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L’OPTIMISATION
DU TRANSPORT
9 recommandations pour piloter
son projet d’optimisation transport
et optimiser de 5 à 25%
vos dépenses de transport.
SOMMAIRE
ÉDITO
10 En guise de conclusion 14
JP Collin a 40 ans d’expérience dans le conseil et la logistique. Entre 1995 et 2005, il a occupé plusieurs
postes de direction chez de grands 3PL internationaux pour piloter les opérations de transport et
logistique en Europe et dans le monde entier.
Il accompagne aujourd’hui des grands clients comme Saint-Gobain ou Electrolux comme de beaucoup
plus petits dans l’optimisation transport. CCTX s’engage sur les résultats à court terme et apporte une
compréhension nouvelle du transport à partir de l’analyse des données en BIG DATA et l’expertise
opérationnelle des prestations. CCTX réalise aujourd’hui 70% de son chiffre d’affaires hors de l’hexagone.
JP Collin
+33 689 617 329
jpcollin@cctx.fr
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1 • LE TRANSPORT,
C’EST À DIRE TOUTES
LES DÉPENSES
DE TRANSPORT
Les anglo-saxons l’ont compris depuis longtemps : sous le terme « transport », vous
devez intégrer toutes les dépenses opérationnelles internes ou externes qui permettent
d’approvisionner ou de distribuer. C’est le transport sous toutes ses formes avec le transport
terrestre, maritime et aérien mais aussi la logistique c’est à dire le stockage, l’intégration en
stock, l’entreposage et la préparation de commandes, ainsi que tous les services de transit
et douane ainsi que les tax & duties.
Pour optimiser, vous allez intervenir sur des changements de prestataire ou de mode ou
encore de service de transport, des suppressions de surfaces, des modifications de route au
départ ou à l’arrivée, des négociations tarifaires et de charges accessoires.
C’est l’ensemble des dépenses que vous devez réduire et pas seulement la seule partie
qui vous préoccupe ou que vous maîtrisez directement. Si vous ne prenez pas en compte
l’ensemble des dépenses, vous risquez de passer à côté certaines économies ou au contraire
déclencher des coûts supplémentaires.
Notre avis : les méthodes d’optimisation que nous utilisons aujourd’hui s’appuient
sur les techniques de modélisation du BIG DATA pour analyser le coût total de la
livraison. Et ce n’est pas une tâche facile : Il faut donc récupérer les données qui
sont souvent éclatées dans les comptes et les reportings, intégrer régulièrement
des données de sources quelques fois exotiques, les nettoyer et les enrichir pour
les segmenter. Alors faites comme nous ! intégrez avant tout dans votre équipe
un spécialiste de gestion des données et un analyste capable de collecter et
de comprendre ce qu’il y a derrière vos fichiers. C’est plus utile aujourd’hui que
n’importe quel expert en transport.
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2 • UN COMITÉ
DE PILOTAGE DÈS
LE LANCEMENT
DU PROJET
Vous l’avez déjà compris ou vous allez vite le comprendre : ce ne sont pas les
services centraux qui font les économies mais les opérationnels.
Le transport est une commodité qui est très dépendante des variations d’activités,
des incidents de production ou d’approvisionnement et de paramètres externes
comme le blocage des ports et de frontières ou les variations des cours du fuel. A
la fin, ce sont vos opérationnels qui pilotent au jour le jour. Le projet d’optimisation
transport est de fait un projet porté par les opérationnels c’est à dire les Managers
de sites de production, des Achats, de la Supply Chain, de l’administration des
ventes et des réseaux de Distribution.
Les services centraux jouent un rôle d’animation du projet, de reporting des coûts
et des économies, d’apport d’une méthodologie et de savoir-faire métier. C’est lors
d’un Comité de Pilotage (Copil) que vous déciderez avec les opérationnels, ferez
le point des analyses, arbitrerez sur les plans d’actions et les procédures à mettre
en œuvre.
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3 • IDENTIFIEZ LE TRANSPORT DANS VOTRE ERP ET
DANS LE CONTRÔLE DE GESTION
Dans les entreprises d’aujourd’hui, la vérité est dans l’ERP ! Seules les dépenses qui apparaissent dans dans le
reporting mensuel ou périodique des opérationnels font l’objet d’une analyse d’écarts d’un mois sur l’autre et d’une
année sur l’autre.
