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Université Mohammed Premier Oujda

Faculté Pluridisciplinaire de Nador

Résume de H.P.E

Semestre :5

Prof : G. Chouay.

Réalisé par : Jaouad el Ouamari


Histoire de la pensé économique (H.P.E).

-l'économie chez Aristote :


En distingue 3 branches :

+l'Ethique : la science de l'activité individuel.

+l’ECoq : la science de l'activité dans la famille.

+la politique : la science de l'activité dans la cité.

-le chrématistique : l'administration des ressources.

-Eco : l'administration des richesses dans la famille et pour la famille.

3 différences entre l'économie générale et l'économie d’Aristote, pour l'économie


d'Aristote :

+pas de commerce.

+pas de travail salarié.

+pas de crédit à l'intérêt.

L'intérêt de l'étude de l'histoire de la pensé économique :


-les progrès de la connaissance économique ne sont pas linéaire.

-les théories récents ne sont pas nécessairement les plus vrais.

-en économie, coexistence d'un grand nombre d'analyse parfois contradictoire.

-des énoncés anciennes préfigure les développements récents de l’économie,


nombre des idées fondamentaux se trouve ainsi chez ces auteurs, chaque économiste
entretient avec certains de ses prédécesseurs des rapports placé sous le signe de
l’affiliation de la recrute.

-en autre c'est un laboratoire que chaque économiste porte en lui consentement, il
veut mieux connaître ce dont une charité que de se contenter d'imaginer que
l'héritage est caché quelque part dans un endroit inconnu et dans une langue
étrangère.

-retracer l'évolution des analyses économiques peut aider à comprendre certains


débats actuels en économie, les pensées économiques doivent nous aider à
comprendre le monde actuel et ses troubles.
-l'étude de l'histoire des idées permet de mieux comprendre comment le savoir
scientifique évolue et se transformer.

La pensé économique Arabo-musulmans :


-Al kassani : qui à rédiger un ouvrage célébré sur l'organisation du trésor public.

-Cadiabi Yaala : qui a rédigé un ouvrage intitulé " la loi de L'IHTIBASS" ou la loi du
contrôle des prix.

-Ibn Hazem : en Andalousie qui à écrit deux ouvrages "Al Mohalla" et " les juridictions
sur les bases des juridictions ", ouvrage considéré à leur époque révolutionnaire sur la
répartition de la richesse.

La pensé économique Arabo-musulmans atteint au 14éme et au 15 -ème siècle un


niveau scientifique inégale grâce à l'apport de 2 auteurs, "Ibn Khaldoun au Maghreb"
et "El Makrizi en Égypte” :

-Ibn Khaldoun : " la théorie de la valeur " :

+le travail est une source de la richesse.

+l'évolution de la valeur dépend de la quantité de travail et de la qualité de travail.

+ "la loi de l'offre et de la demande" : confrontation des intérêts recherché par les
demandeurs et les offreurs.

+ la théorie des finances publiques.

+ base de système fiscale.

-Al Makrizi : la disparition de la bonne gestion monétaire :

+la relation entre la masse monétaire et le prix " procuré sur la théorie quantitative
de la monnaie".

+la mauvaise monnaie chasse la bonne monnaie (évoqué par Gresham).

Le courant Mercantiliste :
C’est développer entre 16éme et 18éme siècle, l'objectif principale du mercantilisme
est de procurer à l'Etat le maximum d'or et d'argent source, selon ce courant la
richesse des Etats provenait de l'accumulation des métaux précieux et la force d'un
pays dépend de sa quantité d'or et d'argent.

Ils ont vu le jour à la suite d'une triple révolution :

-Révolution matériel : afflux d'or et d'argent.


-Révolution politique et sociale : constitution des Etats nationaux européennes et
l'apparition de la propriété privée.

-Révolution intellectuelle et morale : renaissance des arts et réforme religieuse.

Le mercantilisme :
-Espagnol : l'enrichissement monétaire se fait suite à l'exploitation des colonies
(‫)مستعمرات‬.

Critiqué par J. Bodin qui annonça "la théorie quantitative de la monnaie


"l'augmentation de la masse monétaire en circulation entraîne l'inflation.

