier
fonctionnel est également respecté. Cette situation est considérée
comme la meilleure du point de vue de l’analyse fonctionnelle.
Diminution du FDR - Ressources durables Diminution de la marge de sécurité, elle peut être la
+ Emplois stables conséquence du financement d’investissement durable
41
irrégularités et ceci pendant de courtes périodes.
En pratique, le BFR évolue avec le niveau d’activité. L’entreprise
se doit donc de déterminer la tendance de son BFR pour ajuster le FDR.
Les ratios
A partir d’un bilan fonctionnel, l’entreprise peut calculer :
42
E. APPLICATION :
Le bilan avant répartition de l’entreprise KAHY est spécialisé dans la
fabrication et la commercialisation de pièces de rechanges se présente au
31/12/2007 comme suit en milliers de dirhams (KDH) :
Actif :
EXERCICE du 2007 EXERCICE
ACTIF Brut Amortissements PRECEDENT
et provisions Net Net 2006
IMMOBILISATIONS EN NON VALEUR(A) 4 920,00 3 480,00 1 440,00 2 520,00
• Frais préliminaires 3 120,00 2 480,00 640,00 720,00
• Charges à répartir sur plusieurs exercices 1 800,0 1 000,00 800,00 1 800,00
• Primes de remboursement des obligations - - - -
A IMMOBILISATIONS INCORPORELLES(B) 16 800,00 2 080,00 14 720,00 8 200,00
C • Immobilisations en recherche & développement - - - -
T • Brevets. marques. droits. et valeurs similaires 16 800,00 2 080,00 14 720,00 8 200,00
I • Fonds commercial - - - -
F • Autres immobilisations incorporelles - - - -
IMMOBILISATIONS CORPORELLES(C) 110 760,00 33 476,00 77 284,00 62 200,00
I • Terrains - - - -
M • Constructions - - - -
M • Installations techniques. matériel et outillage - - - -
O • Matériel transport - - - -
B • Mobilier. matériel de bureau et aménagements - - - -
I • Autres immobilisations corporelles 110 760,00 33 476,00 77 284,00 62 200,00
L • Immobilisations corporelles en cours - - - -
I IMMOBILISATIONS FINANCIERES(D) 3 780,00 80,00 3 700,00 5 200,00
S • Prêts immobilisés - - - -
E • Autres créances financières et Titres de Partic 3 780,00 80,00 3 700,00 5 200,00
• Autres titres immobilisés - - - -
ECARTS DE CONVERSION - ACTIF(E) 2 000,00 2 000,00 -
• Diminution des créances immobilisées - - -
• Augmentation des dettes financières 2 000,00 2 000,00 -
TOTAL I (A + B + C + D + E) 138 260,00 39 116,00 99 144,00 78 120,00
STOCKS(F) 14 280,00 460,00 13 820,00 12 440,00
A • Marchandises 14 280,00 460,00 13 820,00 12 440,00
C • Matières et fournitures consommables - - - -
T • Produits en cours - - - -
I • Produits intermédiaires. et produits résiduels - - - -
F • Produits finis - - - -
CREANCES DE L'ACTIF CIRCULANT(G) 29 756,00 1 512,00 28 244,00 24 620,00
• Fournisseurs débiteurs avances et acomptes - - - -
C • Clients et comptes rattachés 28 790,00 1 512,00 27 278,00 23 500,00
I • Personnel - - -
R • Etat - - -
C • Comptes d'associés - - -
U • Autres débiteurs - - - -
L • Comptes de régularisation Actif 966,00 - 966,00 1 120,00
43
A TITRES & VALEURS DE PLACEMENT(H) 620,00 20,00 600,00 1 200,00
N ECARTS DE CONVERSION - ACTIF(I) - - -
T (Eléments circulants) - - -
TOTAL II (F + G + H + I) 44 656,00 1 992,00 42 664,00 38 260,00
T
TRESORERIE – ACTIF 4 705,00 - 4 705,00 4 170,00
R
R
• Chèques et valeurs à encaisser - - - -
E
E
• Banque. T.G. et C.C.P. - - - -
R
S
• Caisse, Régies d'avances et accréditifs 4 705,00 - 4 705,00 4 170,00
I
O
TOTAL III 4 705,00 - 4 705,00 4 170,00
E
TOTAL GENERAL I + II + III 187 621,00 41 108,00 146 513,00 120 550,00
44
Passif
EXERCICE
PASSIF EXERCICE 2007
2006
CAPITAUX PROPRES 82 410,00 78 600,00
• Capital social au personnel (1) 62 600,00 60 000,00
• moins : actionnaires, capital souscrit non appelé
capital appelé
dont verse ........................
