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Index

• Couverture 1.
• Introduction.
• Biographie personnelle.
• Dédicace du premier poème «Souvenir de mon enfance».
• Poème «Souvenir de mon enfance».
• Biographie d’Isabelle Eberhardt.
• Analyse de «Sud Oranais».
• Biographie de Mouloud Feraoun.
• Analyse de «Le fils du pauvre».
• Comparaison des textes lus.
• Dédicace du poème «Un éclair éclatant».
• Poème «Un éclair éclatant».
• Journal de réflexion sur la classe.
• Couverture 2.
Introduction

Ce dossier contient la plupart des devoirs assignés dans le cours de


littérature francophone. Chacun de ces devoirs est la preuve de
l'apprentissage que j'ai eu dans cette classe. Les analyses des
œuvres m'ont permis de connaître ces auteurs, leurs œuvres et les
situations vécues par chacun d'eux.
Quant aux poèmes que vous allez lire ci-dessous, je dois juste dire
qu'essayer d'être poète était quelque chose de très nouveau et de
différent pour moi. Je veux souligner le fait que j'ai beaucoup
appris en préparant ce dossier et en classe, les deux auteurs dont ce
travail parle, sont deux auteurs très primés avec beaucoup de
talent.
Jatnna Y. Pérez Placencio

Elle est née le 23 juin 1998 dans la province de San Cristobal, en


République Dominicaine, son père est Elpidio Perez et sa mère est
Juana Placencio. Elle est la plus jeune de 4 sœurs.
Elle a terminé ses premières études à l'école Ludy Magister et ses
études secondaires à l'école polytechnique Anna Lilliams Miranda.
Quand elle était au lycée, elle a commencé sa passion pour les
langues, alors elle a commencé à étudier l'anglais dans un institut et
a ensuite décidé d'étudier les langues modernes à la fin de ses
études secondaires.
Actuellement, elle étudie à l'Université technologique de Santiago
(UTESA), où elle étudie les langues modernes. Ses objectifs sont
d'obtenir un diplôme et de pouvoir se rendre en France et faire un
master en enseignement du français langue étrangère.
Dédicace du premier poème « Souvenir de
mon enfance »

Dédié à mon grand-père Pedro Placencio, pour avoir été mon


héros et ma plus grande source de joie. Je sais que tu m'as toujours
aimé et que tu prends soin de moi du ciel, merci de me donner les
meilleurs souvenirs de mon enfance.
Souvenirs de Mon Enfance

Je viens d'une maison qui avait une grande cour où j'aimais passer
chaque après-midi assis sous un goyavier.

Je viens de jouer aux voitures avec mes cousins, on s'amusait


toujours beaucoup de plaisir à jouer avec leurs voitures et mes
poupées dans la cour de ma maison.

Je viens d'une mère qui me disait "pour Jésus-Christ, fille, descends


de là, quand tu tombes je ne veux pas que tu pleures".

Je viens d'une grand-mère que nous préparait pain de maïs avec du


chocolat chaud, chaque fois qu'il pleuvait. Les jours de pluie étaient
les meilleurs.

