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Marouane EL MAHMI
Il est révélateur que ces œuvres sont des créations intellectuelles originales.
La loi 2-00 telle qu’elle est modifiée et complétée 34-05 à fixé les ouvres
protégés à titre d’exemple. On relève parmi eux :
h) les oeuvres des beaux-arts, y compris les dessins, les peintures, les
gravures,
A cela s’ajoute que ladite protection ne concerne pas les textes officiels de
nature législative, administrative ou judiciaire, ni à leurs traductions
officielles; aussi les nouvelles du jour; les ) aux idées, procédés, systèmes,
méthodes de fonctionnement, concepts, principes, découvertes ou simples
données.
Les droits de l’auteur qui sont protégés ce sont ceux patrimoniaux et ceux
moraux.
le droit de présentation
le droit de reproduction .
à savoir, :
1 ) la Libreté de reproduction à des fins privées (( cette exception
ne peut concerner la publication de l’œuvre sur internet, parce que la
reproduction vise l’utilisation pour des fins personnelle de l’œuvre et
non pas la diffusion de l’œuvre pour tous les visiteurs sur des sites
web )).
Dès lors, le téléchargement d’une chanson ou d’un livre constituent
une atteinte au droit d’auteur.
2 ) Reproduction temporaire
3 ) la liberté de reproduction revêtant la forme de citation : le
législateur permet à une personne d’utiliser certaines paragraphes
comme références à condition de mentionner le nom et la sources.
4 ) Libre utilisation pour l’enseignement.
5 Dépôt des oeuvres reproduites
dans les archives officielles 6
Libre utilisation à des fins judiciaires et administratives
7 Libre utilisation à des fins d’information
8 Libre utilisation d’images d’oeuvres situées en permanence dans
des endroits publics 9 Libre reproduction et adaptation de
programmes d’ordinateur 10 Libre enregistrement éphémère par des
organismes
de radiodiffusion 11 Libre représentation ou exécution publique 12
Importation à des fins personnelles
Il faut savoir aussi que dans ces œuvres collectifs, le droit moral d’auteur
n’existe pas, c’est le cas du programme scolaire où les noms des auteurs
ne sont pas mentionnés, pour une simple raison que le ministère de
l’enseignement au cas où il décide de modifier ledit ouvrage n’attend pas
l’autorisation des auteurs
La première est celle anglo-saxon adopté par les Etats unis, la Brutane, et
Austrauralie , selon cette tendance le droit littéraire est consiidéré
comme un bien que l’auteur peut renoncer par la cession de l’œuvre.
La deuxième tendane est celle lataine qui voit que le droit littéraire est
illimité dans le temps, incessible, imprescribtible, ou l’annulation, et il se
transforme en cas de mort de l’auteur aux ayant droits.
Parmi les Etats qui ont adopté ce sistème par la frane, l’allemand, l’Italie,
l’Espagne, la portugaise.
1) LE BREVET D’INVENTION :
Le brevet d’invention :
Le législateur marocain n’a pas définit le brevet
d’invention, néanmoins on peut le définir comme étant un
titre de propriété industrielle délivré par l’organisme chargé
de la propriété industrielle qui protègent une invention
temporairement et qui peut concerné un procédé ou un
produit qui apporte une solution technique à un problème
donné.
Il confère à son titulaire un droit exclusif de l’exploitation de
sans invention et d’interdire son utilisation par les tiers sans
autorisation.
Dans notre étude on va se focaliser sur les conditions de
brevetabilité (Section1)
Section1 : Les conditions de brevetabilité :
Pour disposer d’un brevet d’invention, il faut remplir des conditions de fond
(Paragraphe1) et d’autres de forme (paragraphe2).
L’invention est dite nouvelle, dans la mesure où elle n’est pas comprise
dans l’état de la technique au jour du dépôt de la demande ou de la
priorité.
L'état de la technique est constitué par tout ce qui a été rendu accessible
au public par une description écrite ou orale, un usage ou tout autre
moyen, avant la date de dépôt de la demande de brevet au Maroc, ou
d'une demande de brevet déposée à l'étranger et dont la priorité est
valablement revendiquée.
Activité inventive :
La nouveauté seule ne suffit pas voire l’invention doit être
issue d’une créativité et non pas d’une activité habituelle
évidente dans le développement industriel.
Cette deuxième condition a pour objet d’exclure du champ
de la brevetabilité les inventions faites par une personne
qui utilise des connaissances ordinaires qu’un homme de
métier en considère évidente dans le développement
industriel.
