INTRODUCTION
La gestion des ressources humaines, comme les autres sciences, est une
pratique et elle entend aussi être une discipline en temps que pratique,
elle correspond à une fonction de l’entreprise au sens de FAYOL, puisque
ce dernier a écrit : « toutes les opérations aux quels donne lieu les
entreprises peuvent se répartir entre les 6 groupes suivants ou fonctions
essentielles de l’administration ‘ planification, organisation,
commandement, coordination, contrôle et sécurité ».
La GRH est l’ensemble des activités ayant un rôle spécifique à jouer par
rapport à la mission générale de l’organisation, notamment de permettre à
celle-ci de disposer en temps voulu des ressources humains
correspondantes à des besoins en qualité et en quantité.
La GRH se veut aussi d’être une discipline et science sociale qui consiste à
créer et à mobiliser des savoirs variés utiles aux différents acteurs et
nécessaires pour appréhender, comprendre , négocier et tenter de
résoudre les problèmes liés à la régularisation du travail dans les
organisations.
CHAPITRE 1 : « LE RECRUTEMENT »
Le recrutement est certainement, au sein de la GRH, l’élément le plus
sujet à débat et ce pour plusieurs raisons et à lourde application pour les
individus, et pour l’entreprise. Il est aussi socialement visible, son rôle
étant de mettre en relation les individus avec une organisation qui les
recherchent sur le marché du travail, et ouvre l’entreprise sur l’extérieur.
Cette pratique permet aussi de nous donner une idée sur la situation
économique et sociale d’un pays, de sa ratification ou sa reprise, sa
conclusion sous des formes d’emploi précaires, sont des indicateurs de la
santé d’une société toute entière et de ses tendances.
Le recrutement est donc bien plus qu’une simple pratique de gestion, c’est
un passage du à la relation entre les individus, c’est un processus concret,
par lequel se jour les grands piliers entre l’offre et la demande, il est donc
porteur d’enjeux très lourds.
1. Définition du poste :
Il s’agit ici de définir le besoin de l’entreprise, ces exigences quant
au contenu de l’emploi pour lequel elle recrute. Si l’entreprise
possède déjà une définition de poste, il convient de vérifier si
cette définition est encore valable auxquels s’applique bien au
poste pour lequel on recrute .alors souvent les besoin doivent être
précisés avec le demandeur qui est généralement le supérieur
hiérarchique mais encore faut-il que le poste soit ouvert et que la
réalité des besoins a été admise. Cette phase peut également être
élargie si l’on considère que le candidat doit avant tout être
adapté à son poste.
5. La campagne de recrutement :
Il faut maintenant communiquer des individus de la cible choisie
pour le faire savoir que l’entreprise recrutera. Cette phase sera
très variable quant à son importance et sa force, très structurée et
couteuse dans le cas d’un recours aux petites annonces, elle sera
au contraire inexistante si on fait appel à un chasseur de tête ou
… voir nul, si on se contente d’exploiter la source fournit par
candidature
6. Sélection :
C’est évidemment la phase la plus visible et la plus connue
puisqu’elle concerne chaque individu cherchant un emploi, il est
fondé sur une série de filtres successifs utilisant des techniques
diverses de séries de candidature, testes divers, et surtout les
entretiens individuels et collectifs où les mises en service
7. Décision :
Généralement la décision est confiée à la hiérarchie des futures
recrutes. Cette phase à pour but de trancher définitivement les 4
ou 3 candidats retenus à l’issus de la sélection. C’est
certainement la phase la moins … et la moins … et c’est donc la
phase la plus subjective.
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8. Intégration :
il reste encore à faciliter l’insertion du recruté dans l’entreprise ,
ce n’est pas parce que le candidat possède toutes les qualités
recuises qu’il s’adaptera facilement, pour l’aider l’entreprise
pourra à sa disposition tout un ensemble de moyens ( stage
d’intégration , vidéos d’accueil, tutorat , aménagement du poste
par un rythme permettant la familiarisation ou rentrée
momentanée des tâches supposant une grande maitrise du poste,
rotation de divers services pour découvrir l’ensemble de
l’entreprise, accompagnant d’une personne avec une expérience)
CHAPITRE 2 : « L’APPRECIATION OU
L’EVALUATION »
SECTION 1 : « POURQUOI EVALUER ? »
Avant ces questions, une question posée sur les efforts. Une décision va
bien devoir être prise sur quelqu’un dont la façon qu’il sera promu, formé,
augmenté, licencié implicitement ou explicitement. Donc, un jugement
sera porté.
L’évaluation est donc menée sur pression des faits au sein des
organisations. Elle est généralement utilisée afin de faciliter la gestion des
personnes, favoriser la communication, servir de référence ou proposition
d’augmenter le salaire, améliorer la productivité, développer les
motivations ou renforcer la vision.
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Les concepteurs qui sont ceux qui vont concevoir, se sont des acteurs
politiques, décidant de la nécessité de l’évaluation.
1. L’évaluation globale :
Cette méthode permet de constater les écarts entre ce qui est attendu
de la tenue d’un poste et les résultats effectivement obtenus par le salarié
pendant une période de référence. Cette évaluation est alors basée sur
des entretiens périodiques. La périodicité variera selon les entreprises
chacune trouvera son rythme et le mois qui convient à cette évaluation.
3. L’évaluation du potentiel :
Elle vise à dégager les grandes tendances d’évolution d’un salarié. Elle
se propose de donner à un environnement temporaire une image de ce
qu’il pourra devenir.
5. L’évaluation de la performance :
2. L’effet report :
3. L’effet de Noria :
4. L’effet effectif :
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5. L’effet de structure :
2)Une situation sociale est une situation d’échange, les individus qui y
sont impliqués y apportent une contribution en attendant une rétribution.
Et de terme, tel que prestige, un statut ou une satisfaction, une
rémunération importance. Il cherche en général ces individus à optimiser
la rétribution et à minimiser la contribution selon la valeur qui s’y
accroche. La direction pourra donc maximiser les efforts pour accroître la
contribution des subordonnés en minimisant la rétribution pour rendre en
attitude inverse. Tandis que les salariés auront une attitude inverse.
Les acteurs : qui pose le problème, qui est intéressé par les mêmes
enjeux, qui est indifférent, qui est menacé, que signifie les enjeux pour
des différents acteurs.
• Quel sont les effets sur les possibilités de compromis et sur les
relations futurs ?
• Les entreprises doivent s’adapter dans des délais de plus en plus courts
et face à des mutations de plus en plus rapides.
2. Externalisation :
4. La flexibilité fonctionnelle :
Nous constatons que cette flexibilité peut être interne ou externe, c'est-
à-dire faire appel aux personnes existantes dans l’entreprise et s’attacher
à les préserver (polyvalence, mobilité, aménagement du temps de travail)
ou au contraire avoir recoure à des main-œuvres extérieures (contrat à
durée déterminée, stagiaires, sous-traitance, …).
Nous constatons que cette flexibilité peut être aussi à court ou à long
terme selon le caractère conjoncturel ou au contraire durable des
événements auxquels elle cherche à répondre.