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Introduction[modifier | modifier le code]
L’objet a fut développé par le psychanalyste Jacques Lacan à partir de la notion
de l'objet pulsionnel chez Sigmund Freud et de l'objet transitionnel chez Donald
Winnicott.
Il reprend de Platon l'idée d'un Agalma, objet représentant l'idée du Bien, et en
tire l'expression d'« objet a ». Cette expression décrit le désir comme
phénomène caché à la conscience, son objet étant un manque à être : il y a là
radicalisation de la théorie freudienne selon laquelle la libido se prête peu à la
satisfaction.
Il manque donc toujours quelque chose, et ce « quelque chose » ne peut
être symbolisé. Finalement, l'objet du désir s'identifie à la jouissance, qui se
détache du signifiant — cette empreinte acoustique liée à un concept et formant
avec lui un mot. L'objectif d'une cure psychanalytique serait précisément de
révéler au sujet cette vérité du manque indéfinissable, faisant tomber
l'aliénation.
Références[modifier | modifier le code]
1. ↑ http://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0607281739.html [archive]
2. ↑ http://www.acheronta.org/acheronta7/gadgets-fr.html [archive]
3. ↑ http://cerclepsychanalytique-paris.fr/conferences/linterpretation-desir-lobjet-petit/
[archive]
L’interprétation du terme courant ἄγαλμα est certes difficile mais la conviction qu’il désigne
une « statue », aujourd’hui répandue parfois au prix de toute évidence, ne fait qu’accroître
la confusion. Or un examen attentif du corpus épigraphique montre que, dans l’ensemble
de l’espace grec jusqu’aux premiers temps de l’époque romaine, le terme ἄγαλμα s’applique
à des objets de toute sorte, parmi lesquels des statues, et n’est synonyme ni de « statue » en
particulier ni non plus « d’offrande » en général. De fait il ne désigne pas un objet en tant
que réalité matérielle mais un objet en tant que s’y applique une notion spécifique : l’objet
défini comme ἄγαλμα est en quelque sorte le support au travers duquel se noue la relation
entre les hommes et les dieux, ce qui rend sa présence indispensable dans l’espace sacré.
ENTRÉES D'INDEX
Mots clés :
statue, offrande, éclat, dôron, charis
Keywords :
statue, offering, brightness, dôron, charis
TEXTE INTÉGRAL
1À la fin du V siècle avant J.-C. à Athènes le terme ἄγαλμα
e
8Le moins qu’on puisse dire est que ces traductions ne sont
pas éclairées par l’explication donnée en note : statuettes
votives de terre cuite, figures en marbre d’Achéloüs, le patron
des eaux potables et des rivières.
9À chaque fois les traducteurs cherchent des aménagements,
comme dans cet épisode du Banquet où Socrate est comparé
à un « silène » parce qu’il « contient des ἀγάλματα à
l’intérieur » : les « statues » sont alors réduites à la taille de
« statuettes ». On pourrait multiplier les exemples de ce
genre.
10Or il est clair que le terme ἄγαλμα n’a pas toujours servi à
désigner des statues. Dans l’épopée homérique par exemple il
désigne des objets divers, allant du cheval de Troie au collier
de Pénélope en passant par la jambe de Ménélas. À Sparte le
poète lyrique Alcman en fait un usage similaire ; Pindare
l’utilise pour désigner son chant. La tragédie attique et la
comédie d’Aristophane attestent encore une grande diversité
de sens.
9 Epigrafia Greca II, Rome, 1969, p. 24.
Statues ?