Se dit d'un nom de métier la personne considérée comme
technicienne qui maitrise bien les connaissances
spécifiques dont relève l’invention et c’est par rapport à lui
que sera apprécié l’activité inventive.
Ainsi selon l’article 28 de la loi 17-97 une invention est considérée
comme impliquant une activité inventive si, pour un homme du métier,
elle ne découle pas d'une manière évidente de l'état de la technique.
Ainsi l’article 29 de la loi 17-97 prévoit que : « Une invention est considérée
comme susceptible d'application industrielle lorsqu’elle présente une utilité
déterminée, probante et crédible »
Il s’ensuit que cette dernière condition n’est plus prise à la lègère pour
permettre l’obtention du brevet d’invention, mais de plus il faut que son utilité
soit réelle, claire et assurée.
1) les découvertes :
on peut définir la découverte comme étant une expression d’un
phénomène naturel préexistant, alors que l’invention est une créantion
de l’etre humain qui ne résulte pas d’un phénomène natural. Reste à
signaler que la découvete peut donner lieu à la délivrance du brevet ,
s’elle est suscpetible d’application industrielle.
2) les théories scientifiques et les méthodes mathématiques :
Sont aussi exclus du champ de brevetabilité en abence d’application
industrielle, parce que pour être protégées, ilf que celles-ci soient
matérialisé par une invention susceptible d’application industrielle.
3)
2) les créations esthétiques :
Parce qu’il ne s’agit que d’une création de beauté et donc loin d’être
considérée comme des conventions industrielles
3) la présentation d'informations :
4) les plans, principes et méthodes dans l'exercice d'activités
intellectuelles, ou en matière de jeu ou dans le domaine des
activités économiques, ainsi que les programmes d'ordinateurs :
Les plans, principes et méthodes sont exclus du domaine de la
brevetabilité en vertu du principe selon lequel les idées sont par essence
et par destination de libre parcours.
Appartenant au domaine public, ils doivent rester à libre disposition de
chacun
Toutefois, sont brevetables les inventions dont l’exécution implique
l’utilisation d’un ordinateur, d’un réseau informatique ou d’autre
appareil programmable et présentant une ou plusieurs caractéristiques
réalisées totalement ou en partie par un ou plusieurs programmes
d’ordinateurs. Pour impliquer une activité inventive, une invention mise
en œuvre par ordinateur doit apporter une contribution technique.
c) les variétés végétales ou les races animales ainsi que les procédés
essentiellement biologiques d’obtention de végétaux ou de sélection de
races d’animaux. Cette disposition ne s’applique pas aux procédés
microbiologiques et aux produits obtenus par ces procédés.
quasiment le terme déposant reste vague et n’est pas claire mes en se référant
à l’article 16 on trouve qu’ils ont le droits au titre de la propriété industrielle
l’inventeur ou ses ayant droit …
ainsi peut déposer le brevet sur le premier plan l’inventeur, puis ses ayants
droits, c’est-à-dire ceux qui ont acquis par la suite 1la totalité ou une partie des
droits afférentes à l’invention, soit par voit d’héritage, renonciation, dons ou
autorisation d’exploitation, en générale par toute voie légale.
S’agissant du mandataire :
Pour parler du dossier de la demande de brevet il faut jeter la lumière sur les
mentions de la demande elle-même (a) et les pièces qui y sont jointes (b) .
Le dossier de demande de
comme dénigrantes;
Dès que le dépôt est effectué est effectue, le directeur de l’office national de la
propriété industrielle et commercial procéder à statuer sur la demande
moyennant une étude du dossier (A) et la proise des décisions après l’étude du
dossier (B)
L’Article 44 dispose que : « Toute demande de brevet d’invention qui n’a pas
été rejetée ou retirée est publiée après l'expiration d'un délai de dix-huit mois à
compter de la date de dépôt ou, si une ou plusieurs priorités ont été
revendiquées, à compter de la date de priorité la plus ancienne. »
a) Le refus de la demande :
La décision de refus est prise dans le cas d’irrespect des conditions de fond et
de forme.
articles 26 et 28 ci-dessus;
déposée.
Article 43.2
2) la transmission :
C’est le droit de transmettre à un tiers les droits attachés à la demande ou
au brevet d’invention soit par un acte de vente soit par des licences
A) cession de brevet :
B) Les licences :
Licence contractuelle :
Et pour être opposable aux tiers, il faut qu’il soit inscrit dans le registre
des brevets d’invention tenu par l’organisme chargé de la propriété
industrielle.
