Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
de
.tn
Mathématiques
rg
.o
C
A
.B
w
BAC
w
w
SOMMAIRE
Chapitres Pages
Signe d’un binôme - Signe et factorisation d’un polynôme 2
Limites 4
.tn
Continuité 6
Dérivabilité 8
rg
Les branches infinies 11
12
La fonction réciproque
.o
La fonction racine d’ordre n – la racine n-ème (n ϵIN*) - Les puissances radicales 14
C
Les suites numériques 16
18
A
L’intégrale 20
.B
30
w
Le dénombrement 32
Les probabilités 34
Signe du binôme ax b ; a 0 :
b
x
a
|
ax b Signe de (-a) 0 Signe de (a)
|
.tn
Signe et factorisation du pôlynome ax
2
bx c ; a 0 :
Solution de
rg
l’équation : Factorisation de
Discriminant P (x ) 0 Signe de P (x )
P (x )
x
.o Impossible à
0 x l’aide
S P (x ) Signe de a De deux
polynômes
C
b
x
b
A
0 S
a b
P (x ) a x
Signe de | Signe a
2a 2
P (x ) a 0 de a
.B
|
b 2 4ac
S x 1; x 2
w
b x x1 x2
x1
0 2a P (x ) a x x 1 x x 2
w
| Signe |
P (x ) Signe Signe
0 0
de –a de a
b de a
| |
x2
(Supposons que x 1 x 2 )
w
2a
2
Identités remarquables
Domaine de définition d’une fonction numérique
Identités remarquables:
(a b )2 a 2 2ab b 2
(a b )2 a 2 2ab b 2
a 2 b 2 (a b )(a b)
.tn
(a b )3 a3 3a 2b 3ab 2 b 3
(a b )3 a3 3a 2b 3ab 2 b 3
a3 b 3 (a b )(a 2 ab b2 )
rg
a3 b 3 (a b )(a 2 ab b2 )
.o
Domaine de définition de certaines fonctions numériques:
C
f est une fonction à variable réelle x définie par Domaine de définition de f
A
f (x ) P (x ) Df
.B
P (x )
f (x ) Df x / Q (x ) 0
Q (x )
w
f (x ) P (x ) Df x / P(x ) 0
w
P (x )
f (x ) Df x / Q(x ) 0
Q (x )
w
P (x )
f (x ) Df x / P(x) 0etQ(x ) 0
Q (x )
P (x ) P(x)
f (x ) D f x / 0etQ(x ) 0
Q (x ) Q (x )
3
Limites
lim x n 0 lim x 0
x 0 x 0
x 1
lim
x
lim 0
x xn
1
lim 0 lim
1
0
x x x xn
.tn
lim x n lim x n
x x
lim x n lim x n
x x
1 1
rg
lim lim
x 0 xn x 0 xn
1 1
lim lim
xn xn
x 0
.o x 0
x 0 x x 0 x x 0 x2 2
lim u (x )
w
x x 0
lim u (x )
x x 0
l 0 l
Ces limites sont toujours valables lorsqu’on les traite soit à droite ou à gauche de x 0 ou bien au voisinage de ou
4
Limites et ordre:
u(x ) f(x) v(x)
f(x ) l u (x)
lim u (x ) l xlim f (x ) l lim f (x ) l
x x 0 x 0 lim u(x ) 0 x x 0
x x 0
lim v (x ) l
x x 0
f(x ) v(x)
u(x ) f (x)
lim f (x ) lim f (x )
lim v (x ) x x 0 lim u(x ) x x 0
x x 0
x x 0
Ces limites sont toujours valables lorsqu’on les traite soit à droite ou à gauche de x 0 ou bien au voisinage de ou
.tn
Operations sur les limites:
rg
lim f (x )
x x 0 l
limg(x )
x x 0 l
.o
lim f(x) g(x ) l l F.I. F.I.
x x 0
C
Limite du produit de deux fonctions:
A
lim f (x )
x x 0 l l 0 l 0 0
limg(x ) l
.B
x x 0
lim f (x )
x x 0 l l 0 l 0 0
limg(x ) l 0 0 0 0 0 0 0 0 0
w
x x 0 0
f(x) l
F.I.
