Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
Solution
de l’exo 1
( )
x
a) Si x = 0, fn (0) = 0 et, pour tout x ̸= 0, lim fn (x) = lim = 0. Ainsi, la suite de fonctions (fn )n
n→+∞ n→+∞ x2 + n2
converge simplement sur R vers f (x) = 0; ( )
x
( ( ))
x ln 1 + n
b) Comme lim fn (x) = lim n ln 1 + = lim = x, on déduit que la suite de fonctions
n→+∞ n→+∞ n n→+∞ 1
n
(fn )n converge simplement sur ]0, +∞[ vers f (x) =(x; )
xn
c) *) Si x ∈ [0, 1[ ,on a lim xn = 0 et donc lim = 0;
n→+∞ n→+∞ 1 + xn
1 1
*) Si x = 1, fn (1) = et donc lim fn (1) = ;
2 n→+∞ 2
( n )
x 1
*) Si x ∈ ]1, 2] , on a lim xn = +∞ et donc lim = lim = 1;
n→+∞ n→+∞ 1 + xn n→+∞ 1
+ 1
xn
D’où la suite de fonctions (fn )n converge simplement sur [0, 2] vers la fonction f définie par
0 si x ∈ [0, 1[
1
f (x) = si x = 1
2
1 si x ∈ ]1, 2]
( )n
x
d) Comme lim 1+ = ex , on déduit que la suite de fonctions (fn )n converge simplement sur]0, +∞[ vers la
n→+∞ n
x
fonction f (x) = e .
Solution de l’exo 2
√
a) Comme, pour tout x ∈ [0, 1[, on a lim xn 1 − x2 = 0 et fn (1) = 0, on déduit que la suite de fonctions (fn )n
n→+∞
converge simplement sur [0, 1] vers la fonction f (x) = 0. Calculons lim sup |fn (x) − f (x)| = lim sup fn (x)
n→∞ x∈[0,1] n→∞ x∈[0,1]
√
puisque fn (x) ≥ 0 sur [0, 1]. Etudions pour cela les variations de la fonction fn (x) = xn 1 − x2 sur l’intervalle [0, 1] .
√
xn−1 ( ) n
Nous avons fn′ (x) = √ n − x2 (n + 1) = 0 si, et seulement si, x = . D’où le tableau de variations :
1−x 2 n+1
√
n
x 0 1
n+1
fn′ (x) + (√
0 )
−
n
fn
n+1
f n (x) ↗ ↘
0 0
(√ ) ( ) ( )1
1 −2
n
n 1 2
et donc lim sup fn (x) = e− 2 .0 = 0. Par
1
et on déduit que sup fn (x) = fn = 1+
x∈[0,1] n+1 n n+1 n→∞ x∈[0,1]
x 0 +∞
gn′ (x) −
0
gn (x) ↘
−∞
et donc la suite de fonctions (fn )n converge uniformément sur [−a, a] pour tout a > 0.
a) Posons φ (x) = x2 + sin x. On a φ′ (x) = 2x + cos x > 0, ∀x ∈ [1, +∞[, c’est à dire que φ est croissante sur
∑∞ ( )n
1
[1, +∞[ . Comme φ (1) > 0, on déduit que 0 < un (x) ≤ e−nφ(1) , ∀x ∈ [1, +∞[ . Or la série numérique
n=1
eφ(1)
∑∞
1
e−n(x +sin x) converge
2
converge (puisque c’est une série géométrique de raison 0 < φ(1) < 1), on déduit alors que
e n=1
normalement (donc uniformément) sur [1, +∞[ d’après la règle de Wieirstrass ;
b) Notons un (x) = x2 e−nx pour x ∈ D = [0, +∞[ , le terme général de la série de fonctions. Remarquons que
( ) 2
u′n (x) = 2x − nx2 e−nx = 0 si, et seulement si xn = 0 ou xn = et que u′n (x) > 0 pour 0 < x < xn et u′n (x) < 0
n
pour tout x > xn .
