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Exercice 1 [ 00001 ] [Correction] (a) Montrer que φ1/2 est la norme associée à un produit scalaire que l’on précisera.
Établir que (b) Calculer la matrice de la forme quadratique φ dans la base canonique.
Z 1
q(P) = P(t)P00 (t) dt (c) En déduire la forme analytique donnant l’expression de φ relativement à la base
0 canonique.
définit une forme quadratique sur R[X] et exprimer sa forme polaire. (d) Écrire
φ(P) = αa2 + βb2 + γc2
avec α, β, γ ∈ R et a, b, c les coordonnées de P dans une base à préciser.
Exercice 2 [ 00002 ] [Correction]
Soient f1 , f2 ∈ E ∗ et q(x) = f1 (x) f2 (x). Montrer que q définit une forme quadratique sur E
et exprimer sa forme polaire. Exercice 7 [ 03898 ] [Correction]
Soit q : E → R. On suppose qu’il existe une application b : E × E → R vérifiant
avec p + q ≤ n.
Montrer que q s’annule sur le complémentaire de GL2 (C) puis que q est le déterminant.
Soit F un sous-espace vectoriel de E tel que qF soit définie positive.
Montrer que dim F ≤ p.
Montrer que Cq = Nq si, et seulement si, q est positive ou négative. Déterminer le rang de la forme quadratique q.
Exercice 22 [ 00027 ] [Correction] (b) Observer que si ai,i = 0 alors, pour tout j ∈ {1, . . . , n}, ai, j = 0.
Soit ϕ une forme bilinéaire symétrique non dégénérée, c’est à dire de rang n, sur un
K-espace vectoriel E de dimension n.
Pour F sous-espace vectoriel de E, on note Exercice 27 [ 00020 ] [Correction]
[Décomposition de Cholesky] Soit S ∈ S+n (R). Montrer qu’il existe T ∈ T n+ (R) telle que
F ⊥ = {x ∈ E | ∀y ∈ F, ϕ(x, y) = 0} S = tT T .
(c) Établir qu’il existe Q orthogonale et R triangulaire supérieure à coefficients Exercice 48 [ 02405 ] [Correction]
diagonaux strictement positifs vérifiant A = QR. Soient A ∈ Sn (R) et B ∈ S++
n (R).
Montrer que le polynôme det(A − XB) est scindé sur R.
(d) Étudier l’unicité de cette écriture.
(a) Montrer qu’il existe T ∈ T n+ (R) vérifiant S = t T T . ∀X ∈ Mn,1 (R), t XAX ≤ t XBX
(b) En déduire que
n
Y Montrer
det S ≤ si,i det A ≤ det B
i=1
(a) q est la forme quadratique associée à la forme bilinéaire symétrique Dans les deux cas q(A) = 0.
λ
!
ϕ(x, y) = 12 ( f (x)g(y) + f (y)g(x)). 0
Considérons maintenant A = et montrons q(A) = λµ.
0 µ
(b) Soit a un vecteur n’appartenant pas à H. Pour tout x ∈ E, on écrit de manière unique
x = h + λa et on observe aisément que x 7→ h et x 7→ λ sont des applications ! !
1 0 0 0
linéaires. En introduisant ϕ la forme polaire de q, on a A=λ +µ
0 0 0 1
q(x) = q(h) + 2λϕ(a, h) + λ2 q(a) = λ(2ϕ(a, h) + λq(a)) = f (x)g(x) avec f (x) = λ et
g(x) = 2ϕ(a, h) + λq(a) formes linéaires. donc
q(A) = λ2 q(E1,1 ) + 2λµϕ(E1,1 , E2,2 ) + µ2 q(E2,2 )
Exercice 9 : [énoncé] Si n = 1, seul 1 − α est valeur propre et une condition nécessaire et suffisante est que
Soit x ∈ F ∩ Vect(e p+1 , . . . , en ). α < 1.