x x 0 g( x )
lim 0
l
Ces limites sont toujours valables lorsqu’on les traite soit à droite ou à gauche de x 0 ou bien au voisinage de ou
5
Continuité
La continuité en un point:
Définition :
f continue en x 0 lim f (x ) f (x 0 )
x x 0
.tn
La continuité sur un intervalle:
f continue sur un intervalle ouvert a;b , si f est continue en tous points de cet intervalle
f continue sur un intervalle fermé a; b , si f est continue sur l’intervalle ouvert a;b , et continue à
rg
droite en a , et à gauche en b .o
Operations sur les fonctions continues:
Résultats:
Tout polynôme est continu sur
.B
La fonction x tan x est continue sur son domaine de définition k / k
2
w
Si f est continue sur un intervalle I et g est continue sur un intervalle J tel que f (I ) J
w
L’image d’un segment (intervalle fermé) par une fonction continue est un segment
L’image d’un intervalle par une fonction continue est un intervalle
6
Cas particulier:
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I
Le tableau suivant montre la nature de l’intervalle f (I )
L’intervalle f (I )
L’intervalle I
f strictement croissante sur I f strictement décroissante sur I
lim f (x ); lim f (x ) lim f (x ); lim f (x )
x x x x
a ; b f (a); f (b ) f (b); f (a)
a ; b f (a ); lim f (x) lim f (x); f (a)
x b x b
.tn
a;b lim f (x); lim f (x)
x a x b
lim f (x); lim f (x)
x b x a
a; f (a ); lim f (x)
x
lim f (x); f (a)
x
a; lim f (x ); lim f (x ) lim f (x ); lim f (x )
rg
x a x x x a
;a lim f (x); f (a)
x
.o f (a ); lim f (x)
x
;a lim f (x ); lim f (x ) lim f (x ); lim f (x )
x x a x a x
Théorème des valeurs intermédiaires (T.V.I.):
C
Si f est une fonction continue sur un intervalle a; b , alors pour tout réel compris entre f (a ) et
f (b ) , il existe au moins un réel dans l’intervalle a; b tel que : f ( )
A
Résultats:
Alors l’équation f (x ) 0 possède une et une seule solution sur l’intervalle a; b
Méthode de dichotomie:
w
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle a; b et f (a) f (b ) 0
Et soit l’unique solution de l’équation f (x ) 0 sur l’intervalle a; b
w
Si f a f a b 0 Si f b f a b 0
2 2
Alors a a b et cette encadrement a une Alors a b
b et cette encadrement a une
2 2
capacité qui vaut: b a , on refait la même chose capacité qui vaut: b a , on refait la même chose
2 2
avec l’intervalle a; a b pour obtenir une avec l’intervalle a b ;b pour obtenir une
2 2
meilleure précision de l’encadrement de meilleure précision de l’encadrement de
Remarque : et ainsi de suite jusqu'à obtention de la précision d’encadrement demandée
7
Dérivabilité
Dérivabilité en un point:
f (x ) f (x 0 )
On dit qu’une fonction f est dérivable en un point x 0 si la limite : lim est finie
x x0
x x 0
.tn
La fonction u définie sur par : u (x ) f (x 0 )(x x 0 ) f (x 0 ) est la fonction affine
tangente à la courbe de la fonction f au point d’abscisse x 0 et c’est une approche de la
fonction f au voisinage de x 0
rg
Dérivabilité à droite – à gauche, en un point:
f (x ) f (x 0 )
On dit que f est dérivable à droite en x 0 si la limite : lim est finie
.o
x x 0 x x0
Cette limite est nommée le nombre dérivé de la fonction f à droite en x 0 et on écrit : f d (x 0 )
f (x ) f (x 0 )
C
On dit que f est dérivable à gauche en x 0 si la limite : lim est finie
x x 0 x x0