2
x 0 +∞
′
n
un (x) + 0 −
( )
2 4e−2
un = 2
n n
un (x) ↗ ↘
0 0
4 −2
Comme un (0) = 0 et un (x) > 0 ∀x > 0, on déduit que sup un (x) = un (xn ) = e . Puisque la série numérique
x∈D n2
∞
∑ ∞
∑
4 −2
2
e converge, on déduit que x2 e−nx est normalement convergente sur D.
n=1
n n=1
Solution de l’exo 5
( ) ( )
n2 + x2 x2 x2
a) Remarquons que un (x) = ln = ln 1 + 2 ≤ 2 car ln (1 + t) ≤ t, ∀t ≥ 0. Or pour tout x ∈ [−a, a] , on
n2 n n
∞ ∞
( )
x 2 a 2 ∑ 1 ∑ n2 + x2
a un (x) ≤ 2 ≤ 2 et comme la série numérique converge, on déduit que la série de fonctions ln
n n n=2
n2 n=2
n2
converge normalement et donc uniformément sur [−a, a] , a > 0;
2x ∑ 2x
b) Posons un (x) = arctan 2 et étudions la série numérique
sup 2 car |arctan t| ≤ |t| , ∀t ∈ R. Notons
x + n3 x + n 3
( ) x∈R
2x ′ 2 n3 − x2
pour tout x > 0, fn (x) = 2 et donc fn (x) = = 0 si, et seulement si, xn = ±n3/2 . Comme fn est
x + n3 (x2 + n3 )2
On peut également appliquer la règle d’Abel pour établir la convergence uniforme de cette série de fonctions en posant
1 n 1
un (x) = √ √ et vn (x) = (−1) . Comme (un ) est décroissante suivant n , n→∞ lim un = 0, D = [0, +∞[ et que
3
n+ x
∑n ∞
∑ (−1)n
k
(−1) ≤ 1. On déduit, par la règle d’Abel, que la série de fonctions √ √ converge uniformément sur D ;
3
k=1 n+ x n=1
d)
(
Appliquons
)
la règle de Dirichlet pour établir la convergence uniforme de cette série de fonctions en posant un (x) =
x n (−1)n
1+ et vn (x) = √ 5
.
n ( (n +x
2
) )( ) ( )
x x x n x x
Comme 2 u′n (x) = ln 1 + − 1+ et que 3 α (n) = ln 1 + − > 0, on déduit que u′n (x) >
n x+n n n x+n
0, pour tout n ∈ N, c’est à dire que la suite de fonctions (un (x))n est croissante suivant n.
La croissance de cette suite s’établit aussi à l’aide de la formule du binôme de Newton :
n
∑n
n! n (n − 1) ... (n − k + 1)
(a + b) = Cnk an−k bk avec Cnk = = et du fait que, pour tout k ≥ 1,
k=0
k! (n − k)! k!
( )( ) ( )
Cnk 1 1 2 k−1
on a = 1− 1− ... 1 − . Ainsi,
nk k! n n n
( )n ∑
n ( )k ∑
n ( )( ) ( )
x x xk 1 2 k−1
un (x) = 1+ = 1+ Cnk = 1+ 1− 1− ... 1 −
n k=1
n k=1
k! n n n
m m m m
Comme 1 − <1− puisque > ∀m ∈ N, on aura alors un (x) < un+1 (x) .
n n+1 n ( n + )1n ( ) ( )
x 1 n 1 n
D’autre part, nous avons que un (x) = 1 + ≤ 1+ , ∀x ∈ [0, 1] et comme lim 1+ = e, on déduit
n n n→∞∞ n
que un (x) ≤ e, ∀x ∈ [0, 1] et ∀n ∈ N, c’est que la suite de fonctions (un (x))n est bornée.
∞
∑
Utilisons la règle de Leı̈bnitz pour établir la convergence uniforme vn (x) sur [0, 1] . En effet, cette série est alternée
( ) n=1 √
1
alors que la suite de fonctions √
5
2
est décroissante suivant n puisque (n + 1) + x > n + x et 2 5
(n + 1)2 + x >
+x n2
√ 1 1
+ x. Elle vérifie aussi lim √ = 0. Par suite, comme |Sn (x) − S (x)| ≤ |vn+1 (x)| = √ ≤
5
n2 5
n→∞ 2
n +x 5
(n + 1)2 + x
∑∞
1
√ , ∀x ∈ [0, 1] , on aura lim sup |Sn (x) − S (x)| = 0, c’est à dire que vn (x) converge uniformément sur
n→∞ x∈[0,1]
5
(n + 1)2 n=1
[0, 1].