11 480-475 a.C. ? Athènes, Acropole, IG I 828 ; DAA 229 ;
3
les [?] ont fait les agalmata des Seigneurs [= les Dioscures]
18Si l’on en croit la dédicace, les korai de l’Héraion de Samos
étaient au VI siècle également des agalmata :
e
dieu (le dieu sur son char est une scène récurrente de la
peinture de vase) mais un ϕαλλόσ :
εὐοί ὦ ἰ[ὸ] Βάϰχ’, [ὦ ἰὲ Παι]άν·
τεύχειν, ἁλιοϕεγγ[έ]σ[ι]ν
δ’ ἀ[ντ]ο[λαῖς]ἴσον ἁβϱὸν
ἄγαλμα Βάϰχο[υ]
ἐν [ζεύγει] χϱυσέωλ λεόν
των στῆσα[ι], ζαθέωι τε τ[εῦ]-
ξαι θεῶι πϱέπον ἄντϱον·
[ἰ]ὲ Παιά[ν...
Kendrick PRITCHETT, Hesperia IX, 1, 1940 (...)
a.C. ? ; coupe, LAZZARINI 1976, n° 710, HANSEN 1983, (...)
18.
Offrandes ? ἄγαλμα/ἀνάθημα
37 Pour un inventaire exhaustif, cf. LAZZARINI 1976, passim.
- les dédicants
36Les dédicants sont parfois des groupes de citoyens qui
consacrent un ἄγαλμα pour une victoire aux chorégies :
(6) Athènes
[Τιμο]σθένης Μειξωνίδο
Μειξωνίδης Τιμοσθένος
Κλεόστϱατος Τιμοσθένος
χοϱηγοῦντες νιϰήσαντες ἀνέθεσα[ν]
τῶι Διονύσωι τἄγαλμα ϰαὶ τὸμ [βωμόν]38
271.
41 Paros, IG XII 5, 215.
a.C., HANSEN 1989, n° 759.
- le verbe
43 Cf. Jean RUDHARDT, Notions fondamentales de la pensée
religieuse et actes constitutifs du culte dan (...)
44 IG I 573.
3
202 ; LAZZARINI 1976, n° 680.
Αἰσχίνες ἀνέθεϰεν
Ἀθεναίαι τόδ’ ἄγαλμα...45
39ou bien
(9) Athènes
(11) Halicarnasse
- un bénéficiaire
42Il est rare, mais il peut se faire, que les dédicaces
« agalmatiques » désignent un bénéficiaire, différent du dieu
destinataire,
(13) Thessalie
- dîmes et prémices
47En outre l’objet consacré représente comme souvent
la dîme ou les prémices d’un avoir. Isée indique par exemple
qu’à Athènes la coutume voulait que les citoyens les plus en
vue consacrent dans les grandes occasions une offrande
prélevée sur la « dîme » ou les « prémices » de leur fortune :
56 Sur la succession de Dikaiogénès, 41-42, traduction Pierre
Roussel, Paris, CUF, 1960.
Καίτοι, ὦ ἄνδϱες, οἱ ἡμέτεϱοι πϱόγονοι οἱ ταῦτα ϰτησάμενοι ϰαὶ
ϰαταλιπόντες πάσας μὲν χοϱηγίας ἐχοϱήγησαν, εἰσήνεγϰαν δὲ
εἰς τὸν πόλεμον χϱήματα πολλὰ ὑμῖν ϰαὶ τϱιηϱαϱχοῦντες οὐδένα
χϱόνον διέλιπον. Καὶ τούτων μαϱτύϱια ἐν τοῖς ἱεϱοῖς ἀναθήματα
ἐϰεῖνοι ἐϰ τῶν πεϱιόντων, μνημεῖα τῆς αὑτῶν ἀϱετῆς, ἀνέθεσαν,
τοῦτο μὲν ἐν Διονύσου τϱίποδας, οὓς χοϱηγοῦντες ϰαὶ νιϰῶντες
ἔλαβον, τοῦτο δ‘ ἐν Πυθίου · ἔτι δ‘ ἐν ἀϰϱοπόλει ἀπαϱχὰς τῶν
ὄντων ἀναθέντες πολλοῖς, ὡς ἀπὸ ἰδίας ϰτήσεως, ἀγάλμασι
χαλϰοῖς ϰαὶ λιθίνοις ϰεϰοσμήϰασι τὸ ἱεϱόν56.
