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Section B
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écrite
15 lettres d’opinion
Les catégories
1- Société et culture (1 texte)
2- Education (3 textes)
3- Tourisme et voyage (2 textes)
4- Sciences et technologie (2 textes)
5- Environnement (2 textes)
6- Animaux (1 texte)
7- Langues (1 texte)
8- Santé (1 texte)
9- Sport (1 texte)
10- Economie et emploi (1 texte)
L’introduction
Suite à la lettre de l’article du 20 juin 2020 (1), publié dans la rubrique « Culture (2)»,
(3)
j’ai voulu réagir et prendre position. Je suis plus ou moins d’accord avec l’auteur
qui avance que « l’accès à tous les musées devrait être gratuit (4).»
(1)
Cette date précède la date de la lettre.
(2)
C’est le thème principal.
(3)
Il y a 3 phrases possibles :
Je suis d’accord…
Je suis plus ou moins d’accord…
Je ne suis pas d’accord …
(4)
C’est la phrase qui vous est présentée dans le test. Vous l’écrivez ici.
3 phrases possibles
1- Je suis d’accord avec l’auteur qui avance que « l’internet et la technologie vont
tuer le livre traditionnel. »
Lest 3 arguments sont favorables : Tout d’abord, Ensuite, Enfin.
2- Je suis plus ou moins d’accord avec l’auteur qui avance que « l’accès à tous les
musées devrait être gratuit.»
Les 2 premiers arguments sont favorables, sauf le troisième : Tout d’abord, Ensuite,
Toutefois.
3- Je ne suis pas d’accord avec l’auteur qui avance que « les animaux de compagnie
ne devrait pas être permis. »
Lest 3 arguments ne sont pas favorables : Tout d’abord, Ensuite, Enfin.
Conclusion
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que l’accès à tous les
(1) (2)
musées devrait être gratuit avec néanmoins quelques réserves . De plus
j’aimerais bien connaître l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame,
Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce
débat.
(1)
La phrase qui vous est présentée dans le test est répété ici. C’est la même phrase
qu’à la fin de l’introduction.
(2)
Vous ajoutez cet énoncé seulement si vous êtes « plus ou moins d’accord. »
La différence entre
1. Je suis plus ou moins d’accord…
2. Je ne suis pas d’accord …
Sommaire
1 Société et culture ............................................................................................ 5
2 Education ........................................................................................................ 6
3 Tourisme et voyage......................................................................................... 7
4 Sciences et technologie ................................................................................... 8
5 Environnement ............................................................................................... 9
6 Animaux ....................................................................................................... 10
7 Langues......................................................................................................... 11
8 Santé ............................................................................................................ 12
9 Sport ............................................................................................................. 13
10 Economie et emploi ...................................................................................... 14
11 Education ...................................................................................................... 15
12 Education ...................................................................................................... 16
13 Tourisme et voyage....................................................................................... 17
14 Sciences et technologie ................................................................................. 18
15 Environnement ............................................................................................. 19
1 Société et culture
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Culture », j'ai voulu réagir
et prendre position. Je suis plus ou moins d'accord avec l'auteur qui avance que « l’accès à tous les
musées devrait être gratuit. »
Tout d'abord, une bonne partie de la population n’a pas les moyens d’aller au musée comme les
enfants et les étudiants. Donner accès à une plus grande partie de la population permet d’améliorer
la cohésion sociale, de rehausser le niveau culturel de toute une société et de réduite les inégalités.
Ensuite, la valeur de gratuité culturelle peut avoir des influences positives à l’étranger. Par
exemple, les touristes étrangers peuvent profiter de la gratuité culturelle d’un pays comme ses
festivals et ses musées gratuits. Par conséquent, les retombées économiques de la culture gratuite
sont favorisées par une consommation périphérique des citoyens et des étrangers.
Toutefois, dans une société multiculturelle, certains groupes communautaires n’ont pas les mêmes
valeurs culturelles que d’autres groupes ou certains individus. Ils n’ont pas à payer pour un produit
dont il ne profite aucunement. En conséquence, les taxes qui sont dépensées pour « la culture » ne
sont pas utilisées pour des besoins plus urgents comme la santé ou l’éducation.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que l’accès à tous les musées devrait
être gratuit avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais bien connaître l’opinion
d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre
comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
2 Education
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Éducation », j'ai voulu
réagir et prendre position. Je suis plus ou moins d'accord avec l'auteur qui avance que « les jeux
vidéo développent la créativité des enfants. »
Tout d'abord, certains jeux vidéo développent des habiletés visuelles et spatiales, la vitesse de
traitement de l’information, et améliorent la capacité de résolution de problèmes ; l’enfant doit
faire preuve de créativité pour résoudre toutes sortes de problèmes.
