Résume de H.P.E
Semestre :5
Prof : G. Chouay.
+pas de commerce.
-en autre c'est un laboratoire que chaque économiste porte en lui consentement, il
veut mieux connaître ce dont une charité que de se contenter d'imaginer que
l'héritage est caché quelque part dans un endroit inconnu et dans une langue
étrangère.
-Cadiabi Yaala : qui a rédigé un ouvrage intitulé " la loi de L'IHTIBASS" ou la loi du
contrôle des prix.
-Ibn Hazem : en Andalousie qui à écrit deux ouvrages "Al Mohalla" et " les juridictions
sur les bases des juridictions ", ouvrage considéré à leur époque révolutionnaire sur la
répartition de la richesse.
+ "la loi de l'offre et de la demande" : confrontation des intérêts recherché par les
demandeurs et les offreurs.
+la relation entre la masse monétaire et le prix " procuré sur la théorie quantitative
de la monnaie".
Le courant Mercantiliste :
C’est développer entre 16éme et 18éme siècle, l'objectif principale du mercantilisme
est de procurer à l'Etat le maximum d'or et d'argent source, selon ce courant la
richesse des Etats provenait de l'accumulation des métaux précieux et la force d'un
pays dépend de sa quantité d'or et d'argent.
Le mercantilisme :
-Espagnol : l'enrichissement monétaire se fait suite à l'exploitation des colonies
()مستعمرات.
-Anglais (le protectionnisme) : il faut exporter le maximum possible avec les prix les
plus élevés et importer que ce qu'on est incapable de produire avec les prix les plus
faibles.
√Jean Bodin : qui a vécu dans la 2 -ème moitié de siècle, il est premier à formuler une
théorie quantitative de la monnaie, soit à mettre en évidence la relation existent entre
la masse monétaire et la quantité des produits en circulation.
√Thomas Gresham : connu par sa fameuse loi " loi de Gresham",{la mauvais monnaie
chasse la bonne }.
-D'une apparu simple critiqué le mercantilisme car il est actuellement reconnu que le
seul enrichissement est l'enrichissement matériel c'est-à-dire fondé sur la production,
le mercantilisme est se pendant l'une des premières tentatives d'analyse des
phénomènes économiques.
La physiocrate :
-les physiocrates élaborent une nouvelle théorie en réaction au mercantilisme, cette
école née en France et représentée par François Quesnay (18éme siècle).
-ils considèrent que les mercantilistes sont à l'origine des crises qui touchent le pays :
la crise des finances public, la crise politique et la crise agricole.
+l'industrie est tout de même utile puisqu'elle fournit à l'agriculture des biens dont
l'utilisation lui permet d'augmenter le produit net.
-Adam Smith.
-David Ricardo.
-T.R. Malthus.
-J.B. Say
La pensé classique croit en l'équilibre stable, s'il y a des déséquilibres, ils ne sont que
momentanés.
Adam Smith considère qu’une force extérieure au marché insiste chaque agent
économique, cherchant à satisfaire son intérêt particulier, à satisfaire l'intérêt
générale sans que cela n'entre dans ces intentions.
L’intérêt générale est l'agrégation la somme des intérêts particuliers, l'Etat doit être
un Etat minimale qui n'entrave pas la liberté d'entreprendre.
B - le libre échange :
Même si le pays est eu avantage absolu dans la production de deux biens, elle aura
intérêt à se spécialiser dans la production d'un seule bien et elle échanger contre
l'autre bien.
Selon cette loi un accroissement de la production crée des richesses et dans lieu à une
distribution supplémentaire du revenu, celui va conduire à une augmentation de
niveau de la demande et ouvre donc des débauchés ou surcroît de l'offre.
La population suite une progression géométrique tandis que la production suite une
progression arithmétique, ce qui va engendre un appauvrissement de la population,
le recours à la sélection sociale doit être facilité par l'interdiction de toute charité
envers les pauvres pour ne pas les encouragés dans leurs comportements natalistes,
donc Malthus rejeté tous actions sociales de l'Etat.
La rente = (la quantité produite / la terre donné) - celle obtenue en cultivant la terre
la moins fertile.
B-T.R. Malthus :
La demande intérieure peut être endossant de ce qu'il est nécessaire pour éviter la
crise de surproduction, remit en cause la loi de débouchés.
>> selon Ricardo il faut baisser la rente foncière et stabiliser les salaires.
