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LE MOUVEMENT

EXERCICE 1 : P12.1 p.120:

A d B
x’ • • • • x
x1 x2

1) La voiture V1 est en A à 8 h. Le temps t sera compté à partir de 8 h. Soient x1 et x2 les abscisses


respectives des voitures V1 et V2 à 4 min après le départ de la voiture V1.
♦ x1(4 min) = 20 × (4 × 60) = 4 800 m.
♦ x2(4 min) = -20 × (4 × 60) + 12 400 = 7 600 m.
2) Distance entre les 2 voitures à 8 h 4 min soit 4 min après le départ de V1 :
D = x2 – x1 = 7 600 – 4 800 = 2 800 m.
3)
♦Date de croisement :
au croisement x1 = x2 ⇔ 20 t = - 20t + 12 400 ⇒ t = = 310 s = 5 min 10 s.
♦ Lieu de croisement :
A t = 310 s, on a x1 = 20 × 310 = 6 200 m. Les 2 voitures se croisent à 6,2 km du point A.

EXERCICE 2: P12.3p.120:
1. Courbe y = f(x) : à tracer

2) La trajectoire est un droite dont l’équation est de la forme y = ax + b avec a et b à déterminer.


♦ Pour x = 0, on a : y = b = 2
♦ Pour x = 2, on a : y = a × 2 + b = 3, d’où a = = .
L’équation de la trajectoire est donc : y = + 2.

3.1) d = M0M1 = x − x + y − y ² = 8 − −2 + 6 − 1 ² = 11,18 m.


3.

,
3.2) Vm = = = 2,24 m. s-1.
4) Pour x1 = 16 m, on a : y1 = + 2 = + 2 = 10 m ≠ 14 m.
Les coordonnées du point A ne vérifient pas l’équation de la trajectoire. Le mobile ne peut donc pas
passer par le point A.

EXERCICE 3: P12.4 p.121:


1) V = = 10 m. s-1.
2.
2.1)
A B

d = d1 + d2 + d3 = v1. t1 + R. + 150 m = 20 × 10 + 31,4 + 381,4 ⇒ d = 381, 4 m.


,
2.2) t = t1 + t2 + t3 = 20 + + = 15 s.
3) On constate que : 30 s > t1 + t2 : le cycliste se trouve sur la portion CD.

EXERCICE 4 : P12. 5p.121 :


! !
! "!
1) Durée de la phase effectuée à vitesse constante : V2 = ⇒ t2 = = = 42,5 s.
Durée totale : T = 5 + 42,5 + 10 ⇒ T = 57,5 s.
2) Vm = # = $, = 1,74 m/s.

&
EXERCICE 5: P12. 6p.121:
1) Vm = ⇒ t = " =
%
= 150 s.
2) t = t1 + t2 avec t2 = 4.t1 soit t = t1 + 4.t1 = 5.t1 ⇒ t1 = = 30 s et t2 = 4.t1 = 120 s.
3) d = d1 + d2 avec d2 = 4.d1⇒ d = d1 + 4.d1 = 5.d1
On en déduit d1 = = 180 m et d2 = 4.d1 = 720 m.
ACTIONS MECANIQUES

() d’intensité 3 N. La force F
Soit une force F () a une direction horizontale et est dirigée vers la droite. On
EXERCICE 1 : P9.1p.96:

()
considère une autre force F d’intensité 4 N, de direction verticale (sens du haut vers le bas) et ayant le
*

même point d’application que la force F ().


() (
1. Représenter les forces F et F .) *

2. Donner les caractéristiques de la force R() = F () + F


() * .
3. Donner les caractéristiques de la force (R) = (F) - .
()-
,

Echelle : 1 cm ↔ 1 N.

Deux forces (F) et (F) d’intensités respectives 100 N et 150 N sont appliquées en un point O d’un
EXERCICE 2: P9.2p.96:

solide. Les forces F () et F() font entre elles un angle α que l’on peut modifier.

() , F() ) = α = 120°, déterminer graphiquement l’intensité de :


Echelle : 1 cm ↔ 50 N.

a) la force F() = F () + F () ;
1. pour (F

b) la force F telle F * + (F) + (F) = (0) ;


() * ()
() ** = F() + ,!.
()
c) la force F
() , F
() ) = 0°, déterminer :
a) les caractéristiques de la force (R) = (F) + (F) ;
2. Pour α = (F

b) les caractéristiques de la force R()* telle que R()* + F


() + F ().
() = 0
3. pour α = (F , F ) = 180°, déterminer les caractéristiques de la force (R) = (F) + (F) .
() ()

EXERCICE 3: P9.3p.96:
1. Qu’est-ce qu’une force ?

3. Un anneau est soumis à l’action de trois forces F() , F


() et F
() . La force F
() est horizontale et dirigée de
2. Citer deux exemples dans lesquels une force provoque la déformation d’un objet.

() ()
la gauche vers la droite. Les intensités respectives des forces F et F sont de 40 N et 30 N.

() qui maintient l’équilibre de l’anneau dans


Déterminer la direction, le sens et l’intensité de la force F
Echelle : 1 cm ↔ 10 N.

a) (F) et (F) sont perpendiculaire ;


les cas suivants :

b F () et F
() font un angle de 120° ;
c) F et (F) font un angle de 180°.
( )
01 01 , 4&,
EXERCICE 4 : P.9.4p.96:
2 ℓ ℓ ,
1) Raideur du ressort : P = mg = k.a ⇒ k = = = = 49 N/kg.
56
7
P = mg = k.a ⇒ a =
, 4&,
&
♦ Pour m = 0,4 kg : a = = 0,08 m = 8 cm et ℓ = ℓ0 + a = 30 + 8 = 38 cm.
, 4&,
&
♦ Pour m = 0,6 kg : a = = 0,12 m = 12 cm et ℓ = ℓ0 + a = 30 + 12 = 42 cm.
8. ℓ ℓ &4 , ,
1 &,
2) P = m0.g = k.a = k (ℓ - ℓ0) ⇒ m0 = = = 0,3 kg = 300 g.
8. ℓ ℓ &4 , ,
1 &,
×
3) M = = = 1,5 kg = 1500 g.

EXERCICE 5: P9.5p.97:
1)

ℓ en cm 20 21 22 23 24 25
x en m 0 1 2 3 4 5
T/x - 20 20 20 20 20

#
On constate que le quotient est une constante.
2)

1,2
T (N)
1

0,8

0,6

0,4

0,2
x (cm)
0
0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5 5,5

# ,
,
3) k = = = 20 N/m.
4)

# ,
♦ Graphiquement, pour T = 0,5 N, on lit sur la courbe : x = 2,5 cm.
8
♦Par calcul : T = k.x ⇒ x = = = 0,025 m = 2,5 cm.
5)
♦ Graphiquement, pour x = 3,5 cm, on lit sur la courbe : T = 0,7 N.
♦Par calcul : T = k.x = 20 × 0,035 = 0,7 N.
EXERCICE 6: P9.6p.97: à corriger
Un fragment de roche supposé homogène a une masse de 200 g. immergé dans l’eau, il paraît ne plus
avoir pour masse que 100 g. Calculer :
1) la poussée qu’il subit ;
2) son volume.

EXERCICE 7 : P9.7p.97: à corriger


Une sphère de laiton pèse 0,15 kg. On l’immerge dans l’eau et son poids apparent est alors de 1,2 N.
1. La boule est-elle pleine ou creuse ?
2. Si elle est creuse, quel est le volume de la cavité intérieure ?
On donne : masse volumique du laiton : 8,4 g/cm3.

EXERCICE 8: P9.8p.97:

, , . ;!
1) La poussée qu’il subit est égale au poids du morceau de liège : F = P = 2,5 × 0,05 = 0,12 N.

:.1 4
2) ♦Volume d’eau déplacée : F = ρ.Ve.g ⇒ Ve = = = 12,5.10-3 L = 12,5 cm3.
♦ Volume de la partie qui émerge : V = VT – Ve = 50 – 12,5 = 37,5 cm3.
3) La poussée exercée par l’eau est : F’ = Ptotal = 12,5.10-2 + 20.10-3 × 10 = 32,5.10-2 N.
♦Volume d’eau déplacée : V=* = :.1 = 32,5 cm3.
,-

♦ Volume de la partie qui émerge : V = VT – V=* = 50 – 32,5 = 17,5 cm3.

