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INTRODUCTION..........................................................................................2
1- Philosophie analytique..........................................................................2
2- Philosophie continentale......................................................................3
CONCLUSION..............................................................................................5
INTRODUCTION
Celui-ci avait élaboré une théorie de la connaissance basée sur les catégories de
l'entendement et en particulier sur les jugements synthétiques a priori.
1- Philosophie analytique
2- Philosophie continentale
Elle essaie de répondre à la crise des mathématiques par un « retour aux choses
mêmes » (selon le mot de Husserl), c'est-à-dire aux phénomènes ou vécus de
conscience. Il s'agit de mettre le monde « entre parenthèses » (ne pas se
prononcer sur lui, sur son existence, suspendre toutes nos croyances) pour se
concentrer sur l'apparaître, sur ce qui se présente à la conscience. Ce n'est pas
un point de vue purement naïf : il faut au contraire dépouiller les phénomènes de
leurs croyances naïves. Il y aura au cours du XXe siècle toutes sortes de
phénoménologies : religieuse, existentielle (Heidegger, Sartre), de la perception
(Merleau-Ponty).
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II- LA PHILOSOPHIE CONTEMPORAINE DU XIXE SIECLE
Les courants philosophiques marqués par l'empirisme ont pris une autre direction,
comme le positivisme d'Auguste Comte, qui voulait dépasser la métaphysique au
moyen des seules sciences empiriques. En Angleterre, Bentham et Mill
développèrent l'utilitarisme, qui soumettait l'économie et l'éthique à un principe de
comparaison des avantages et des inconvénients et qui, avec l'idée d'un bien-être
social (le principe du « plus grand bonheur du plus grand nombre »), eut une
grande influence en Occident. L'économie et la philosophie politique furent aussi
marquées par Marx, Engels et Proudhon : les deux premiers voulaient modifier
profondément les conditions de vie des ouvriers par un bouleversement des
structures économiques et politiques de leur époque, que ces philosophes se
donnaient pour tâche d'analyser (voir Le Capital).
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III- LA PHILOSOPHIE CONTEMPORAINE DU XXE SIECLE
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CONCLUSION
Le tour d’horizon de la pensée mathématique qui vient d’être effectué n’a aucune
prétention à l’exhaustivité. Il a été visé à chaque fois ce qui paraissait être
l’essentiel d’une idée ou d’une théorie, laissant dans l’ombre un fouillis de détails
et d’incertitudes qui resteraient à éclaircir. Il a aussi fallu ne pas s’encombrer
d’études techniques, qui n’auraient pu convaincre qu’un lecteur mathématicien,
sans pour autant modifier la substance ni la teneur de nos conclusions.
De manière générale, il est douteux qu’il soit vraiment besoin de se mesurer à la
technique pour pouvoir évoquer les lignes directrices des grands mouvements
culturels et intellectuels. Si ce n’était d’ailleurs pas le cas, ceux-ci resteraient
cloisonnés et purement ésotériques. La récente démonstration du théorème de
Fermat a achevé de convaincre ceux qui pouvaient encore en douter : si les
contenus mathématiques précis n’ont que peu de répercussions intellectuelles au-
delà de quelques cercles d’initiés, le mouvement d’ensemble de la science
continue d’être un phénomène social, et la démonstration du théorème a eu un
certain écho, pour l’essentiel indépendant des méthodes utilisées, c’est-à-dire de
la substance même du résultat. Faut-il en conclure que la science pure ait une
valeur et un rôle vis-à-vis de la collectivité qui seraient indépendants de ses
contenus ? Qu’il y ait une recherche, terreau d’hommes de science, de
collaborations, et structurant une communauté internationale des savants, serait
alors plus important que l’activité déployée en son sein…