Je viens d'un grand-père qui m'aimait beaucoup qui m'apportait


toujours beaucoup de chocolats et d'animaux en peluche quand il
venait chaque mois, il aimait mes sœurs et moi, il nous disait
toujours que nous étions son plus grand trésor et les filles à ses
yeux.
Isabelle Eberhardt
Isabelle était suisse, née à Genève, suisse en 1867 et mort à Ain
Sefra, Algérie en 1904. D’un père russe orthodoxe qu’elle n’a pas
connu et d’une mère convertie à l’islam, qu’elle perd à dix ans. Elle
était exploratrice et écrivaine. Pour son temps, elle était une
personne libre qui rejetait la morale européenne, qui suivait sa
propre voie dans l'islam et qui a écrit plusieurs livres sur ses
voyages en Afrique.
Elle parlait couramment le français et parlait le russe, l’allemand,
l’italien, le latin et le grec. Dès son jeune âge, elle a préfère
s’habiller comme un homme pour profiter de la liberté que cela
permettait.
Ses innombrables expériences ont servi d’inspiration à ses œuvres
qui représentent fidèlement la vie des communautés d’Afrique du
nord et sont été publiées avec un grand succès : Romans algériens,
Carnets de voyage : Maroc, Algérie et Tunisie.
Parmi ses textes les plus importants figurent : Sud Oranais,
Trimardeur, Ecrits intimes et Amours nomades.
Sud Oranais.
Découverte
1. Lisez la biographie de l'auteure: Où est-elle née et où a-t-elle passé
une partie de sa vie? À quel âge est-elle morte? Quels genres d’écrits
a-t-elle produits?
Elle est née en suisse et elle passé une partie de sa vie en Algérie. Elle est
morte à 27 ans. Elle a produit des écrits de voyage.
2. Quel est le titre du livre d’où ce texte est extrait? À l’aide des premier
et dernier paragraphes, dites quel est ce lieu et où se trouve (localisez-
le sur une carte).
Le titre du livre dont ce texte est extrait est Sud Oranais. Le Sahara, c'est un
grand désert et est trouvé en Afrique du Nord.
3. Repérez un mot entre guillemets (« »). À quelle langue appartient-il et
que signifie-t-il (regardez « pour mieux comprendre»)?
Le mot entre guillemets «Mektoub!» c'est un mot arabe. Il signifie: le destin,
ce qui est écrit et qui doit arriver; la fatalité.
4. Lisez le texte. Quelles idées retenez-vous? Dans ce passage, il y a trois
mouvements: retrouvez-les et donnez le thème (le sujet) de chacun.
Ce qui a le plus attiré mon attention sur l'ensemble du texte, c'est la manière
si éclairante et poétique dans laquelle elle exprime ce qu'elle vit.

5. En quelle saison et à quel moment Isabelle Eberhardt écrit-elle


(dernier paragraphe)?
Isabelle Eberhardt l'a écrit un soir d'été.

Exploration
1. Paragraphe 1: soulignez le pronom personnel. Qui parle? Quel mot
répété dans la première phrase lui est associe? Dans quelles
circonstances (il y en trois) l’auteure éprouve-t-elle ce sentiment?
Le pronom personnel est « Je». La personne qui parle est l'auteure. «Seule»
est le mot répété qui il est associé. Elle se sentait seule lorsqu'elle était
perdue dans les terres marocaines, lorsqu'elle voyageait et lorsqu'elle songeait
à n'avoir ni nationalité ni pays.

2. Quelles sont les causes de ce sentiment (trois)? À qui se compare


l’auteure et quel accueil a-t-elle reçu? Que pensez-vous de ce
qu’écrivent Isabelle Eberhardt?
Les causes de ce sentiment étaient les situations qu'elle a traversées dans sa
vie, comme la perte de sa mère. Je pense que c'était une femme très
aventureuse et courageuse, mais elle se sentait souvent seule.
3. Au moment où elle écrit («à cette heure»), dans quel état est-elle?
Quelles sont les particularités des hommes qui sont avec elle? Quel
regard porte-t-elle sur eux?
Elle était perdue dans un coin de la terre marocaine. C'étaient des hommes
impassibles, à la ruine de tout ce qui les entoure et qui croisent les bras
devant la maladie et meurent. Elle les voyait comme des hommes
impassibles.
4. En vous aidant des réponses aux questions précédentes, a quelle
conclusion arrive l’auteure au 3e paragraphe? Que pensez-vous de sa
philosophie de la vie?
L'auteure conclut que la solitude est la liberté. Je pense que sa philosophie
de vie n'était pas mauvaise à l'époque, car être seul à l'époque signifiait la
liberté.
5. L’auteure essaie de comprendre sa situation («Si j’étais seule»): quelles
explications donne-t-elle et à quelle conclusion («alors») arrive-t-elle?
Reconstruisez le raisonnement par lequel elle arrive à cette
conclusion.
Elle explique qu'elle était seule mais qu'elle ne voulait pas de cette façon,
mais que ce sont les circonstances qui l'ont amenée à être seule et elle
conclut qu'être seule n'est pas mauvaise mais que c'est une forme de liberté
et d'autonomisation.