Cette limite est nommée le nombre dérivé de la fonction f à gauche en x 0 et on écrit : f g (x 0 )
A
On dit qu’une fonction f est dérivable en un point x 0 si elle est dérivable à droite et à gauche en x 0 ,
.B
et f d (x 0 ) f g (x 0 )
La dérivabilité et la continuité:
w
f (x ) f (x )
w
k 0
x 1 (x )
1 1
x x2
xr rx r 1 r 1
*
1
x
2 x
8
Opérations sur les fonctions dérivables:
(u v ) u v (u v ) u v (k );(k u ) ku
(uv ) u v uv (u n ) nu u n 1
1 v u u v uv
2
v v v v2
La dérivée du composé de deux fonctions – la dérivée de la fonction racine carré:
u v v u v u 2u u
La dérivation et les variations d’une fonction:
.tn
x I ; f (x ) 0 f (x ) 0
f est décroissante (strictement décroissante) sur
l’intervalle I
La dérivation et l’interprétation géométrique:
rg
Interprétation géométrique
la courbe C f admet :
La limite Déduction
x x 0 point A (x 0 ; f (x 0 ))
Une demi-tangente verticale à
f (x ) f (x 0 )
lim droite au point A (x 0 ; f (x 0 )) dirigé
x x 0 x x0
f n’est pas dérivable à
w
vers le bas
droite en x 0 Une demi-tangente verticale à
f (x ) f (x 0 )
lim droite au point A (x 0 ; f (x 0 )) dirigé
x x 0 x x0
w
vers le haut
f (x ) f (x 0 ) Une demi-tangente à gauche du
lim a;(a 0)
x x 0 x x0 point A (x 0 ; f (x 0 ))
w
9
Axe de symétrie – centre de symétrie
Point d’inflexion
Axe de symétrie:
.tn
Centre de symétrie:
Le point I(a; b) est un centre de symétrie de la courbe C f si les deux conditions suivantes sont
réalisées :
x D f ;(2a x) Df
rg
x Df ;f(2a x) f(x) 2 b
si a b 0 ; f est une fonction impaire
Cas particulier :
.o
C
point d’inflexion:
A
10
Les branches infinies
une fonction et sa courbe représentative dans un repère orthonormé direct , ,
)
.tn
lim ∞
rg
lim 0 lim lim ∞
.o
C
A
La courbe La courbe
.B
voisinage de ∞ voisinage de ∞
w
w
∆ : y = ax + b
⇔ lim [ f ( x ) − (ax + b )] = 0
est une asymptote à C au voisinage de ∞ x →∞
11
La fonction réciproque
Propriété:
Résultats:
f ( x ) y f 1 ( y ) x
x I y f (I )
x I ; f 1 f (x ) f 1 f(x) x
y f (I ) ; f f 1
(y) f f 1
(x) y
.tn
Détermination de la formule de la fonction réciproque:
rg
1
En utilisant l’équivalence suivante : f (x ) y x f ( y ) et en cherchant y en fonction de x on
1
trouve ainsi la formule de f (x ) pour tout x de f (I ) .o
Continuité de la fonction réciproque:
Et on a : x f (I ) ; f (x) f
1 1
w
f 1
(x)
12
La représentation graphique de la fonction réciproque:
Courbe de la fonction
La droite d’équation
.tn
Courbe de la fonction f
rg
.o
C
Remarques importantes:
A
La courbe (C f ) La courbe (C f ) 1
A (a; b) (C f ) A (b;a) (C f 1 )
.B
y ax b a a
(qu’on détermine à partir de
la relation x ay b )
Admet une tangente (ou une Admet une tangente (ou une
demi-tangente) verticale demi-tangente) horizontale
Admet une tangente (ou une Admet une tangente (ou une
demi-tangente) horizontale demi-tangente) verticale
13
La fonction racine d’ordre n { la racine n ième }(n ϵIN*)
Les puissances radicales
Propriété et définition:
La fonction x x n définie sur admet une fonction réciproque nommée la fonction racine d’ordre
n ou racine n ième et qui est notée : n
n
:
x nx
(x ; y ) 2 ; n x y x y n
.tn
Cas particuliers:
x 2 x (racine carrée)
Le nombre 3 x s’appelle la racine cube de x
Propriétés:
rg
(x ; y ) 2 ; n * (x ; y ) 2 ; (m ; n) *
2
n
