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INTRODUCTION
Jusqu’au XVé siècle, l’Afrique a vu se développer de grands empires dans le Soudan Occidental.
Le XVIé siècle marque le déclin de la plupart des états du continent et l’installation progressive des
Européens tout au long des côtes. Aussi cette période est marquée par le déclin du commerce
transsaharien et la réorientation du commerce.
I. La situation générale de l’Afrique au XVIé siècle
1) L’Afrique Du Nord
C’est une région en déclin, ce qui a favorisé l’arrivée et l’installation des étrangers. Ainsi les Turcs
Ottomans vont soumettre cette région sous leur domination.
L’Egypte est une province vassale rattachée à la Turquie tandis que les régences ottomanes de
Tunis et d’Alger sont dirigées par des Beys (titre porté par les vassaux du Sultant) et des Deys
(ancien chef du gouvernement en Algérie) vassaux du sultan turc ottoman. Le Maroc qui a réussi à
conserver son indépendance est affaibli par des querelles opposant le roi aux populations du sud
2) L’Afrique Occidentale
En Afrique Occidentale, le fait le plus marquant au XVIé siècle est le déclin de l’empire Sonraï
après sa défaite face à l’armée marocaine en 1591.
Au Sénégal, c’est la fin de l’unité politique marquée par la dislocation de l’empire du Jolof et par
l’indépendance des royaumes vassaux.
Les Mossis et les Bambaras hostiles à l’islam conservent la religion païenne.
a. L’Afrique Centrale
C’est une région en déclin au XVIé siècle où la présence de la forêt constitue un handicap pour le
développement économique. C’est une région désorganisée par des guerres tribales et intertribales
b. L’Afrique Orientale
L’Ethiopie est sortie considérablement affaiblie dans sa lutte contre les musulmans et les
envahisseurs.
c. L’Afrique Méridionale
C’est une région de refuge de peuples attardés tels que les Pygmées et les Hottentots qui mènent
une vie difficile. Une colonie d’aventuriers hollandais s’installe à la pointe Sud du continent avant
d’entrer en conflit avec les Bantous.
CONCLUSION
La présence européenne va contribuer davantage à l’accélération du déclin des grands royaumes
africains et du commerce transsaharien. Cette situation va favoriser d’une part la traite négrière, et
d’autre part la conquête progressive du continent par les puissances européennes.
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L2 : L’ASIE ET LE NOUVEAU MONDE AU XVIé
SIECLE
INTRODUCTION
Continent immense et riche en ressources naturelles, l’Asie est cependant divisée sur le plan
politique au XVIé siècle.
Après sa découverte en 1492 par Christophe Colomb, le Nouveau Monde sera conquis par
l’Europe qui a détruit les brillantes civilisations élaborations par les Amérindiens
CONCLUSION
La domination européenne dans une grande partie de l’Asie côtière et de l’Amérique confirme la
suprématie de l’Europe sur le commerce mondial au XVIé siècle. L’exploitation économique du
Nouveau Monde aura pour conséquence la mise en place de la traite négrière
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L3 : INITIATION A LA TECHNIQUE DE LA
DISSERTATION HISTORIQUE
INTRODUCTION
La dissertation historique est une réflexion personnelle sur un sujet, un thème bien donné afin de
convaincre le correcteur avec une argumentation pertinente. C’est un exercice qui prépare l’élève à
la réflexion et à l’utilisation correcte des éléments du cahier de leçons qu’il faut absolument
exploiter de façon intelligente. Ainsi la leçon n’est pas la solution toute faite mais aide à trouver la
solution. La dissertation permet à l’élève d’organiser ses idées dans un plan cohérent ; elle exige de
l’élève une culture générale solide, un esprit d’analyse et de synthèse et un savoir-faire.
Elle s’appuie sur une démarche claire.
I) Compréhension du sujet
C’est une phase essentielle car c’est d’elle que dépend l’orientation du devoir. L’élève doit lire et
relire plusieurs fois le sujet de manière à comprendre son sens exact ainsi que ses différentes
articulations ; il doit situer le thème central (de quoi parle-t-on ?), cerner la formulation de l’énoncé
(s’agit-il d’une question, d’une affirmation, d’une comparaison, etc.…), souligner les mots-clés qui
lui permettent de mieux maîtriser le sujet.
Il faut ensuite rédiger le devoir proprement dit qui doit comprendre nécessairement trois parties :
l’introduction, le développement et la conclusion.
II) L’introduction
C’est la partie la plus délicate du devoir que l’on doit traiter avec beaucoup de précaution. Elle pose
les problèmes et permet d’annoncer le plan du devoir. Il s’agit dans cette partie d’amener le sujet,
de poser la problématique et d’annoncer le plan. L’introduction doit être simple et claire. Elle doit
être rédigée dans un style correct, dépouillé de fautes ou incorrections.