• Prime d'émission. de fusion. d'apport 650,00 -
• Ecarts de réévaluation - -
• Réserve légale 15 000,00 13 600,00
• Autres réserves - -
• Report à nouveau (2) - -
• Résultats nets en instance d'affectation (2)
• Résultat net de l'exercice (2) 4 160,00 5 000,00
Total des capitaux propres (A) 82 410,00 78 600,00
CAPITAUX PROPRES ASSIMILES(B) 2 160,00 1 600,00
• Subventions d'investissement 1 200,00 1 600,00
• Provisions réglementées 960,00 -
DETTES DE FINANCEMENT(C) 24 374,00 10 960,00
• Emprunts obligataires - -
• Autres dettes de financement 24 374,00 10 960,00
PROVISIONS DURABLES POUR RISQUES ET CHARGES(D) 1 540,00 1 000,00
• Provisions pour risques 1 540,00 1 000,00
• Provision pour charges - -
ECARTS DE CONVERSION - PASSIF(E) - -
• Augmentation des créances immobilisées. - -
• Diminution des dettes de financement - -
TOTAL I (A + B + C + D + E) 110 484,00 92 160,00
DETTES DU PASSIF CIRCULANT(F) 33 269,00 26 790,00
• Fournisseurs et comptes rattachés 19 238,00 17 040,00
• Clients créditeurs. avances et acomptes - -
• Personnel
• Organismes sociaux 8 000,00 5 000,00
• Etat 680,00 340,00
• Comptes d'associés
• Autres créanciers 4 711,00 3 540,00
• Comptes de régularisation – passif 640,00 870,00
AUTRES PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES(G) - -
ECARTS DE CONVERSION - PASSIF (Eléments circulants) (H) - -
TOTAL II (F + G + H) 33 269,00 26 790,00
TRESORERIE – PASSIF 2 760,00 1 600,00
• Crédits d'escompte 2 760,00 1 600,00
• Crédits de trésorerie - -
• Banques de régularisation
TOTAL III 2 760,00 1 600,00
TOTAL GENERAL I + II + III 146 513,00 120 550,00
45
TAF :
1- Déterminer le bilan fonctionnel pour les deux exercices
2- Calculer le fonds de roulement fonctionnel, le Besoin en fonds de
roulement fonctionnel et la trésorerie nette pour les deux exercices
3- Calculer les ratios liés à l’approche fonctionnelle
Solution :
Actif 2007 2006
Immobilisations 138260 78120
Crédit-bail + 3000 + 3000
Actif circulant HT 44656 38260
46
Pour les immobilisations en crédit-bail, la durée est de 4 ans dont pour
un amortissement linéaire sur 4 ans, la dotation est de : 3.000.000 /4
=750000 dhs soit 750 000 /1000 = 750 KDH
Pour 2006 la somme des amortissements cumulés qui auraient dû
être pratiqués fin 2006 : 750 x 2 = 1500 KDH
Pour 2007 la valeur des amortissements cumulés fin 2007 : 750 x 3 =
2250 KDH.
Les bilans fonctionnels pour 2006 et 2007
47
Le fonds de roulement fonctionnel représente l’excédent des ressources
stables par rapport aux immobilisations destiné au financement des
différents besoin générés par le cycle d’exploitation (principalement).
Le BFR représente le niveau des fonds nécessaires afin d’assurer le
financement des différents besoins générés par le cycle d’exploitation et
hors exploitation.