xn x n
x n y n x y
.o
x
n
x
x
n m
n
n xm
n
x n y x y n
x x
C
n
x n y x y n ;y 0
n y y
n m
x n m x
A
x y x y
x y 3
x 3 y
x y 3
x2 3 x 3 y 3 y2
Domaine de définition:
w
f (x ) n x D f 0;
w
f (x ) n u (x ) Df x / x D u et u (x ) 0
Les limites:
w
lim u (x ) lim n u (x )
x x 0 x x 0
l 0 n
l
Ces limites sont toujours valables lorsqu’on les traite soit à droite ou à gauche de x 0 ou bien au voisinage de ou
14
La continuité:
La dérivabilité:
Et on a : x 0; ; x n
n
n
1
x n 1
Si u est une fonction strictement positive et dérivable sur un intervalle I , alors la fonction
x n u (x ) est dérivable sur l’intervalle I
.tn
u (x )
Et on a : x I ; n
u (x )
n n u (x )
n 1
Résolution de l’équation x
n
a avec ( x ) et ( a ):
rg
n est pair n est impair
a0
S n a; n a S a
n
.o
a0 S 0 S 0
a0 S
S n a
C
Les puissances radiculaires d’un réel strictement positif:
A
p
Soit r un nombre rationnel non nul tel que : p * et q *
q
.B
x 0; ; x r x q x p x
p
q p
q
Remarques:
w
x 0; ; n x x n
1
Si f est une fonction numérique à variable réelle x définie comme suit : (r * ); f (x ) u (x )
r
w
1
1
u (x ) u (x ) n u (x ) u (x ) n
w
1 1
n
n
Pour tout x et y de * et pour tout r et r de *
x x r r x r
r r
x r x r x r r
r
r
x xr
x y x r y r
r
r
y y
r
1 x
r
x r r
x r r
x x
15
Les suites numériques
Le terme général u n u p (n p )r ( p n ) u n u p q n p ( p n )
u un q n p 1 1
.tn
u p ... u n n p 1 p
La somme de termes
u p ... u n u p
successifs 2 q 1
a et b et c trois termes
2b a c b 2 a c
successifs
rg
La suite majorée – la suite minorée: .o
Soit u n nI une suite numérique
n I ;u n M u n nI est majorée par M
n I ;u n m u n nI est minorée par m
C
u n nI est bornée u n nI majorée et minorée
A
n I ;u n 1 u n u n nI est constante
w
Remarque:
16
Limite d’une suite:
0 0
lim n lim n 0
n n
q 1 q 1 1 q 1 q 1
.tn
Critères de convergence:
rg
v n un w n
u n l v n
lim v n l lim u n l
.o lim u l
x
x lim v n 0 x n
x
lim w n l
x
C
un v n
un v n
A
lim u n lim u n
lim v n
x lim v n
x
x x
.B
Suite de type u n 1 f (u n ) :
w
u n 1 f (u n )
17
Les fonctions primitives
Définition:
.tn
Propriétés:
rg
Soit f une fonction numérique définie sur un intervalle I
Si F est une fonction primitive de f sur l’intervalle I , alors
toutes les fonctions primitives de f sont définies sur
l’intervalle I comme suit :
x F (x ) k ; (k )
.o
Soit f une fonction numérique qui admet une fonction
C
primitive sur un intervalle I
Et soit x 0 un élément de I et y 0 un réel quelconque de
A
Les primitives de f g et kf : k
Propriété:
w
l’intervalle I
kF est une fonction primitive de kf sur
l’intervalle I
18
Tableau des primitives de quelques fonctions usuelles:
f (x ) F (x )
a ax k
1 2
x x k
2
1 1
k
x2 x
1
2 x k
x
x r 1
x r ; ( r * 1 ) k
r 1
sin x cos x k
cos x sin x k
.tn
1
1 tan 2 x tan x k
cos 2 x
1
ln x k
rg
x
ex ex k
v ( x ) 1
k
v( x )
2
v( x )
.B
u ( x ) v ( x ) u ( x ) v ( x ) u (x )
k
v(x )
2
v (x )
w
u (x )
2 u (x ) k
u (x )
u (x ) u (x ) ; (
w
r
u (x )
r 1
k
r * 1 ) r 1
w
u (x )
k ln u (x ) k
u (x )
u (x ) eu ( x ) eu ( x ) k
1
cos(ax b ) ; ( a 0 ) sin(ax b ) k
a
1
sin(ax b ) ; ( a 0 ) cos(ax b ) k
a
19
L’intégrale
Soit f une fonction continue sur un intervalle a; b et F une primitive de f sur a; b
L’intégral de la fonction f entre a et b est le nombre réel :
