Anatole Buresi

BIO 6
A) amélioration à l’échelle de l’organisme

1) Les six moyens d’améliorer les espèces à l’échelle de l’organisme sont : la sélection par
croisement, la polyploïdisation, le transgénèse, l’hybridation, une population monosexe et la
domestication.

2) - une meilleure conversion alimentaire (grâce à des enzymes régulant le métabolisme des
lipides par exemple, pour remplacer une partie de l’alimentation par du soja ou des huiles
végétales), l’augmentation des taux de croissance (grâce à l’utilisation d’hormones de croissance)
la résistance aux maladies (grâce à des peptides anti-microbiens) - Il existe des craintes sur le
long terme de maturation sexuelle précoce, de cannibalisme, de modification de nombreux
comportements, L’effet de la consommation d’OGM sur la santé humaine n’est pas connu à long
terme.
3) Dans le cas du tilapia, les mâles sont préférés pour l’élevage car ils grossissent plus vite
que les femelles. Chez plusieurs espèces de carpes d’intérêt commercial, les femelles ont des
taux de croissance supérieurs aux mâles au cours de la première année de leur vie. Les éleveurs
d’esturgeon préfèrent les populations tout femelles.

B) amélioration du potentiel aquacole :

1) Le fait de pêcher des poissons fourrage pour nourrir d’autres espèces de poissons ou
même des animaux terrestres met en péril les espèces fourrage. Puis la pêche intensive va à
l’encontre du « code de conduite pour une pêche responsable ».

2) - le gluten de maïs est très digestible mais de mauvaise réaction à l’extrusion, le gluten de
de blé très digestible mais cher, la pomme de terre a beaucoup de protéines mais très peu
appétantes.
- Depuis l’été 2017 une nouvelle source de protéine animale a été trouvé. Cela est de la farine
d’insectes.

3) Réintroduire une espèce disparue (ou en voie de disparition) dans le milieu naturel
marin avec deux finalités : patrimoniale = reconstitution d'une population naturelle
économique = reconstitution d'un stock exploitable
4) Contrôle efficace des rejets, consommation d'eau réduite, faible impact sur
l'environnement.

5) La déjection des cochons peut servir de nutriments aux poissons.

6) L'aquaponie est une forme d'aquaculture intégrée qui associe une culture de végétaux
(hydroponie) en « symbiose » avec l'élevage de poissons (eau recirculée). Ce sont les
déjections des poissons, transformés par les bactéries, qui servent d'engrais pour le
végétal cultivé. L’enjeu principal est de trouver et maintenir le juste équilibre.
7) Agriculteurs, pêcheurs, chasseurs, paludiers, préleveurs de matériaux de construction
(chaume), de chauffage (tourbe) tourbe. Ce sont aussi des zones de loisirs et d'intérêt
esthétique et éducatif.
Elles sont de plus utilisées par les aquaculteur s: pisciculteurs, pénéiculteurs, conchyliculteurs

8) Avec la naissance de l’aquaculture certains risques environnementaux sont nés :

- Le fait de nourrir des poissons avec du granulés qui possèdent de la farine de poissons fait
diminuer les stocks de poissons fourrage.
- Il peut y avoir des échappés de poissons stérile qui nuirait à la reproduction des espèces.
 9) Première unité : élevage de poissons en monoculture à des densités d'élevage
permettant une activité économique rentable.
Seconde unité, en aval de la première : organismes filtreurs hétérotrophes suspensivores (Huîtres,
moules, pétoncles, ormeaux...) Ils captent les particules.
Troisième unité, en aval de la seconde : organismes autotrophes. Le plus souvent des algues
(Ulves, laminaires...) Ils captent la matière minérale dissoute (azote, phosphates...)