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TPE :Ecologie Animale
NGOUDA
KA/M1ESVT/20090
3PCS
PLAN
I .INTRODUCTION
II .NOTION DE BIOSPHERE
III .LES ESPACES D’ETUDE DU NATURALISTE
BIOLOGISTE DANS BIOSPHERE
1. L’HYDROSPHERE
2. LA LITHOSPHERE
3. L’ATMOSPHERE
IV.LES ANIMAUX CARNIVORES
1. LES CARNIVORES TERRESTRES
2. LES CARNIVORES MARINS
3. LES CARNIVORES D’EAU DOUCE
V .LES ANIMAUX OMNIVORES
1. LES OMNIVORES TRRESTRES
2. LES OMNIVORES MARINS
3. LES OMNIVORES D’ EAU DOUCE
VI. .LES ANIMAUX VEGETARIENS
1. LES VEGETARIENS TERRESTRES
2. LES VEGETARIENS MARINS
3. LES VEGETARIENS D’EAU DOUCE
VII .LES VEGETARIENS PARASITES DE VEGETAUX
CONCLUSION
I. INTRODUCTION
La biologie1 est la science du vivant. Prise au sens large de science du vivant elle
recouvre une partie des sciences naturelles et de l'histoire naturelle des êtres
vivants (ou ayant vécu). Toutefois la distinction entre organismes vivants et non
vivants est parfois difficile et la détermination de l'objet spécifique de la
biologie n'a rien d'évident.
II NOTION DE BIOSPHERE
La biosphère s'insère dans ces systèmes terrestres, elle est la partie vivante de
la planète, la biologique qui abrite la vie qui se développe. Il s'agit d'une
dimension superficielle localiséequi descend jusqu'à 11 000 mètres de
profondeur et s'élève jusqu'à 15 000 mètres d'altitude par rapport au niveau de
la mer. La majorité des espèces vivantes vivent dans la zone située de -100
mètres à +100 mètres d'altitude.
L'hydrosphère terrestre est constituée à environ 97 % d'eau salée par les ions de
sodium (Na+) et de chlore (Cl-).
Les mers sont de grandes masses d'eau salée déterminées par des archipels, de
grandes îles ou péninsules ou par des terres relativement proches les unes des
autres. Les océans, bien plus grands, séparent les continents et atteignent une
profondeur bien supérieure. Les continents se prolongent sous l'eau par une
plate-forme continentale d'environ 200 m de profondeur; celle-ci s'achève par un
dénivelé abrupt, le talus continental, qui rejoint les grands fonds vers 3 000 m de
profondeur.
Bien que les océans et les mers communiquent les uns avec les autres, leur
salinité, leur densité et leur température sont différentes. Ainsi les eaux
tropicales sont-elles plus salées que les eaux où se jettent les grands fleuves et
que les mers froides, du fait de la plus forte évaporation ou parce que les sels se
dissolvent mieux dans une eau chaude. La plus forte salinité se rencontre dans la
mer Rouge (44 g/l en moyenne et jusqu'à 300 g/l localement), la plus faible,
dans la mer Baltique (2 g/l), la salinité moyenne étant de 35 g/l.
MERS INTERIEURES
Les mers intérieures et les lacs sont d'importants réservoirs d'eau plus ou moins
douce.Selon leur origine on distingue les lacs volcaniques (circulaires),
glaciaires (de forme allongée et irrégulière) résultant de la fonte d'anciens
glaciers, tectoniques (irréguliers) formés par les mouvements de la croûte
terrestre (comme par exemple la mer Morte), côtiers (formés d'eau saumâtre),
karstiques (occupant des dépressions argileuses), résiduels (restes d'anciennes
mers ou golfes, comme par exemple la mer Caspienne), alluvionnaires, et enfin
de barrage (artificiels ou naturels).
LES FLEUVES
Ils sont alimentés par les précipitations atmosphériques (via les torrents) ou la
fonte des glaciers et sont caractérisés par un flux d'eau permanent. La quantité
d'eau qui traverse à chaque seconde une section d'un cours d'eau est appelée son
débit, mesuré en m3/s ; le débit est maximal durant la crue et minimale durant
l'étiage. La région recouvrant l'ensemble des affluents d'un fleuve constitue son
bassin hydrographique.
2. LA LITHOSPHERE
3. L’ATMOSPHERE
Chez les mammifères carnivores, les dents carnassières sont faites pour
découper la viande des proies. Les animaux carnivores le sont à cause de
leur adaptation à consommer de la viande et de digérer des cellules
animales. L'animal carnivore n'est pas nécessairement un prédateur, la
hyène est un charognard et va se contenter d'une dépouille, avant de
chasser de petits animaux
Un carnivore est un animal opportuniste comme la majorité des animaux,
donc un petit repas de fruits ou autre nourriture qu'il est capable de
manger et digérer ne sera pas de refus. Mais en règle générale, il va se
nourrir d'un repas de viande.