48
Remarque : les variations des éléments du fonds de roulement et du BFR ne
sont pas significatives. En effet, on ne dispose pas des mêmes unités (2007
valeurs brutes et 2006 valeurs nettes
49
50
III. LE BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT
NORMATIF
A. PRINCIPE :
51
- Chaque poste du BFRE est directement proportionnel au
chiffre d’affaires hors taxes (CAHT)
o Ainsi un poste P du BFRE est égal à : P = K x CAHT
Donc P = K x 360j /360j x CAHT
P = K x 360 j x CAHT / 360 j
P = K’ x CAHT / 360 j suit K’ = P/CAHT x 360 j
Avec K’ : Composante du BFRE en Jours chiffre
d’affaires hors taxes
De ce faite BFRE en jours chiffre d’affaires hors taxes
peut être écris de la façon suivante :
52
B. LES RATIOS FONDAMENTAUX :
1- Stocks :
a. Matières Premières MP :
Temps d’écoulement (TE) :
Correspond à la durée pondant laquelle les matières premières
restent dans les magasins avant leurs sorties pour la consommation
53
Le rapprochement entre le TE est le CS représente la composante du
BFRE
TE x CS = Composante du BFRE en Jours chiffre d’affaires hors taxes
b. Marchandises :
Temps d’écoulement (TE) : correspond à la durée pondant laquelle
les marchandises restent dans les magasins avant leurs sorties pour la
revente
TE = (Stock Moyen de Marchandises / Achats revendus de Mses) x 360 j
c. Produits finis :
Temps d’écoulement (TE) : correspond à la durée pondant laquelle
les produits finis restent dans les magasins avant leurs sorties pour la
vente
TE = (Stock Moyen de Produits Finis / coût de production des produits
vendus) x 360 j
54
Le rapprochement entre le TE est le CS représente la composante du
BFRE
TE x CS = Composante du BFRE en Jours chiffre d’affaires hors taxes
d. Produits encours :
Temps d’écoulement (TE) : correspond à la durée pondant
laquelle les produits encours restent dans les magasins avant leurs
sorties pour la consommation
TE = (Stock Moyen de Produits encours / coût de production des encours)
x 360 j
55
BFRE
TE x CS = Composante du BFRE en Jours chiffre d’affaires hors taxes
2- Clients :
56
3- fournisseurs :
57
4- TVA facturée :
58
6- Personnel :
7- Organismes sociaux :
59
C. APPLICATION :
TAF :
1- Estimer le BFR en jours chiffre d’affaires pour le niveau
d’activité actuel
2- Pour un chiffre d’affaires prévisionnel de 15000 KDH,
60
donner une estimation du BFR en valeur
Solution :
1- Tableau de détermination des fonds de roulement
normatif :
Composante BFR
Fournisseurs Frs / Achats 60 jours fin de Achats TTC / 3750 x 1,2 / 28,125 j
TTC x 360 j mois soit : 15 j + CAHT 12000 =
60j = 75 j 0,375
61
coût d’achat des matières consommées : (achats + SI – SF =
consommation) : (3750+1000-1200) = 3550 KDH
Stock moyen de PF = (SI+SF)/2 soit : (2100+2000)/2 = 2050
KDH
Coût de production des produits vendus (SI+Production – SF=
coût de production des produits vendus) :( 2100+9500-2000) =
9600 KDH
Charges de personnel : 1080 KDH
o 1080 = SB + charges sociales patronales
o 1080 = SB + 0,35SB soit SB = 1080/1 ,35 donc SB = 800
KDH
o SB = Salaire net + charges sociales salariales
o SB = Salaire net + 0,15 SB
o 800 = Salaire Net + 0,15 x 800
o Salaire net = 800 x 0, 85 soit 680 KDH
o Charges sociales : 1080-680 = 400 KDH
Le BFR en jour CAHT est de (153,65 j – 38,975j) = 114,68 jours
soit 115 jours.