III) Le développement ou corps du devoir
Le développement traite de manière plus longue les idées évoquées dans l’introduction. Il s’agit
donc de répondre aux problèmes posés dans l’introduction, de développer les idées annoncées dans
l’introduction. Le développement est composé de paragraphes traitant chacun d’une ou plusieurs
idées qui doivent être bien agencées et exprimées dans un français correct. La dernière phrase de
chaque paragraphe est une phrase de transition annonçant les idées qui seront traitées dans le
paragraphe suivant.
IV) La conclusion
Elle est le résumé succinct des différentes idées qui ont été traitées dans le développement et ainsi
doit faire le point de la question. Elle doit aussi et surtout ouvrir des perspectives de réflexion. Une
conclusion ne doit jamais fermer le devoir.
………………………………………………………………………………………………………..
SUJETS
2-Analysez les raisons de la domination européenne sur le reste du monde au XVIé siècle
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L6 : LES CONSEQUENCES DE LA TRAITE EN
EUROPE, EN AMERIQUE, EN ASIE
INTRODUCTION
La traite négrière a entraîné de nombreuses conséquences sur le plan économique, démographique
et culturel dans les autres continents
CONCLUSION
Si elle s’est soldée en Afrique par des pertes énormes, la traite négrière a par contre beaucoup
profité à l’Amérique, à l’Asie et surtout à l’Europe. Toutefois les recherches doivent être plus
poussées pour en savoir plus sur les conséquences de la traite en Inde et en Extrême-Orient.
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L7 : LA TRAITE AU SENEGAL
INTRODUCTION
Carrefour commercial entre l’Europe, l’Amérique et le reste de l’Afrique, le Sénégal a joué un rôle
important dans la traite négrière. La maison des esclaves de Gorée, construite par les Hollandais,
est un symbole vivant du commerce des esclaves.
CONCLUSION
Ainsi l’intensification de la traite au Sénégal est l’œuvre des Français qui avaient signé des traités
avec le Cayor, le Baol, le Sine et le Saloum pour avoir le monopole du trafic au nord de la Gambie.
A partir de 1848, la traite sera abolie dans la colonie.
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L8 : LE MOUVEMENT ABOLITIONNISTE
INTRODUCTION
Après avoir sévi pendant plus de trois siècles, la traite négrière commence à être remise en cause à
partir de la seconde moitié du XVIIIé siècle. Cela est dû à l’influence et à l’action du mouvement
abolitionniste, c’est-à-dire pour la suppression de l’esclavage.
CONCLUSION
Préparée par les hommes d’église, les philosophes, les écrivains, les philanthropes, l’abolition de la
traite à été réalisée au XIXé siècle. Le développement du machinisme au XIXé siècle permettra sa
suppression effective petit à petit.
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3é partie : L’ESPACE SENEGAMBIEN DU VIIé AU
XIXé SIECLE
INTRODUCTION
Entre le XVIé et le XVIIIé siècle, l’histoire du Sénégal est marquée par plusieurs événements liés
aux conséquences de la traite négrière. On retiendra la dislocation de l’empire du Jolof,
l’unification du pouvoir royal entre le Cayor et le Baol et la révolution toorodo.
INTRODUCTION
Le Fouta Toro est localisé dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal sur la rive gauche. Il a connu
une évolution mouvementée entre le VIIé et le XIXé siècle, c’est-à-dire entre l’invasion de la
dynastie denyanke et la révolution toorodo.
I) Le cadre géographique
Le Fouta Toro est né à la place de l’ancien royaume du Tekrour. Le royaume était divisé en
plusieurs provinces : le Dimar (Dimat) et le Toro qui constitue le Fouta occidental, le Lao et le
Yirlaabe-Ebiabe ou Fouta central, le Bossea, le nguenar et le Damga constituant le Fouta
oriental.
Le Fouta Toro comprenait deux régions géographiques distinctes :
- Le Walo qui est une étroite bande de terre de dix à quinze km de large parallèle au fleuve
Sénégal et inondée chaque année par les crues du fleuve, sur laquelle se pratiquent des
cultures de décrue.
- Le Dieri qui est une zone non inondée assez éloignée du fleuve réservée aux cultures sous
pluie, et aussi à l’élevage.
II) L’invasion de la dynastie des Denyanke
Le Fouta est né sur les cendres du Tekrour qui a vu se succéder plusieurs dynasties comme celle
des Dia-Ogo au IXème siècle. Mais le premier roi musulman est War Diabi, prince de la dynastie
des Mannas, renversée ensuite par celle des Tondions.
Cependant, profitant de l’affaiblissement de la puissance du Mali sur le Haut Sénégal et en
Sénégambie méridionale, les peuls, sous la direction de Koli Tenguela Bâ, achèvent le déclin des
Mandingues entamé par son père. Dans la vallée, ils fondent le Fouta, le royaume animiste des
Denyanke. Celui-ci survécut jusqu’à la révolution toorodo en 1776.