f (x )dx F (x )a F (b ) F (a )
b
b
a
propriétés:
a b a
a
f (x )dx 0 a
f (x )dx f (x )dx
b
La linéarité:
.tn
k ; a kf f (x ) g(x)dx
b b b b b
(x )dx k f (x )dx f (x )dx g(x )dx
a a a a
Relation de Chasles:
rg
b c b
a
f (x )dx f (x )dx f(x )dx
a c
Intégral et comparaison:
.o
Si : x a;b on a f (x ) 0 Si : x a;b on a f (x ) g (x )
b b b
f (x ) dx 0 f (x ) dx g(x ) dx
C
Alors : Alors :
a a a
La valeur moyenne:
A
La valeur moyenne de la fonction f sur le intervalle a; b est le réel défini par :
1 b
b a a
f (x )dx
Soit f et g deux fonctions dérivables sur un intervalle a; b à condition que f et g soient continues
sur l’intervalle a; b
w
a a a
w
20
Soit f une fonction continue sur un intervalle Soit f et g deux fonctions continues sur un
a ; b intervalle a; b
L’aire algébrique délimitée par la courbe C f , L’are algébrique comprise entre la courbe C f ,
l’axe des abscisses, et les droites d’équation
x a et x b est représentée par :
la courbe C g , et les droites d’équation x a
b et x b est représentée par :
f (x ) dx u .a. b
a
f (x ) g(x) dx u .a.
a
Cas particulier:
.tn
a
rg
a
f positive sur
a ; c
.o
f négative sur f (x )dx f (x )dx u .a.
c
a
b
c; b
C
(C f ) se situe au-
f (x ) g(x)dx u .a.
A
b
dessus de (C g ) sur
a
a ; b
.B
(C f ) se situe au-
dessus de (C g )
sur a; c
f (x ) g(x)dx g(x ) f (x)dx u .a.
w
c b
(C f ) se situe au- a c
dessous de (C g )
w
sur c; b
w
V f (x ) dx u .a.
b 2
a
21
Les fonctions logarithmiques
1
La fonction logarithme népérien, notée ln (ou loge ), est la primitive de la fonction x définie
x
sur l’intervalle 0; qui s’annule en 1
Déductions et propriétés:
.tn
ln x ln y x y ln x r r lnx ; r
ln x ln y x y 1
ln ln y
x 0; et y y
rg
x
ln x y x e y ln ln x ln y
y
Si n est pair, alors x * ;lnx n n ln x
.o
Le Domaine de définition:
C
La fonction f est définie comme suit : Son domaine de définition est :
f (x ) ln x D f 0;
A
f (x ) ln u (x) Df x / x Du et u (x ) 0
.B
Les limites:
x x x 0 x x 0
ln u (x )
w
lim
ln x
x x n
0 n *
lim u (x ) lim
x x 0
u (x )
x x 0 n
0
n lim u (x ) 0 lim u (x ) ln u (x ) 0
w
lim x n ln x 0 * n
x 0 x x 0 x x 0
ln x ln u (x )
lim 1 lim u (x ) 1 lim 1
x 1 x 1 x x 0 x x 0 u (x ) 1
ln(x 1) ln u (x ) 1
lim 1 lim u (x ) 0 lim 1
x 0 x x x 0 x x 0 u (x )
Ces limites sont toujours valables lorsqu’on les traite soit a droite ou a
gauche de x 0 ou bien au voisinage de ou
22
La continuité:
.tn
x 0 1
|
ln x 0
|
rg
La fonction logarithme de base a avec a 1 :
*
.o
Définition:
La fonction logarithme de base a est la fonction notée : loga
C
tel que : x 0; ; loga x
ln x
ln a
A
Cas particulier: la fonction log10 est la fonction logarithme décimal et on la note log
Déductions et propriétés:
.B
1
loga loga x
x
w
x 0; et r x
loga loga x loga y
loga x r x a r y
w
Limites et inéquations:
a 1 0 a 1
loga x loga y x y loga x loga y x y
lim loga x lim loga x
x x
La dérivée:
La fonction exponentielle népérien, notée e x (ou exp(x) ), est la fonction réciproque de la fonction
x ln x , et qui est définie sur
Déductions et propriétés:
x e x 0
ln e x x x et y
x 0; e ln( x ) x e x e y e x y
.tn
e e rx ; r
x r
x et y
ex ey x y 1
e x
ex
ex ey x y
rg
ex
x et y 0; y
e x y
e
e x y x ln y
.o
Si n est pair, alors x * ;lnx n n ln x
Le Domaine de définition:
C