Dans ce cas pour financer le besoin en fonds de roulement
généré par les opérations liées à l’exploitation, le chiffre
d’affaires en jours est de 115 jours.
En valeur ce besoin est de :
BFR en Jours = [(BFR en Valeur /CAHT)*360 j]
115 j = [(BFR en Valeur / 12000) x 360j] = 3833,33 KDH
2- Pour le chiffre d’affaires prévisionnel de 15000 KDH ce
besoin est de :
(115 j = [(BFR en Valeur / 15000) x 360j] = 4791,66 KDH
62
63
CHAPITRE II : L’ETAT DES SOLDES DE
GESTION
Il s’agit d’un état tout à fait nouveau qui constitue le troisième état de
synthèse. Il n’est obligatoire que pour les entreprises réalisant un chiffre
d’affaires supérieur à 7,5 millions de DH, et donc soumises au régime
normal.
L’ESG peut être élaboré directement à partir des éléments du CPC.
64
A. ELABORATION DU TABLEAU DE
FORMATION DES RESULTATS (TFR)
65
B. ELABORATION DU TABLEAU DE
CALCUL DE L’AUTOFINANCEMENT
1. Calcul suivant la méthode additive : à partir du résultat net de l’exercice
(1) : A l’exclusion des dotations relatives aux actifs et passifs circulants et à la trésorerie : il s’agit donc des
dotations aux amortissements et des dotations aux provisions sur actif immobilisé, des dotations aux
provisions durables et aux provisions réglementées.
(2) : A l’exclusion des reprises relatives aux actifs et passifs circulants et à la trésorerie.
(3) : Y compris les reprises sur subvention d’investissement.
66
2. Calcul suivant la méthode soustractive : à partir de l’excédent brut
d’exploitation
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II. ANALYSE DE L’ESG :
A. MARGE BRUTE
Elle est dégagée par les entreprises commerciales de négoce et par les
entreprises industrielles pour leur branche « négoce ».
Signalons que l’évaluation des éléments composant cette marge n’est pas
homogène car les achats sont comptabilisés à leur prix d’achat alors que
les stocks sont enregistrés à leur coût d’achat (prix d’achat + frais
accessoires d’achat).
C’est pourquoi la marge brute ne doit pas être confondue avec la marge
commerciale qui est égale à la différence entre les ventes de
marchandises et le coût d’achat des marchandises vendues. Le calcul de
la marge commerciale nécessite donc l’inclusion des frais accessoires
d’achat dans les achats.
68
Néanmoins, la marge brute reste un indicateur significatif et essentiel des
entreprises commerciales.
Exemple :
B. PRODUCTION DE L’EXERCICE :
Elle est égale au total de :
69
stockées ou immobilisées importantes (cas des entreprises agricoles ou
minières).
Dans les entreprises mixtes qui ont à la fois une activité industrielle et une
activité de négoce, la production ne comprend évidemment pas les ventes
de marchandises, ni la marge brute.
C. CONSOMMATION DE L’EXERCICE :
On remarque en particulier :
70
que les services bancaires (frais d’achats et ventes de titres, frais sur
effets de commerce, frais et commissions sur services bancaires,
locations de coffres-forts, etc.) sont inclus dans les autres charges
externes, les banques, pour ces services, étant assimilées à des
entreprises,
que les jetons de présence et les pertes sur créances irrécouvrables
(classés dans le poste : « autres charges d’exploitation ») sont exclus
des autres charges externes et ne sont pas de ce fait compris dans la
consommation de l’exercice.
D. VALEUR AJOUTEE :
La VA renseigne sur :
a. la dimension de l’entreprise
Exemple :
71
B est l’entreprise la plus « importante » économiquement car sa valeur
ajoutée correspond à des « emplois » en salaires, impôts,
amortissements, bénéfices ... plus élevés.