Et pourtant, juges, nos ancêtres, qui ont acquis ou laissé une telle
fortune, se sont acquitté de toutes les chorégies, ils ont versé à la
cité des sommes considérables pour la guerre : ils n’ont à aucun
moment cessé d’exercer la triérarchie. Vous avez comme témoins
de leur conduite les offrandes qu’ils ont consacrées dans les
sanctuaires sur l’excédent de leur fortune, monuments de leur
vertu civique, dans le sanctuaire de Dionysos, les trépieds que leur
ont valus leurs victoires chorégiques, d’autres dans le Pythion. Sur
l’acropole aussi, ils ont consacré la dîme de leur avoir ; ils ont orné
ce lieu sacré de statues de bronze et de marbre dont le nombre est
grand pour une fortune privée.
d’Athènes, IG I 617 ; DAA 148 ; LAZZARINI 1976, n°
3
679. HANSEN 1983, n° 194 (...)
- ex-voto
51Car comme toute offrande l’objet agalmatique est volontiers
consacré « à la suite d’un vœu » comme en Thessalie, cf. (13),
à Paros, cf. (17), ou à
(20) Athènes
60 510-500 a.C., Acropole d’Athènes,
colonne, IG I 631 ; DAA 48 ; LAZZARINI 1976, n°
3
680 ; HANSEN 198 (...)
- demande de contrepartie
52Enfin comme tous les ex-votos de la Grèce antique, les
offrandes « agalmatiques » ne s’envisagent pas sans demande
de contrepartie, que celle-ci soit discrète,
(21) Laconie
61 IG V1, 919.
(22) Laconie
peut-être su (...)
(24) Athènes
Φαιδιμίδης ἀνέθηϰεν [Ἀθ]ηναίαι τόδ’ ἄγαλμα
ὑὸς Πϱωτάϱχο Πϱοβαλίσιος, ὧι σὺ δὸς ὄλβον
αὐτῶι ϰαὶ παισὶν τοῖς τ’ ἐπιγιγνομένοι[ς]64
(25) Astypalea
[1] ; IG XII, Suppl. p. 82.
- valeur
67 Sur cette question, cf. bien entendu Louis GERNET, « La
notion mythique de la valeur en Grèce », Jo (...)
59En tout cas, quel que soit le prix de l’objet, les dédicaces
« agalmatiques », toutes gravées avec le plus grand soin, par
des professionnels sans doute, exaltent la valeur de l’objet
sous toutes ses formes70.
60Le terme δῶϱον est rare au contraire avant l’époque
impériale, ce qui est certainement imputable au peu de
diffusion de l’écriture à une époque aussi ancienne : qui irait
solliciter les services d’un graveur professionnel pour inscrire
le mot δῶϱον sur une offrande de peu de prix ?
- destination
61Plus considérable encore est la différence de destination.
Contrairement au terme ἄγαλμα, δῶϱον apparaît dans des
dédicaces à connotation érotique pour désigner l’offrande de
coupes de vin lors de banquets,
(27) Béotie
(28) attique
une mère a placé l’offrande de douleur que voici sur la tombe pour
son enfant, la lumière de sa vie venant de s’éteindre pour
toujours ; il/elle se nomme…
(31) Thessalie
(?) ; LAZZARINI 1976, n° 822 ; HANSEN 1983 (...)
- - - | ἄνδϱες ἐποίεσαν σοϕίαισιν ϰαλὸν ἄγαλμα82
…(dont) les hommes (?) ont fait, grâce à leurs compétences, un bel
agalma.