-Anglais (le protectionnisme) : il faut exporter le maximum possible avec les prix les
plus élevés et importer que ce qu'on est incapable de produire avec les prix les plus
faibles.

L’excédent commerciale feux rentrer l'or dans le pays.

-Français (l'industrie) : il faut être industrieux, développer une activité


manufacturière, les importations doivent se limiter au matière Première et exporter
des produits manufacturés à des prix élevés.

√Jean Bodin : qui a vécu dans la 2 -ème moitié de siècle, il est premier à formuler une
théorie quantitative de la monnaie, soit à mettre en évidence la relation existent entre
la masse monétaire et la quantité des produits en circulation.

√William Petty : auteur anglais, il a inventé la statistique appelé l'arithmétique


politique, il est le premier à calculer le revenu national.

√Thomas Gresham : connu par sa fameuse loi " loi de Gresham",{la mauvais monnaie
chasse la bonne }.

-le mercantilisme à Néanmoins échoué dans les politiques qu'il a proposé,


l'accumulation des moyens de paiement sans contrepartie suffisante en production de
biens et services, débouchait rapidement sur l'inflation.

-D'une apparu simple critiqué le mercantilisme car il est actuellement reconnu que le
seul enrichissement est l'enrichissement matériel c'est-à-dire fondé sur la production,
le mercantilisme est se pendant l'une des premières tentatives d'analyse des
phénomènes économiques.
La physiocrate :
-les physiocrates élaborent une nouvelle théorie en réaction au mercantilisme, cette
école née en France et représentée par François Quesnay (18éme siècle).

-ils considèrent que les mercantilistes sont à l'origine des crises qui touchent le pays :
la crise des finances public, la crise politique et la crise agricole.

-ils reprochent aux mercantilistes d'avoir négligé l'agriculture et la nature au profit du


commerce et de l'industrie.

L’activité productive et l'activité stérile (‫ )عقيمة‬:

+seule l'agriculture est dons mesure de produire un produit net, c'est-à-dire un


surplus par apport aux moyens de production utilisés : c'est l'activité productrice.

+l'activité manufacturière, au contraire, est stérile car il ne dégage aucun produit


net, elle transforme les richesses mais n'ont les crées pas.

+l'industrie est tout de même utile puisqu'elle fournit à l'agriculture des biens dont
l'utilisation lui permet d'augmenter le produit net.

C’est une avancée considérable par rapport au mercantilisme.

L’erreur est se pendant de réduire la création de richesse à la seule activité agricole.

Le concept de circuit économique :


+le tableau économique de Quesnay.

Quesnay procédé à la première tentative de la comptabilité nationale en représentant


la circulation des flux réels et monétaires, ce qui impose une vision dynamique et n'ont
plus statique de l'économie.

Les classiques 18 -ème siècle :


-après la révolution industrielle, l'apparition de courant classique qui analyse les
phénomènes économiques, c'est un courant unifié, leurs analyses vont inspirer :

+les néoclassiques (le libéralisme).

+K. Marx (valeur travail).

Les auteurs de courant classique :

-Adam Smith.

-David Ricardo.
-T.R. Malthus.

-J.B. Say

La pensé classique croit en l'équilibre stable, s'il y a des déséquilibres, ils ne sont que
momentanés.

Il y a une correspondance entre les intérêts individuels et l'intérêt générale.

I. Le fondement du libéralisme : l'ordre naturel.


1-le libéralisme source de l'enrichissement.
A-la main invisible d'Adam Smith :

Adam Smith considère qu’une force extérieure au marché insiste chaque agent
économique, cherchant à satisfaire son intérêt particulier, à satisfaire l'intérêt
générale sans que cela n'entre dans ces intentions.

L’intérêt générale est l'agrégation la somme des intérêts particuliers, l'Etat doit être
un Etat minimale qui n'entrave pas la liberté d'entreprendre.

B - le libre échange :

B.1-Adam Smith (loi des avantages absolus) :

Chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production dont il a un avantage Absolut,


un avantage supérieur ou autre pays.