La fonction f est définie comme suit : Son domaine de définition est :
Df
A
f (x ) e x
f (x ) e u (x )
Df x / x Du
.B
Les limites:
lim e x
lim u (x ) lim e u ( x )
x x x 0 x x 0
x x x 0 x x 0
e u (x )
lim
ex
x x n
n * lim u (x ) lim
x x 0
u (x )
x x 0 n
w
e 1
x
e u (x ) 1
lim 1 lim u (x ) 0 lim 1
x 0 x x x 0 x x 0 u ( x )
Ces limites sont toujours valables lorsqu’on les traite soit a droite ou a
gauche de x 0 ou bien au voisinage de ou
24
La continuité:
La fonction x e x est continue sur l’intervalle
La dérivabilité:
.tn
rg
La fonction exponentielle de base a avec a 1 :
*
.o
Définition:
C
La fonction exponentielle de base a, notée : a x , est la réciproque de loga
Déductions et propriétés:
A
x a x e x ln a x et y et r
ax a y ax y
.B
loga (a x ) x
a
r
x 0; a loga x x
x
a rx
1
ax ax x y a x
w
x
a
x y 0; ax
ax y
y
w
a
a x y x loga y
Limites et inéquations:
w
a 1 0 a 1
a ay x y
x
a ay x y
x
lim a x lim a x 0
x x
lim a x 0 lim a x
x x
ax 1
lim ln a
x 0 x
La dérivée:
Définition:
L’ensemble des nombres complexes s’écrit : z a ib / (a;b ) 2 et i 2 1
L’écriture algébrique d’un nombre complexe:
Soit z a ib un nombre complexe avec : (a;b ) 2
a ib est l’écriture algébrique du nombre complexe z
Le nombre a est la partie réelle de z , notée : Re(z )
Le nombre b est la partie imaginaire de z , notée : Im(z )
Cas particulier: Si Im(z ) 0 , alors z est un nombre réel
Si Re(z ) 0 , alors z est un nombre imaginaire pur
Egalité de deux nombres complexes:
Soit z et z deux nombres complexes
z z Re(z ) Re(z ) et Im(z ) Im(z )
.tn
Représentation graphique d’un nombre complexe:
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé (O;e1;e2 )
rg
Soit z a ib un nombre complexe avec : (a;b ) 2
On relie le nombre complexe z avec le point M (a; b)
.o
Le nombre z s’appelle l’affixe du point M et le point M
s’appelle l’image du nombre z et on écrit : M (z )
z avec z a ib
.B
z z z z z z
z z z z z z
z n z n ( n * ) z z 2 Re(z )
w
1 1
z z 2 Im(z )
z z
w
z z Re(z ) Im(z )
2 2
z z
(z 0)
z z
Module d’un nombre complexe:
w
zn z z z z z z z
n
; n *
1 1 z
z z z 0 z
z 0
z z z z
26
L’argument d’un nombre complexe non nul:
Soit z un nombre complexe non nul et M son image
L’argument du nombre complexe z est l’un des
mesures de l’angle orienté e1 ;OM
.tn
L’écriture trigonométrique (réduite) d’un nombre réel a non nul
a0 a0
a a, 0 a a,
rg
ai a, ai a,
2 2
1 1 1
arg arg(z) 2
1 1
, ei
z r , r re i
r
r , r ,
.B
z re i
arg arg(z) arg(z) 2
r
ei ( )
z r , r
r e i
r
k ; r , 2k r ,
arg (z ) k z est un imaginaire pur ( k )
2
w
cos et sin
2 2i
Résolution de l’équation z 2 a (z ) avec (a ) :
.tn
I centre du segment AB zI
2
z zA
Mesure de l’angle AB ; AC AB ; AC arg C 2
zB zA
rg
zC z A
A et B et C des points alignés
zB zA
z D z A z D zC
.o z B z A z B zC
A et B et C et D des points cocycliques
z z A z B zC
ou D
z B z A z D zC
C
La relation complexe La notion géométrique
AM r
A
z z A r ; ( r 0)
M appartient au cercle de centre A et de rayon r
AM AB
z zA z zB
.B
zC zA
1; ABC est un triangle isocèle au point A
zB zA
w
zC z A
1;
z B z A
ABC est un triangle rectangle et isocèle au point A
2
w
zC z A
1;
z B z A
ABC est un triangle équilatéral
3
La représentation complexe de quelques transformations usuelles:
La transformation La représentation complexe