Les systèmes de reporting et de prise de décisions sont ainsi faits que si une ligne n’existe pas dans le reporting,
toutes les actions qui y sont associées ne sont pas prioritaires aux yeux du management. Le transport est un poste de
charges pourtant en haut du compte d’exploitation. Cependant, les pratiques comptables font qu’il est, soit déduit
des achats ou des ventes, soit noyé dans la masse des « services extérieurs ».
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Oubliez donc de tenter de justifier votre projet d’optimisation avec le budget de l’année prochaine voire des
projections ou des simulations basées sur des prévisions de volumes. Vous aurez peut–être un soutien mais vous
n’aurez jamais le support des opérationnels.
Votre premier challenge est de faire apparaître la ligne « transport » dans le reporting mensuel ou périodique des
managers opérationnels. Les économies réalisées par les managers opérationnels pourront être mises en valeur.
Notre avis: Au démarrage du projet, nous avons plusieurs techniques pour lier notre reporting des économies
à l’ERP et qui font que le reporting des économies réalisées est facilement accepté. A terme, la seule solution
efficace pour mesurer les économies est d’intégrer le transport comme ligne du reporting mensuel des
opérationnels.
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4 • POUR COMPRENDRE
VOTRE TRANSPORT,
REGARDEZ …
VOS FACTURES TOUT
SIMPLEMENT !
Les factures de transport et de logistique
sont votre mine d’informations pour
comprendre comment les transports et la
logistique sont exécutés. La facture est le
seul document qui fait état des dépenses
réelles avec, normalement, toutes les
informations qui les justifie. Quand on
a un peu l’habitude, tout apparaît sur
chaque ligne et… entre les lignes.
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Evitez de vous appuyer uniquement sur
des systèmes de pré–facturation avec
les transporteurs que certains éditeurs
présentent comme la panacée. Ils
n’empêchent pas les erreurs notamment
les doubles facturations, les surfacturations
et les charges accessoires non justifiées.
On constate même des doubles paiements !
quand on réalise des audits à posteriori, il y a
quasiment autant d’erreurs avec un système
de pré-facturation que sans. La règle est de
toujours mettre un solide contrôle de factures
derrière un système de pré-facturation.
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5 • QUELS RÉSULTATS
ATTENDRE DE VOTRE
PROJET D’OPTIMISATION
TRANSPORT ?
Quand on parle de résultats en matière d’optimisation du
transport, Il faut être précis.
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Mais il y a aussi tout ce qui ne
se valorise pas en économies
directes mais qui va avoir un
impact sur vos ventes ou vos
achats. C’est par exemple
la fiabilisation d’un taux de
service de transport ou de
préparation de commandes.
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6 • NÉGOCIEZ VOS TARIFS
ET CONDITIONS !
Cela peut paraître évident mais on oublie trop souvent de négocier et de renégocier
régulièrement les tarifs de transport et de services logistiques.
Notre avis : 70% des économies de négociation chez nos clients sont réalisées
uniquement en collectant et en renégociant les tarifs existants sur l’ensemble
des sites de nos clients. C’est donc là qu’il y a le plus de potentiel. Nous sommes
généralement confronté à deux problèmes. D’abord le fait que les tarifs et
conditions sont rarement connues à un point central dans l’entreprise. Ensuite que
les transporteurs préfèrent négocier localement. Il y a heureusement des outils
pour gérer les contrats et les tarifs aujourd’hui.
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7 • ARBITRER ENTRE VOS
RESSOURCES INTERNES ET
LES ACHATS EXTERNES
Pour de bonnes raisons, vous disposez peut-être de moyens qui vous appartiennent comme
des sites de stockage ou une flotte de véhicules en propre. C’est une véritable opportunité
pour votre projet d’optimisation de transport parce que vous pouvez directement agir sur
ces coûts. Vous connaissez les indices de productivité et de qualité comme les densités
de stockage, les temps opératoires de manutention ou de picking, les prix de revient au
kilomètre, les performances de tournées.