Les néoclassiques :19ème siècle :
Ils puissent leurs sources dans la pensé classique :
L'équilibre partielle de Marshall : le prix est déterminé par les seules variations de
l'offre et de la demande du bien considéré.
-l'idée de l'autorégulation déjà annoncé par les classiques est reprise à condition de
l'existence de la concurrence pure et parfaite.
-le prix se fixe à un niveau d'équilibre, si une modification intervient sur l'un des
marchés, il se reperçut ( )ينعكسimmédiatement sur les autres marchés qui composent
la variation de façon à maintenir l'équilibre.
Le Marxisme :
Marx (1818-1883) > contemporaine de l'école classique, son ouvrage le plus célèbre
est " le capitale".
Pour Marx comme les classiques la marchandise à un valeur d'usage et une valeur
d'échange, l'objet n'est échangé sur un marché que s'il est utile.
-il n'est pas possible de justifier la valeur d'échange représente la quantité de travail
dépensé dans la production.
-D. Ricardo, Marx pense que le travail consacré à la fabrication des instruments de la
production, rente de la valeur de produits finis.
-Marx précise que le travail exprimé par la valeur d'échange est le travail productif.
-donc la valeur d'échange de la force de travail est définie comme celle de toutes
autres marchandises (la quantité de travail nécessaire pour le rôle produit).
-le travailleur à une valeur d'usage supérieur à la valeur d'échange, après avoir produit
l'équivalente de la valeur de sa force de travail il peut encoure crée de richesse.
-le profit à tendance à diminuer sous l'effet de la concurrence entre les capitalistes.
>> Marx distingue donc le profit de la plus-value, le profit selon Marx est désigné par
le rapport plus-value sur la capitale constante plus la capitale variable.
Π = (P/ Cc + Cv).
π : taux de profit.
Cc : capitale constante.
Cv : capitale variable.
-ce rapport, selon Marx cache un autre plus significative celui de taux de plus-value ou
taux d'exploitation.
P : plus-value.
V : les salaires.
le capitaliste extorque une plus-value qui est la différence entre la valeur de la richesse
crée par le travailleur et celle de sa force de travail c'est-à-dire son salaire suffisant, le
propriétaire des moyens de production ( le Bourjois) exploite celui qui ne possédé que
sa force de travail ( le prolétaire), ainsi, si le taux de profit intéresse le capitaliste
(puisque dans son esprit le profit est issu non seulement de capitale variable, mais de
la totalité de capitale constante plus variable) le taux de plus-value intéressé par
contre le travailleur (puisqu'il exprime la part perdue de salaire).
Le capitalisme représente une avancé par apport aux modes de production précédent
même s'il est condamné à terme à disparaître.
Marx affirme que le taux de profit à tendance à baisse, et cette évolution est une loi
de système capitaliste, il explique ce phénomène de la manière suivant : pour éviter la
hausse du salaire, le capitaliste modifié la composition organique de capitale, soit le
rapport (C/V) au profit du capitale constante (C), d'autre part le taux d'exploitation
(P/V) à tendance à restait constante puisque le capitaliste refuse d'embaucher une
forte quantité de main d'œuvre de peur d'augmenter les salaires, ceci entraîné une
baisse tendanciel du taux de profit.
Keynes :
La crise de (1929), crise de surproduction ou crise de sous-consommation, permet à
Keynes pour s'opposer au Néoclassiques dans les années 30, son ouvrage le plus
célèbre est " la théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie ", (1936).
L’équilibre
-le plein-emploi n'est pas systématiquement atteint : les E/ses ajuste le niveau de la
production à la demande effective et le niveau de la production détermine à court
terme le niveau d'emploi.
2-les encaisses de précaution : sont constitués par les ménages pour se protéger
contre les risques liés à la maladie, à la famille, à la vieillesse, la perte d’emploi, ces
encaisses en tendance à augmenter avec l'augmentation de niveau de revenu, ils
tombent dans la trappe à liquidité et échappe à court terme à la demande, car les
dépenses se dont lieu que dans le cas le risque est réalisé.
3-les encaisses de spéculation : sont constitué afin de réaliser les plus-values, elles
échappent à la demande car elle ne finance ni la consommation ni l'investissement.
La croissance ne s'auto-entretient pas et nécessité l'intervention de l'Etat.
Si la demande baisse sur le marché des biens et services, ceci engendre la baisse des
prix et par la suite la demande va augmenter (crise impossible).
La demande est une variable déterminée par l'offre, si les revenus créent par l'offre
qui l'aliment.