1 1( √ )−4/3
1. Car la fonction φ (t) = √ √ est décroissante pour tout t ≥ 1 et pour tout x fixé dans [0, +∞[ car φ′ (t) = − t + x <
3
t+ x 3
0, ∀t ≥ 1.
2. On dérive par rapport à n !
x2
3. puisque α′ (n) = − < 0, ∀n ∈ N et lim α (n) = +∞ et lim α (n) = 0.
n (n + x)2 n→0 n→+∞
1. a) Etude de la convergence normale sur R. Comme la suite de fonctions est impraire, on restreint 4 l’étude des
1 + (1 − 2n) x2 1
variations de un (x) à R+ . La fonction dérivée u′n (x) = = 0 si, et seulement si, xn = √ .
(1 2
( + x ) )n
n+1
2n − 1
1 1
Comme un (0) = lim un (x) = 0 et un (xn ) = √ 1− > 0, on déduit alors que sup |un (x)| =
x→∞ 2n − 1 2n x∈R
( )n − 12
1 1 e 1
sup |un (x)| = un (xn ) . Or un (xn ) = √ 1− ∼ √ 1 et en tenant compte de la divergence de
x∈R+ 2n − 1 2n ∞ 2 n2
∑ 1 ∑∞ ∑∞
la série 1 , on conclut que sup |un (x)| diverge et donc un (x) ne converge pas normalement sur R ;
n2 n=0 x∈R n=1
1
b) Etude de la convergence normale sur [a, +∞[ , a > 0. Comme lim √ = 0, il existe alors N ∈ N :
x→∞ 2n − 1
∑∞
1 a a
∀n ≥ N , on a √ < a, ∀a > 0. Par suite, sup |un (x)| = un (a) = 2 )n
. Or =
2n − 1 x∈[a,+∞[ (1 + a n=1
(1 + a2 )n
∑∞ ( )n
1 1
a 2
est une série géométrique convergente de raison 0 < q = < 1. Donc la série numérique
n=1
1+a 1 + a2
∞
∑ ∞
∑
sup |un (x)| est convergente. C’est à dire la série de fonctions un (x) est normalement convergente sur
n=1 x∈[a,+∞[ n=1
[a, +∞[ , a > 0.
∞ (
∑ )n
1
2. Remarquons que un (x) ∈ C (R) , ∀n ∈ N. D’autre part, puisque pour tout x ̸= 0, on a S (x) = x =
n=1
1 + x2
∞ ( )n
x ∑ 1 1
2 2
= et comme un (0) = 0, ∀n ∈ N, on obtient alors que S (0) = 0,
1 + x n=0 1 + x x
0 si x = 0
c’est à dire S (x) = et donc S (x) ∈
/ C (R) .
1
si x ̸= 0
∞
x
∑
On déduit alors que un (x) n’est pas uniformément convergente R par la négation du théorème de continuité
n=1
des séries de fonctions.
Solution de l’exo 7
3 3 7 7
si 0 ≤ x <
si 0 ≤ x <
4 4
8 8
3 5 7 9
1. Nous avons : f4 (x) = − 3(x − 1) si ≤x≤ , f8 (x) = − 7(x − 1) si ≤x≤ ,
4 4
8 8
3 5
7 9
− si <x≤2 − si <x≤2
4 4 8 8
999 999
si 0 ≤ x <
1000 1000
999 1001
et f1000 (x) = − 999(x − 1) si ≤x≤ ,
1000 1000
999 1001
− si <x≤2
1000 1000
4. Car sup |un (x)| = sup |un (x)|
x∈R x∈R+
f
1
999/1000 f1000
7/8 f8
3/4 f4
1001 9 5
1000 8 4
3 7 999 x
0 4 8 1000 1 2
−1
3. Comme f n’est pas continue sur [0, 2], la convergence n’est pas uniforme.
Remarque : On voit sur le graphe que la convergence ne peut être uniforme sur [0, 2] puisque la ”bande”
contenant |fn (x) − f (x)| est discontinue en x = 0 !