EQUILIBRE D’UN SOLIDE


SOUMIS A 2 OU 3 FORCES

EXERCICE 1 : P10.1p.101:
1)

()
F

(P)
(T) 30°

P = m.g = 0,4 × 9,79 = 3,92 N

Détermination graphique :
Echelle : 1 cm ↔ 1 N

,
F ↔ 2,3 cm ⇒ F = 1 × 2,3 = 2,3 N.
>
Par calcul : tanα = ⇒ F = P.tanα = 2,26 N.
> > ,&
2) Graphiquement : T ↔ 4,5 cm ⇒ T = 1 × 4,5 = 4,5 N.
Par calcul : cosα = # ⇒ T = ABCD = ABC ° = 4,53 N.

EXERCICE 2: P.10. 2p.101:

m g=k ℓ −ℓ 1
1)
F
m g =k ℓ −ℓ 2

0 ℓ ℓ 0 ℓ 0 ℓ!
a)
⇒ 0 = ℓ ℓ ⇒ m1(ℓ2 - ℓ0) = m2(ℓ1 - ℓ0) ⇒ ℓ0 = !0 0
! ! !
= 30 cm

b) m g = k ℓ − ℓ
0 1
⇒ k=ℓ ℓ
= 50 N/m.
2.
a)

(R)
()
T
x’

(P)
α
α

A l’équilibre : (P) + (R) + (T) = (0)


01.CKLα
b) Projection sur x’x : P.sinα + 0 – T = 0 ⇒ mg.sinα - k.a = 0 ⇒ a = 8 = 0,05 m = 5 cm.

EXERCICE 3: P10.3p.101:
1)
La représentation graphique est la suivante.

A B

()M
T
()N
T 30° 30° (T)M

O
()M*
T

()
P
A l’équilibre, la tension du fil OC est égale au poids du corps C, d’om TC = TM* = P = 10 N.
()N + T
Le point O étant en équilibre, on a : T ()O + T () , d’où T
()M = 0 ()N + T
()O = - T
()M .
() ()
En décomposant (-TM ) suivant OA et OB, on obtient TN et TO . ()
()N ↔ 1,2 cm ⇒ TA = 1,2 × 5 ≈ 6 N
T
(T)O ↔ 1,2 cm ⇒ TB = 1,2 × 5 ≈ 6 N.

2.
a) La tension du fil OC est égale au poids du corps de masse m : T1 = P = 10 N.
b)
♦Détermination graphique de T2 et T3 :

A 60° 30° B

()
T (T)
30° 60°

()
T

A l’équilibre : (T) + (T) + (T) = (0) , d’où (T) + (T) = - (T) .


En décomposant (-T () ) suivant OA et OB, on obtient T () et T
() :
(T) ↔ 1,7 cm ⇒ T2 = 1,7 × 5 ≈ 8,5 N
() ↔ 1,0 cm ⇒ T3 = 1,0 × 5 ≈ 5 N.
T

♦ Calcul de T2 et T3 :

()
T (T)
β α

x
O
()
T
x’

y’

() + T
T () + T() = 0()
Sur x’x : 0 – T2.sinβ + T3.sinα = 0 (1)
sur y’y : - T1 + T2.cosβ + T3.cosα = 0 (2)

(1) et (2) donnent le système suivant :


−T sinβ + T sinα = 0
F
T cosβ + T cosα = P = T
car T1 = P.
♦Multiplions la 1ère équation par cosβ et la 2ème équation par sinα, puis faisons la somme membre à

>.CKLβ
membre. On obtient :
T3 = CKLα ABCβ UABCα CKLβ = 8,66 N avec α = 60° et β = 30°.
♦Multiplions ensuite la 1ère équation par (-cosα) et la 2ème équation sinα, puis faisons la somme

>.CKLα
membre à membre. On obtient :
T2 = CKLα ABCβ UABCα CKLβ = 5 N

♦Remarque :
On peut faire le calcul rapidement en considérant le triangle rectangle :
T2 = T1.cosβ = P.cosβ = 8,66 N ; T3 = T1.cosα = P.cosα = 5 N.

,
EXERCICE 4 : P10.4p.102:
,
1) Raideur du ressort : k = = 50 N/m. T = k.a = k(ℓ1 - ℓ0) = 50 × (0,38 – 0,36) = 1 N.

2)

(R)
(T)

()
α
P
α

T = 1 N d’où (T) ↔ 1 cm.


Echelle : 1 cm ↔ 1 N.

() + R
A l’équilibre : P () + T () ⇒ P
() = 0 () + R() = - T
() .
() ()
En décomposant (- T), on obtient P et R . ()
() ↔ 2 cm ⇒ P = 2 N.
P
>
3) P = m.g ⇒ m = 1 = = 0,2 kg.
>
8
4) P = k.a ⇒ a = = = 0,04 m = 4 cm ; ℓ = ℓ0 + a = 36 + 4 = 40 cm.

EXERCICE 5: P10.5p.102:

a) Le poids (P) et la tension (T) du ressort du dynamomètre.


1.

>
b) P = m.g ⇒ m = 1 = = 0,2 kg.
2.
a) La masse de la boule n’a pas varié car la masse d’un objet est invariable.
b) Cette force est la Poussée d’Archimède.
c)
♦Direction : verticale
♦Sens : de bas en haut
♦Point d’application : au centre de gravité du liquide déplacé
♦ Intensité : F = 2 – 1,8 = 0,2 N.
EXERCICE 6: P10.6p. 103:
01 4
1) Allongement du ressort dans l’eau: a’ = 10 – 4 = 6 cm = 0,06 m.
2 ,
Raideur : P = mg = k.a ⇒ k = = = 200 N/m.
Poids apparent du corps immergé : Pa = k.a’ = 200 × 0,06 = 12 N.
2) F = P – Pa = 2 × 10 – 12 = 8 N.

EXERCICE 7 : P10.7p.103:

♦(P) : poids de l’ensemble {chariot + sable} (((()


TM
x’
()
R
1) y

♦R() : réaction du plan incliné (T)


x

♦(T)A : tension du fil sur l’ensemble {chariot + sable}


♦P() : poids de la bille
♦(T) : tension du fil sur la bille.
(P) (P)
α = 30°

y’

♦ Au niveau du chariot : P () + R
() + (((()
TM = 0 () :
2)

♦ Au niveau de la bille : (P) + (T) = (0)


Sur x’x : - TC + P.sinα = 0, d’où TC = P. sinα = (m + mS). sinα (1)

Sur y’y : - Pb + Tb = 0, soit Tb = Pb = mb.g (2)


0
La tension du fil étant constante, on a Tb = Tc donc (m + mS) g.sinα = mb.g
⇒ (m + mS) sinα = mb ⇒ m + mS = CKLVα
5
La masse du sable est : mS = XYZW - m = 80 g.
α

a) A l’équilibre : ((()
T′ + (P) + (F) = (0) :
3.

Sur y’y : T’ – Pb + F = 0 ⇒ T’ = Pb – F = mb.g – F


⇒ T’ = mb.g – F

b) Poids PM* de l’ensemble {chariot + sable} :


A.N. : T’ = 0,1 × 10 – 0,1 = 0,9 N.

A l’équilibre : T * = PM*.sinα ⇒ \]* = XYZ_


W ^-

A.N. : PM* =
,&
CKL °
= 1,8 N.
c) La nouvelle masse m’ de l’ensemble {chariot + sable} : m*M =
>-̀ ,
1
m*C
= = 0,18 kg = 180 g.

⇒ 5′X = 20 g.
La masse du sable à prélever est : = m – m’ = 200 – 180

EXERCICE 8: P10. 8p.103:


1.
a)

(R)
()
y
T
x’

()
P
α
α
y’
() , la réaction R
Les forces appliquées au solide sont : le poids P () du plan incliné et la tension T
() du fil.
() () () () () ()
b) Condition d’équilibre : P , R et T sont concourantes et coplanaires et P + R + T = 0. ()
c)
♦Projection sur x’x : Psinα - T = 0 ⇒ T = mg.sinα.
A.N. : T = 2 × 10 × sin30° = 10 N.
♦Projection sur y’y : - Pcosα + R = 0 ⇒ R = mg.cosα
A.N. : R = 2× 10×cos30° = 17,32 N.
2.
a)

(T)
()
R
y x’
β

(P)
α
α
y’

() + R
b) Condition d’équilibre : P () + T ().
() = 0
\.XYZ_
♦Projection sur x’x : Psinα - T .cos β = 0 ⇒ T = abXc .
4 4CKL °
ABC °
A.N. : T = = 10,64 N.
♦Projection sur y’y : - Pcosα + R + T.sinβ = 0 ⇒ R = mg.cosα - T.sinβ
A.N. : R = 2× 10×cos30° - 10,64 × sin20° = 13,68 N.