78qui sont
- des sculpteurs, comme à Halicarnasse, cf. (38), ou à Abdère,
cf. (10),
- des bronziers, comme Tisiklès à Didyme, cf. (18), qui fut
capable de fondre près de 100 kg de bronze,
- des peintres peut-être, comme à Mélos, cf. (12),
- et même un ϕοινιϰογϱάϕος, spécialiste de la gravure en
« lettres phéniciennes » :
(33) Lesbos
I. [Ἠϱ]ωίδας Καίϰειος
[Χα]ϱίας Διοϰλείδαος
[..]ιτας Ἐ[σ]πεϱίταος
[…]ας Μ[αλ]οίσιος
[Ἀϱι]στόμαχος Θεοδότειος
[Κϱα]τίδας Βάϰχιος
ϕοινιϰόγϱαϕος Ἰ[α…….άλ]ϰειος
[γϱα]μμ[ά]τευς Μ — — — — —83
sous la prytanie de Cléostratès (?), couronnés par le peuple et le
Conseil, ont consacré à Hermès Enagônios l’agalma et les exèdres,
(35) Béotie
(36) Béotie
80« magnifique »
(37) Béotie
Agrandir Original (jpeg, 13k)
] |
[ Φοίβ] οι πεϱιϰαλδὲς ἄγ [αλμα]87.
des compagnons [……] à Phoibos magnifique agalma
83il rayonne :
(39) Halicarnasse
89 HANSEN 1983, n° 429 ; Halikarnassos 122.
voix que l’art fait sortir du marbre, dis-nous qui a dressé l’agalma
que voici, illuminant l’autel d’Apollon ? C’est Panamyès, fils de
Kasbôllis, si tu me pousses à le proclamer, qui l’a consacré comme
dîme au dieu.
χάϱις
90 Cf. Bonnie MACLACHLAN, The Age of Grace, Charis in early
Greek Poetry, Princeton, 1993, p. 4 sq.
- Remarques étymologiques
97 Cf. Charles DE LAMBERTERIE, BSL 73/1, 1978, p. 269-276.
- la base ἀγαλ-
98Le substantif ἄγαλμα serait à l’origine un quasi-participe
d’un verbe actif ἀγάλλω, inusité chez Homère — qui ne
connaît que le moyen ἀγάλλομαι être fier de, s’enorgueillir —
mais « réinventé » à l’époque classique. Avec cette valeur
participiale ἄγαλμα équivaudrait à quelque chose comme
« qui magnifie, qui rehausse, qui exalte », ou « propre à
magnifier, à exalter, à rehausser ». Car l’hypothèse
étymologique la plus probable apparente ἀγαλ- à
μεγα-« grand » :
101 Georges PINAULT, MSS 38, 1979, p. 165-166.
- Objets parlants
- με … ἄγαλμα
102 Mario BURZACHECHI, « Oggetti parlanti nelle epigrafi
greche », Epigraphica 24, 1962, p. 3-54.
(42) Argos
(43) Égypte
732 ; HANSEN 1983, 195.
- τόδε ἄγαλμα
108 Cf. Nicole LANÉRÈS, La phrase nominale dans l’Iliade, thèse
Univ. Paris Diderot-Paris 7, 1993.
De l’attribut à la chose ou la
réification d’ἄγαλμα
108Le fait est que, l’instant de la consécration une fois révolu,
l’objet consacré « en tant qu’agalma » est désormais devenu
« ce » μνῆμα, « ce monument » dans toute sa matérialité, ici,
maintenant sous le regard. C’est à partir du présent du
spectateur que s’active dorénavant le souvenir :
cf. (4), Olympie
cf. (14), Acarnanie
… ἄγαλμα τόδε
μνήμην ἀθάνατον σώζων πατϱός τε ϰαὶ αὑτοῦ111…
112 550-525, Agora 21, G 1.
(48) Delphes
(49) Égypte
(36) Béotie
114Il est manifeste que ce génitif n’a aucun rapport avec une
quelconque ressemblance entre l’objet et le dieu.
L’expression « agalma du dieu » indique seulement quelque
chose de la relation du dieu à l’objet et donc en dernière
instance de la relation entre les hommes et le dieu telle
qu’elle s’est établie au travers de l’objet.