B.2-David Ricardo (la loi des avantages comparatifs) :

Même si le pays est eu avantage absolu dans la production de deux biens, elle aura
intérêt à se spécialiser dans la production d'un seule bien et elle échanger contre
l'autre bien.

2-l'autorigulation qui exclue l'action de l'Etat


A-la loi des débauchés :

J.B. Say " l'offre crée sa propre demande "

Selon cette loi un accroissement de la production crée des richesses et dans lieu à une
distribution supplémentaire du revenu, celui va conduire à une augmentation de
niveau de la demande et ouvre donc des débauchés ou surcroît de l'offre.

Aucune crise de surproduction durable généralisé n'est possible si les mécanismes de


marché fonctionné.
B-la loi de la population (T.R. Malthus) :

La population suite une progression géométrique tandis que la production suite une
progression arithmétique, ce qui va engendre un appauvrissement de la population,
le recours à la sélection sociale doit être facilité par l'interdiction de toute charité
envers les pauvres pour ne pas les encouragés dans leurs comportements natalistes,
donc Malthus rejeté tous actions sociales de l'Etat.

II. Les déséquilibres sont envisageables :


1-la théorie de la rente foncière de Ricardo :
A-les rendements décroissants :

Pour faire face à l'accroissement de la demande, il est nécessaire de cultiver de


nouvelle terre de moins en moins fertile (‫)خصبة‬, donc le rendement est décroissant, la
rente foncière versé aux propriétaires s'accroît ou détriment du profit qui baisse.

La rente = (la quantité produite / la terre donné) - celle obtenue en cultivant la terre
la moins fertile.

2-l'ordre naturel est relativisé par certains classiques.


A-J.S. Mill :

J.S. Mill développé un courant réformiste : l'existence de la main invisible est


contestable, si l'intérêt de plus fort peut prévaloir et les inégalités existe.

>> la nécessité de l'intervention de l'Etat.

B-T.R. Malthus :

La demande intérieure peut être endossant de ce qu'il est nécessaire pour éviter la
crise de surproduction, remit en cause la loi de débouchés.

3-la notion du profit :


David Ricardo : répartie la valeur en deux parties :

-le coût de la marchandise représenter par la rente et les salaires.

-le bénéfice capitaliste exprimé par le profit (π).

>> selon Ricardo il faut baisser la rente foncière et stabiliser les salaires.
Les néoclassiques :19ème siècle :
Ils puissent leurs sources dans la pensé classique :

I.la régulation par le marché :


1-raisonnement à la marge :
Les raisons de ce raisonnement se trouve dans la théorie de la rente foncière de D.
Ricardo, ce qui explique l'existence des rendements décroissantes, le mot économicus
raisant sur des quantités additionnelles.

2-le fondement du calcul économique :


Selon la théorie de la valeur développer par W.S. Jevons, la théorie de la valeur de D.
Ricardo n'est pas exacte.

La valeur est fondée sur l'utilité subjective d’une unité additionnelle de la


marchandise, son coût n'est qu'une contrainte dont le producteur doit tenir compte,
le consommateur rationnel consomme jusqu'à ce que son utilité marginale (Um)
(décroissante) soit égale au prix

Il existe une juste rémunération des facteurs de production, contrairement à Karl


Marx, il n'existe pas une exploitation de travail par la capitale, les propriétaires du
capitale et les travailleurs perçoivent la juste rémunération de leurs contributions, la
rémunération d'un facteur de production s'effectué à sa productivité marginale, il est
égal au produit marginal qu'une unité additionnel de facteur permet d'obtenir.

Le producteur rationnel embauche jusqu'à ce que la productivité marginale soit égale


au salaire.

L'équilibre partiel : A. Marshall. # L'équilibre générale : L. Walras.

L'équilibre partielle de Marshall : le prix est déterminé par les seules variations de
l'offre et de la demande du bien considéré.

1-L'équilibre générale Walrasien :


A-sur l'ensemble de marchés :

-l'idée de l'autorégulation déjà annoncé par les classiques est reprise à condition de
l'existence de la concurrence pure et parfaite.