Solution
de l’exo 8
1 1 1 1
x 2
+ si |x| ≤
4 x 2
+ si |x| ≤
4 2 16 8
1. Nous avons : f2 (x) = , f8 (x) = ,
|x| 1
|x| 1
si < |x| ≤ 1 si < |x| ≤ 1
2 8
2. Etude de la convergence simple. ] ]
1
Soit x fixé dans ]0, 1], il existe N ∈ N∗ tel que ∀n > N : x ∈ , 1 et fn (x) = x −→ x = f (x).
n[ [ n→∞
1
Soit x fixé dans [−1, 0[, il existe N ∈ N∗ tel que ∀n > N : x ∈ −1, − et fn (x) = −x −→ −x = f (x).
n n→∞
Si x = 0, fn (0) = 0 = f (0).
Ainsi, ∀x ∈ [−1, 1], la suite de fonctions fn (x) converge simplement vers la fonction f (x) = |x|, ;
1
3. D’après le graphe, on constate que sup |fn (x) − f (x)| = |fn (0) − f (0)| = −→ 0, la convergence est
x∈[−1,1] 2n n→∞
donc uniforme ;
1
2
f2
1 f8
8
1 1 1 1
−1 - − 1
2 8 8 2 x
−1
Remarque : On voit bien sur le graphe que pour n assez grand, |fn (x) − f (x)| est contenu dans la même
”bande”!
4. Comme la fonction limite f n’est pas dérivable en 0, on déduit d’après le théorème de dérivation que la suite de
fonctions (fn′ (x))n ne converge pas uniformément sur sur [−1, 1].
Solution de l’exo 9
( ) ( )
ln (1 + n2n ) 2n + 2n n ln 2 ln 2
5. On a utilisé la règle de l’Hopital pour le calcul de cette limite : lim = lim = .
n→∞ 2n n→∞ n (1 + n2n ) 2
(−1)n 3n+2
1. Soit un le terme général de la série entière, c’est à dire un (x) = x , y ∈ R. Comme
3n + 2
un+1 (x) x3n+5 3n + 2 3n + 2 3
−→ |x|3 ,
u (x) = 3n + 5 x3n+2 = 3n + 5 |x| n→∞
n
on déduira, d’après la règle de D’Alembert, que la série entière est absolument convergente et donc convergente
si |x| < 1. Ainsi, le rayon de convergence R = 1.
Remarquons ensuite que la série diverge si x = −1 et converge si x = 1, l’intervalle de convergence de la série
est donc ]−1, 1] ;
∞
∑ (−1)n 3n+2
2. ∀x ∈ ]−1, 1], nous avons S (x) = x . En dérivant les deux membres de cette égalité, en aura alors :
n=0
3n + 2
∞
∑ ∞
∑ x
S ′ (x) = (−1)n x3n+1 = x (−1)n x3n =
n=0 n=0
1 + x3
∫ x
t
∀x ∈ ]−1, 1[ . Comme S (0) = 0, on aura S (x) = dt, ∀x ∈ ]−1, 1[ ;
0 1 + t3
1 1 a ct + d
3. La fraction se décompose sous la forme = + . Aprés réduction au même dénomi-
1+t 3 1+t 3 1 + t 1 − t + t2
1 1 1
nateur et par identification, on trouve a = − , b = et c = ;
3 3 3
∞
∑ (−1)n
4. Calcul de la somme de la série . La série proposée est convergente lorsque x = 1, d’après de
n=0
3n + 2
second lemme d’Abel, on aura alors
∞
∑ ∫ 1
(−1)n t
lim S (x) = = dt
x→1
< n=0
3n + 2 0 1 + t3
Calculons à présent cette dernière intégrale propre. D’aprés la question (3), on aura
∫ 1 ∫ 1( )
t 1 −1 t+1
dt = + dt
0 1 + t3 3 0 1 + t3 1 − t + t2
∫ 1
1 −1 2t − 1 3
= + + (( )