115Il n’est de ce fait pas étonnant que des tablettes de bronze
éléennes, parce qu’elles scellent des arbitrages
internationaux, ou énoncent une décision publique
importante, soient déclarées ἀγάλματα de Zeus, investies
comme elles le sont de la présence du dieu qui garantit les
contrats, et si inviolables que quiconque y toucherait
encourrait le châtiment divin :
(50) Élis
116 475 a.C., arbitrage international, MINON 2007, n° 15, p.
104-112.
(51) Élis
121 Euripide, Héraklès Furieux 425.
122 Euripide, Suppliantes 633.
123 Eschyle, Agamemnon 208.
Abréviations bibliographiques
Recueils d’inscriptions
IG : Inscriptiones Graecae, publiées par l’Académie de Berlin. Le
chiffre romain qui suit correspond à une région.
Delphes
Fouilles de Delphes, III. Épigraphie. Paris 1929, Fasc.
3, Inscriptions depuis le trésor des Athéniens jusqu’aux bases de
Gélon, vol. 2, Georges Daux (1943).
Olympie
IvO 144 : Wilhelm Dittenberger und Karl Purgold. Die Inschriften
von Olympia, Berlin, 1896.
Thessalie
I. Thess I : Jean-Claude Decourt, Inscriptions de Thessalie, Vol.
1, Les cités de la vallée de l’Énipeus, Études épigraphiques 3,
Athènes, 1995.
Mer Égée
EAD 30 : Marie-Thérèse Couilloud, Les monuments funéraires de
Rhénée, Paris, 1974.
ID : Inscriptions de Délos, Paris, 1926-1972.
Asie Mineure
Didyma : Donald F. McCabe, Didyma Inscriptions. Texts and List,
Princeton (1985) ; inclut : Albert Rehm, Didyma, II. Die Inschriften,
Berlin, 1958.
Égypte
SB 1 : Sammelbuch griechischer Urkunden aus Ägypten, Friedrich
Priesigke, Friedrich Bilabel, Emil Kiessling und Hans-Albert
Rupprecht (ed.), vol. 1, Strasbourg, 1915.
Italie, Sicile
IGASMG I : Renato Arena, Iscrizione arcaiche di Sicilia e Magna
2
Revues
ArchEph : Archaiologike Ephemeris, Athènes.
BCH : Bulletin de Correspondance Hellénique, Paris.
BSL : Bulletin de la Société de Linguistique, Paris.
CRAI : Comptes rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles
Lettres, Paris.
MSS : Münchener Studien zur Sprachwissenschaft, Dettelbach, Röll.
Notice bibliographique
BUCK 1955 : Carl Darling Buck, The Greek Dialects, Chicago.
GUARDUCCI 1967 : Margherita Guarducci, Epigrafia greca, vol.
1, Caratteri e storia della disciplina. La Scrittura greca dalle origini
all’età imperiale, Rome.
5 Vers 500 a.C., Naupacte, loi sur la répartition des terres, IG IX
1 3, 609 B, lignes 22-25.
2
la statue de marbre…
τι τῶι ὀϱθῶι. Après
335/4, IG II 1524, πεϱὶ τῶι ἀγάλματι τῶι ἑστηϰότι.
2
24 430-404 a.C., IG I 1455, IG IV 1588 ; sur ces deux déesses :
3
a.C., HANSEN 1989, n° 759.
43 Cf. Jean RUDHARDT, Notions fondamentales de la pensée
religieuse et actes constitutifs du culte dans la Grèce classique,
Paris, 1992, p. 214.
44 IG I 573.
3
202 ; LAZZARINI 1976, n° 680.
GR 1859.12 - 26.36.
680 ; HANSEN 1983, n° 202.
61 IG V1, 919.
760.
68 IG I 1469.
3
82 Fin VI a.C., IG I 522, Vasen Akr. II, 1348, fr. bassin
e 2
732 ; HANSEN 1983, 195.
119 Homère, Iliade, IV, 144, pour peu que l’on veuille pousser la
comparaison à son terme.
122 Euripide, Suppliantes 633.
123 Eschyle, Agamemnon 208.
AUTEUR
Nicole Lanérès