-si un équilibre stable et durable s'est établisse stentaniement de façon


interdépendante sur chaque marché, un équilibre général sera atteint pour l'ensemble
de l'économie.
-l'analyse néoclassique est une analyse macro-économique sur chaqu'un des trois
principaux marchés (marché de bien et service, marché de travail et marché des
capitaux), l’offre et la demande sont considéré comme le résultat d'agrégation de
demande et d'offre individuel.

-le prix se fixe à un niveau d'équilibre, si une modification intervient sur l'un des
marchés, il se reperçut (‫ )ينعكس‬immédiatement sur les autres marchés qui composent
la variation de façon à maintenir l'équilibre.

B-la fixation des prix par tâtonnements :

Sur un marché concurrentiel, il est impossible d'agréger les comportements


individuels stantaniements, des ajustements successifs permet de fixer un prix
d'équilibre et la monnaie est un instrument d'échange.

Le Marxisme :
Marx (1818-1883) > contemporaine de l'école classique, son ouvrage le plus célèbre
est " le capitale".

Il critique l'école politique classique et le système capitaliste en générale, un mode de


politique entonné à disparaître.

Pour Marx comme les classiques la marchandise à un valeur d'usage et une valeur
d'échange, l'objet n'est échangé sur un marché que s'il est utile.

-il n'est pas possible de justifier la valeur d'échange représente la quantité de travail
dépensé dans la production.

-D. Ricardo, Marx pense que le travail consacré à la fabrication des instruments de la
production, rente de la valeur de produits finis.

-Marx précise que le travail exprimé par la valeur d'échange est le travail productif.

-Comme A. Smith il va considérer les fonctionnaires et les domestiques comme des


agents improductif.
Le Marxisme :
I. Une théorie de l'exploitation :
1-une théorie fondée sur la valeur de travail :
A-la force de travail est une marchandise Particulière :

La valeur d'échange de la force de travail = la valeur des subsistances aux travailleurs


= la quantité de travail nécessaire à leur production.

-donc la valeur d'échange de la force de travail est définie comme celle de toutes
autres marchandises (la quantité de travail nécessaire pour le rôle produit).

-le travailleur à une valeur d'usage supérieur à la valeur d'échange, après avoir produit
l'équivalente de la valeur de sa force de travail il peut encoure crée de richesse.

B-la notion de profit (π) :

Marx refuse de considère le profit Comme une rémunération justifié de capitale : ce


profit n'est ou pour lui que le résultat d'un travail insuffisamment payé par l'employeur
permette la constitution d’une capitale.

-le profit à tendance à diminuer sous l'effet de la concurrence entre les capitalistes.

>> Marx distingue donc le profit de la plus-value, le profit selon Marx est désigné par
le rapport plus-value sur la capitale constante plus la capitale variable.

Π = (P/ Cc + Cv).

π : taux de profit.

P : valeur de plus-value = la différence entre la valeur de marchandise produite et le


salaire distribué aux travailleurs.

Cc : capitale constante.

Cv : capitale variable.

-ce rapport, selon Marx cache un autre plus significative celui de taux de plus-value ou
taux d'exploitation.

-taux d'exploitation = (P/V)

P : plus-value.

V : les salaires.
le capitaliste extorque une plus-value qui est la différence entre la valeur de la richesse
crée par le travailleur et celle de sa force de travail c'est-à-dire son salaire suffisant, le
propriétaire des moyens de production ( le Bourjois) exploite celui qui ne possédé que
sa force de travail ( le prolétaire), ainsi, si le taux de profit intéresse le capitaliste
(puisque dans son esprit le profit est issu non seulement de capitale variable, mais de
la totalité de capitale constante plus variable) le taux de plus-value intéressé par
contre le travailleur (puisqu'il exprime la part perdue de salaire).

2-la lutte contre des classes :


-l'exploitation justifié l'existence et la conscience d'un antagonisme de classes entre la
classe prolétarienne et la classe Bourjois.

-matérialisme historique : la lutte de classe, moteur de l'histoire de grand âge, fait


apparaître une substions de mode de production : communisme, primitif,
esclavagisme, féodalisme, capitalisme, socialisme, communisme.