On a q(x) ≥ 0 car x ∈ F et q(x) ≤ 0 car x ∈ Vect(e p+1 , . . . , en ). Si n ≥ 2 alors les valeurs propres sont 1 − nα et 1. Une condition nécessaire et suffisante
On en déduit q(x) = 0 puis x = 0E car qF est définie positive. pour que Qα soit définie positive est α < 1/n.
Par suite F et Vect(e p+1 , . . . , en ) sont en somme directe et donc nécessairement dim F ≤ p.
Exercice 13 : [énoncé]
Exercice 10 : [énoncé]
Cas A = diag(λ1 , . . . , λn ) avec λi > 0.
Soient a, b ∈ E. L’application
En développant le déterminant selon la première colonne :
t 7→ q((1 − t)a + tb)) = (1 − t)2 q(a) + 2t(1 − t)ϕ(a, b) + t2 q(b) 2
xn2
x1
est continue et prend la valeur q(a) en t = 0 et q(b) en t = 1. q(x1 , . . . , xn ) = −λ1 . . . λn + · · · +
λ1 λn
Si q(a)q(b) < 0 alors cette application s’annule et donc puisque l’on suppose q définie, il
existe t ∈ ]0 ; 1[ tel que (1 − t)a + tb = 0. Mais alors (1 − t)a = −tb donne q est évidemment une forme quadratique définie négative.
(1 − t)2 q(a) = t2 q(b) et donc q(a)q(b) ≥ 0. Cas général : on peut écrire A = t PDP avec P ∈ On (R) et D = diag(λ1 , . . . , λn ), λi > 0.
Il y a contradiction et donc pour tout a, b ∈ E, q(a)q(b) ≥ 0 c’est-à-dire q(a) et q(b) sont On observe ! ! ! !
de même signe. 1 0 0 tX 1 0 0 t (PX)
=
On peut alors conclure que q est définie positive ou définie négative. 0 P X A 0 tP PX D
et donc !
t
0 PX
Exercice 11 : [énoncé] q(X) = det
PX D
Soit q une forme quadratique positive sur un R-espace vectoriel E de forme polaire ϕ.
Soient a, b ∈ E et λ ∈ [0 ; 1]. En développant car det P = 1. Cela permet de conclure.
q((1 − λ)a + λb) = (1 − λ) q(a) + 2(1 − λ)λϕ(a, b) + λ q(b)
2 2
Exercice 23 : [énoncé]
Exercice 20 : [énoncé]
Dans la base canonique, la matrice de Q est
ϕ est clairement bilinéaire et symétrique car tr(AB) = tr(BA).
Si A ∈ Sn (R) alors tr(t AA) = ni, j=1 a2i, j > 0 pour tout A , 0. ϕ|S n (R) est définie positive.
P
0 (1)
Si A ∈ An (R) alors tr(t AA) = − ni, j=1 a2i, j < 0 pour tout A , 0. ϕ|An (R) est définie négative.
P 1 ..
.
Si A ∈ Sn (R) et B ∈ An (R) alors 2
(1) 0
ϕ(A, B) = tr(AB) = tr(t (AB)) = tr(t Bt A) = − tr(BA) = −ϕ(A, B) donc Sn (R) et An (R) sont
orthogonaux. de déterminant
(n − 1)(−1)n−1
Dans une base adaptée, on observe que la signature de ϕ est n(n+1) 2 ,
n(n−1)
2 .
2n
Si n = 1, rg Q = 0. Sinon rg Q = n.
α Λ
! !
Exercice 24 : [énoncé] a L
Soient S = t ∈ S n+ (R) et T = ∈ T n+ (R). On observe
L S0 0 T0
(a) Introduisons une base de E et M et A les matrices de ϕ et f dans cette base.
La matrice M est symétrique et inversible car ϕ non dégénérée. α2 αΛ
!
