Chapitre : 0. anecdote 1. Le début du cauchemar 2. La traversée des bois de brume 3. La prise du royaume des Carnutes des cimetières 4. La bataille des mines du nord 5. Le massacre des orcs 6. la résistance des elfes 7. la guerre des vingt contrées 8. la prise des mines 9. La fin de l’empire du nord 10.
Chapitre 1 : Le début du cauchemar
Nous somme un jour chaud de l’an 3049. Tous
commencent dans la capitale des nains : ARADOS LA VILLE DES MINEURS. Nais un nain nommé Xoin. Il grandit dans une petite maison avec son père et sa sœur. Son père est capitaine d’une des garnisons du roi, dont il est très proche. Il lui raconte souvent des aventures qu’il a vécus, des batailles, des combats, et bien d’autres histoires fantastiques. A cinq ans, Xoin s’engage sous les ordres de son père dans l’armée, ce qui pour l’époque étais insensé, mais Xoin voulait également faire partit de l’armée. A sept ans, peu après que son père, soit parti de la capitale, et ais pris sa retraite dans une maison dans les montagnes, il intègre une patrouille et c’est le plus jeune de toute l’armée. A neuf ans, l’â ge ou commenceras sa réputation, il part dans un camp pour protégée le royaume, et tue deux orcs froidement et sans aucune pitié A 12 ans il devient une légende en tuant 30 orcs à lui tout seul et sauve sa patrouille dont le capitaine est mort l’or d’une embuscade. Enfin à 15 ans il devient le capitaine le plus jeune de toute l’histoire de l’armée, et dirige deux bataillons de 20 hommes. Il promet au roi de lui débarrassé de tous l’orcs du royaume en seulement trois jours. S’il réussit, il demande en retour d’être vice-roi. Cette demande pour le moins inattendu, et qui paraissait inacceptable, pour un jeune capitaine, mais le roi est séduit par le toupet, et l’arrogance de ce jeune guerrier, plein de ressources. Mais le roi, veut a tout pris le voir triomphé de ce paris, et lui confis alors, un nouveau bataillon. Avant de partir de la capitale, une foule s’agglutine sur lui, en lui réclament un discours. Il dit : « quand j’aurais exterminé ses maudits orcs, je promets de rendre les terres que notre royaume a perdus, et de faire de notre nation, le plus grands royaume qu’il est jamais exister. Et je promets solennellement, qu’à mon retour, je ferais graver mon nom sur l’une des poutres du châ teau ». Ainsi, après ce discours, qui n’en étais pas un, mais qui deviendras par la suite, l’un des plus célèbre qu’il est jamais prononcée, il quitta la ville et livras un combats acharnés avec ses 60 hommes. Pendant trois jours, il tua près de 200 orcs, brulas 20 maisons et réduis à feu et à sang 2 village orcs. Il les tua tous, sans la moindre hésitation. Femmes, enfants, vieillard, tous y passèrent. A son retour, tenant dans sa main droite la tête du roi orcs, il lui restait tous ses hommes. Tout le monde connaissait Xoin pour ses stratégies titanesques et fourbes, car enfant, il s’amusait déjà avec des feuille de première qualité, à faire des plans, des armes, et bien surs des stratégies. Comme promis, il grava son nom, mais pas sur une poutre, mais bien au-dessus du trô ne. C’est le roi, lui-même, qui avait ordonnés à ce que l’on marque son nom au-dessus de son trô ne. Pour l’époque, Xoin, qui étais beau garçon, 20 ans, avais de bonnes manières, les gens voyaient là , l’héritier parfais. Le roi, écoutant les dires de son peuple, déshérita son fils qui n’était selon lui rien qu’un abruti qui buvait jour et nuits, et fit de Xoin son héritier légitime. Suite à ce succès, tantô t pour le peuple, que pour Xoin, le désir le plus cher, de l’héritier, était de devenir roi, mais, à la différence des autres rois, il était patient. Pour accéder au trô ne, Il ne voulait pas faire d’assassinat car cela élèverais des soupçons sur lui. Non, il attendit que le roi meure de son plein gré. Pendant deux longues années, il élabora plus de 1000 stratégies, dont 6oo furent testées et avec comme résultat : la victoire. Mais c’est en l’an 3072, qu’il décidas et réussit à convaincre le roi, de reconquérir les territoires occupés par les elfes. Le roi voyait Xoin, comme un sauveur, un allé puissant, un fils tombé du ciel, envoyé par dieux lui- même. Il avait pleine confiance en Xoin… un peu trop confiance. C’est Le troisième jour après que cette décision fus prise, que le roi et Xoin partirent vers le nord, pour détruire le royaume des elfes. Plus de 50'000 soldat, une cavalerie de nains, des armes par milliers, des engins de guerre par centaine, en tous : 4000 catapultes, 2000 béliers, une