Le capitalisme représente une avancé par apport aux modes de production précédent
même s'il est condamné à terme à disparaître.

-l'effait montréalise le matérialisme historique, la révolution bolchevique c'est produit


dans un pays où le capitalisme n'était pas encoure développer.

-Lénine (1870-1924), la justifié dans sa théorique de l'impérialisme on affirme que la


révolution c'était déroulé là où le maillon de l'impérialisme était le plus faible, le
renversement des Régimes socialistes de 1989 à 1991 représente une anomalie par
apport aux matérialisme historique que la théorie Marxiste ne peut expliquer.

-La disparition du capitalisme est inéluctable :


A-la baisse tendanciel du taux de profit :

Marx affirme que le taux de profit à tendance à baisse, et cette évolution est une loi
de système capitaliste, il explique ce phénomène de la manière suivant : pour éviter la
hausse du salaire, le capitaliste modifié la composition organique de capitale, soit le
rapport (C/V) au profit du capitale constante (C), d'autre part le taux d'exploitation
(P/V) à tendance à restait constante puisque le capitaliste refuse d'embaucher une
forte quantité de main d'œuvre de peur d'augmenter les salaires, ceci entraîné une
baisse tendanciel du taux de profit.

Si le taux de plus-value reste constant et la capitale constante augmente, il y a une


baisse de taux de profit, le capitaliste essaye de lutter contre cette baisse par
l'accroissement de la plus-value absolu relative (la mécanisation).
La capitale accumulée fait baisser le taux de profit et ainsi se dévaloriser, le système
étant contradictoire avec lui-même, sa destruction donc est inévitable.

Keynes :
La crise de (1929), crise de surproduction ou crise de sous-consommation, permet à
Keynes pour s'opposer au Néoclassiques dans les années 30, son ouvrage le plus
célèbre est " la théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie ", (1936).

L’analyse néoclassique L’analyse keynésienne


Le raisonnement Micro-économique Macro-économique
économique
Compta nationale = agrégats.

Rôle de la monnaie Neutre N’est pas neutre, théorie de la demande


de monnaie

Incertitude Absente = certitude. Existence > incertitude

Anticipation des agents économiques.

L’équilibre

Économique Plein-emploi. Sous-emploi.

Absence de l’Etat, mécanismes Intervention de l’Etat de réduire les


autorégulateurs, main invisible déséquilibres.
Rôle de l’Etat
d’Adam Smith.

Economie d’offre > loi des débauchés Economie de demande, la demande


globale influence sur l’offre principale
Economie
de la demande effective.

Modèle standard : Economie fermé avec 2 secteurs


(ménages et les entreprises) :
-flexibilité des prix.
-l’Etat qui intervient au niveau des
Hypothèses. -concurrence pure et parfaite pour
politiques économiques.
tous les marchés.
-les prix sont fixé par convention.
-rationalité des agents économiques.
-revenu nationale = revenu disponible.
L'analyse keynésienne est une analyse en termes de circuit, Keynes montre que
l'agrégation des comportements micro-économiques ne détermine pas un équilibre
de plein-emploi.

1-l'équilibre de plein-emploi permanent est impossible :


A-l ‘infirmation de la loi Des débauchés :
-la demande effective est la variable déterminante : Keynes infirme le raisonnement
de J.B. Say, reprit par les néoclassiques, il reprend l'idée de Malthus selon laquelle le
niveau de la demande effective détermine le niveau de l'offre et non pas l'inverse.

-le plein-emploi n'est pas systématiquement atteint : les E/ses ajuste le niveau de la
production à la demande effective et le niveau de la production détermine à court
terme le niveau d'emploi.

-le niveau de la production atteint ne correspond pas obligatoirement au niveau de


plein-emploi, un chômage involontaire est possible.

B-la préférence pour la liquidité :


-la trappe à liquidité :

L’epargne se devise en deux parties : la première est de l'épargne se transforme en


investissement, composante de la demande, la deuxième est toutes dans la trappe à
l'équidité est n'alimente pas la demande, c'est la raison pour lequel le niveau de la
demande effective peut être insuffisant pour atteindre l'équilibre de plein-emploi,
l'existence de la trappe à l'équidité s'explique par la faite que la monnaie n'est pas
neutre et peut être préféré pour elle-même.