La méduse laisse flotter, sous son corps en forme d'ombrelle transparente, des
filaments venimeux qui attrapent de petites proies, rapidement digérées par
l'animal.
L'anémone de mer ressemble un peu à une fleur dont les pétales, qui sont en
réalité des tentacules venimeuses, se referment sur l'imprudent (crustacé ou
poisson) qui s'en est approché.
L’un des poissons préférés des plongeurs et des aquariophiles marins est le
poisson clown, ainsi appelé en raison de ses couleurs et d'une nage plus ou
moins dandinante en fonction des espèces.
Les Gobiodons sont de petits poissons (entre 3 et 8 cm de long à l'âge adulte) à
qui leur petite taille permet de vivre environ 3 ans de préférence entre les
branches des Acropora où ils trouvent une relative sécurité. Carnivores, ils se
nourrissent de petites proies.
Aye aye
Babouin
Bécassine
Capucin
Carcajou
Chien viverrin
Chimpanzé
Civette
Coati
Couscous
Dragon d'eau
Fennec
Genette
Gerbille
Gibbon
Lérot
Loris
Macaque
Mandrill
Martre
Moufette
Mulot
Muscardin
Orang-outan
Ours noir
Ours polaire
Ouistitis
Ouistiti pygmée
Panda rouge
Pécari
Rat musqué
Raton laveur
Ratufa indica
Rhésus
Amphibiens : grenouille-taureau, etc.
Les rongeurs grignotent : le lapin grignote à petits coups avec ses longues
incisives (les dents de devant), qui ne s'usent jamais car elles continuent
toujours à grandir. Les animaux semblables, appelés rongeurs, grignotent
aussi mais pas seulement des feuilles. L'écureuil aime les graines des
arbres : noisettes, glands, châtaignes, etc. Il s'aide des pattes de devant pour
saisir sa nourriture. D'autres rongeurs, comme le muscardin, préfèrent les
fruits. Le castor peut abattre des arbres en les rongeant à la base. Le mulot
et la souris n'hésitent pas à s'attaquer aussi aux provisions des humains.
Le chardonneret doit son nom au fait qu'il aime les graines de chardon. Le
pigeon et la poule se nourrissent surtout de graines, on les appelle granivores. Le
moineau aussi, mais il ajoute des insectes à son menu.
Certains oiseaux des pays chauds (comme le perroquet) ont un bec très solide et
très gros, leur permettant de casser les graines les plus dures. Le merle et la
grive aiment beaucoup les baies sauvages desen forme de pinceau qu'il peut
introduire au cœur des fleurs pour lécher le nectar.
Les pucerons se nourrissent en piquant les feuilles et les tiges de leur plante
préférée et aspirent la sève. La quantité prélevée serait négligeable s'ils ne
vivaient par centaines sur les mêmes plantes.
Les fourmis vont lécher les pucerons pour récupérer de la sève sucrée. Par
contre, la coccinelle les dévore pour se nourrir.
La cigale qui possède une trompe solide peut piquer les branches d'arbres pour
y puiser un peu de sève.
Les papillons ont, au contraire, une trompe très molle qu'ils déroulent pour
aspirer le nectar, jus sucré du cœur des fleurs.
Les papillons transportent dans leur ruche la plus grande partie de leur récolte
de nectar qui sera emmagasinée et concentrée pour devenir du miel.
Les premières infestations sont dues soit aux semences contaminées, soit à
l'apport de débris végétaux contaminés par les outils de travail (barres de
coupe…). Ensuite, les symptômes s'étendent de plante à plante par le
déplacement des nématodes, dans les couches superficielles du sol, en
présence de forte humidité. Ces derniers contaminent l'ensemble du pied et
remontent dans les tissus de la tige jusqu'aux graines lors de leur formation.
L'implantation exige des semences certifiées indemnes. L'utilisation de variétés
résistantes constitue un progrès important pour limiter les attaques. Dans les
parcelles déjà attaquées, la rotation culturale est la méthode de lutte la plus
facile en utilisant des cultures non-hôtes, ne multipliant pas ou peu le parasite.
Il faut attendre en moyenne huit ans avant de revenir à la culture d'une
légumineuse sensible au nématode.
Les nématodes des racines
Les plus nuisibles appartiennent aux genres endoparasites. Leurs symptômes se
manifestent sous forme de galles ou de nodosités sur les racines, de nécroses
ou par la prolifération des racines secondaires. La lutte est difficile car
beaucoup sont polyphages.
➢ Eau marine:
➢ Eau douce:
CONCLUSION
Au terme de notre recherche nous pouvons conclure que l’étude du
naturaliste biologiste nécessite un morcellement de la biosphère en
domaines d’études.Ainsi ces espaces de prédilection sont caractérisés
par une diversité de la faune et de la flore qui entretiennent différents
types de relations et qu’ une classification des animaux peut se faire en
fonction de leur milieu de vie et de leur régime alimentaire.