tonne de bois pour construire des barrages. Ce fut la plus grande armée qu’un roi est jamais dirigée… jusqu’à maintenant. Le roi avais multiplier les dépense, chien de Xoin, il faisait tous ce que sont héritier lui demandais. Pendant près de deux mois, ils chargèrent. Les multiples stratégies misent en place par Xoin semblaient imbattables. Pourtant prendre la deuxième capitale de ce grand royaume fus plus difficile que Xoin ne l’aurais crus. En effet, trois stratégies élaborées par Xoin furent parées. Le roi commençait à avoir certain doutes sur son héritier. Alors, Xoin sortis son arme ultime. Un plan de toute la contrée des elfes. Une stratégie dite imbattable, qu’il gardait dans un fourreau mis dans le manche de son marteau-ache. Le roi appliqua une condition a utilisez cette stratégie : s’ils perdaient cet ultime combat, il le tuerait. Xoin, conscient du danger, expliquas sa stratégie a ses hommes, et leurs dis d’appliquées au mieux les consignes. Cet ultime affrontement avec les elfes, étais considérés comme insensés. Tous les hommes pensaient qu’ils ne gagneraient pas cette guerre et pourtant. Le jour de l’affrontement Xoin insista pour être en première ligne. Il chargea et tua tout sur son passage. Il semblait enragé. Certain elfes s’écartèrent quand Xoin arrivas devant la porte de la ville. Il brandit son marteau-épée et détruis le levier qui retenais la porte, défonças la grille de fer grâ ce à un bélier qu’il réussit à soulever tous seul tant bien que mal. On voyait dans cette bataille, toute la haine que Xoin avais envers les elfes. Depuis son plus jeune â ge, il a toujours détestez les elfes. Son père, fus tués pars des elfes. Il disait que ces créatures ne méritaient pas de vivre. Qu’elles lui avaient tous pris. Xoin fus sans pitié. Il tuait tous elfe qui s’opposeraient à lui. Les portes de la ville ouvertes, les nains envahirent la cité en moins d’une heure. Le roi se bâ tis aux cotés de Xoin. Il disait qu’il avait retrouvés le Xoin conquérant, vif et sû r de lui qu’il avait connus avant la guerre. Arrivées devant le roi des Elfes, le roi des nains se rua sur lui. Un combat titanesque s’engagea. Les deux rois semblaient comme enragées. L’un par la peur et l’autre par la haine. Le roi des elfes, dans un ultime effort désarmas le nains et le transperças de sa lame d’or. Xoin fus alors, comme paralysez. Une rage, encore plus forte que celle qui le hantait, se lus sur son visage. Il prit son marteau-lame et fonças sur l’elfe. Il le désarma a son tours lui brisas le cotes droites, le transperças trois fois, avant de le décapitez et de prendre sa tête et de la lancez en Lair. Les elfes prirent la fuite, mais bons nombres furent tués par Xoin, enragés. Chapitre 2 : La traversée des bois de brume
Après la terrible bataille qui confrontas les nains aux
elfes, Xoin ordonna a une centaine d’homme bien entrainées, de restés sur le champ de bataille, Pendent qu’ils retournaient au royaume. Pour retourner dans leur royaume, ils avaient empruntées un passage inconnu des elfes, mais leurs capitales conquises, ils pouvaient passer par les bois de brumes. Ces bois étaient aux elfes, mais ils ne si aventuraient presque jamais, sauf pour tendre des embuscades aux nombreux orcs, qui passaient. Xoin étais conscient du danger et du risque de traverser ses bois. Mais il devait ramener ses hommes le plus vite possible. Nombreuse furent les pertes durant cette guerre, plus de 10'000 hommes perdirent la vie. Xoin ne changeas pourtant pas d’itinéraire, mais luis seul savais ce qu’il y avait dans cette immense forêt. Les acolytes des bois. D’anciens loups garous géant, transformer en serviteur a corps de brume. Tous ses loups garous, ne pouvais faire qu’une seule chose : tuée tous ce qu’ils voyaient. Ils n’avaient aucune pitié. Ils avaient appris très rapidement à manier leur corps de brume, idéal pour attaquer furtivement. Ils pouvaient disparaitre comme par magie. Rapides, futées, tactiques, intelligents, forts, des crocs aiguisés comme des épées, sages, obsédé par l’or, ses créatures étaient sans doute les plus féroces qu’il existe. Même les orcs et les dragons les craignaient, car leurs plus grands atouts, c’était leur vitesse, leurs crocs et leurs griffes. On disait que ces griffes pouvaient volée la vie de quiconque les touchaient. Xoin les vis arrivées et brandis son marteau-épée, ainsi que l’épée d’or du roi. Il se jeta sur eux, plantas son épée dans le dos d’une de ses créatures qui tombas en se tordant de douleur. Ils étaient près de 