EXERCICE 9: P10.9p.104:

y
(R) (((()
x
F
()
T
P

(F)
C1

α
(P) α
x’ C2
A

y’ (P)*

1)
♦F = Px = Mg.sinα = 2,8 × 10 × sin30° = 14 N.
♦R = Py = Mg.cosα = 2,8 × 10×cos 30° = 24,25 N.

() + R
a) P () + F ()
() = 0
2.

,
b) Sur x’x : - Mgsinα + F1 = 0 ⇔ - F + F1 = 0 ⇒ F1 = k.a = F
⇒a=8= = 0,05 m = 5 cm.
a) ((() () + T
P′ + F (), soit ((()
() = 0 () + T
P′ = - (F ())
3.

^U d
b) P’ = T + F2 = T + F1 = mg ⇒ m = 6 e
U
A.N. : m = = 2 kg.

EQUILIBRE D’UN SOLIDE MOBILE


AUTOUR D’UN AXE FIXE
EXERCICE 1 : P11.1p.109:
1)

(R)
(T) *
O
A B
()
T
O

()
T (P)
(∆)

()
P
m1

() de la barre, la tension T
♦Les forces appliquées à la barre sont : le poids P () * du ressort, la réaction R
()
()
de l’axe et la tension T du fil.
() du corps et la tension T
♦Les forces appliquées au corps de masse m1 sont : le poids P () du fil.

2) Condition d’équilibre pour la masse m1 : (P) + (T) = (0) ⇒ (T) = - (P)


⇒ T1 = P1 = m1.g = 1 × 10 = 10 N. La tension le long du fil est constante, donc T = T1 = 10 N.

M∆(T()) + M∆(R
()) + M∆(T
() * ) + M∆(P
()) = 0
3) Théorème des moments : voir cours.

\.f] ^.fg
fh
⇒ T. OA + 0 – P. OC + T’. OB = 0 ⇒ T’ = = 14 N.
4)

−Point d* application: O
() i−Direction: verticale
R
−Sens: vers le haut
−Intensité: R

() + T
A l’équilibre : P () * + R
() + T ()
() = 0
Sur un axe vertical ascendant : R – P – T + T’ = 0, soit R = P + T – T’ = 36 N.
5)

(T) **
()
R
α
O
A

()
T
O B

(T) ()
P
(∆)

(P)
m1

M∆((T)) + M∆((R)) + M∆((T) ** ) + M∆((P)) = 0


Théorème des moments : voir cours.

>.zM #.zN #*
⇒ T. OA + 0 – P. OC + T’’. OB.cosα = 0 ⇒ T’’ = ABCα ( zO – zO
) = ABCα
^*
⇒ T’’ = abX = 28 N.
α

EXERCICE 2: P11.2p.110:
1)

(T)
(R) ()
T
(T)

(T)
O
A B
(P)

()
P

()) + M∆(R
M∆(T ()) + M∆(P
() ) + M∆(T
() ) = 0

\{ .f]
⇒ 0 + 0 – P0. OC + T1. OB = 0
⇒ T1 = fh = 15,68 N.
2)

()
T
(R) (T) ()
T
C

()
α
T
A
()
P
∆ B

(P)′
En appliquant le théorème des moments, on obtient : - P0. OC + T * . OB.sinα = 0
⇒T * = zO.CKLα = 31,36 N.
> .zM

T * = T * = T * = T * = P’ = M’.g, d’où M’ =
^e-
6
= 3,2 kg.

EXERCICE 3: P11.3p.111:
1)

B D
C •
()
P ()′
P
O

>- .z|
Pour déterminer la masse maximale que l’on peut peser, il faudrait que le contrepoids soit en D. On

zM
aura alors à l’équilibre : P.OC = P’.OD, d’où P = = 100 N.
>
1
On a : m = = = 10 kg.

} 1 ↔1 ↔ A0~ ⇒ x =
4
2) La barre étant graduée en centaines de grammes, on a :
= 0,5 cm = 5 mm.

>- .zO >** $


3) Soient P’’ le poids de ce corps et m’’ sa masse :

zM 1
A l’équilibre, on a : P’’. OC = P’. OB, d’où P’’ = = 70 N ; m’’ = = = 7 kg.

EXERCICE 4 : P11.4p.111:
1)

C O A

m’ m

0- .1.zM
1.zN
En appliquant le théorème des moments, on a : Mg.OA = m’.g.OC, d’où m = = 480 g.
2.

0- .1.z| , 4 4 ,
a) Si P est le poids réel de la masse m, on a : P = mg = 4,8 N. Si Pa est le poids apparent de la masse m

zN ,
plongée dans l’eau, on a à l’équilibre : M’.g.OD = Pa.OA, d’où Pa = = = 3 N.

D O A

m’ m

On constate que le poids réel est supérieur au poids apparent. Tout se passe comme si l’eau exerce sur
le corps de masse m une force verticale dirigée de bas en haut.
Les caractéristiques de la force exercée par l’eau sont :
– direction: verticale
() • −sens: du bas vers le haut
F
−intensité: F = P − P2 = 1,8N
Cette force est appelée poussée d’Archimède.

b)
D O A

m’ m

5- .6.f‚
En appliquant le théorème des moments à l’équilibre, on a : mg. OA’ = m’.g.OD, d’où

56
OA’ = = 31,25 cm.

La somme des moments des forces appliquées à la barre est : ∑ M∆()f) = M∆((F) ) + M∆((P)) + M∆((F) )
EXERCICE 5: P11.6p.112:

♦ M∆((F) ) = F1. AO. sinα avec AO =


NO

()) = - P.OG
♦ M∆ ( P
+ OG = 1,40 m

() ) = + F2. OB avec OB = NO - OG = 0,60 cm


♦ M∆ ( F
⇒ M∆((F) ) + M∆((P)) + M∆((F) ) = F1. AO. sinα - P.OG + F2. OB
♦Pour α = 0° : ∑ M∆()f) = - 3 N.m : la barre tourne dans le sens (-) au sens choisi
♦Pour α = 30° : ∑ M∆()f) = - 0,2 N.m : la barre tourne dans le sens (-) au sens choisi
♦Pour α = 60° : ∑ M∆()f) = + 1,85 N.m : la barre tourne dans le sens (+) au sens choisi
♦Pour α = 90° : ∑ M∆()f) = + 2,6 N.m : la barre tourne dans le sens (+) au sens choisi

1) Le levier étant en équilibre, le théorème des moments s’écrit : ∑ M∆()f) = 0, soit


EXERCICE 6: P11.7p.113:

, .zO 4 ,
FB. OB – FA. OH = 0.
Or OH = OA. sinα, d’où FA = …
zN.CKLα 4CKL °
= = 200 N.

α (F)N

120°
B

()N = F
F ()O
O
2) Le levier étant en équilibre : ∑ M∆()f) = 0, soit FB. OK – FA. OH = 0.
fh .dh
fg
Or OK = OB. sinα et OH = OA. sinα, d’où FB. OB = FA. OA et FA = = 0,2 FB.

B
α ()N
F
120°
α α
K H
()O
F
O

Conclusion : On constate que F ()N et F


()O étant verticales, plus on incline ce levier, plus l’effort à fournir
pour avoir l’équilibre est faible.