6. Paragraphes 8-9: le lieu et le moment produisent sur la narratrice des


effets physiques et spirituels. Quels sont-ils?
L'auteur a eu de la fièvre, se sent en détresse et s'est évanoui.
7. Pour Isabelle Eberhardt, « être seule, c’est être libre»: partagez-vous
cette idée? Quelle est votre idée de la liberté ?
Je ne partage pas cette idée. Mon idée de la liberté est d'être avec vos
proches, être juste toi-même, sans avoir besoin de cacher votre personnalité
ou vos défauts.
Mouloud Feraoun

Né le 8 mars 1913 dans le village de Tizi-Hibel, son nom est Aït-


Chabane, Feraoun étant le nom attribué par l'état-civil français.
Boursier à l'Ecole Primaire Supérieure de Tizi-Ouzou, il entre à
l'Ecole Normale de Bouzaréa en 1932 où il fait la connaissance
d'Emmanuel Roblès.
En 1935, il est nommé instituteur à Tizi-Hibel où il épouse sa
cousine Dehbia dont il aura 7 enfants. En 1957, nommé directeur
de l'Ecole Nador de Clos-Salembier, il quitte la Kabylie pour les
hauteurs d'Alger. Il entame une correspondance avec Albert
Camus, et reçoit le prix populiste en 1953 pour son roman La terre
et le sang. Devenu inspecteur des Centres Sociaux, il est assassiné
par l'OAS le 15 mars 1962 à quatre jours du cessez-le-feu. Son
œuvre le plus important était "Le fils des pauvre".
Le fils du pauvre.
Découverte
1. Quelles remarques pouvez-vous faire à partir du titre de l’œuvre d’où
ce passage est extrait ? Qui est le pauvre ?
Selon son titre, je pense que la pièce parle du fils d'un pauvre, peut-être
qu'elle parle de la façon dont son fils devient important malgré le fait qu'il est
le fils d'un pauvre. Selon le titre, je pense que le pauvre est le père.

2. Lisez le chapeau (au-dessus du texte) : dites où et quand se passe


l’histoire. Qui sont les personnages et que fait l’un d’eux ? Quelle est
la situation et pourquoi ?
L'histoire se passe en Algérie, dans les années 1930. Les personnages sont le
jeune Fouroulou, algérien-berbère et son père. L'un d'eux (Fouroulou) écrit
une lettre pour son père. La situation est que Fouroulou a écrit une lettre à
son père, alors qu'il était admis au certificat.

3. Que savez-vous de la situation du pays à cette époque-là ?


À cette époque l'Algérie était une colonie de France.

4. Lisez le texte : à quelle personne est-il écrit ? De quoi est-il question ?


Le texte est écrit au père de Fouroulou. Le texte parle d'un fils qui écrit une
lettre à son père pour l'informer qu'il a été admis au certificat.

Exploration
1. Paragraphe 1 : à quoi correspond la première phrase entre
guillemets ? Où Fouroulou a-t-il appris cette formule et dans quelle
circonstance ?
La première phrase entre guillemets correspond à un extrait de la lettre que
Fouroulou a envoyée à son père. Il a appris cette formule à l'école, lors d'un
rapport éditorial.
2. Comment Fouroulou considère-t-il cette formule el pourquoi (aidez-
vous des adjectifs répètes) ? Pourquoi est-il <<fier>> ? Qui est
<<l’écrivain>> de son père et pourquoi ce denier en a-t-il besoin ?
Il considère que sa formule est très bonne et en est fier. Il est heureux et fier
des progrès qu'il a accomplis par écrit et de l'effet que ses paroles auront.
L'écrivain est la personne qui écrit les lettres du père.

3. Paragraphe 2 : de quel évènement important est-il question et ou se


passe-t-il ? Que découvre le garçon dans ce lieu ? En utilisant ce que
vous avez trouvé, décrivez le village de Fouroulou.
Il venait de réussir au certificat avec deux de ses camarades. L’examen avait
eu lieu à Fort-National, a une vingtaine de kilomètres du village. Le garçon a
découvert que c'était une vraie ville avec beaucoup de Français, de grands
immeubles, de belles rues, de belles boutiques, des voitures roulant toutes
seules. La ville de Fouroulou était une ville pauvre où il n'y avait pas de
Français ou de grands immeubles, où il n'y avait pas de jolies rues ou de
belles boutiques et où il n'y avait pas de voitures roulant toutes seules.