La translation : t u z z b , avec b est l’affixe du vecteur u
L’homothétie : h (; k) z k (z ) , avec l’affixe du point
La rotation : R (; ) z e i (z ) , avec l’affixe du point
28
Les équations différentielles
.tn
Deux différentes
y (x ) e r1x e r2x
0 solutions réelles
r1 et r2 ; 2
rg
Une solution y (x ) ( x )e rx
r 2 ar b 0 0
y ay by 0 réelle r ; 2
( b 2 4ac )
.o
Deux solutions
C
complexes
conjuguées y (x ) cos(qx) sin(qx ) e px
0 r1 p iq ; 2
A
et
r2 p iq
.B
w
w
w
29
La géométrie dans l’espace
Dans ce chapitre du cours, l’espace est rapporté à un repère orthonormé (O; i; j; k)
.tn
La distance:
rg
AB AB x B x A y B y A z B z A
2 2 2
Si A , B et C sont trois points non alignés, alors AB AC est un vecteur normal au plan
(ABC ) , et dans ce cas on peut déduire l’équation cartésienne du plan (ABC ) à l’aide de
w
segment AB et de rayon r
AB
2
30
Intersection d’une sphère S (; R ) et un plan (P) : ax by cz d 0 :
Soit H la projection orthogonale du centre sur le plan (P )
On pose : d H d ;(P)
d R d R d R
.tn
r R 2 d 2
rg
Soit H la projection orthogonale du centre sur la droite ()
On pose : d H d ;()
d R d R
.o d R
C
A
.B
La droite () coupe la sphère La droite () est tangente à La droite () ne coupe pas la
(S) en deux points différents la sphère (S) sphère (S)
w
w
w
31
Le dénombrement
Le cardinal d’un ensemble fini E est le nombre des éléments de cet ensemble et on le note : CardE
Cas particulier: Card 0
Propriété:
.tn
Accompli d’un ensemble:
Définition :
rg
Remarques: .o
A A
A A E
Card A CardE CardA
C
Le principe fondamental du dénombrement:
A
Cas particulier:
Tout arrangement sans répétition de n éléments parmi n éléments s’appelle une permutation de n
éléments et il est égal à : Ann n ! n (n 1) (n 2) ... 2 1
32
Les combinaisons:
( n * ) ; n! n (n 1) (n 2) ... 2 1
0! 1
n! n!
C np A np
p! n p ! n p !
C nn 1 n
C nn 1 C n1 n C n0 1
C np C nn p
.tn
C np C nn p C np 1 C np C np1
rg
Si on a, n1 éléments de type A , et n 2 éléments de type B , et n 3 éléments de type C , parmi n
n!
éléments, avec n n1 n 2 n3 , alors le nombre de possibilité d’arranger ses éléments est :
n1!n 2!n 3!
.o
Quelques types de tirage:
On tire p éléments parmi n éléments ( p n ) et on résume les résultats dans le tableau suivant :
C
Type de tirage Nombre de tirages possibles Importance de l’ordre de tirage
p
Simultané C n Pas important
A
33
Les probabilités
Terminologie:
Terme de probabilité Son sens
Expérience aléatoire Toute expérience qui admet plus d’un résultat
L’ensemble des événements possibles pour une
Univers des événements
expérience aléatoire
Evénement A A est une partie de l’univers des événements
Evénement élémentaire Tout événement contenant un seul élément
Réalisation de l’événement A B Si A et B sont réalisés simultanément
Réalisation de l’événement A B Si A et B ou l’un des deux est réalisé
L’événement contraire de A C’est l’événement A ( A A et A A )
A B
.tn
A et B deux événements incompatibles
Stabilité d’un événement – probabilité d’un événement:
Définition:
rg
Quand la probabilité d’un événement élémentaire i se stabilise sur une valeur p i , on dit
que la probabilité de l’événement i est : p i et on écrit : P p
i i
.o
La probabilité d’un événement est la somme des probabilités élémentaires qui le compose.