L’hypothèse ∀x, y ∈ E, ϕ( f (x), y) = −ϕ(x, f (y)) donnet (AX)MY = −t XMAY pour
t
TT = t avec S 00 = t ΛΛ + t T 0 T 0
αΛ S 00
toutes colonnes X, Y et donc t AM = −MA soit encore t (MA) = −MA. La matrice MA
est antisymétrique donc de rang pair (culture. . . ) et puisque M est inversible A est de Pour X = E1 , la relation t XS X ≥ 0 donne a ≥ 0.
rang pair. Si a = 0 alors, en exploitant t XS X ≥ 0 avec X = E1 + λE j pour λ ∈ R, on obtient L = 0.
De plus il est immédiat qu’alors S 0 ∈ S+n−1 (R) et en prenant α = 0, Λ = 0 et T 0 ∈ T n−1 +
(R)
(b) Soit f ∈ L(Mn (R)) défini par f (M) = AM − MA. tel que S = T T on conclut.
0 t 0 0
Le commutant de A est le noyau de f et sa codimension est le rang de f . √
Si a > 0 alors on pose α = a et Λ = α1 L et il reste à déterminer T 0 tel que
Considérons ϕ : (M, N) → tr(MN). ϕ est une forme bilinéaire symétrique, non S 0 = t ΛΛ + t T 0 T 0 .
dégénérée car ϕ(M, N) = 0 pour tout N entraîne M = 0. Posons Σ = S 0 − t ΛΛ et montrons Σ ∈ S+n−1 (R) ce qui permettra de conclure via
Pour tout M, N ∈ Mn (R), on vérifie aisément ϕ( f (M), N) = −ϕ(M, f (N)) et on l’hypothèse de récurrence.
conclut. !
x1 t
Pour tout X = 0 , XS X ≥ 0 donne ax12 + 2x1 LX 0 + t X 0 S 0 X 0 ≥ 0 et pour x1 = − 1a LX 0 on
X
obtient t X 0 S 0 X 0 − 1a (LX 0 )2 ≥ 0 ce qui donne t X 0 ΣX 0 ≥ 0 et permet de conclure.
Exercice 25 : [énoncé] Récurrence établie.
Pour A ∈ S+n (R), on vérifie que
1 Exercice 28 : [énoncé]
Ap = A + In → A
p Puisque symétrique réelle positive, la matrice A est orthogonalement semblable à une
matrice diagonale à coefficients positifs ce qui permet décrire
avec A p ∈ S++
n (R).
A = t PDP
avec P ∈ On (R), D = diag(λ1 , . . . , λn ), λi ≥ 0.
Exercice 26 : [énoncé] On a alors
(a) Pour X = Ei , t XAX = ai,i ≥ 0. tr(AB) = tr(DPBt P) = tr(DB0 )
(b) A est la matrice dans une base B = (e1 , . . . , en ) d’un R-espace vectoriel E d’une avec B0 = PBt P. On vérifie aisément que B0 est symétrique positive car B l’est et alors ses
forme bilinéaire symétrique positive. coefficients diagonaux sont positifs puisque
Par l’inégalité de Cauchy-Schwarz : b0ii = t Ei BEi ≥ 0
p q √ √
ai, j = ϕ(ei , e j ) ≤ ϕ(ei , ei ) ϕ(e j , e j ) = ai,i a j, j On a alors
n
X
tr(AB) = λi b0ii ≥ 0
donc ai,i = 0 donne ai, j = 0 pour tout j ∈ {1, . . . , n}. i=1
Exercice 29 : [énoncé]
Exercice 27 : [énoncé] Puisque la matrice A est symétrique réelle positive, elle est orthogonalement semblable à
Par récurrence sur n ∈ N∗ . √ une matrice diagonale à coefficients positifs. On peut donc écrire
Pour n = 1, S = (a) avec a ≥ 0 donc T = a convient.