4. Analysez le style des phrases (adjectifs, répétition, accumulation…) :


quel est l’effet produit ? De quoi s’étonne Fouroulou dans les deux
dernières phrases ? Qu’est-ce que cela montre du milieu social dans
lequel il vit ?
Il produit un effet d'admiration envers la ville décrite. Il fut surpris et
heureux de constater qu'il savait le français. Il était étonné d'entendre des
gamins parler aussi bien que lui mais avec un accent beaucoup plus agréable.
Cela montre que l'environnement social dans lequel vit Fouroulou est un
environnement de personnes pauvres et peu instruites.

5. Paragraphe 3 : à quel moment exact l’adverbe <<aujourd’hui>> fait-il


référence ? Quel est le temps dominant et a quels temps s’oppose-t-il
dans le reste du texte ? Quel est l’effet produit par cette rupture ?
L’adverbe <<aujourd'hui>> fait référence au jour où Fouroulou écrit la lettre.
Le temps dominant est le passé mais dans le reste du texte il s'oppose au
temps présent. L'effet produit par cette rupture fait comprendre au lecteur la
situation qui s'est déjà produite, racontée à un moment donné dans le
présent.

6. Qui fait passer les examens aux élevés algériens ? De quelles sorte
d’école s’agit-t-il (reportez-vous au contexte historique) ?
Les examens sont donnés par l'inspecteur et les examinateurs. C'était une
école très stricte et assez exigeante où apparemment la chose la plus
importante était d'apprendre le français à un niveau natif.

7. Finalement, qu’est devenu le fils du pauvre ?


Il reprend ses esprits, fait de son mieux, réussit, passe l'oral. Il n'a pas peur,
ce n'est plus le même, son maître ne le reconnaitrait pas.

8. Le père répond à son fils : vous êtes <<l’écrivain>> du père. Rédigez


la lettre.
La troisième lettre que le père de Fouroulou écrit à son fils commençait
ainsi:
Cher fils, ta lettre me remplit de bonheur quand je découvre que tu es
admise au certificat. Félicitations pour votre succès, j'espère que vous
continuez à travailler dur pour changer votre avenir.
Comparaison entre les analyses.

Depuis que j'ai commencé à lire sur les auteurs à comparer, j'ai
réalisé que les deux auteurs avaient pas mal de différences. Alors
que Mouloud Feraoun a écrit sur la vie humble menée par les
Berbères, Isabelle Eberhardt, d'autre part, a écrit sur leurs voyages
et leurs expériences là-bas, même s'il convient de noter que les
deux auteurs ont écrit sur la situation de vie de certaines villes.

"Sud Oranais" et "Le fils du pauvre" parlent tous les deux de


l'expérience de leurs auteurs, bien qu'ils soient très différents.
D'une part, "Sud Oranais" parle de l'expérience que l'auteur a vécue
lorsqu'elle s'est perdue dans les terres marocaines, tandis que "Le
fils du pauvre "parle d'un garçon qui a terminé et réussi un niveau
d'éducation et comment il est fier de ce qu'il a appris, bien qu'il
fasse également une petite comparaison dans laquelle le jeune
homme parle de sa ville natale et de la ville française dans laquelle
il vit trouver à étudier.

En ce qui concerne la façon dont les textes sont écrits, je peux


souligner que les deux sont écrits en utilisant des temps de verbe
différents et aussi que "Sud Oranais" est écrit à la première
personne, "Le fils du pauvre" bien que bien que dans certaines
parties il soit écrit à la première personne, le reste du texte est
principalement écrit à la troisième personne.
Dédicace du poème «Un éclair éclatant»

Dédié à mon grand-père Pedro Placencio, pour avoir été mon


héros et ma plus grande source de joie. Je sais que tu m'as toujours
aimé et que tu prends soin de moi du ciel, merci de me donner les
meilleurs souvenirs du monde.

Vous êtes et serez toujours l'être le plus spécial de ma vie, merci de


m'apprendre à être une personne de bien et de m'aimer comme
vous m'aimiez.

Pour être mon rayon clair…


Un éclair éclatant

Les tempêtes, ah les tempêtes!