QUANTITE DE MOUVEMENT

EXERCICE 1 : P13.1p.124:
1.
()1
v ()2
v
a)
S1 S2

l’ensemble est nul. On a donc : P() 2†2L = 0 ()


♦ Avant la rupture du fil : les solides S1 et S2 étant immobiles, le vecteur- quantité de mouvement de

() 2‡ˆèC = (p) + (p) = m1. v


♦Après la rupture du fil, on a : P () + m2v()

() 2†2L = P
P () 2‡ˆèC soit m1. v() + m2v () = 0() ⇒ m1. v() = - m2v
() .
♦D’après la conservation du vecteur-quantité de mouvement, on a :

5e Še
En module : m1. v1 = m2. v2 ou v2 = 5
4
b) A.N. : v2 = = 1 m. s-1.
2.
a)

()3
v
S3
S2

♦ Avant le choc : (P) 2†2L () + (0) car S3 est immobile


= (p) + (p) = m2v
() 2‡ˆèC = (p)* + (p)* = m2. v
♦Après le choc : P () + m3v
() = (m2+ m3). v
()
() ()
♦P 2†2L = P 2‡ˆèC ⇒ m2v () = (m2+ m3). v ()
0! †! 4
⇒ v3 = 0
! U0‹ U
= = 0,5 m. s-1.

() 2†2L = 0
♦ Avant le tir : P ()
EXERCICE 2: P13.2p.124:

() 2‡ˆèC = (p)Œ•CKŽ + (p) 2ŽŽ= = M. (V) + mv


♦Après le tir : P ()
♦P() 2†2L = P () 2‡ˆèC ⇒ M. (V) + mv () ⇒ •
() = 0 () = - .Š()
5

5 4
La vitesse du fusil est de sens opposé à celle de la balle : le fusil recule donc après le tir.
En module, on a : V = •.v = = 2,25 m. s-1 = 8,1 km. h-1.

EXERCICE 3: P13.3p.124:

♦ Avant le choc : (P) 2†2L = (p)N + (p)O = m1v () + (0).


1)

♦Après le choc : (P) 2‡ˆèC = (p)*N + (p)*O = m1. (V) + m2(V) = (m1+ m2). (V)
♦P() 2†2L = P
() 2‡ˆèC ⇒ m1v () = (m1+ m2). (V)
5e Š{
En module : V = 5
e U5
= 0,67 m. s-1.

♦ Avant le choc : (P) 2†2L = (p)N + (p)O = m1v () + (0).


2)

♦Après le choc : (P) 2‡ˆèC = (p)*N + (p)*O = m1. v


() + m2v ()

() 2†2L = P
P () 2‡ˆèC ⇔ m1v () = m1. v () + m2v() ⇒ v () =
() 0! †
0 † ()!
♦D’après la conservation du vecteur-quantité de mouvement, on a :

x’ ()
v B x

Après le choc, B ne peut qu’avancer. Par conséquent les vecteurs v


() et v
() ont le même sens.
En projetant sur x’x : v ‘ =
0 † 0! †!
0
La vitesse v ‘ est négative. Après le choc, A rebrousse chemin à la vitesse v1 = 0,67 m. s-1.
= - 0,67 m. s-1.

A et B ont donc des mouvements de sens contraires.

EXERCICE 4 : P13.4p.124:

() 2†2L = (p) + (p) = m1. v


♦Après le choc : P () + m2v ()
1)

() 2‡ˆèC = (p) + (p) = (m1+ m2). (V)


♦Après le choc : P * *

()
v ()
v
S1 S2
x’ x
♦(P) = (P) ⇒ m1. v () = (m1+ m2). (V) ⇒ (V) =
() + m2v
0 () U0! †
† ()!
2†2L 2‡ˆèC 0 U0!

0 † ‘ U0! †!‘ 0 † 0! †!
0 U0! 0 U0!
♦ Sur x’x : Vx = = = - 1,33 m. s-1.
L’ensemble se déplace dans le sens contraire de x’x après le choc à la vitesse 1,33 m. s-1.

♦Après le choc : (P) 2†2L = (p) + (p) = m1. v


() + m2v()
2)

()
♦Après le choc : P 2‡ˆèC = (p) + (p) = m1.v
* *
() + m2v
*
() *
♦P() 2†2L = P() 2‡ˆèC ⇒ m1. v () + m2v() = m1.v() + m2v
*
() *
♦ Sur x’x : m1. v + m2v = m1.v * + m2v * ⇔ m1. v - m2v = m1.v * - m2v *
⇒ v* =
0 † 0! †! U0! †-!‘ 4 4 4 ,
0
= = - 4,66 m. s-1.
S1se déplace dans le sens contraire de x’x

♦Après le choc : (P) 2†2L = (p) + (p) = m1. v () + m2v ()


3)

♦Après le choc : P() 2‡ˆèC = (p)* + (p)* = m2v


() *
♦P() 2†2L = P
() 2‡ˆèC ⇒ m1. v () + m2v () = m2v () *
♦ Sur x’x : m1. v + m2v = m2v * ⇔ m1. v - m2v = m1.v * - m2v *
⇒ v* =
0 † 0! †! 4 4 ,
0
= 0,5 m. s-1.
!
=
S2 se déplace dans le sens de x’x

EXERCICE 5: P13.5p.125:
Soient m1, la masse du petit poisson et v1 sa vitesse avant le déjeuner (choc). Soient m2, la masse du
gros poisson et v2 sa vitesse avant le déjeuner. Soit v, la vitesse de l’ensemble après le déjeuner.

()
v ()
v
m2 m1
x’ x

♦Après le déjeuner : (P) 2†2L = (p) + (p) = m1. v


() + m2v ()
()
♦Après le déjeuner : P 2‡ˆèC = (p) + (p) = (m1+ m2). V
* * ()
() 2†2L = P
♦P () 2‡ˆèC ⇒ m1. v () + m2v() = (m1+ m2). (V)

m2v = (m1+ m2).v ⇔ v = 0 U0


0! †!
1) v1 = 0 : le petit poisson est immobile :
= 1,67 m. s-1
!

m1. v + m2v = (m1+ m2).v ⇔ v = !0! U0


0 † U0 †
2) v1 = 1 m. s-1:
= 1,83 m. s-1
!

m1. v + m2v = (m1+ m2).v ⇔ v = !0! U0


0 † 0 †
3) v1 = - 2 m. s-1:
= 1,33 m. s-1
!
L’INTENSITE DU COURANT
ELECTRIQUE
EXERCICE 1 : P1.3p.17:
1) I = I1 + I2 + I3 ⇒ I2 = I – I1 – I3 = 30 mA.
2)

I I2
I1 A I3

L1 L2 L3

3) Le calibre le plus adapté est le plus petit calibre dont la valeur est supérieure à l’intensité I2 = 30
mA, soit 50 mA. Il permet d’avoir la déviation maximale de l’ampèremètre.

EXERCICE 2: P1.4p.17:
♦Au nœud N : I = I3 + I4 ⇒ I3 = I – I4 = 110 mA.
♦Au nœud M : I4 = I’ + I2 ⇒ I2 = I4 – I’ = 160 mA
♦Au nœud C : I1 = I3 + I’ = 140 mA.

B I1 C I3
A
I I2 D1 I’ D3
D’
D2
A’ I4 D4

M I

EXERCICE 3: P1.5p.18:
1) Le circuit comporte 6 nœuds : A, B, C, D, E et F.
2)
♦Nœud A : I1 + I2 = I ⇒ I1 = I – I2 = 1A. G I1 H
♦ Nœud B : I = I5 + I4 ⇒ I5 = I – I4 = 1,6 A
D1
♦ Nœud C : I1 = I3 + I’ = 140 mA.
♦ I3 = I2 = 2 A. I2 I3
♦ Nœud C : I5 = I7 + I6 ⇒ I6 = I5 – I7 = 0,9A. A F
D2 D3
♦ Nœud F : I3 + I1 = I8 ⇒ I8 = 3A D8 I8
♦ Nœud E : I8 = I7 + I9 ⇒I9 = I8 – I7 = 2,3A. I D4 I9
B E
I4
D5 D6 I7
I6 D7
I5 J
K C
EXERCICE 4 : P1.6p.18:
♦Nœud D : I8 = I4 + I2 = 0,9A. I5
♦Nœud E : I1 = I3 – I8 = 0,1 A A C
♦Nœud C : I6 = I3 – I4 = 0,6 A. I6 I3
♦Nœud A : I5 = I6 + I7 = 1,4 A.
I7 I2 I4
E
B D I8
I1

I1 I2 I3 I4 I5 I6 I7 I8
0,1 A 0,5 A 1A 0,4 A 1,4 A 0,6 A 0,8 A 0,9 A

EXERCICE 5: P1.7p.18:
1) Il y a 4 nœuds : A, B, C et D.