En France, évitez les bonnes idées pour faire des économies comme les flottes dédiées, la
tournée de collecte chez les fournisseurs que vous organisez vous-même, le camion avec
carrosseries spécifiques pour optimiser le remplissage, les road train qui permettent de
charger 40% de marchandises en plus. Ca fonctionne très bien chez nos voisins européens
mais pas ici ou la complexité des règlementations et les contraintes du social rendent quasi
impossible ce type d’initiative. Il reste toujours l’informatique pour innover dans l’hexagone !
Vous devez confiance aux transporteurs et aux logisticiens qui sont en mesure d’engager
des moyens pour organiser votre transport et votre logistique! Soyez attentif aux conditions
contractuelles, aux niveaux de services et à la réversibilité de vos engagements.
Notre avis : Nous analysons les ressources internes de la même manière que les prestations
que vous achetez à l’extérieur. Quand nous intervenons nous nous arrangeons même pour
que vos équipes internes fassent mieux que le marché. Après tout, vos manutentionnaires
ou vos préparateurs de commandes connaissent parfaitement vos produits et vos chauffeurs
ainsi que leurs exploitants maitrisent les tournées et les contraintes chez vos clients mieux
que n’importe qui.
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8 • FAITES
DES QUICKWINS !
Les Quickwins sont les économies immédiates et
réalisables facilement dans les 3 à 6 semaines qui
suivent la première analyse. Il faut un peu d’expérience
mais on arrive à dégager immédiatement de 1 % à
4% des dépenses avec 3 à 4 actions bien ciblées.
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9 • PRUDENCE SUR
L’INFORMATIQUE
DES TMS ET WMS
Les TMS et WMS modernes donnent l’accès à des processus standardisés d’allocation
d’emplacement de stockage, de préparation de commandes optimisées, d’assistance
à l’optimisation du remplissage des camions, de prise de rendez-vous, de sélection des
transporteurs, de gestion de la douane, d’échanges documentaires et de routing…
La mise en place n’est pas complexe mais elle est fastidieuse. Les WMS et TMS sont des outils
d’exploitation qui exigent un paramétrage rigoureux et des interfaces. Tout dépend de la
configuration mais il ne faut pas moins de 20 à 30 semaines pour démarrer une exploitation
simple, avec des fonctionnalités de base et si tous les paramètres sont connus. Dès que
vous souhaiterez mettre en place des fonctionnalités plus élaborées ou des interfaces avec
les tiers, il faut s’attendre à des projets beaucoup plus longs.
En général, les TMS et WMS ont des coûts d’implantation maitrisés en licence ou en service
SAAS, en maitrise d’œuvre et en maîtrise d’ouvrage. En revanche, ils coûtent autant à
exploiter au quotidien qu’une exploitation manuelle parce qu’ils exigent d’allouer autant
d’exploitants derrière les écrans, les terminaux embarqués ou les pistolets. Le retour sur
investissement se retrouve avant tout dans les économies que vous dégagerez dans
l’optimisation du stransport et non dans les coûts d’exploitation.
Notre avis : Nous privilégions les solutions les moins coûteuses et les plus simples. Il y a
maintenant sur le marché des solutions en mode SAAS qui sont facturées à la transaction
et sans frais de démarrage ni engagement de durée. Les prix sont particulièrement
attractifs suivant l’éditeur, les fonctionnalités couvertes, l’antériorité de la solution et votre
négociation : pour le WMS compter de 50 cents à 1,80€/ mouvement et pour un TMS « lots
et complets » de 30 cents à 4€/ expédition. Bien sûr, les fonctionnalités se concentrent
sur le nécessaire et suffisant mais en contrepartie ces solutions se déploient en quelques
semaines.
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EN GUISE DE
CONCLUSION
Voilà. Il ne vous reste plus qu’à…
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QUI EST CCTX ?
CCTX s’adresse aux utilisateurs de transport qui
considèrent que le transport et la logistique sont
importants pour leurs activités.
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30 Boulevard Pasteur
75015 Paris (France – EU)
Phone: + 33 145 46 39 28
Email : info@cctx.fr
www.jpcollin.com