C'est-à-dire, si A 1; 2 ; 3 ;...; n est un événement de l’univers , alors la probabilité
de l’événement A est : P (A ) P P P ... P
C
1 2 3 n
Propriétés:
Soit l’univers des événements d’une expérience aléatoire
A
P () 0 et P () 1
0 P (A ) 1 pour tout événement A de
.B
Hypothèse d’équiprobabilité:
Définition:
Si tous les événements élémentaires, dans une expérience aléatoire dont l’univers des événements
w
CardA
est , sont équiprobables, alors la probabilité de tout événement A de est : P (A )
Card
Probabilité conditionnelle – indépendance de deux événements:
Définition:
Soit A et B deux événements liés à une même expérience aléatoire tel que : P (A ) 0
La probabilité d’un événement B sachant que l’événement A est réalisé est :
A P PA A B
PA B P B
34
Pour tous événements A et B liés à une même expérience aléatoire tel que : P A P B 0
A P B P A B
On a : P A B P A P B
Définition:
.tn
1 2
rg
Pour déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire X , on suit les deux étapes suivantes :
Détermination de X () x 1; x 2 ; x 3 ;...; x n l’ensemble des valeurs que peut prendre X
Calcul des probabilités p (X x i ) pour tout i de l’ensemble 1;2;3;...; n
.o
L’espérance mathématique – la variance – l’écart type d’une variable aléatoire:
Soit X une variable aléatoire dont la loi de xi x1 x2 x3 ... xn
C
probabilité est représentée dans le tableau à
côté : p (X x i ) p1 p2 p3 ... pn
A
Définitions:
n
L’espérance mathématique de X E (X ) x 1 p1 x 2 p 2 x 3 p3 ... x n p n x i p i
.B
i 1
2
n
n
(X ) E (X ) E (X ) x i pi x i pi
2 2 2
La variance de X
i 1 i 1
w
2
n
n
(X) (X ) x pi x i pi
2
L’écart type de X i
i 1 i 1
w
La loi binomiale:
w
35
Calcul trigonométrique (Rappel)
x 0
6 4 3 2
1 2 3
sin x 0 1
2 2 2
3 2 1
cos x 1 0
2 2 2
.tn
3
tan x 0 1 3
3
x x
rg
x x
.o
x
2 2
1
tan(x k ) tan x 1 tan 2 x cos2 x sin 2 x 1
cos 2 x
w
cos x cos a x a 2k ou x a 2k
sin x sin a x a 2k ou x ( a) 2k
tan x tan a x a k ; k
36
Formules d’addition (soustraction):
cos(a b ) cos a cos b sin a sin b cos(a b ) cos a cos b sin a sin b
sin(a b ) sin a cos b cos a sin b sin(a b ) sin a cos b cos a sin b
.tn
2t 1 2sin 2 a
sin a
1 t 2
1 tan 2 a
1t 2
cos a 1 tan 2 a
1 t 2
1 cos 2a
rg
2t sin 2 a
tan a 2
1t 2 Linéarisation 1 cos 2a
sin 2a 2sin a cos a (Formules de cos 2 a
2
2 tan a
.o CARNOT)
1 cos 2a
tan 2a tan 2 a
1 tan 2 a 1 cos 2a
Formules produit-somme: Formules somme-produit (formules de SIMPSON):
C
p q p q
A
1
cos a cos b cos(a b ) cos(a b ) cos p cos q 2cos(
) cos( )
2 2 2
1 p q p q
sin a sin b cos(a b ) cos(a b ) cos p cos q 2sin(
.B
)sin( )
2 2 2
1 p q p q
sin a cos b sin(a b ) sin(a b ) sin p sin q 2sin( ) cos( )
2 2 2
w
1 p q p q
cos a sin b sin(a b ) sin(a b ) sin p sin q 2cos( )sin( )
2 2 2
sin( p q )
tan p tan q
w
cos p cos q
sin( p q )
tan p tan q
w
cos p cos q
Conversion de la formule a cos x b sin x ; (a;b ) (0;0) :
2 a b
a cos x b sin x a b 2 cos x
2
sin x
a b a b
2 2 2
a 2 b 2 cos x
b a
Avec un réel vérifiant : sin et cos
a2 b 2 a2 b 2
37