Ensuite, les enfants qui s’adonnent aux jeux vidéo sont moins enclins à grignoter que lorsqu'ils
regardent la télévision passivement, car ils sont moins souvent confrontés à des publicités de
produits alimentaires. Par conséquent, les effets sur la santé physique et mentale de l’enfant
peuvent être considérables.
Toutefois, lorsqu’un enfant passe du temps devant un écran, il ne s’active pas physiquement. De
ce fait, les nombreuses heures consacrées aux jeux vidéo ne remplacent pas l’activité physique
nécessaire au développement psychomoteur, cérébral et cognitif.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que les jeux vidéo développent la
créativité des enfants avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais bien connaître
l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la
présente lettre comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
3 Tourisme et voyage
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
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Très cordialement,
Robert Martin
4 Sciences et technologie
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Technologies », j'ai voulu
réagir et prendre position. Je suis d'accord avec l'auteur qui avance que « l’internet et la
technologie vont tuer le livre traditionnel. »
Tout d'abord, selon une enquête récente de l’institut national de la statistique, le temps consacré à
la lecture a diminué de 30 % en 30 ans. Les plus gros lecteurs seraient les retraités. Quant aux
jeunes, ils préfèrent regarder des séries en streaming ou des vidéos sur You Tube. L’information
visuelle a donc un impact significatif sur les habitudes de lecture.
Ensuite, l’internet offre au consommateur un choix incomparable de textes et d’informations en
tout genre, accessibles d’un simple clic et gratuits la plupart du temps. En conséquence, plusieurs
librairies ferment boutique et se tournent vers des plateformes de commerce en ligne. Ainsi, forcé
de s'adapter au nouveau marché, le livre traditionnel se reconvertit en version numérique.
Enfin, alors qu’on passe de plus en plus de temps sur l’ordinateur, on finit par reproduire les
mêmes comportements dans la vie de tous les jours. En effet, dans un monde du multitâche où tout
va vite, l’acte de lecture est forcément différent et, par conséquent, la lecture d’un livre
traditionnel est devenu une tâche impensable, voire même insurmontable.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que l’internet et la technologie vont
tuer le livre traditionnel. De plus, j’aimerais bien connaître l’opinion d’autres lecteurs. Je vous
prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce
débat.
Très cordialement,
Robert Martin
5 Environnement
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Planète », j'ai voulu réagir
et prendre position. Je suis d'accord avec l'auteur qui avance que « pour réduire la pollution, le
télétravail devrait être obligatoire dans certaines entreprises publiques et privées. »
Tout d'abord, le trafic routier est le plus gros émetteur de gaz à effet de serre au pays, et les allers
retours domicile-travail sont l’une des principales causes. Par conséquent, pour lutter contre ce
genre de pollution liée aux déplacements, les pouvoirs publics doivent encourager les entreprises à
avoir recours au télétravail.
Ensuite, le télétravail doit être synonyme de réduction de la pollution et du nombre de kilomètres
parcourus. De ce fait, les comportements changeront et les gens optimiseront leurs déplacements,
par exemple ils en profiteront pour aller faire les courses et chercher les enfants à l'école.
Enfin, on devrait inciter les gens au covoiturage ou à l'utilisation du vélo, ou encore, encourager
les initiatives publiques pour la création de transports en commun moins polluants. Cependant, il
faut s’assurer que toutes ces mesures pour réduire la pollution ne deviennent contre-productives.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que pour réduire la pollution, le
télétravail devrait être obligatoire dans certaines entreprises publiques et privées. De plus,
j’aimerais bien connaître l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien
vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
6 Animaux
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Nature », j'ai voulu réagir
et prendre position. Je suis plus ou moins d'accord avec l'auteur qui avance qu’« on devrait
interdire les zoos, car tous les animaux doivent vivre en liberté. »
Tout d'abord, les animaux sauvages ne doivent pas être emprisonnés dans des cages. En fait, on
doit plutôt poursuivre et punir sévèrement les braconniers au lieu d’encager les animaux. De plus,
dans les zoos, des cas de maltraitances sont régulièrement rapportés : les cages et l’environnement
des animaux ne sont pas toujours adaptés.