10 acolytes. Les gardes nains se faisaient tuées les uns après les autres, pendant que Xoin, essayais de les blessées. Il en abatis trois, mais les sept autres firent-un massacre. Plus de soldat perdirent la vie dans cette traversée, que dans la bataille contre les elfes. Xoin voyais ses frères se faires tués, pendant que lui, il essayait de les défendre. En vin. La moitié de ses soldats furent décimées en seulement deux jours. Quand ils sortirent du bois, on voyait sur le visage de chaque homme la déception, la déprime et la tristesse, ainsi que la peur immense. Xoin, lui, fut acclamé en héraut, mais il prononça ces paroles : - Je suis votre nouveau roi ! mais croyez biens que si il y a des hommes a acclamés, se sont ses hommes ! Ses hommes ont risquées leurs vies pour moi ! Si il n’y en si peu, c’est ma faute ! Je savais ce qu’il y avait dans ces bois, mais je ne leur ais pas dits ! C’est ma faute, si vous, les femmes et enfant, ne pouvez pas retrouvés le nain que vous avez aimés ! Nous avons gagné la guerre ! mais nous avons perdus des hommes, qui étaient chers à mes yeux ! Tous ses hommes, qui se sont engagées dans cette guerre, je les considérais comme des fils ! Comme des frères ! Je vous demande, a vous mon peuple, est-ce que vous me pardonnerez un jour, pour ce manque de confiance que j’ai eu envers mes hommes ?! si vous ne voulez pas d’un roi comme moi ! je ne chercherais pas a trouvés des excuses ! je vous demande pardon ! pardon d’avoir été égoïste ! Ce fut à ce moment que le règne du Tyran commença. Xoin avais compris, que son peuple avais toute confiance en lui… que les maniées comme des pions sur un échiquier serais chose facile. Son peuple voulait un roi. Un roi qui savait prendre des décisions. Qui admettais ses erreurs et qui ne se cachait pas derrière ses gardes. Il avait compris que son peuple luis serais entièrement dévoué. Xoin décidas alors que le moment étais venus de tenir sa promesse. Il fit brulés une statue de la grande carte au centre de la capitale. Il dit : - Si je fais cela, c’est pour vous dire que bientô t, une nouvelle carte sera ici. Au centre de cette ville que j’aime et j’aimerais toute ma ville. Sur cette nouvelle carte, les autres royaumes devront être cherchés pendant longtemps, car, notre royaume sera bientô t le royaume le plus grand de toutes les vingt contrées. Sur ses mots, il rentra dans son châ teau et parla pendant deux longs jours, avec ses serviteurs. Son objectif était de détruire le royaume occupé par les Carnutes, et d’éradiqués a jamais les elfes. Pendant ses deux longs jours, il élabora une stratégie, réorganisa son armée, envoyas de multiples messages aux villes voisines, et construits un mur de pierre de 50 mètre de haut, autour de la capitale. Ce mur, il le baptisa : Néroin, en hommage au roi qui délimita les frontières avec les villes voisines. Tout le monde l’acclamait, dans le royaume. Ils disaient tous que Xoin étais le roi qui apporterais la prospérité, l’ordre, la pais, et le bonheur dans le royaume. Ils se trompaient. Quand Xoin sortis de son châ teaux après ses deux jours de discussion, l’un de ses conseillés lui annonça que les troupes qu’il avait demandés, étaient arrivées. En effet, plus de milles homme et enfants, étaient venus de chaque ville du royaume. Xoin avais ordonnés le texte suivant : - Je réclame, que tous homme ou enfants, apte à se battre, ou à tenir une épée, vienne. Les enfants, doivent avoir, au moins six ans. Tout homme de moins de soixante ans dois obligatoirement se présenté devant la caserne d’embauche de chaque VILLE, et doit s’engagés dans l’armés. Le roi. Xoin avais rassemblés la plus grande armée des vingt contrées, et disposais maintenant de plus de 200'000 hommes. Tous prêts à se battre. De tout â ge. Et de toute sorte. Les hommes avaient l’honneur de porter l’armure, et le marteau de l’armée impériale, que Xoin avais lui-même dessinés. Leur marteaux étais d’une splendeur, que tous les guerriers de l’armée, s’inclinèrent devants Xoin, quand il se présenta devants toute son armée. Tous disaient qu’ils lui devaient révérence. Xoin, avais réussis à avoir ce qu’il convoitait depuis le premier jour de son entrée dans l’armée : l’armée la plus puissante que le royaume des nains n’ait jamais eus. Il brandit son épée et cria : - A la guerre !!! soyez fiers d’être sous mes ordres !!! montrez-vous dignes de la confiance que je vous accorde !!! en avant !!! Sur ce discours qu’il prononcera à chaque combat, il quitta la ville, son armée derrière lui.