+la politique Keynésienne est une politique de demande : pour Keynes l'intervention
de l'Etat dans la sphère économique est obligée pour relancer l'économie à travers
l'augmentation des dépenses de consommation et les biens d'équipements et puis
l'augmentation des investissements par l'endettement ou par la création monétaire
qui va provoquer une inflation, ce qui explique un déséquilibre.
+la politique libérale est une politique de l'offre : (ou politique de relance par l'offre),
la non intervention de l'Etat dans la sphère économique, mais il faut un équilibre
Macro-économique (la stabilisation des agrégats Macro-économiques) pour
augmenter les investissements étrangers et par la suite la création de la richesse.
Après la 2-ème guerre mondiale la plupart des pays européennes adoptent une
politique Keynésienne pour les reconstruites.
Les néolibéraux :
Selon les néolibéraux la politique keynésienne ne corrige pas les déséquilibres, elles
les accroît.
Il considère que ce n'est pas la demande qui détermine l'offre mais l'offre crée la
demande (il reprend la loi des débauchés), toutes politiques visant à augmenter la
demande ou détriment de l'offre et donc récessive.
-en prenant des revenus à ce qui ont la plus forte propension à épargner, pour les
distribuer à ce qui ont la plus forte propension à consommer, il diminue l'épargne et
donc l'investissement.
La courbe de Arthur Laffer montre qu'appartir d'un certains seuilles d'imposition, les
recettes de l'Etat diminuer, que le taux d'imposition soit de 0% ou 100%, les résultats
sont les mêmes : les recettes sont nul, "trop d'impôt tue l'impôt".
B-l ‘école des "choix public" s'oppose à l'intervention de l'Etat :
Selon J. Buchanan l'imperfection de marché ne rend pas légitime l'intervention de
l'Etat.
L’étude des différentes activités public mené par l'école des choix publiques montre
que l'Etat est chaque fois moins effective qu’aurai été le secteur privé.
L’Etat opéra un effet d'évection sur le secteur privé, toutes les disponibilités au travail
ou en financement qu'elle utilise sont un manque à gagner pour le secteur privé.
+éviction directe : l'augmentation des dépenses publics > augmentation des impôts
> baisse des revenus > baisse de la consommation > fuite des E/ses.
-Une politique de relance de type Keynésienne ne peut être efficace car elle engendre
l'inflation pour 2 raisons :
+il existe un chômage naturel née de l'inadaptation de certains actifs à remplir les
conditions fixées par le marché du travail, une politique de relance ne peut donc pas
crée des emplois, mais il est source d'inflation.
La pensé Hétérodoxe :
l'orthodoxie économique est celle des grandes courants économiques comme ce des
néoclassiques et Keynésiennes, la pensé économique n'est pas toujours confirmer par
l'effet, c'est pourquoi certains économistes s'inscrivent en marge de l'orthodoxie
économique, lorsqu’une pensé Hétérodoxe devient une théorie explicative globale,
elle devient une école appart entière, comme c'est le cas par exemple de la théorie de
la régulation ou la théorie de déséquilibre, les économistes Hétérodoxes s'élèvent
certains points qui sont rester dans l'ombre jusqu'à alors, comme l'ont fait dans des
directions différents J.A.Schumpeter et J.K.Galbridge.
-il existe en moins 5 domaines d'innovation possibles, non exclusive les uns des autres
: les objects de consommation, les méthodes de production, les marchés, les matières
premières ou les produits semi-finis et l'organisation productive (concentration).
-il est inutile de préserver un domaine dans lequel une innovation est arriver à
saturation.
-la destruction n'est pas une fin puisqu'il est créatrice, il permet en effait de mobiliser
les facteurs de production et les efforts pour qu'une innovation se produise encoure.
Avec la naissance puis le développement des grands E/ses la propriété se devise entre
multiples propriétaires, l’entrepreneur propriétaire ni plus l'homme de la situation.
Dans ce système de propriété partager, la propriété confire toujours un pouvoir
juridique mais ne donne plus le pouvoir économique (pouvoir de décision).
La grande E/se est de plus en plus complexe à gérer et l'entrepreneur ne peut être à
lui seule compétent en tous pour la diriger.
-l'E/se se dote d'un personnel salarie, compétent pour assurer les différentes fonctions
entrepreneuriales, les cadres de l'E/se sont des technocrates qui constitue la structure
dirigeant de l'appellation "la technostructure".
Ainsi une certaine partie de salariats détient le pouvoir économique qui échappe à
l'actionnariat.
Fin
Bon courage.