III) La révolution Toorodo
L’islam triompha au Fouta Toro dans la seconde moitié du XVIIIé siècle sous la direction du parti
musulman toorodo dirigé par les marabouts Thierno Souleymane Baal et Abdel Kader Kâne.
A partir de 1716, le Fouta est miné par des querelles de succession plongeant la région dans
l’insécurité et les guerres civiles, et qui seront aggravées par l’accélération de la traite négrière dans
la seconde moitié du XVIIIé siècle.
Ainsi la révolution toorodo, un mouvement d’expansion de l’islam, est dirigée d’abord contre le
régime païen des denyanke incapables de garantir la sécurité du Fouta faces aux attaques maures,
ensuite contre la vente des musulmans comme esclaves.
Après avoir imposé son autorité dans le Fouta central, le parti toorodo va mettre fin à plusieurs
siècles de domination denyanke en 1776.
La victoire du parti toorodo coïncide avec la mort de Thierno Souleymane Baal dont la succession
est assurée par Abdel Kader Kane qui devient le premier Almami.
La guerre sainte s’étend ensuite vers le Walo, le Jolof, le Cayor. En 1786, Abdel Kader se lance à
la conquête des maures du Trarza et du Brakna, avant de succomber devant les forces coalisées du
Boundou et du Kaarta.
Après sa mort, les fonctions d’Almami sont détenues par les trois grandes familles régnantes mais
surtout rivales : les Kane, Ly et Wane.
CONCLUSION
En définitive le Fouta a connu une histoire mouvementée. L’aristocratie aura du mal à conserver
l’héritage laissé par la révolution, et à la fin du XIXé siècle le Fouta Toro sera conquis par les
Français.
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L11 : LES ENTITES POLITIQUES NEES DU
DECLIN DU GAABU
INTRODUCTION
Le Gaabu occupait une grande partie de la Sénégambie méridionale qui s’étendait du sud de la
Gambie à la forêt guinéenne. Il profite du déclin du Mali au XVIé siècle pour affirmer sa
puissance. Au XVIIé siècle il se disloque pour donner naissance à de petites entités politiques.
I) La formation du Gaabu
Le Gaabu aurait été fondé au XIIIé siècle par Tiramagan Traoré et représente à ses débuts une
grande province de l’empire du Mali sous le règne de Soundjata Keïta. A la décadence de
l’empire du Mali au XVIé siècle, le Gaabu devient indépendant. Il est alors dirigé par la dynastie
matrilinéaire des Nyanthio dont le roi était obligatoirement issu des familles paternelles Sane et
Mane. Le Gaabu était une confédération de 45 provinces dont les plus importantes sont Sama,
Timara, Pacana, Mana, Sankolla, Bajar…. Ces provinces sont habitées par des mandingues,
mais certaines comportent une forte proportion de peuls dont l’installation remonte à l’époque de
Koli Tenguela
Au XIVé siècle des rivalités à l’intérieur de la famille Nyanthio entraînent une guerre dont la
conséquence fut le départ des Guelewars du Bajar vers le Sine et le Saloum : c’est le début de
l’effritement du Gaabu.
II) Les entités nées du déclin du Gaabu
Après la décadence du Gaabu, les mandingues s’installent dans les provinces voisines et créent des
entités politiques. Après la fondation du Sine et du Saloum, se forment les entités du Niomi, du
Badibou, du Wouli au nord de la Gambie qui sont commandés par des dynasties apparentés à celle
du Gaabu, et les royaumes mandingues du sud-est : Niokolo, Dantila, Sirimana, Bélédougou.
CONCLUSION
Après sa chute le Gaabu a donné naissance à de nouvelles entités politiques au nord et au sud de la
Gambie. Aujourd’hui les études sur l’évolution de chacun de ces royaumes sont parcimonieuses.
Les recherches se poursuivent pour mieux éclairer l’histoire du Gaabu.
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L12 :EXPOSE SUR L’UNITE ET LA DIVERSITE DES INSTITUTIONS SOCIALES,
POLITIQUES ET ECONOMIQUES DE L’ESPACE SENEGAMBIEN
INTRODUCTION
L’histoire des royaumes de la Sénégambie nous est connue grâce à la tradition orale, mais aussi aux
sources arabes et portugaises datant du milieu du XVé siècle. Leur évolution est marquée par une
certaine unité culturelle.
I) Les institutions sociales
Dans la Sénégambie septentrionale couvrant la région comprise entre le fleuve Sénégal et
le nord de la Gambie, l’organisation repose sur le système des castes et des ordres.