I2 L2
I1 L1 C
B
A D
L3
I*
I3
D1 D2 I*

♦Nœud A : I = I1 + I * = 2I * + I * = 3I * ⇒ I * = = 1A.

2)

♦ I1 = 2. I * = 2 A.

♦ D1 et D2 sont en série : I * = I * = 1 A.
♦Nœud B : I1 = I2 + I3 = I3 + 3.I3 ⇒ I3 = = 1,6 A

3) Les lampes L2 et L3 sont associées en parallèle.


4) Les dipôles D1 er D2 sont associés en série.

EXERCICE 6: P1.9p.19:
Circuit 1 :


♦ I = I1 + I + I3 = 3 A
♦ 2RI4 = R.I’ avec I’ = I – I4 soit 2R4 = R(I – I4) ; ⇒ 2I4 – I = I4 ⇒ 3I4 = I ⇒ I4 = = 1 A
Circuit 2 :
I1 = 2 A et I2 = 0,67 A.
LA TENSION ELECTRIQUE

EXERCICE 1 : P2.5p.25:
1) Les différentes mailles sont :
♦Maille NPADN : U – U1 – U3 = 0
♦Maille DABCD : U3 – U2 – U4 – U5 = 0
♦Maille CBEC : U5 – U7 – U6 = 0
♦Maille NPABECDN : U – U1 – U2 – U5 – U4 = 0
♦Maille NPABECDN : U – U1 – U2 – U7 – U6 – U4 = 0
♦Maille DABECD : U3 – U2 – U7 – U6 – U4 = 0

2)
♦En considérant la maille NPADN : U – U1 – U3 = 0, d’où U3 = U – U1 = 10 V.
♦En considérant la maille DABCD : U3 – U2 – U4 – U5 = 0, d’où U2 + U4 = U3 – U5 = 10 – 6 = 4 V. Or
U4 = 2U2, d’où U2 + 2U2 = 3U2 = 4 V, soit U2 = 1,33 V et U4 = 2,67 V.


♦En considérant la maille CBEC : U5 – U7 – U6 = 0 avec U6 = 2U7 d’où U5 – U7 – 2U7 = 0.
U5 – 3U7 = 0 soit U7 = ” = 2 V et U6 = 4 V.

EXERCICE 2: P2.8p.26:
1) La sensibilité verticale prise (5 V/cm) veut dire que pour un déplacement de 1 cm, la tension est de
5 V. Alors pour 1,2 cm, on a U = 6 V.

3) Soit S la sensibilité verticale et Y le déplacement : 1 cm ⟷ S et y ⟷ U, alors y = – . Or y ≤ 4 cm,



2) Si la sensibilité verticale est de 10 V/div, alors Y2 = 0,6 cm.

donc – ≤ 4. Soit Sv ≥ 1,5 V. On choisit la sensibilité 2 V/cm.




4) Si on inverse les branchements aux bornes de la batterie, le déplacement de la ligne lumineuse
change de sens.

EXERCICE 3: P2.9p.27:
1) Non car par exemple pour UAB = VA – VB = 100 V – 55 V = 0 – (- 45 V) = 45 V.
2) Si C est relié à la masse : VC = 0, d’où VB = 63 V ; VD = - 55 V ; VA = 108 V.

EXERCICE 4 : P2.10p.27:
1) UBA = 0 V ; UAC = - 3 V ; UDA = 3 V.
2) Non car UBA = 0 V.

EXERCICE 5: P3.1p.30:
1) Une tension alternative est une tension qui prend alternativement des valeurs positives et des
valeurs négatives. Elle est sinusoïdale lorsqu’elle décrit une sinusoïde.
2) La valeur efficace d’une tension alternative sinusoïdale est égale à la tension continue qui,
appliquée aux bornes d’un appareil de chauffage, produit le même effet que la tension alternative

3) Valeur efficace : U = 220 V ; amplitude : Umax = U√ = 311 V.


sinusoïdale appliquée au même appareil pendant la même durée.

e
4) Période : T = š = 2.10-2 s.
EXERCICE 6: P3.2p.30:
1) Période : T ↔ 4 cm ⇒ T = 4 × 5 ⇒ T = 20 ms = 0,02 s ; Fréquence : N = # = ,
= 50 Hz.

“ “
2) UCC ↔ 6 cm ⇒ UCC = 6 × 2 ⇒ UCC = 12 V.
3) Amplitude : Umax = `` = 6 V ; Valeur efficace : U = %›‘ = 4,24 V.

EXERCICE 7 : P.3.3 p.30:


1.
a)
♦Cas a : Période : T ↔ 4 cm ⇒ T = 4 × 2 ⇒ T = 8 ms = 8.10-3 s
♦Cas b : Période : T’ ↔ 2 cm ⇒ T = 10 × 2 ⇒ T = 20 µs = 2.10-6 s
b)
♦Cas a : Fréquence : N = # = , = 125 Hz.
♦Cas b : Fréquence : N’ = #* = . ;œ = 5.104 Hz.
c)
♦Cas a : Umax ↔ 3 cm ⇒ Umax = 3 × 2 ⇒ Umax = 6 V ; Umin = 0.
♦Cas b : Umax ↔ 2 cm ⇒ Umax = 6 × 2 ⇒ Umax = 12 V ; Umin = - 12 V.

2)
♦Cas a : la tension n’est pas alternative
♦Cas b : la tension est alternative car elle est alternativement positive et négative.

EXERCICE 8: P3.4p.32:

yA yB

I
N R1 R2 P
M
UNM UPM
G

1.
a) UNM = - R1.I et UPM = R2.I.
b) L’observation de l’oscillogramme montre que :
♦ UPM = VP – VM > 0 soit VP > VM (1)
♦ UNM = VN – VM < 0 soit VM > VN (2)
(1) et (2) ⇒ VP > VM > VN ce qui veut dire que le potentiel du point P est supérieur au potentiel du
point N : le pôle positif du générateur G1 est donc relié au point P.

♦ UPN = VP – VN – VM + VM = VP – VM – (VN – VM) = UPM – UNM.


UPM ↔ 1 div ⇒ UPM = 2 ×1 = 2 V ; UNM ↔ - 2div ⇒ UNM = - 4 V.

“ “
Il vient alors : UPN = UPM – UNM = 6 V.
c) UNM = - R1.I et UPM = R2.I ⇒ “•ž = - ⇒ R1 = - “•ž. R2 = 100Ω
Ÿž ! Ÿž
“•ž
UNM = - R1.I ⇒ I = - = 0,04 A.
2.
a) uPM = R2.i
b)
♦ U>¢%›‘ ↔ 1 div ⇒ U>¢%›‘ = 2 × 1,5 = 3V
“Ÿž%›‘

♦ UPM = = 2,1 V.
♦ Période : T ↔ 4 div ⇒ T = 4 × 0,2 ⇒ T = 0,8 ms = 0,8.10-3 s ;
Fréquence : N = # = , = 1250 Hz.
“Ÿž
!
c) UPM = R2.I ⇒ I = = 0,042 A.

EXERCICE 9: P3.5p.33:
1) Période : T ↔ 2 cm ⇒ T = 20 ms = 2.10-2 s.
2) Valeur à attribuer à la vitesse de balayage pour obtenir un seul cycle, c’est-à-dire une période sur

10 cm ⟷ 20ms
F
l’écran :
4
1cm ⟷ V
⇒ Vb = = 2 ms/cm.

10ms/cm ⟷ 5cycles
F
3)
4
5ms/cm ⟷ n
⇒n= = 2,5 cycles.
Compte tenu de la nouvelle sensibilité verticale, la tension crête à crête sera représentée par 4 cm.