3 0 1+t3 2 (1 − t + t2 ) )2 dt
2 t− 1
2 + 3
4
∑ ∑
6. Car si an ∼ bn alors les séries entières an xn et bn xn ont même rayon de convergence.
∞
∫ ∫ (x)
dx 1 d a 1 x
En tenant compte du fait que = ( x )2 = arctan + cte, on aura :
x2 + a2 a 1+ a a
a
∫ 1 [ ( )]1
t 1 1 ( ) 3 2 1
dt = − ln (1 + t) + ln 1 − t + t2 + arctan √ t −
0 1 + t3 3 2 2 3 2 0
[ √ ( ( ) ( ))]
1 1 −1
= − ln 2 + 3 arctan √ − arctan √
3 3 3
( )
1 π
= √ − ln 2
3 3
∞
∑ ( )
(−1)n 1π
On déduit alors que = √ − ln 2 ;
n=0
3n + 2 3 3
∑∞
1
Calcul de la somme de la série . En remarquant que
n=0
(6n + 2) (6n + 5)
( )
1 1 1 1
= −
(6n + 2) (6n + 5) 3 6n + 2 6n + 5
( )
1 (−1)2n (−1)2n+1
= +
3 3 (2n) + 2 3 (2n + 1) + 2
∞
∑ ∞ ( )
1 1∑ (−1)n 1 π
il découle = = √ − ln 2 .
n=0
(6n + 2) (6n + 5) 3 n=0
3n + 2 9 3
1. a) Remarquons que le terme général de cette série de fonctions est continue sur D = ]0, +∞[ alors que
1 1 ∑ (−1)n
|Sn (x) − S (x)| ≤ un+1 (x) = < puisque la série alternée vérifie les conditions de la
n
n+1+x n n+x
(−1)
règle de Leı̈bnitz : −→ 0 et décroit suivant n, pour tout x fixé dans D. Par suite, la série proposée
n + x n→∞
converge uniformément sur D, ce qui implique que S (x) ∈ C (D) ;
∑ (−1)n+1
b) Les conditions du théorème de dérivation sont satisfaites. La série u′n (x) où u′n (x) = est norma-
(n + x)2
1
lement convergente sur D car u′n (x) < , donc elle l’est aussi uniformément. Par conséquent, S (x) ∈ C 1 (D) ;
n2
∞
∑ ∑∞ ( )
(−1)n (−1)n 1
c) ∀x ∈ D, nous avons S (x + 1) = = = − S (x) − et donc
n=0
n + 1 + x n=1
n + x x
1
S (x + 1) + S (x) = (1)
x
3. Comme la fonction S (x) est poisitive et décroissante alors lim S (x) existe. De la relation (1), on déduit que
x→∞
1
lim (S (x + 1) + S (x)) = lim (x2S (x)) = 1, c’est à dire que S (x) ∼ .
x→∞ x→∞ ∞ 2x
Solution de l’exo 13
2n + 1 2n
1. Calcul de R par la règle de D’Alembert : Soit un (x) = x , nous avons
n!
un+1 (x) 2n + 3 n! 2n + 3
2
−→ 0, ∀x.
u (x) = (n + 1)! 2n + 1 = (n + 1) (2n + 1) xn→∞
n
(∫ √ ∫ 1 √ )
1 1 2t + 2 2t − 2
= √ √ dt − √ dt
4 2 0 t2 + 2t + 1 0 t2 − 2t + 1
∫ ∫ 1
1 1 dt dt
+ ( √ )2 + ( √ )2
4 0 t+ 2
+ 1 0 t− 2
+ 1
2 2 2 2
∫ ∫ ( )
dt 1 d at 1 t 1 π
En tenant compte des relations = ( t )2 = arctan +c et arctan t+arctan = , t > 0,
t 2 + a2 a +1 a a t 2
a
on aura [ √ ]1
1 t2 + 2t + 1
S = √ ln √
4 2 t2 − 2t + 1 0
1 [ (√ )]1 1 [ (√ )]1
+ √ arctan 2t + 1 + √ arctan 2t − 1
2 2 0 2 2 0
1 [ ( √ ) ]
= √ ln 3 + 2 2 + π
4 2
√
2+2 2 √ 1 √
puisque √ = 3 + 2 2 et √ = 2 + 1.
2−2 2 2−1