Au sommet de la hiérarchie il y a l’aristocratie ou les nobles. Exemple : les Guelewars dans les
royaumes sereres du Sine et du Saloum, les Garmi dans les royaumes wolof du Jolof et du Cayor.
Ensuite viennent les hommes libres regroupant les castés (neeno) et les non-castés (geer).
Enfin au bas de l’échelle il y a les esclaves divisés en trois catégories : les Ceddo qui sont des
esclaves guerriers, les esclaves de la couronne ou Jammu Buur attachés à la famille royale et les
esclaves de case ou Jammu Juddu.
Dans la Sénégambie méridionale qui s’étendait du sud de la Gambie à la forêt guinéenne,
la société reste dominée par le lignage, c’est-à-dire par la famille. Il existe un système de
classes d’âges. Les aînés détiennent les fonctions politiques et d’organisation des activités de
production. Ils commandent les cadets et les femmes qui sont les forces productives.
II) Les institutions politiques
Les institutions politiques ont évolué.Dans le cadre de la fédération du Jolof, plusieurs états étaient
regroupés autour du Jolof, chacun administré par un « lamane ». Ce dernier détient le pouvoir
terrien, arbitre les litiges et les conflits.
Après la dislocation du Jolof, on passe d’un pouvoir lamanal à un pouvoir monarchique, centralisé
et électif. Le monarque est d’origine noble, particulièrement « garmi ».
Exemple : Walo : Keur Giran Buri Jelen, Keur Biram Penda, Nek Buri Nabou descendants de
Ndiadiane Ndiaye.
Cayor: Ouagadou, Mougoye, Beye, Dorobe, Guedj.
Sine et Saloum: Guelewar.
Cependant les monarchies du Fouta et du Gaabu présentaient une certaine originalité. Par exemple
au Gaabu le pouvoir était rotatif entre les trois provinces : Sama (famille Nyanthio), Jimara (famille
Mane), Pacana (famille Sane).
III) Les institutions économiques
C’est une économie de subsistance dont les secteurs sont variés, et dont l’agriculture est le secteur
dominant.
- agriculture : riz, mil, maïs, plantes à tubercules
- élevage : contrôlé par les peuls nomades
- pêche : pratiquée dans l’océan Atlantique et les fleuves
- artisanat : qui était l’affaire des castes
- commerce : basé sur le troc. On distingue le commerce local et le grand commerce. Ce
dernier concernait les voies transsahariennes, et sera plus tard orienté vers le commerce
atlantique.
CONCLUSION
Les royaumes sénégambiens étaient sous le même modèle malgré les différentes appellations sur le
plan politique, social et économique. Cette unité culturelle se manifeste aussi dans la vie
quotidienne et religieuse.
4é partie : L’AFRIQUE DU XVIIé AU XIXé SIECLE
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L13 : L’AFRIQUE OCCIDENTALE : LES EMPIRES
PEULS DU SOKOTO ET DU MACINA
INTRODUCTION
Au début du XIXé siècle, un renouveau culturel se dessine en Afrique Occidentale avec le déclin de
la traite négrière. Cette situation a donné naissance à des tentatives de regroupement politique sous
le couvert de l’islam avec la formation des états théocratiques du Sokoto et du Macina.
I) L’empire du Sokoto
L’empire de Sokoto était situé dans le Gobir en Pays Haoussa, au nord du Nigeria actuel. Il a été
conquis par Ousmane Dan Fodio chef religieux né vers 1754 issu d’une famille Toorodo. Les
Torobes sont les premiers toucouleurs convertis à l’islam. Ils se sont confondus avec les peuls dont
deux catégories distinctes vivaient en pays haoussa : les peuls Borodji nomades et païens et les
Hidda, sédentaires et musulmans.
Il prêche la guerre sainte contre le Sarkin (roi) du Gobir, Nafata, et contre les peuples païens. Il
met sur pied une armée de fidèles qui s’empare des cités haoussa de Zaria, de Kano, de Katsina.
Il prend le pouvoir et fait remplacer les Sarkin par des émirs. En 1809 Ousmane Dan Fodio crée
une nouvelle capitale, Sokoto qui devient le plus grand centre politique, économique et culturel de
l’Afrique. A sa mort vers 1817, ses successeurs Mouhamed Bello et Abdoulaye continuent son
œuvre et repoussent les limites de l’empire. Ils réussirent ainsi à conquérir tous les royaumes
haoussa et à les intégrer au Sokoto qui devint un grand empire atteignant son apogée vers 1842.
L’empire peul du Macina sera cependant conquis par les Anglais à la fin du XIXé siècle.
CONCLUSION
Les empires peuls du Sokoto et du Macina furent créés grâce à l’action d’illustres marabouts qui
ont fait de l’islam une religion guerrière ciment des peuples, et qui l’ont consolidé en Afrique
Occidentale au XIXé siècle.
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PROGRAMME D’HISTOIRE 4éme