Ensuite, on nous présente souvent l’argument que les zoos ont sauvé plusieurs espèces en voie de
disparition, mais c’est plutôt le comportement humain qu’il faudrait changer afin de réduire
l’impact sur l’environnement. En outre, le nombre d’espèces à protéger que l’on retrouve
généralement dans les zoos n’est pas assez important pour justifier un tel commerce.
Toutefois, certains zoos ont une vocation pédagogique et permettre donc de mieux connaître les
espèces qui peuplent notre planète. Ces zoos font preuve de bonne volonté en prenant part à des
projets de protection des espèces et de l’environnement. Le zoo devrait être repensé autrement, et
l’encagement comme il est pratiqué aujourd’hui devrait être aboli.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que l’on devrait interdire les zoos
avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais bien connaître l’opinion d’autres lecteurs.
Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme
contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
7 Langues
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
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Très cordialement,
Robert Martin
8 Santé
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
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(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
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1100 rue Millwood
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Très cordialement,
Robert Martin
9 Sport
Robert Martin
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(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Sport », j'ai voulu réagir et
prendre position. Je suis plus ou moins d'accord avec l'auteur qui avance que « les sportifs
professionnels gagnent trop d'argent. »
Tout d'abord, on entend souvent dire que la carrière de certains sportifs professionnels est courte
et que les millions de dollars qu’ils empochent sont ainsi justifiés. Cependant, souvent en fin de
carrière, ces sportifs tirent profit de leur image pour signer des contrats publicitaires qui leur
rapportent beaucoup d’argent.
Ensuite, certains footballeurs courent quelques minutes pendant un match pour des salaires
faramineux alors que dans certains sports individuels comme la Formule 1 ou le tennis, le joueur
professionnel ne peut compter que sur lui-même. En d’autres termes, les sportifs professionnels de
sport d'équipe n’ont peut-être pas le même mérite que ceux de sport individuel.
Toutefois, les salaires de certains sportifs professionnels sont loin d’être exorbitants, par exemple
on peut penser à l'athlétisme qui n’est pas aussi médiatisé que le football. Les sportifs les mieux
payés profitent des commanditaires qui, à leur tour, s’enrichirent grâce aux joueurs en gagnant des
sommes astronomiques.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que les sportifs professionnels
gagnent trop d'argent avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais bien connaître
l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la
présente lettre comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
10 Economie et emploi
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
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robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
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Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Économie », j'ai voulu
réagir et prendre position. Je suis d'accord avec l'auteur qui avance que « le métier de caissier
devrait être remplacé par des caisses en libre-service. »
Tout d'abord, le métier de caissier n’est pas sans risque et entraîne souvent la fatigue visuelle, les
douleurs dorsales, les troubles musculo-squelettiques et le stress, en plus d’une rémunération qui
n’est pas mirobolante. Les employés doivent rester en position debout pendant de longues heures,
souvent à un rythme accéléré tout en subissant l’acrimonie de certains clients.
Ensuite, récemment la pénurie de main-d’œuvre a atteint des sommets et le poste de caissier n’en
est pas moins épargné. Les supermarchés sont toujours à la recherche de caissiers et, pour pallier
le manque d’employés, la solution se trouve du côté des caisses en libre-service.
Enfin, alors qu’un métier répétitif et pénible comme celui de caissier pourrait être remplacé par
des robots, il y a encore des gens qui le défendent corps et âme pour soutenir certaines idéologies
ou croyances qui ne sont plus de notre époque.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que le métier de caissier devrait être
remplacé par des caisses en libre-service. De plus, j’aimerais bien connaître l’opinion d’autres
lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme
contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
11 Education
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Société », j'ai voulu réagir
et prendre position. Je suis plus ou moins d'accord avec l'auteur qui avance que « les réseaux
sociaux représentent un danger permanent pour les enfants. »
Tout d'abord, sur les réseaux sociaux les enfants peuvent être abordés par des prédateurs sexuels.
En effet, les enfants sont vulnérables et n’importe qui sur les réseaux peut facilement cacher son
identité. De ce fait, les enfants peuvent être victimes de crimes sexuels en étant manipulés.