-les trois motifs de la préférence pour la liquidité :

1-les encaisses de transactions : qui permettent de réaliser les dépenses de


consommation ou des versements de revenus ne sont pas néfaste puisqu'ils dont lieu
à des dépenses de consommation à court terme.

2-les encaisses de précaution : sont constitués par les ménages pour se protéger
contre les risques liés à la maladie, à la famille, à la vieillesse, la perte d’emploi, ces
encaisses en tendance à augmenter avec l'augmentation de niveau de revenu, ils
tombent dans la trappe à liquidité et échappe à court terme à la demande, car les
dépenses se dont lieu que dans le cas le risque est réalisé.

3-les encaisses de spéculation : sont constitué afin de réaliser les plus-values, elles
échappent à la demande car elle ne finance ni la consommation ni l'investissement.
La croissance ne s'auto-entretient pas et nécessité l'intervention de l'Etat.

A-les fruits de la croissance :

+la fruite de l’épargne :

L’augmentation des revenus n'induit pas automatiquement à une augmentation


proportionnelle de la demande.

La propension à consommer diminuer au profit de la propension à épargner qui


augmente, selon Keynes l'epargne est fonction de revenu, l'epargne n'est pas
totalement investi, il ne comble pas la différence entre la demande et la
consommation, ceci est due à la préférence pour la liquidité.

>> l'équilibre de plein-emploi apparait comme une situation exceptionnelle, si l’on


n’intervient pas la situation normale est celle d'un déséquilibre ou de l'équilibre de
sous-emploi.

B-relance de la demande effective :

+ augmenter la demande de consommation : il faut accroître le niveau de


consommation en augmentent les bas revenus, dont la propension à consommer est
la plus fort, l'Etat peut accorder des revenus supplémentaires par la création d'emploi
public, et augmenter les dépenses de fonctionnement de l'Etat.

Il faut accroître le niveau de consommation grâce à la mise en place d'une protection


social qui permet de réduire le plus possible les encaisses.

+augmenter la demande d'investissement : les taux d'intérêt faibles doivent insister


à encourager l'investissement, en augmentent les écarts entre entre le taux d'intérêt
et le rendement escompter d'investissement.

L’Etat peut pratiquer le déficit budgétaire qui permet d'augmenter la demande


publique.

Un effet multiplicateur, appelé multiplicateur Keynésienne augmente la relance,


l'accroissement initiale d'investissement provoque un accroissement plus que
proportionnelle de la demande, donc de la production et du revenu, plus la propension
à consommer est fort (c’est-à-dire plus une partie importante de revenu et par
l'investissement est réintroduit dans le circuit), plus l'effet multiplicateur est
important.
II-l ‘impossibilité de l'apparition d'une crise généralisé et durable.
1-les mécanismes autorégulateur assurent l'équilibre :
A-la flexibilité des prix permet l'auto-régulation :

Si la demande baisse sur le marché des biens et services, ceci engendre la baisse des
prix et par la suite la demande va augmenter (crise impossible).

-le mécanisme régulateur fonctionne quel que soit la variation de l'offre ou de la


demande et quel que soit le marché.

B-la reprise de la loi des débauchés :

La demande est une variable déterminée par l'offre, si les revenus créent par l'offre
qui l'aliment.

La juste rémunération des facteurs de production assure le fonctionnement de cette


loi.

La non intervention de l'Etat : l'intervention de l'Etat perturbe le fonctionnement


autorégulateur du marché ou introduisent des rigidités.

2-le plein-emploi et l'égalité epargne-investissement :


Si l'offre augmente sur le marché de travail, la baisse des salaires réels qui en découle
encourage les E/ses à embauchés la persistance (‫ )إستمرار‬de chômage ne peut alors
être due qu’à l'existence de chômage volontaire (chômage durable est impossible).

