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Lorsque l'entreprise est une société de capitaux, on dit qu'elle est anonyme. Sa principale
occupation est de mener une ou plusieurs activités susceptibles de générer des bénéfices
suffisants pour rémunérer les actionnaires de la société. Lorsque les compagnies d'assurance
choisissent cette identité, elles possèdent délibérément cette ambition et la considèrent
comme ayant des objectifs commerciaux.
Par conséquent, les produits d'assurance doivent générer des bénéfices avant de pouvoir
être réinvestis ou partagés.
L'assuré est le tiers dans ces SA, mais cela n'empêche pas le tiers de devenir actionnaire. Le
statut actuel de ces compagnies d'assurance telles que :
Les compagnies d'assurance sont soumises à l'autorisation et au contrôle de la "loi sur les
assurances", la communauté est soumise à la "loi générale sur les assurances" et les
institutions de prévoyance et de retraite complémentaire sont soumises à la "loi sur la
sécurité sociale". Les trois types d'établissements sont sous le contrôle exclusif de l'Agence
de contrôle prudent et de résolution (ACPR), créée par la fusion de l'Agence des assurances
et du contrôle public (ACAM) et de la Commission bancaire au début de 2010. Il s'agit d'une
agence administrative indépendante chargée de veiller à ce que les entités sous son contrôle
soient toujours en mesure de respecter leurs engagements vis-à-vis de l'assuré ou des
membres (dans le cas de relations mutuelles).
❖ Bancassurance
Dans les années 80 et 90, la législation relative au secteur bancaire s'est beaucoup
développée, permettant aux banques d'exercer des activités connexes, en particulier les
activités des compagnies d'assurance. Ils ont rapidement demandé l'approbation de la
branche vie et des biens et passifs qu'ils avaient appris grâce à l'épargne. Les compagnies
d'assurance ont fait la même chose dans le sens inverse en conquérant le marché bancaire
dans les années 2000. Conditions de souscription, de suivi et de règlement des sinistres.
Ces accords varient selon la société, le type d'assurance et le montant du contrat. Une liste
des courtiers et sociétés de bourse établis en France est publiée chaque année au « Journal
officiel de la République française ». Le monde du courtage est particulièrement changeant,
des courtiers individuels aux entreprises internationales comptant des milliers d'employés.
Ces institutions de prévoyance sont soumises à la loi sur la sécurité sociale et sont des
associations gérées conjointement par les représentants des employeurs et des salariés,
dont la mission est d'assurer une assurance collective ou collective à un groupe homogène
d'assurés. Leurs domaines d'intervention se limitent aux garanties de santé, de décès,
d'invalidité, d'incapacité et de prise en charge.
❖ Entreprise européenne
Les entreprises européennes peuvent être utilisées comme cadre pour créer des compagnies
d'assurance. Il est possible de créer une société conforme à la réglementation européenne
en France en 2001 et depuis 2004. Ces organisations sont très proches des sociétés
anonymes.
B) Rôle économique et social de l’assurance et principes fondamentaux
Par l’indemnisation des assurés et l’indemnisation des victimes, l’assurance privée, avec la
sécurité sociale et l’effort social du pays, est devenue le troisième pilier du système de
protection sociale, inspiré par l’essence de la société. Et la lutte sociale qui s'est répandue
depuis le 19ème siècle et institutionnalisée dans le modèle de distribution de l'État
providence après la Seconde Guerre mondiale.
❖ L'équilibre de la mutualité́
L'assurance est basée sur le principe de la compensation des risques au sein de la société
commune. A travers le contrat, la compagnie d'assurance perçoit toutes les primes payées
par les assurés qui forment une relation mutuellement avantageuse dans la même catégorie
de risque, afin de pouvoir indemniser les sinistres qui affectent ce groupe. Le juriste français
Joseph Hémard4 définit l'assurance comme suit : « L'assurance est une opération par
laquelle l'assuré doit percevoir une rémunération auprès de lui ou d'un tiers lorsqu'un risque
survient. (Prime), le service fourni par l'autre partie, la compagnie d'assurance responsable
une série de risques la compensera selon la loi statistique. Cette opération technique repose
sur les éléments suivants :
-les parties concernées par le contrat (ou police d'assurance) - le risque, -la cotisation (ou
prime) ;
-la prestation de 1'assureur - la compensation ;
-Les statistiques existantes.
Les parties en présence sont :
- par responsabilité́ (demande ou poursuite en justice dans le but d'obtenir des intérêts ou
autres réparations, consécutivement à la destruction, subtilisation ou privation réjouissance
d'un bien) ;
-de gain (provoquée par une diminution du revenu net qui peut être causée par une perte
matérielle, par responsabilité́ ou par raison personnelle, ou être due å une perte d'image,
des erreurs stratégiques ou des mauvaises performances commerciales).
La cotisation (ou prime) est la contribution du souscripteur en échange de la garantie
accordée. La cotisation payée par le souscripteur se décompose comme suit :
Fréquence x Coût moyen
+Coût net de réassurance
+Frais d'acquisition, Frais de gestion des sinistres et des contrats, Frais d’administration
+Marge
+Frais accessoires (forfaitaires) +Taxes