LE CONDUCTEUR OHMIQUE
EXERCICE 1 : P4.1p.39:
♦Association n°1 : R = 25Ω
♦Association n°2 : R = 14,28Ω
♦Association n°3 : R = 62Ω
♦Association n°4 : R = 82Ω

EXERCICE 2: P4.2p.39:

! ’!
1.

a) R1.I1 = R2.I2 avec I2 = I – I1 = 2 – 0,5 = 1,5 A. On a alors R1 = = 150Ω.
b) U = R1.I1 = 150 × 0,5 = 75 V.
2.
a) U1 = R1.I = 150 × 0,4 = 60 V ; U2 = R2.I = 50 × 0,4 = 20 V.
b) U = U1 + U2 = 80 V.
EXERCICE 3: P4.3p.39:
1) Un pont diviseur de tension est un montage de 2 conducteurs ohmiques en série qui permet
d’obtenir une tension de sortie Us plus faible que la tension d’entrée Ue délivrée par le générateur.
Le schéma du montage est le suivant :

Ue

Us

2.


a) Les 2 conducteurs, montés en série sont traversés par le même courant : Ue = (R1 + R2).I ; d’où
I = U¥ = U$ = 0,12 A.
!

b) U1 = R1.I = 25 × 0,12 = 3 V.
3) U2 = R2.I = 75 × 0,12 = 9 V. On constate que U2 > U1. Si l’on veut que la tension de sortie soit la
plus grande possible, on doit prendre aux bornes du conducteur de résistance R2.

EXERCICE 4 : P4.4p.40:
1)

On désire représenter la caractéristique d’un conducteur ohmique AB. Par un montage approprié, on
fait varier l’intensité I du courant qui le traverse. Pour chaque valeur de I, on relève la tension UAB aux
bornes du conducteur ohmique. Les résultats des mesures sont indiqués dans le tableau ci-dessous :

U en V 0 2 4 5 6,5 9 10
I en mA 0 80 159 200 260 360 400

1. Dresser la liste du matériel nécessaire et faire le schéma du montage utilisé.


2. Tracer la caractéristique UAB = f(I) du conducteur ohmique.
Echelle : en ordonnée : 1 cm ↔ 1 V ; en abscisse : 1 cm ↔ 0,05 A.
3. Déduire de la caractéristique précédente, la résistance R du conducteur ohmique étudié.
4. Déduire graphiquement puis vérifier par le calcul, l’intensité I1 du courant qui traverse le
conducteur ohmique si la tension entre ses bornes est U1 = 6 V.
5. Déterminer graphiquement puis vérifier par le calcul, la valeur U2 de la tension aux bornes du
conducteur ohmique, si l’intensité du courant qui le traverse est I2 = 0,38 A.

EXERCICE 5: P4.5p.40:
Le montage représenté ci-dessous est un montage complexe de conducteurs ohmiques.

R1 R6

U R5 R3 R4

R2

♦On donne : U = 100 V ; R1 = 15Ω ; R2 = 30Ω ; R3 = 12Ω ; R4 = 12Ω ; R5 = 10Ω ; R6 = 4Ω .


1. Déterminer la résistance équivalente de l’association complexe.
2. Déterminer l’intensité du courant principal débité par le générateur de tension U = 100 V.
3. Déterminer l’intensité du courant dans chaque conducteur ohmique.

EXERCICE 6: P4.6p.40:
Un élève décide de tracer la caractéristique intensité-tension d’un composant électrique inconnu D et
d’une lampe à incandescence. Il utilise un générateur continu de tension réglable, un ampèremètre, un
voltmètre, un interrupteur et des fils de connexion.
Les mesures faites donnent les résultats suivants :

Lampe I (A) 0 0,15 0,30 0,40 0,50 0,66 0,75 0,83


U (V) 0 0,1 0,3 0,5 0,8 1,5 2 2,5

Composant I (A) 0 0,3 0,45 0,6 0,7


Inconnu D U (V) 0 1,2 1,8 2,4 2,8

1. Faire le schéma du montage de chaque expérience.


2. Que signifie le couple de valeurs (0 ; 0) obtenu au début des mesures ? Que signifie le couple de
valeurs (0,75 A ; 2 V) obtenu avec la lampe ?
3. Tracer la caractéristique intensité-tension de chaque élément.
Echelle : 1 cm ↔ 0,1 A ; 2 cm ↔ 1 V.
4. La lampe est-elle un conducteur ohmique ? Justifier la réponse.
5. Le composant inconnu D est-il un conducteur ohmique ? Si oui, calculer sa résistance.
6. Déterminer graphiquement l’intensité du courant qui traverse la lampe, la tension à ses bornes étant
U = 1 V.

EXERCICE 7 : P4.8p.42:
1. Observer attentivement le schéma du montage représenté ci-dessous et dresser la liste du matériel
utilisé.

V V

C1 C2

A
2. En faisant varier l’intensité du courant qui parcourt le circuit et en relevant les tensions U1 et U2
respectivement aux bornes des conducteurs C1 et C2, on obtient les résultats suivants :

I (mA) 0 90 80 60 50
U1 (V) 0 3,6 3,2 2,4 2
U2 (V) 0 5,4 4,8 3,6 3

a) Tracer les caractéristiques intensité-tension des conducteurs C1 et C2 sur le même graphe.


Echelle : en ordonnée : 1 cm ↔ 1 V ; en abscisse : 1 cm ↔ 10 mA.
b) Déterminer graphiquement la résistance R1 de C1 et la résistance R2 de C2.
c) Déterminer graphiquement les tensions aux bornes de C1 et aux bornes de C2 lorsque l’intensité du
courant est fixée à 70 mA.
3. On remplace les deux conducteurs C1 et C2 par un seul conducteur C équivalent aux deux autres.
a) Pour I = 70 mA, quelle sera la tension aux bornes de ce conducteur ohmique ?
b) A partir du tableau précédent, donner les tensions aux bornes du conducteur C pour les différentes
valeurs de l’intensité qui y sont mentionnées ; donner les résultats sous forme de tableau.
c) Tracer sur le graphe obtenu précédemment la caractéristique intensité-tension du conducteur C
équivalent ; en déduire la résistance R de ce conducteur.
d) Comparer R à R1 + R2.

EXERCICE 8: P4.10p.43:
Afin de tracer les caractéristiques intensité-tension U = f(I) de deux conducteurs ohmiques C1 et C2
montés en parallèle, on réalise le montage suivant :

C1 I1
A

C2 I2
A

On mesure la tension électrique U aux bornes des conducteurs ohmiques et l’intensité du courant
électrique traversant chaque conducteur ohmique. On obtient les résultats suivants :

U (V) 0 12 10 8 6
I1 (mA) 0 120 100 80 60
I2 (mA) 0 60 50 40 30

1.
a) Tracer les caractéristiques intensité-tension des conducteurs ohmiques C1 et C2 sur le même graphe.
Echelle : en ordonnée : 1 cm ↔ 2 V ; en abscisse : 1 cm ↔ 10 mA.
b) Déterminer la résistance R1 de C1 et R2 de C2.
c) Déterminer graphiquement l’intensité du courant traversant chaque conducteur ohmique lorsque la
tension U aux bornes des conducteurs ohmiques est de 7 V.
2. On remplace les deux conducteurs ohmiques C1 et C2 par un seul conducteur ohmique C équivalent
aux deux autres.
a) Quelle sera l’intensité du courant traversant ce conducteur ohmique si la tension à ses bornes est
fixée à 7 V ?
b) A partir du tableau précédent, déterminer l’intensité du courant traversant le conducteur équivalent
pour les différentes tensions qui y sont mentionnées.
c) Tracer sur le graphe obtenu précédemment, la caractéristique intensité-tension du conducteur
ohmique équivalent C. En déduire la résistance R de conducteur ohmique.

!
d) Comparer à la somme + et conclure.

EXERCICE 9: P4.11p.44:
On branche en série avec un générateur de tension continue U = 4,5 V un résistor de résistance
R = 30Ω et un rhéostat AB monté en résistance variable. La résistance du rhéostat peut varier entre 0
et 200Ω. Le rhéostat AB est monté de telle sorte que sa résistance dans le circuit est nulle lorsque le
curseur C est en A et maximale lorsque le curseur C est en B.
1. Faire le schéma du montage.
2. Calculer l’intensité I1 du courant qui circule dans le circuit lorsque la résistance est nulle (curseur
C en A).
3. Calculer l’intensité I2 du courant qui circule dans le circuit lorsque la résistance du curseur est
maximale (curseur C en B).
4. Déduire de ces expériences, le rôle d’un rhéostat dans un circuit.
5. Pour ne pas endommager le résistor, l’intensité du courant qui le traverse ne doit pas dépasser I = 50
mA. Quelle doit être la valeur limite de la résistance du rhéostat ?