Supposons la propriété établie au rang n − 1 ≥ 1. A = PDP−1 avec P ∈ On (R) et D = diag(λ1 , . . . , λn ), λk ≥ 0
ce qui permet d’affirmer que la matrice symétrique B est positive. sur Rn−1 [X] donc H est définie positive et donc à valeurs propres strictement positives.
Dn 0
! car Sp S ⊂ R∗+ . Ainsi pour tout λ ∈ Sp(t AA),
t
Pn+1 APn+1 =
0 ∗
ker(t AA − λIn ) = ker(S − λIn )
avec λn+1 > 0 car det A > 0 entraîne λ1 . . . λn+1 > 0.
ce qui suffit à établir l’unicité de S car
On peut alors affirmer que A est symétrique définie positive car A représente une
telle forme bilinéaire symétrique dans une certaine base. Mn,1 (R) = ⊕ ker(t AA − λIn )
Récurrence établie. λ∈Sp(t AA)
Exercice 38 : [énoncé] Pour l’obtenir l’inégalité, on introduit la fonction x 7→ ln(1 + e x ). Celle-ci est
Si A = t PP alors il est facile d’établir que A est symétrique positive (voire définie positive convexe car de dérivée seconde positive. Par l’inégalité de Jensen
si P est inversible). Inversement, si A est symétrique positive alors par le théorème n
spectral, on peut écrire A = t QDQ avec Q ∈ On (R), D = diag(λ √ 1 , . . . , λn√) et λi ≥ 0 (voire
1 Pn 1X
∀a1 , . . . , an ∈ R, ln 1 + e n i=1 ai ≤ ln (1 + eai )
λi > 0 si A est définie positive). Pour P = ∆Q avec ∆ = diag( λ1 , . . . , λn ) on dispose n i=1
d’une matrice solution (inversible dans le cas où est définie positive.)
En choisissant ai = ln µi , on obtient
n n
Exercice 39 : [énoncé] Y Y
ln 1 + µ ≤ ln (1 + µi )1/n
1/n
i
(a) Vect S++
n (R) = Sn (R) notamment parce qu’une matrice symétrique peut s’écrire i=1 i=1
comme différence de deux matrices symétriques définies positives via
diagonalisation. puis l’inégalité voulue.
P
(b) t XAX = ki=1 λi t XAi X avec t XAi X ≥ 0 donc t XAX ≤ ki=1 |λi | t XAi X = t XBX.
P (c) On a
(det C)2 det(A + B) = det(CAC + CBC) = det(I + D)
(c) Cas B = In .
La matrice A est diagonalisable et pour tout X, t XAX ≤ t XX assure que ses valeurs avec
propres λ vérifient |λ| ≤ 1 et donc |det A| ≤ 1 = det B. det A = 1/(det C)2 et det B = det D/(det C)2
Cas général : La comparaison
Si les λi sont tous nuls, c’est immédiat. Sinon, B ∈ S++ n (R). On peut écrire B = C
2
(det(I + D))1/n ≥ 1 + (det D)1/n
avec C ∈ S++n (R). Considérons
ensuite A 0
= C −1
AC −1
∈ Sn (R)
Pour tout X ∈ Rn , t XA0 X = t (C −1 X)A(C −1 X) ≤ t (C −1 X)B(C −1 X) = t XX. fournit alors l’inégalité proposée.
Par l’étude précédente, |det A0 | ≤ 1 donc |det A| ≤ (det C)2 = det B.
Exercice 41 : [énoncé]
Exercice 40 : [énoncé] Par l’absurde supposons (A + B)−1 = A−1 + B−1 .
(a) Par le théorème spectral, la matrice symétrique réelle A est orthogonalement On a alors
diagonalisable. De plus, étant définie positive, ses valeurs propres sont strictement (A + B)(A−1 + B−1 ) = In
positive. On peut donc écrire et en développant
BA−1 + AB−1 + In = On
A = PDP avec P ∈ On (R), D = diag(λ1 , . . . , λn ) et λi > 0
t
D = t QD0 Q avec Q ∈ On (R), D0 = diag(µ1 , . . . , µn ) et µi ≥ 0 Pour X ∈ Mn,1 (R) non nul, on obtient
Exercice 46 : [énoncé]
Exercice 43 : [énoncé] (a) Soit ϕ la forme bilinéaire symétrique sur Rn représentée par S dans la base
(a) La matrice t AA est définie positive. canonique B de Rn .