Exemple :
L’entreprise A est :
Elle peut être étudiée à travers la répartition de la valeur ajoutée entre les
différents facteurs de production. Notamment, les ratios suivants peuvent
être calculés :
Exemple :
Entreprise A Entreprise B
Charges de personnel / VA 55% 75%
Amortissements 15% 4%
73
L’entreprise A a réalisé des investissements qui se traduisent par un
niveau d’amortissement supérieur à celui de B, ce qui lui permet de limiter
ses charges de personnel à 55% au lieu de 75% chez son concurrent.
74
Exemples :
75
3. La valeur ajoutée comme outil de mesure de la
répartition de la richesse :
76
C’est l’indicateur de mesure de performance des responsables
opérationnels. En effet, les responsables opérationnels sont appréciés
sur la base de l’EBE puisqu’il est dégagé en dehors de la politique
financière et d’investissement de la structure
C’est un solde intermédiaire de gestion qui exprime la ressource interne
d’exploitation sécrétée par l’entreprise, après avoir déduit de la « valeur
ajoutée » de l’exercice, les charges de personnel et les impôts et taxes
(les subventions d’exploitation, assimilables à des impôts négatifs,
viennent en addition dans ce calcul de l’EBE).
- dotations et reprises ;
- charges financières et produits financiers ;
- charges et produits non-courants ;
- impôts sur les résultats.
77
Ce solde intermédiaire de gestion neutralise les effets de distorsion dans
les comparaisons dans le temps ou l’espace que peuvent introduire :
- la structure financière : charges financières plus ou moins lourdes selon
le degré d’endettement ;
- la politique d’investissement et de renouvellement des immobilisations,
susceptible d’influer sur les amortissements ;
- les éléments non-courants qui sont à l’évidence anormaux ou
exceptionnels ;
- les impôts sur les résultats : en raison des décalages dans l’application
de ces impôts (reports déficitaires, amortissement différé, imposition
des plus-values, exonérations temporaires ou partielles, etc.) ou en
raison des modalités de leur calcul.
79
Se décompose comme suit :
EBE
- dotation d’exploitation
+ reprises sur dotations et provisions d’exploitation
+ Transferts de charges d’exploitation
+/- autres produits & charges
= Résultat d’exploitation (REX)
G. LE RESULTAT COURANT :
80
H. LE RESULTAT NON COURANT :
I. LE RESULTAT NET :
C’est le montant qui est inscrit au bilan avant répartition, dans la rubrique
des capitaux propres. Il participe en l’absence de distribution, au
renforcement des ressources propres.
Il traduit la rentabilité disponible de l’entreprise.
81
J. CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT :
82
1. Calcul de la CAF à partir du résultat net :
La CAF peut également être calculée à partir de l’EBE en lui ajoutant les
produits encaissables et en lui retranchant les charges décaissables selon
la méthode suivante :
(1) sauf :
- reprise sur provisions réglementées ou sur provisions durables
- reprises sur amortissements
(2) sauf dotations sur actif immobilisé ou financement permanent
(3) sauf :
- produits des cessions d’immobilisations
- reprises sur subventions d’investissement
- reprises sur provisions durables ou réglementées
(4) sauf :
- valeur nette d’amortissements des immobilisations cédées
- dotations sur actif immobilisé ou sur financement permanent.
La CAF est un solde essentiel dans la gestion financière car elle exprime
l’aptitude de l’entreprise à générer des ressources en vue de renouveler
ses équipements et de nourrir financièrement sa croissance.
K. AUTOFINANCEMENT :
84
ne s’agisse, à titre exceptionnel, d’acomptes sur les bénéfices de
l’exercice en cours.
85
- désignons par D la variation des dettes du passif circulant
(fournisseurs essentiellement),
- désignons par S la variation des stocks,
- désignons par Pi la production immobilisée.
-
Si du début à la fin de l’exercice, les variations de C, D et S étaient nulles
(mêmes en-cours « clients », mêmes en-cours « fournisseurs, mêmes
stocks ...) et si la production immobilisée était elle-même nulle (cas
fréquent), on aurait alors :
CAF = T
Dès lors que les variations et cette Pi ne sont pas nuls, on observe :
1)
CAF = T + C - D + S + Pi
2)
CAF = T + BFG + Pi
86
Cette équation (1 ou 2) montre bien que, le plus souvent, CAF T.