EXERCICE 8 : P4.12p.44:
On réalise le montage schématisé ci-après :

A B C
R1 R3

R2 R4

M M’ M

On donne :
UAM = 10 V ; UBM = 5 V ; intensité dans la branche AB : I1 = 100 mA ; R1 = 2R4 = 100Ω.
Calculer :
1) les résistances R1 et R3 ;
2) les intensités I2 dans la branche BM et I3 dans la branche BC ;
3) la tension UCM.

EXERCICE 9: P4. 13p.45:


Le montage représenté ci-dessous est un montage complexe de conducteurs ohmiques.

A B C D
I R I3 R R
I4 I2 I1

R1 R1 R

M
Calculer les tensions et les intensités suivantes :
UBM ; UDM ; UCM, UAM ; I2 ; I3 ; I4 et I.
On donne : I1 = 4 mA et R1 = 2 R = 200Ω.

DIPÔLES PASSIFS NON LINEAIRES

EXERCICE 1 : P5.1p.56: supprimer la question 3)


1. On réalise le montage schématisé ci-dessous (fig. 1) et on fait les mesures :

V
1 kΩ
• •
C D
C D
A V
A
A B
• • A B
Fig. 1 Fig. 2
♦lorsque la photorésistance (L.D.R) est faiblement éclairée, on a I = 0,5 mA et UCD = 4,8 V ;
♦lorsqu’elle est fortement éclairée par une lampe-torche, on a I = 125 mA et UCD = 4,5 V.
Calculer la valeur de la résistance de la L.D.R :
a) lorsqu’elle est faiblement éclairée (on notera R1 la résistance de la L.D.R) ;
b) lorsqu’elle est fortement éclairée (on notera R2 la résistance de la L.D.R).
2. On place en série, dans le circuit précédent, un conducteur ohmique de résistance R = 1 kΩ (fig.2) et
on mesure la tension aux bornes de la pile. On trouve UAB = 4,8 V (quel que soit l’éclairement de la
L.D.R).
2.2. Calculer l’intensité du courant dans le circuit :
a) lorsque la L.D.R est faiblement éclairée (I1) ;
b) lorsqu’elle est fortement éclairée (I2) (mêmes conditions que dans la question n°1).
2.2. Calculer la tension UCD aux bornes de la L.D.R :
a) lorsqu’elle est faiblement éclairée (U1) ;
b) lorsqu’elle est fortement éclairée (U2).

EXERCICE 2: P5.2p.57:
Un générateur délivrant une tension constante U = 20 V est branché en série avec un conducteur
ohmique de résistance R et une diode Zener de tension UZ = 12 V (voir schéma du montage).

U u

La résistance R est une résistance de protection. La diode ne peut supporter un courant inverse
d’intensité supérieure à 40 mA.
Calculer la valeur minimale de la résistance R du conducteur ohmique permettant de protéger la diode
Zener.
EXERCICE 3: P5.5p.58:
On place une diode Zener idéale en série avec une résistance R = 500Ω. On applique à l’ensemble une
tension continue U = 25 V. La tension Zener de la diode vaut Uz = 10 V.

A B C

R

Déterminer les valeurs de la tension UAB et l’intensité du courant dans le circuit dans les cas suivants :
1) la diode est montée dans le sens direct ;
2) la diode est montée dans le sens inverse.
EXERCICE 4: P5.6p.58:
Le tableau de mesures ci-dessous permet de tracer la caractéristique d’une diode au silicium.

U (V) 0 0,15 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,82 0,85 0,90
I (mA) 0 0 0 0 0 0 0,018 0,18 1,6 3 5,4 9,6

nul. On appelle seuil pratique de tension U * la valeur de la tension qui correspond à une intensité nulle
On appelle seuil réel de tension, la valeur U0 de la tension au-dessous de laquelle le courant réel reste

lorsque la courbe est linéarisée.


1. Tracer la caractéristique I = f(U) de la diode étudiée.
Echelle : 1 cm ↔ 1 A ; 1 cm ↔ 0,1 V.
2. En utilisant les définitions ci-dessus, déterminer :

b) le seuil pratique de tension U * .


a) le seuil réel de tension U0 ;

EXERCICE 5 : P5.7p.59:
On se propose de tracer la caractéristique complète d’une diode Zener. Le montage utilisé permet de
dresser le tableau suivant : U est la tension aux bornes de la diode et I l’intensité du courant dans le
circuit.

♦Pour U < 0 :

U (V) 0 -3 -6 -6 - 6,1 - 6,3 - 6,6 - 6,8


I (mA) 0 0 0 0 -1 -6 - 20 - 52

♦Pour U > 0:

U (V) 0 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9


I (mA) 0 0 0 0 0 0,5 20 40

1. Tracer la caractéristique I = f(U) de la diode Zener.


2. Définir la tension de seuil US et la tension de Zener UZ de la diode Zener.
Déterminer graphiquement la tension de seuil US et la tension de Zener UZ de la diode Zener.
3. Expliquer les différents états de fonctionnement de la diode Zener.

EXERCICE 6: P5.8p.59:
Pour une diode électroluminescente rouge (D.E.L), la tension et l’intensité en fonctionnement normal
ont pour valeur : U1 = 1,6 V ; I1 = 10 mA.
1. On veut l’utiliser avec un générateur de tension de 9 V. Quelle est la valeur de la résistance que l’on
doit mettre en série pour que la D.E.L fonctionne normalement ?
2. Cette D.E.L peut supporter une tension Umax = 20 V et une intensité Imax = 45 mA. Quelle est alors la
tension d’alimentation correspondante lorsqu’elle est utilisée en série avec la résistance de la question
1 ? Conclure.
GENERATEURS.
POINT DE FONCTIONNEMENT

EXERCICE 1 : P6.1p.65:
On considère un conducteur ohmique de résistance R et une pile de f.é.m. E et de résistance interne r.
Afin de tracer les caractéristiques de ces deux dipôles, on effectue avec un seul montage, les mesures
suivantes :

I (mA) 20 30 40 50 60 70 80
UR (V) 0,7 1 1,30 1,65 2 2,3 2,65
Upile (V) 3,6 3,4 3,2 3 2,8 2,6 2,4

1. Faire le schéma du montage permettant d’effectuer ces mesures.


2. Tracer les deux caractéristiques intensité-tension sur le même graphe en choisissant une échelle
convenable.
3. En déduire les coordonnées du point de fonctionnement de ce circuit.
4. Déterminer l’expression des coordonnées de ce point en fonction de E, r et R.
5. Déterminer graphiquement E, r et R, puis calculer les valeurs des coordonnées de ce point de
fonctionnement.

EXERCICE 2: P6.2p.66:
Un générateur a une f.é.m. E = 12 V et une résistance interne r = 2Ω.
1. Donner l’équation de la caractéristique U = f(I) de ce générateur.
2. Tracer cette caractéristique. Echelle : 1 cm ↔ 2 V ; 1 cm ↔ 0,1 A.
3. Calculer l’intensité théorique maximale Icc que peut débiter ce générateur.
En réalité, l’intensité maximale que peut débiter le générateur est inférieure à l’intensité Icc
précédemment calculée. Justifier cette affirmation.

EXERCICE 3: P6.3p.66:
1. On veut tracer la caractéristique U = f(I) d’une varistance D (dipôle dont la résistance dépend de la
tension).¨Pour cela, on réalise le montage schématisé ci-dessous :

A
N

G D V
C
M

Lors du relevé des mesures, on obtient les valeurs suivantes :


U (V) 0 1 2 3 4 5 6 7
I (mA) 0 5 15 35 65 100 145 190

a) Proposer une explication de la partie du montage encadré par des pointillés.


b) Le symbole utilisé pour la varistance D est-il correct ? Si non, donner le symbole normalisé de la
varistance.
c) Tracer la caractéristique U = f(I) de cette varistance.
Echelle : 1 cm ↔ 1 V ; 1 cm ↔ 20 mA.
2. On remplace la partie du montage encadrée en pointillés par un générateur de f.é.m. E = 6 V et de
résistance r = 10Ω. Déterminer les coordonnées du point de fonctionnement de cet ensemble.

EXERCICE 4 : P6.4p.66:
On associe en série 6 piles identiques ayant chacune une f.é.m. de 1,5 V et une résistance interne de
0,5Ω.
1. Déterminer la f.é.m. et la résistance interne du générateur équivalent.
2. Représenter la caractéristique intensité-tension du générateur équivalent.
3. Déterminer graphiquement, puis par le calcul, l’intensité du courant de court-circuit.

