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2021/2022
I. Introduction …………………………………………………………………(2)
II. Définition………………………………………………………………………..(2)
III. L’utilisation des engrenages………………………………………………………….(2)
IV. Rôle d’un engrenage…………………………………………………………………(3)
V. Les différents types des engrenages …………………………………………………..(3)
VI. Comment calculer le nombre de dents d'un engrenage …………………………………(5)
VII. Perte de puissance dans la transmission par engrenage ………………………………..(5)
VIII. Trains d’engrenages…………………………………………………………………………………(6/7/8/9)
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I. Introduction :
Dans certains objets techniques, il est parfois utile de transmettre un mouvement d'une pièce
vers une ou plusieurs autres pièces. Lorsque le mouvement issu d'une force d'une pièce
mécanique est communiqué à une autre sans qu'il soit transformé, on dit qu'il y a transmission
du mouvement. Ainsi, un organe moteur en mouvement transmet l'action à un organe
récepteur (ou mené). Les deux organes peuvent être directement en contact ou la transmission
peut se faire à l'aide d'un organe intermédiaire.
La fonction globale d’un engrenage est de transmettre un mouvement de rotation par obstacles
en changeant ses caractéristiques. L’engrenage est un mécanisme élémentaire constitué de
deux roues dentées mobiles autour d’axes de position relative invariable. L’une des deux
roues entraîne l’autre par l’action des dents successivement en contact. La plus petite des
roues est appelée pignon. [2]
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On utilise les engrenages pour transmettre un mouvement et une puissance entre deux arbres
qui peuvent avoir différentes positions. Pour un prix de revient modéré, ils ont pour avantage
un excellent rendement (en général) et un encombrement plutôt faible. Une combinaison
d’engrenages est appelée train d’engrenages.
Un engrenage est une transmission de puissance entre deux arbres rapprochés, modifiant le
couple transmis ainsi que la vitesse de rotation dans un rapport précis et constant. Les deux
arbres doivent être proches, ils peuvent être parallèles, concourants, orthogonaux ou encore de
position quelconque entre eux. Un engrenage cylindrique droit offre une analogie avec un
couple de roues cylindriques de friction. L’entraînement dans le cas des roues de friction se
fait par adhérence limitant ainsi les efforts transmissibles par la présence d’un glissement
angulaire. Dans le cas des engrenages, la 2 liaison est réalisée par obstacle, le rapport des
vitesses est alors fixe et précis, et les efforts transmissibles peuvent s’avérer considérables. Un
engrenage est un ensemble de deux roues dentées engrenant ensemble, la roue qui a le nombre
de dents le plus faible est appelé pignon.
Les engrenages sont des systèmes de roues dentées qui sont utilisés pour transmettre le
mouvement de rotation d’un axe à un autre. Ce mécanisme est essentiel pour de nombreux
équipements industriels, car il permet d’actionner toutes sortes de machines grâce à des
propriétés précises, selon la forme qu’ils prennent.
Voici les principaux types d’engrenages et des caractéristiques qui justifient leur emploi dans
des cas spécifiques :[3]
La forme la plus élémentaire qu’il est possible de donner à un engrenage est une forme
cylindrique à denture droite. Elle possède l’avantage d’être extrêmement simple à
fabriquer, ce qui explique son faible coût en comparaison avec les autres types
d’engrenages.
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Utilisé depuis des siècles notamment dans l’horlogerie, ce mécanisme possède néanmoins
ses défauts. En effet, sa vitesse de rotation est limitée et il peut s’avérer assez bruyant.
Même si les engrenages de type cylindrique à denture hélicoïdale sont assez similaires
à ceux à dents droites, il n’en reste pas moins que ce type d’engrenages présente
l’avantage d’augmenter la conduite de la transmission. En effet, avec cette denture, il
est possible de faire en sorte que le nombre de dents simultanément en contact soit
permanent, ce qui permet d’atténuer les vibrations et les bruits. Cet aspect offre aussi
la possibilité de transmettre des efforts supérieurs.
Ces engrenages cylindriques sont toutefois plus coûteux que ceux à denture droite et
demandent un effort axial supplémentaire.
Ce troisième type d’engrenage cylindrique a été conçu spécialement pour régler le problème
que pose l’effort axial supplémentaire qu’entraine une denture hélicoïdale. La denture à
chevrons est composée de deux dentures hélicoïdales mises en opposition sur la même roue. Il
en résulte un motif en forme de « V », qui a d’ailleurs été utilisé comme emblème du
motoriste français Citroën.
Plus complexe à concevoir, il est évidemment plus coûteux à produire que les deux autres
types d’engrenages cylindriques. C’est pour cette raison qu’il est presque exclusivement
utilisé dans l’industrie lourde.
C’est toutefois un système qui peut s’avérer coûteux en raison de sa complexité. Il nécessite
un usinage de précision ainsi qu’un ajustement plus minutieux lors du montage.
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E) Engrenages à roue et crémaillère
Lorsque la roue dentée, aussi appelée pignon, est actionnée, elle entraine les dents d’une barre
dentelée, la crémaillère, qui se déplacera alors dans le sens désiré. Pour ce mécanisme, comme
pour le précédent, il y a nécessité d’un entretien et d’un ajustement précis, cette fois entre la
roue et la crémaillère.
VI. Comment calculer le nombre de dents d'un engrenage :
Roue dentée normalisée (α = 20°)
le diamètre du cercle primitif (ou diamètre primitif) divisé par le nombre de dents : m =
d/z ; la hauteur des dents divisée par 2,25 : m = h/2,25.
Dans des transmissions à grande vitesse, les pertes de puissance dans les engrenages sont
signifiantes. En effet, elles ont un impact direct sur le bon fonctionnement du mécanisme et de
ce fait, elles doivent être prises en compte lors des différentes phases notamment :
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La considération des pertes de puissance lors des phases ci-haut permet :
Schématisations :
Représentation normalisée des engrenages usuels.
Figure (4)
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Trains à un engrenage :
Figure (5)
Il y a alors deux couples de roues en série. Le rapport de transmission (réduction) est égal au
produit des rapports de transmission de chacun des deux couples de roues. des deux couples
de roues.
L’indice 1 correspond toujours à l’engrenage d’entrée (pignon) tandis que les autres indiquent
« le chemin » vers la sortie.
Figure (6)
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Trains à deux engrenages plus roue d’inversion
figure (7)
Figure (8)
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Cas des systèmes avec vis sans fin :
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Biographié :
[1]
https://eduscol.education.fr/sti/sites/eduscol.education.fr.sti/files/ressources/pedagogiques/9159/9
159-engrenages-conditions-dengrenement-et-proc
[2] file:///C:/Users/pc/Pictures/Les%20engrenages.pdf
[3] https://braidwoodgear.com/differents-types-engrenages-utilisations-avantages-defauts/
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