87
L. QUELQUES RETRAITEMENTS AU
NIVEAU DU CPC
2. La sous-traitance :
88
en contre partie d’une rémunération. Il s’agit dans ce cas d’un
service réalisé par une tierce personne ou entreprise.
Les entreprises recourent en général à la sous-traitance ; soit
lorsqu’on reçoit des commandes exceptionnelles qui ne justifient
pas un investissement, soit c’est la politique générale de
l’entreprise qui consiste à sous traiter une partie de la production a
fin de minimiser certaines charges fixes.
Pour ces raisons on doit considérer la sous-traitance comme une
partie prenante de la production de l’entreprise et de la création de
richesse de l’entreprise. Elle doit être retranché des consommations
intermédiaires et ajouter aux charges de personnel.
89
4. La rémunération des intérimaires :
90
Application :
91
a. Etablir de manière comparative, le tableau de formation de résultat
(TFR) pour les années 2005, 2006 et 2007.
b. Calculer la capacité d’autofinancement de ces mêmes exercices et ce,
suivant la méthode additive.
c. Quelles remarques faites-vous de la comparaison dans le temps du
chiffre d’affaires de la société.
Solution :
a. Tableau de formation des résultats pour les années 2005, 2006 et 2007.
92
b. Calcul de la capacité d’autofinancement
(1) : A l’exclusion des dotations relatives aux actifs et passifs circulants et à la trésorerie
(2) : A l’exclusion des reprises relatives aux actifs et passifs circulants et à la trésorerie.
(3) : Y compris les reprises sur subvention d’investissement.
93
CHAPITRE III : LE TABLEAU DE
FINANCEMENT
94
I. ASPECTS TECHNIQUES :
95
II. SYNTHESE DES MASSES DU BILAN :
Cette synthèse est établie directement à partir des montants nets
figurant dans les bilans de début et de fin d’exercice.
A. PRESENTATION « FONCTIONNELLE » DU
BILAN :
Actif Financement
Immobilisé
Permanent
F.R.F +
96
Fonds de roulement fonctionnel (F.R.P)
Positif (position habituelle ; ressource de financement)
Actif Financement
Permanent
Immobilisé
F.R.F –
F.R.F négatif
Position exceptionnelle, acceptable si le B.F.G est lui même inversé.
B. F. G +
Actif
Passif
Circulant
Circulant
(Hors très.)
(Hors très.)
97
Besoin de financement global (B.F.G)
B. F. G -
Passif
Actif Circulant
Circulant
(Hors très.) (Hors très.)
B.F.G inversé ;
Cas exceptionnel à une ressource de financement (cas de
supermarchés).
TN : TRESORERIE-ACTIF – TRESORERIE-PASSIF
98
Remarques relatives aux écarts de conversion :
(E’)
99
Exemple :
La comparaison des bilans successifs d’une entreprise montre que :
Ainsi :
le F.R.F augmente en « ressource » et diminue en « emplois », ce qui
traduit, en principe, respectivement une amélioration ou une
détérioration de ce fonds ;
le B.F.G augmente en « emplois » et diminue en « ressources, ce qui
traduit, en principe, respectivement une dégradation ou une
amélioration du niveau de ce besoin.
100
VARIATION F.R.F – VARIATION B.F.G
=
VARIATION T.N
101
C. TABLEAU DES EMPLOIS ET RESSOURCES
102
mais seulement les rubriques relatives aux créances et dettes des
classes 1 et 2 ;
des écarts de réévaluation suite à des opérations de réévaluation
libre ou légale ;
des virements de compte à compte ne traduisant pas des flux réels
(exemple : d’immobilisations en cours à immobilisations) ;
des primes de remboursement des obligations qu’il faut soustraire
du montant des emprunts obligataires pour le calcul de l’augmentation
des dettes de financement.
Pour neutraliser ces mouvements qui ne constituent pas des flux réels, il
est recommandé de les identifier au moment de leur imputation initiale par
une codification ou un repérage informatique particulier.