Ensuite, les enfants peuvent être harcelés ou subir des injures de la part d’autres mineurs lorsque
leur intimité est vue par tout le monde. Par exemple, certains éléments de la vie privée comme des
photos, des vidéos ou des textes sont facilement accessibles en ligne et peuvent être utilisés pour
faire du tort. En conséquence, certains enfants tombent en dépression, ou pire, se suicident à la
suite d’intimidation et d’harcèlement sur les réseaux sociaux.
Toutefois, dans un monde globalisé et de plus en plus interconnecté, les réseaux sociaux peuvent
constituer des outils indispensables pour se faire de nouveaux contacts, et ainsi décrocher un poste
ou faire avancer sa carrière. À cet égard, les enfants qui utilisent les réseaux sociaux aujourd’hui,
auront plus d’opportunités demain.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense les réseaux sociaux représentent un
danger permanent pour les enfants avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais bien
connaître l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire
publier la présente lettre comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
12 Education
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
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East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Éducation », j'ai voulu
réagir et prendre position. Je ne suis pas tout à fait d'accord avec l'auteur qui avance qu’ « on
devrait interdire les tablettes électroniques à l’école primaire. »
Tout d'abord, la tablette électronique présente des avantages importants : elle permet
d’individualiser l’enseignement en fonction du niveau d’un élève, de favoriser son autonomie et sa
créativité. Par exemple, les élèves peuvent travailler de façon autonome et à leur propre rythme
sur leur tablette.
Ensuite, grâce à certaines applications interactives l’élève peut apprendre autrement les
mathématiques, la géographie, les sciences, les langues, etc. Par exemple, les jeux et simulateurs
virtuels permettent un apprentissage plus concret, plus près de la réalité, ce qui a pour effet
d’engager activement l’apprenant dans une tâche donnée.
Toutefois, cet outil numérique dans la vie d’un enfant n’est pas sans conséquence : troubles de
sommeil, échec scolaire, dépression, risque d’obésité, etc. Il faut se rappeler que les concepteurs
de tablettes électroniques de la Silion Valley tenaient leurs enfants à l’écart de ce genre de
technologie. Il faudrait tout de même se poser des questions face à de telles mesures.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense qu’on ne devrait pas interdire les
tablettes électroniques à l’école primaire avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais
bien connaître l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire
publier la présente lettre comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
13 Tourisme et voyage
Robert Martin
111 rue Wellington
Ottawa, Ontario
Canada, K1A 0A9
robertmartin@tef.com
(613) 416-0099
Monsieur le Rédacteur / Madame la Rédactrice en chef
Le Média Global
1100 rue Millwood
East York, Ontario
Canada, M4H 1A3
Ottawa, le 22 juin 2020
Objet : Réaction à l’article du 20 juin 2020.
Madame, Monsieur,
Suite à la lecture de l'article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « Voyage », j'ai voulu réagir
et prendre position. Je suis plus ou moins d'accord avec l'auteur qui avance que « le tourisme de
masse doit être interdit dans certaines régions. »
Tout d'abord, le tourisme de masse à l’effet d’un tsunami sur certaines régions du globe ; il
entraîne des changements profonds dans la société. Les prix des loyers augmentent en raison de
l’afflux de touristes qui sont toujours plus nombreux chaque année et qui cherchent un pied-à-
terre. De ce fait, la gentrification de certains quartiers oblige les habitants à quitter les lieux, faute
de moyens.
Ensuite, l’impact environnemental a des conséquences graves sur la biodiversité. Par exemple, les
constructions d’hôtels au bord de la mer entraînent la bétonisation des milieux naturels et attirent
les flots de touristes friands de complexes touristiques bon marché. De plus, les boutiques locales
se convertissent dans le commerce de marchandises dispensables qui finiront un jour dans des
centres d’enfouissement.
Toutefois, pour certains, ce phénomène mondial est une mine d’or. Il permet la modernisation des
infrastructures, la création d’emplois, l’apport croissant de capitaux étrangers, et enfin, des
centaines de milliards d'euros de recettes pour le secteur touristique. Par conséquent, les
gouvernements peuvent profiter de revenus générés par des taxes et se vanter de leurs prouesses
économiques.
En somme, celles-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que le tourisme de masse doit être
interdit dans certaines régions avec néanmoins quelques réserves. De plus, j’aimerais bien
connaître l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire
publier la présente lettre comme contribution à ce débat.
Très cordialement,
Robert Martin
14 Sciences et technologie
Robert Martin
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Très cordialement,
Robert Martin
15 Environnement
Robert Martin
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Très cordialement,
Robert Martin