Ils sont aussi imprévisibles qu'ils sont beaux, s'ils sont beaux, que
tout le monde ne sait pas apprécier leur beauté, c'est une autre
affaire.
Je vais vous dire un petit secret, êtes-vous prêt à connaître mon
secret? Croyez-vous de tout votre cœur que vous pouvez connaître
mon secret?
Je suppose que votre réponse était oui, alors voici:
Je déteste vraiment les tempêtes, je ne pense pas qu'elles soient
belles, mais une fois qu'un être de lumière m'a dit qu'elles étaient
belles.
J'aimais cet être de lumière, cet être qui était un rayon clair, si
c'était un rayon.
Le rayon le plus brillant que vous n’aura jamais la chance de voir.
Ah les rayons! Rayons, rayons, rayons, rayons vifs, rayons brillants,
rayons plus brillants que toute lumière artificielle.
Un rayon clair que je veux toujours être, un rayon clair, qui
transporte la lumière dans la tempête, tempête, tempête, belle
tempête aussi horrible que nécessaire
Ah les tempête! Je ne les ai jamais aimés, mais mon éclair, oh mon
doux éclair, si brillant qu'il pourrait vous rendre fou et si spécial, oh
si spécial, plus spécial que tout ce à quoi vous pouvez penser.
Ce rayon clair, ce rayon que j'aimais tant, était mon grand-père, cet
être de lumière qui me parlait de la beauté des tempêtes.
Il m'a parlé d'une nuit orageuse, quand je ne pouvais pas dormir, il
m'a parlé de la beauté des tempêtes
"Ah vieux fou! Les tempêtes ne sont pas belles », ai-je pensé, mais
je ne l'ai jamais dit.
Cette nuit-là, il m'a parlé des tempêtes, il m'a dit que c'était la façon
dont le monde nous rappelait qu'il pouvait nous plier s'il le voulait,
mais que c'était aussi sa façon de nous montrer que même dans les
moments de chaos, d'obscurité et de peur, il a toujours un rayon
d'espoir apparaît, un clair rayon de lumière.
Mon grand-père m'a dit qu'il avait décidé d'être un clair rayon de
lumière dans la vie des gens autour de lui, et il m'a dit que moi
aussi je pouvais être un clair rayon de lumière, qu'il pouvait éclairer
ceux qui traversaient des tempêtes.
La vérité ce jour-là, je n'ai pas compris ce que mon grand-père
voulait dire et la vérité est que je n'ai pas eu le temps de demander,
parce que ce jour-là j'ai perdu mon rayon, j'ai perdu mon être de
lumière et bien que cela ait fait que la lumière en moi s'éteigne
pendant un le temps, je brillais encore, je brillais encore par le
souvenir de sa lumière.
Je n'oublierai jamais ce jour, ce moment où peut-être la trajectoire
de ma vie a changé, ce jour où mon être de lumière m'a donné ces
belles paroles et a quitté mon côté.
Être lumière, soyez un rayon vif pour aider les autres à traverser la
tempête, soyez la lumière que vous souhaitez recevoir.
Journal de réflexion sur la classe

Dans cette classe, j'ai beaucoup appris sur la littérature


francophone et sur divers auteurs. J'ai appris la négritude et la
situation que vivaient les auteurs francophones noirs, comment ils
ont été maltraités et dénigrés et surtout comment ces auteurs ont
utilisé la littérature et leurs écrits comme un moyen d'élever la voix
pour créer une différence, même s'ils avaient de nombreux
ennemis pour Néanmoins, ce mouvement a continué à
promouvoir dans leurs écrits ce qu'ils croyaient être correct.
L'une des choses que j'ai aimé dans ce cours, c'est d'avoir connu un
peu tous les auteurs que nous avons travaillé en classe, chacun de
ces auteurs a utilisé ses écrits pour évoquer les situations qu'eux-
mêmes ou leurs pays vivaient et je pense que c'était leur façon
d'élever la voix et d'essayer de créer un changement.
Ce que j'aimais le plus dans toute la classe, c'était de connaître la
vie d'Isabelle Eberhardt, une femme d'un caractère assez fort et
controversé pour la date à laquelle elle vivait. Ses histoires étaient
des récits de voyage, elle était une écrivaine et une exploratrice très
courageuse qui, depuis qu'elle était enfant, a soulevé qu'en raison
de son sexe à cette époque, elle serait humiliée et limitée, alors elle
a décidé de s'habiller en homme pour pouvoir suivre son cœur et
explorer le monde.
En général, le cours me semblait très intéressant et j'aimais l'idée
d'essayer d'être poète, je me suis beaucoup amusé en écrivant le
poème «souvenirs de mon enfance» car je me souvenais de tous
ces moments de bonheur de mon enfance.

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