103
L’établissement du TF doit aboutir à une égalité parfaite entre le total des
emplois et le total des ressources.
Les entreprises ont cependant tout intérêt à opérer ces analyses pour
une meilleure appréciation de leur gestion financière.
104
D. EXEMPLE D’UTILISATION DU T.F :
Autofinancement 3.000
Cessions et réduction. d’immobilisations 800
Augment. capitaux. propres 500
Augment. dettes financement 2.300
Total ressources stables 6.600
2. Emplois stables
Acquisition d’immobilisations 4.150
Remboursement capitaux propres
Remboursement dettes financement 1.080
Emplois en non-valeurs 300
Total emplois stables 5.530
3. Variation du besoin de financement global 1.910
(B.F.C)
Commentaire :
105
D’où une détérioration de la trésorerie de :
1910 – 1070= 840 ( = -840).
106
Application :
Tableau des bilans des années 2005, 2006 et 2007 par nature
des flux (annexe 1)
Note d’informations complémentaires (annexe 2).
Travail à faire :
107
Annexe 1 : Bilan (actif) (modèle normal)
Exercices
Actif 2005 2006 2007
IMMOBILISATIONS EN NON-VALEURS (A) - 260 195
Frais préliminaires - - -
Charges à répartir sur plusieurs exercices - 260 195
Primes de remboursement des obligations - - -
108
Bilan (passif) (modèle normal)
Exercice
Passif 2005 2006 2007
CAPITAUX PROPRES 6.331 9.425 10.933
Situation nette 3.705 5.759 5.447
Amortissements et provisions inscrits à l’actif 2.626 3.666 5.486
Total des capitaux propres (A) 6.331 9.425 10.933
CAPITAUX PROPRES ASSIMILES (B) 1.560 2.171 2.028
Subvention d’investissement - 351 312
Provisions réglementées 1.560 1.820 1.716
DETTES DE FINANCEMENT (C) 5.015 4.745 5.525
Emprunt obligataires - - 780
Autres dettes de financement 5.005 4.745 4.745
PROV. DURABLES POUR RISQUES ET CHARGES (D) 260 520 1.300
Provision pour risques et charges 260 520 1.300
ECARTS DE CONVERSION-PASSIF (E) - - 130
Augmentation des créances immobilisées - - -
Diminution des dettes de financement - - 130
Total I (A+B+C+D+E) 13.166 16.861 19.916
DETTES DU PASSIF CIRCULANT (F) 10.881 12.662 14.859
Fournisseurs et comptes rattachés 6.071 7.410 7.826
Clients créditeurs, avances et acomptes 1.300 1.690 3.120
Personnel - - -
Organismes sociaux 130 130 130
Etat - - -
Comptes d’associés - 130 260
Autres créanciers 3.367 3.302 3.510
Comptes de régularisations passif 13 - 13
AUTRES PROV. POUR RISQUES ET CHARGES (G) - - -
ECARTS DE CONVERSION PASSIF (H) - - -
(éléments circulants)
Total II (F+G+H) 10.881 12.662 14.859
TRESORERIE PASSIF 6.373 9.009 13.559
Crédit d’escompte 2.340 3.380 5.460
Crédit de trésorerie 2.603 3.276 3.926
Banque (solde créditeurs) 1.430 2.353 4.173
Total III 6.373 9.009 13.559
Total général (I+II+III) 30.420 38.532 48.334
109
Annexe 2 : Notes d’informations complémentaires
1. Investissements réalisés :
3. Distribution :
4. Capitaux propres
6. Subvention d’investissement
Compte de produits et charges
Eléments 2005 2006 2007
* Produits : Subvention inscrites au CPC - 39 39
7. Capacité d’autofinancement :
Eléments 2005 2006 2007
* Capacité d’autofinancement 1.703 2.265 2.535
110
Solution :
FRF – BFG = TN
2.525 – 5.187 = - 2.662
111
2- TABLEAU DES EMPLOIS ET RESSOURCES
112