Égalisation de l'epargne et de l'investissement : si l'offre baisse sur le marché


monétaire (marché des capitaux), une crise de l'investissement est impossible car
l'augmentation du taux d'intérêt qui on découle accroît en suite l'épargne.

L’existence de crise durable remet en cause les principes de l'analyse néoclassiques.

+la politique Keynésienne est une politique de demande : pour Keynes l'intervention
de l'Etat dans la sphère économique est obligée pour relancer l'économie à travers
l'augmentation des dépenses de consommation et les biens d'équipements et puis
l'augmentation des investissements par l'endettement ou par la création monétaire
qui va provoquer une inflation, ce qui explique un déséquilibre.

+la politique libérale est une politique de l'offre : (ou politique de relance par l'offre),
la non intervention de l'Etat dans la sphère économique, mais il faut un équilibre
Macro-économique (la stabilisation des agrégats Macro-économiques) pour
augmenter les investissements étrangers et par la suite la création de la richesse.

La banque mondiale adopte une politique libérale.

Après la 2-ème guerre mondiale la plupart des pays européennes adoptent une
politique Keynésienne pour les reconstruites.

En 1971 la situation de stagflation (inflation + chômage).

Les néolibéraux :
Selon les néolibéraux la politique keynésienne ne corrige pas les déséquilibres, elles
les accroît.

Il existe de nombreux courants néolibéraux : les deux principaux courants sont :

I-la théorie de l'offre :


Les néolibéraux considère qu'il faut désengager l'Etat et freiner les redistributions.

1-la théorie de l'offre :


A-la théorié de l'offre s'oppose à la théorie de la demande de Keynes :

Il considère que ce n'est pas la demande qui détermine l'offre mais l'offre crée la
demande (il reprend la loi des débauchés), toutes politiques visant à augmenter la
demande ou détriment de l'offre et donc récessive.

Les théoriciennes de l'offre considère qu'une politique de redistribution est néfaste


(‫ )ضارة‬:

-en prenant des revenus à ce qui ont la plus forte propension à épargner, pour les
distribuer à ce qui ont la plus forte propension à consommer, il diminue l'épargne et
donc l'investissement.

-Tros d'Etat est dissuasif (‫)رادعة‬.

Les prélèvements obligataires, nécessaire ou financement des budgets de l'Etat et des


organismes de protection sociales, dissuade les individus de travailler ou de produire
et les insistent aux travails en noir ou à ce consacré aux travail domestique.

La courbe de Arthur Laffer montre qu'appartir d'un certains seuilles d'imposition, les
recettes de l'Etat diminuer, que le taux d'imposition soit de 0% ou 100%, les résultats
sont les mêmes : les recettes sont nul, "trop d'impôt tue l'impôt".
B-l ‘école des "choix public" s'oppose à l'intervention de l'Etat :
Selon J. Buchanan l'imperfection de marché ne rend pas légitime l'intervention de
l'Etat.

L’étude des différentes activités public mené par l'école des choix publiques montre
que l'Etat est chaque fois moins effective qu’aurai été le secteur privé.

L’Etat opéra un effet d'évection sur le secteur privé, toutes les disponibilités au travail
ou en financement qu'elle utilise sont un manque à gagner pour le secteur privé.

Effet d’éviction : baisse de l'investissement et de la consommation privé :

+éviction directe : l'augmentation des dépenses publics > augmentation des impôts
> baisse des revenus > baisse de la consommation > fuite des E/ses.

+éviction indirecte : augmentation des dépenses publics > augmentation de


l'emprunt obligataire > augmentation de taux d'intérêt > baisse des investissements
(chère) > fuite des E/ses.

2-les monétaristes considèrent que les politiques Keynésienne sont mentalisés


par l'inflation :
A-le monétarisme de M. Friedman :

-M. Friedman considère que l'inflation est le phénomène la plus néfaste à


l'économie : selon lui, il est toujours dû à un phénomène monétaire, et il est la
résultant d'une mauvaise politique de l'Etat.