Exception faite
Licence obligatoire :
Le tribunal statut sur la demande et dit que celle-ci est devinent définitive
et doit être notifiée immédiatement a l’OMPIC pour l’inscrire sur le
registre du brevet
La licence d’office :
LE DESSIN ET MODEL DOIT ETRE NOUVEL C EST IL N4A PAS N’a pas été
divulgué au public par une publicité ou toute autre moyen, avant la date de
son dépôt ou, le cas échéant, avant la date de priorité valablement
revendiqué (art 105).
Les dessins modèles peuvent être protégés sur le plan interne que sur celui
international.
La créativiét :
3) Le nom commercial :
En vertu de l’article 177 de la loi 17-97 modifiée et compétée par la loi 23-13
on entend par le nom commercial l’appellation distinctive ou le signe
significatif sous lequel est exploitée une entreprise.
Si le nom civil a pour objet de distinguer une personne physique d’une autre, le
nom commercial a pour objet de distinguer un établiseement commercial d’un
autre.
3- Si le nom civil est un droit personnel lié à la personne comme le droit
à la liberté, la réputation…et donc n’a pas une valeur pécuniaire, lle
nom commercial est un droit patrimonial portant sur un élément
immatériel faisant partie des éléments du fond de commerce qui
s’acquis par son inscription au registre de commerce et cesse de l’être
en cas de sa non utilisation conformément à l’article 731
En vertu des articles 4 de Loi n° 13-99 portant création de l'Office
marocain de la propriété industrielle et commerciale et les articles 42
et 45 du code de commerce la prouve du nom commercial est
subordonné à son inscription au registre de commerce et son usage
par le commerçant.
L’inscription ne peut avoir lieu qu’après la réception d’un certificat
négatif qui atteste l’inexistence d’aucune inscription antérieure du nom
commercial qui sera délivré par l’office après une analyse et
recherche à la demande de l’intéressé.
1
Toute personne qui n'aura pas fait usage d'un nom, d'une raison de commerce ou d'une dénomination
commerciale depuis plus de trois ans à compter de leur inscription au registre du commerce ou, même après
en avoir fait usage, aura cessé de s'en servir depuis plus de trois ans, perdra le privilège attaché à cette
inscription.
La radiation de cette inscription pourra être prononcée par le tribunal à la requête de tout intéressé.
Il sera fait mention de cette radiation en marge de l'inscription et il en sera donné avis au service du registre
central du commerce pour que semblable mention soit portée au registre central.
Ainsi, le commerçant personne physique, ou
l’entreprise unipersonnelle, ou de copropriété doit
obligatoirement avoir une raison de commerce la
meme chose pour la société en participation à
laquelle le législateur ne reconnus pas la personne
morale. (art 88 de laloi 5-96).
Mais pour la société en nom collectif ( art4 de la oi 5-
96) et la soriété à responsabilité limité doivent avoir
un nom commercial issus de l’objet de l’activité
Donc les deux sont tous des moyens distinctifs. sauf que la marque distingue
les produits service ou marchandise, alors que le nom commercial sert à
distinguer l’établissement commercial à d’autres .
Si la marque est facultative suaf disposition contraire ( art 139 de la loi 17-97) ,
le nom de commerce est obligatoire .
Quant à l’étendue, la marque reste très large dans le sens que la marqure peut
revêtir la forme d’une dénomination distinctive commme les mots, assemblage
de mots, nom patronymique et géografique, les lettres…aussi les signes
figuratifs comme les dessins, logos, image de synthèse, une forme...les signes
sonores comme les sons, phrase musicales. Les signes solfactifs. Alors que le
nom commercial ne peut être composé que du nom, prénom ou le surnom.
Les deux sont des droits incorporles du fond de commere (art80 du code de commerce)
toute Dans le sens qu’elles sont soumises au taxes douanières parfois quand
l’orgine du produit n’est pas conformes pour l’accord du libre et change
Si la demande n’a pas été rejetée, elle fera l’objet d’une publication selon des modalités fixées par
voie rélemenatire (art 148-1) .
Lorsque la demande est admise, un certificat d’enregistrement est délivré au titulaire de la marque
Ce certifiat lui confère un droit exclusif d’exploitation de la maque c'est-à-dire un droit pour les
prodtits et services qu’il a désignés pour une durée qui peut-être illimité
toutefois, la marque notoire est exceptée, il suffit que celle-ci soit commue
dans plusieurs pays du monde et avoir un grand budget comme Coca-Cola .
Sachant que toute l’Afrique actuellement ne dispose pas d’une marque notoire.
Cela ne constitue pas une concurrence déloyale mais une atteinte à l’image de
la marque.
Pour déposer une marque, il faut que celle-ci répond aux conditions suivantes :
L’arrangement de Madrid et