Chapitre 3 : La prise du royaume des Carnutes des
cimetières Xoin dirigeais son armée d’une main de fer. Toute décision était au préalable calculée à l’ avance. Rien ne semblais lui échappés. Il était bon avec tous ses hommes. Pendant leur traversée, ils furent pris dans une tempête. Deux jeunes garçons de huit ans semblaient mourants. Xoin les vis, il ne fis pas de Alte pour que tout le monde puisse se reposé. Non, il les prit les deux sur ses épaules en leurs disant : - Courage, nous sommes plus très loin. Je ne voudrais causer la mort de deux jeunes soldats, qui ont continuées d’avancées, malgré la douleur.
Ainsi, pendant trois longues heures, bravant les
montées raides, les fleuves déchainés, sous la pluie et la grêle, il les porta les deux. Quand ils arrivèrent sur les lieux ou devais être le campement, il leurs dits : - pardonnés moi. Je vous ai fait frô lée la mort. Encore un dernier effort. Demain, nous ne marcherons pas. Nous resterons sur place, pour reprendre des forces.
Le lendemain, malgré l’épuisement, tous les
soldats s’entrainaient. Xoin, lui ronflais encore dans sa tente, quand un des jeunes garçons le réveilla et lui dit : - mon roi, je crois que se ne seras pas la peine de marcher encore plus longtemps. Xoin suivis le jeune garçon jusqu’à une colline abrupte, et là , il le vis : le royaume des Carnutes des cimetières. Une vaste plaine, d’ où l’on ne pouvait voir que des squelettes de dragons. De rares arbres étaient encore debout, mais ils étaient tous brulés par le feu des Carnutes. Ces créatures pouvaient tuées autant qu’elle voulaient, elles n’étaient jamais fatiguées. Xoin regardas à droite, puis à gauche, quand soudain, une énorme masse d’os se levas et lui fis face. Un énorme dragon formé d’os se levais devant Xoin. Si se dragon avais pu parler, il aurait sans doute dit : « Inclinez-vous devants ma puissance ! Prosternez-vous devants mas grandeur ! »
Xoin brandis son épée et dit au jeune garçon
d’avertir tous les hommes, qu’ils se tiennent prêts à se battre. Il sauta sur la bête, d’au moins 30 mètres. Il planta son épée dans un des os, mais elle ne semblait nullement blessée. Pourtant, Xoin continuas d’essayer de lui infligée un coup décisif. Il la frappa de toute part, tous en évitant les flammes de la bête, et en repoussant les autres dragons. Il donnait toute sa hargne dans ce combat, comme il l’avait fait, avec les elfes. On aurait dits, qu’ils étaient imbattables, Xoin comme le dragon. Xoin combattis avec bravoure, tandis que ces hommes, essayaient de se battre contre les autres dragons. Malgré leurs efforts, ils n’arrivaient pas à les achevées. Ses tas d’os, n’avais aucun points faible, ils semblaient invincible. C’est alors, que le dragon que Xoin combattais poussa un cri strident, avant des s’étalés de tous son long sur le sol. Malgré cela il essayait de resté en vie, quand Xoin avec son marteau lui sautas dessus, et transperças l’œil de la bête. Les flammes qui brillaient et qui émanaient du dragon, se turent, pendant que les autres Carnutes se tordaient de douleurs, comme si on leur avait transpercés le cœur. Se fus une bataille décisive pour Xoin, qui brandit son épée, l’œil de la bête au bout. Il le trancha en deux, et vis comme une pierre lumineuse. Cette pierre était la pierre de vie des dragons. Tous dragons qui touchaient cette pierre, se voyais ô tés la vie. Xoin la pris et dit : - je ferais une épée, avec comme joyau, cette pierre unique.
Xoin, disposait maintenant de deux atouts : une armée
puissante, et une pierre que les dragons redoutaient. Tout semblait déjà gagné d’avance, quand ils le virent : le dieu tornades, le « Tornadeus ». Cet immense dragon, hantai les terres de Carnutes. On disait que de ses ailes, soufflais un vent, encore plus forts que les plus violents orages des vingt contrées. Son souffle créait de véritables tornades. Mais ce que tout le monde redoutais le plus sur ce dragon, c’était sa capacité a créer des désastres naturelles. En effet, le Tornadeus faisait partis des dix dragons représentant les catastrophes. Parmi eux se trouvait : le « Fulgaris » représentant la foudre divine, le « Fulgaro » représentant les maelstrom, le « Bongolo » représentant les tsunamis, l’ « Halgarius » représentant les récifs de force, le « caïseros » représentant les éruptions et les volcans, et le dieu suprême, bien que tous les dragons ne soient là , le « Zeus » qui représente la vie, la mort, les éléments et la souffrance.