-Une politique de relance de type Keynésienne ne peut être efficace car elle engendre
l'inflation pour 2 raisons :

+l'augmentation de revenu nominale ne permet de relancer l'économie qu'à très


court terme, car les agents économiques ne sont victimes de l'illusion monétaire que
pendant un temps limité, elles se rendent compte que leurs pouvoir d'achat
n'augmente pas, la hausse des prix les privent des effets de la hausse des revenus.

+il existe un chômage naturel née de l'inadaptation de certains actifs à remplir les
conditions fixées par le marché du travail, une politique de relance ne peut donc pas
crée des emplois, mais il est source d'inflation.

La pensé Hétérodoxe :
l'orthodoxie économique est celle des grandes courants économiques comme ce des
néoclassiques et Keynésiennes, la pensé économique n'est pas toujours confirmer par
l'effet, c'est pourquoi certains économistes s'inscrivent en marge de l'orthodoxie
économique, lorsqu’une pensé Hétérodoxe devient une théorie explicative globale,
elle devient une école appart entière, comme c'est le cas par exemple de la théorie de
la régulation ou la théorie de déséquilibre, les économistes Hétérodoxes s'élèvent
certains points qui sont rester dans l'ombre jusqu'à alors, comme l'ont fait dans des
directions différents J.A.Schumpeter et J.K.Galbridge.

I-l ‘hétérodoxie de Schumpeter : l’innovation :


1-la destruction créatrice :
L’innovation est déterminante :

-l'innovation constitue selon Schumpeter l'impulsion fondamentale qui met et


maintient au mouvement la machine capitaliste.

L'innovation est un phénomène majeur qui permet à Schumpeter de dresser une


vision de l'économie par siècle, chaque siècle correspond à la mise en œuvre puis au
déclin d'une drap d'innovation.

-il existe en moins 5 domaines d'innovation possibles, non exclusive les uns des autres
: les objects de consommation, les méthodes de production, les marchés, les matières
premières ou les produits semi-finis et l'organisation productive (concentration).

-il est inutile de préserver un domaine dans lequel une innovation est arriver à
saturation.

-la destruction n'est pas une fin puisqu'il est créatrice, il permet en effait de mobiliser
les facteurs de production et les efforts pour qu'une innovation se produise encoure.

2-l ’entrepreneur, moteur de la croissance :


-l'entrepreneur selon Schumpeter est l'instigateur de l'innovation, l'impulsion vient
de lui.

-l'esprit d'entreprise, guider par la recherche de profit, l'esprit d'entreprise est la


dynamique qui assure la croissance et le développement.

II-l ‘hétérodoxie de J.K. Galbraith : le pouvoir économique.


1-la technostructure dans l'entreprise :
A-la disparition de l'entrepreneur :

Avec la naissance puis le développement des grands E/ses la propriété se devise entre
multiples propriétaires, l’entrepreneur propriétaire ni plus l'homme de la situation.
Dans ce système de propriété partager, la propriété confire toujours un pouvoir
juridique mais ne donne plus le pouvoir économique (pouvoir de décision).

La grande E/se est de plus en plus complexe à gérer et l'entrepreneur ne peut être à
lui seule compétent en tous pour la diriger.

B-la dissociation entre le pouvoir juridique et le pouvoir économique :

-l'E/se se dote d'un personnel salarie, compétent pour assurer les différentes fonctions
entrepreneuriales, les cadres de l'E/se sont des technocrates qui constitue la structure
dirigeant de l'appellation "la technostructure".

Ainsi une certaine partie de salariats détient le pouvoir économique qui échappe à
l'actionnariat.

2-la filaire inversé de la décision de consommation :


A-le rejet de la théorie de la sevrainter de consommateur (consommateur roi) :

La théorie néoclassique fonde la fonction de consommation sur l'existence d'une


autonomie du consommateur, celui-ci est un agent économique rationnel qui arbitre
en fonction de la contrainte budgétaire, d'un système de préférence et d'un système
de prix.

B-l ‘inversion de la filaire :

La théorie de la filière inversée tant à montrer que le consommateur est semis à un


conditionnement qui passe essentiellement par la publicité, propre à influencer où
déterminer sa décision, son même qu'il s'aperçoive, il rejet donc l'hypothèse l'homo-
economicus.

Fin
Bon courage.

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