ϕ est un produit scalaire car S ∈ S++
n (R).
(b) Par le procédé de Schmidt, on peut orthonormaliser la base canonique de Rn et la
Soit B0 l’orthonormalisée de Schmidt de la famille B pour le produit scalaire ϕ.
matrice de passage correspondante est alors triangulaire supérieure. Puisque la
Notons T la matrice de passage de B0 à B. Celle-ci est triangulaire supérieure.
matrice d’un produit scalaire dans une base orthonormée est l’identité, la formule de
Puisque la matrice de la forme bilinéaire symétrique ϕ dans la base orthonormée B0
changement de base donne t Pt AAP = In avec P triangulaire supérieure inversible.
est In , la formule de changement de base donne
(c) Les matrices Q = AP et R = P−1 conviennent.
(d) Si A = QR = Q0 R0 alors QQ0−1 = R0 R−1 est une matrice orthogonale triangulaire S = t T In T = t T T
supérieure à coefficients diagonaux strictement positifs. En étudiant successivement
ses colonnes, on obtient QQ0−1 = R0 R−1 = In puis l’unicité de la décomposition. (b) Notons ti, j les coefficients de la matrice T .
On a
Xi
si,i = 2
tk,i 2
≥ ti,i
Exercice 44 : [énoncé] k=1
Existence : Soit ϕ la forme bilinéaire symétrique sur Rn représentée par S dans la base
donc
canonique B de Rn . n
Y n
Y
ϕ est un produit scalaire car S ∈ S++
n (R). si,i ≥ 2
ti,i ≥ (det T )2 = det S
Soit B0 l’orthonormalisée de Schmidt de la famille B pour le produit scalaire ϕ. i=1 i=1
(c) Si A < GLn (R), la propriété est immédiate. (c) Toute matrice symétrique réelle positive peut être diagonalisée via une matrice
Si A ∈ GLn (R) alors S = t AA ∈ S++n (R) et s j, j =
Pn 2
i=1 ai, j donc orthogonale en une matrice diagonale à coefficients diagonaux positifs. Cette
dernière peut se voir comme limite d’une suite de matrices diagonales à coefficients
n X
Y n
diagonaux strictement positifs. Par suite S+∗ +
n (R) est dense Sn (R). Par continuité du
(det A)2 = det S ≤ a2i, j déterminant et densité, la relation précédente s’étend à A, B ∈ S+n (R).
j=1 i=1
Exercice 53 : [énoncé]
(a) Supposons A + t A ∈ S++
n (R). Pour X ∈ R \ {0}, XAX = X AX donc
n t t t
1 t
t
XAX = X(A + t A)X > 0
2
Inversement, si la condition
∀X ∈ Rn \ {0} , t X t AX > 0
donc
∀X ∈ Rn \ {0} , t X(A + t A)X > 0
Puisque la matrice A + t A est évidemment symétrique, on obtient A + t A ∈ S++
n (R).
(b) Commençons par observer que pour A ∈ P, les valeurs propres complexes de A sont
de partie réelle strictement positive. Soit λ ∈ C et Z ∈ Cn \ {0} vérifiant AZ = λZ. En
écrivant Z = X + iY avec X, Y colonnes réelles et λ = α + iβ avec α, β ∈ R, la partie
réelle de la relation Z ∗ AZ = λZ ∗ Z donne t XAX + t Y AY = α kZk2 . On en déduit α > 0.
Pour A ∈ P et S ∈ S++ n (R), on peut écrire S = PP avec P ∈ GLn (R). On a alors
t