EXERCICE 5: P6.5p.67:
On réalise un circuit électrique en associant en série une pile, une résistance de protection Rp et une
varistance.
Pour la varistance, on obtient les résultats suivants :

U (V) 0 2,5 3,2 4,6 5,4 6,2 6,8


I (mA) 0 6 10 20 30 40 50

Pour le générateur associé à la résistance de protection, on obtient le tableau de mesures ci-dessous :

U (V) 4,1 3,8 3,4 3,1 2,7


I (mA) 10 20 30 40 50

1. Choisir une échelle convenable et tracer les caractéristiques intensité-tension sur le même graphe.
2. En déduire les coordonnées du point de fonctionnement.
3. Déterminer la f.é.m. du générateur.
4. Calculer la valeur de la résistance de protection sachant que le générateur a une résistance interne de
1,4Ω.
EXERCICE 6: P6.6p.67:
L’équation de la caractéristique d’une pile (P1) est U = 9 – 2.I.
1. Tracer cette caractéristique. Déterminer les valeurs de la f.é.m. E1 et de la résistance interne r1 de
cette pile.
2. Une pile (P2) de f.é.m. E2 = 6 V et de résistance interne r2 = 1,8Ω est placée en opposition avec (P1).
a) Ecrire l’équation de la caractéristique de la nouvelle pile (P) ainsi obtenue.
b) Tracer cette caractéristique.
3. On place en série avec (P) un conducteur de résistance R = 18Ω.
a) Ecrire l’équation de la caractéristique de la pile (P’) ainsi obtenue.
b) Déterminer la valeur de l’intensité du courant de court-circuit de la dernière pile.
Echelle : 0,5 cm ↔ 1 V en ordonnées ; 0,5 cm ↔ 50 mA en abscisses.
LE TRANSISTOR.

EXERCICE 1 : P7.4p.76: supprimer la question 3)


On a réalisé le montage schématisé ci-dessous qui comporte un transistor NPN de gain β = 100
polarisé par deux générateurs G1 et G2 de f.é.m. respectives E1 = 3 V, E2 = 12 V et de résistance
internes négligeables.
On donne : Rc = 200Ω et UBE = 0,7 V.

•C
RB RC

B
G1 •E G2

1. Le transistor fonctionne en régime linéaire. L’intensité du courant IB vaut 0,3 mA.


a) Calculer la valeur à attribuer à la résistance RB.
b) Calculer l’intensité du courant collecteur IC et la tension UCE.
c) Que se passe-t-il si on court-circuite la base B et l’émetteur E ?

a) Calculer le courant IC de saturation (noté IM¦›§ ).


2. On suppose maintenant que le transistor est saturé (par variation de la résistance RB).

b) Déterminer la valeur minimale IO%¨© du courant de base à la limite de la saturation puis la valeur RB
correspondante.

EXERCICE 2: P7.5p.76:
Dans le montage schématisé ci-dessous, le transistor fonctionne en amplificateur de courant. La
tension UBE vaut 0,6 V et le gain en courant est β = 200.

C
RC
IC

IB RB

B
G1 IE G2

E
G1 est un générateur de f.é.m. E1 = 4,5 V et de résistance interne négligeable. G2 est un générateur de
f.é.m. E2 = 12 V et de résistance interne r = 10Ω.
On donne : RC = 100Ω et RB = 20 kΩ.
1. Calculer les intensités des courants IB, IC et IE (on indiquera le sens des différents courants sur un
schéma).
2. Déterminer la valeur de la tension UCE.

EXERCICE 3: P7.6p.77:
Un transistor NPN, polarisé par pont et résistance d’émetteur, fonctionne en amplificateur de courant
selon le montage schématisé ci-dessous.
Le coefficient d’amplification β vaut 100. Les conditions de l’expérience sont les suivantes :
UCE = 6 V ; IB = 0,03 mA ; UBE = 0,6 V ; U0 = 15 V ; RC = 1 kΩ ; R1 = 100 kΩ.

RC IC
R1 I1
I
B C
IB
U0 •

I2 E
R2 RE IE

1. Reproduire le schéma en indiquant le sens des courants I, I1, I2, IC, IE et des tensions UBE et UCE.
2. Calculer les intensités des courants IC, IE, I1, I2 et I.
3. Calculer les valeurs des résistances R1 et R2.

EXERCICE 4 : P7.7p.78:
Un transistor NPN de gain β = 100 est utilisé pour réaliser le dispositif de commande automatique
d’éclairage schématisé ci-dessous.

RC
R
B C
G •
E
RE

M
Le générateur G a une f.é.m. E = 12 V et une résistance interne négligeable. L est une lampe de
résistance négligeable par rapport à RC. La lampe L nécessite pour fonctionner un courant d’intensité
I = 10 mA.
La lampe « se grille » dès que l’intensité du courant qui la traverse est supérieure ou égale à 18 mA.
La tension UBE entre base et émetteur du transistor complètement débloqué reste pratiquement égale à
0,6 V. On donne : RE = 120Ω.
1. Proposer une explication du fonctionnement du dispositif.
2. Sous un éclairage donné de photorésistance R, les mesures du courant IB et de la tension UCE
donnent les résultats : IB = 0,15 mA et UCE = 2 V.
a) La lampe L est-elle allumée ou éteinte dans ces conditions ?
b) Calculer l’intensité IE traversant la résistance RE et la tension UEM à ses bornes.
c) Calculer la résistance RC.
d) Que vaut la résistance R de la photorésistance sous cet éclairage ?
3. Pour quelle valeur limite de la résistance R de la photorésistance la lampe se grille-t-elle ?

EXERCICE 5: P7. 9p.78:


On considère le circuit représenté ci-dessous.

Ic L
(6V ; 0,3A)
Ib 6V
Rb

La lampe installée porte les inscriptions (6V ; 0,3 A) et le gain du transistor en fonctionnement linéaire
est β = 100.
1. Quel est le type de transistor utilisé ?
2. Indiquer le sens du courant dans chaque branche du circuit.
3. Calculer l’intensité du courant dans la lampe pour Ib = 1 mA et Ib = 5 mA.
4. Déduis-en, dans chaque cas, l’intensité du « courant émetteur » Ie.

EXERCICE 6: P7.10p.79:
Pour étudier la fonction amplificateur de courant du transistor 2 N 2219 de type NPN, on réalise un
montage à émetteur commun avec le générateur continu de tension réglable de 0 à 12 V et deux
ampèremètres. Les résultats expérimentaux sont donnés dans le tableau ci-dessous.

Ib (mA) 0 0,2 0,4 0,8 1,0


Ic (mA) 0 20 40 80 100

1. Tracer le graphe Ic en fonction de Ib. Que pouvez-vous en conclure ?


2. Calculer le coefficient d’amplification β du transistor 2N 2219.
3. Quelle est l’intensité du courant de base qui permettrait d’allumer une lampe (1,5V ; 0,2 A) placée
dans le circuit du collecteur ?

EXERCICE 7 : P7. 11p.79:


1. Reproduire le schéma ci-dessous en indiquant par des flèches le sens du courant dans les différentes
branches.
2. Préciser les noms des bornes A1, A2 et A3 du transistor.
3. La lampe fonctionne si l’intensité du courant qui la traverse est 0,4 A. Quelle doit être la valeur du
courant sachant que le gain eu courant du transistor est égal à 50 ?

A2

A1
A3

AMPLIFICATEUR
OPERATIONNEL.

EXERCICE 1 : P8.1p.83: Montage suiveur :


On considère un amplificateur opérationnel parfait utilisé pour réaliser le montage schématisé ci-
dessous :

I1

∆∞
E- I2 S
E+ I3
ue uS Ru
M
L’A.O fonctionne en régime linéaire. La tension d’entrée ue est fournie par un générateur de f.é.m.
E = 6 V et de résistance interne nulle. L’A.O est bouclé directement. Le conducteur ohmique de
résistance Ru = 10 kΩ constitue la charge.
1. Quelle est la valeur de l’intensité I1 du courant entre E- et S ?
2. Montrer que la tension d’entrée us est égale à la tension de sortie ue.
3. Calculer l’intensité I3 du courant qui circule dans la charge Ru. La comparer à l’intensité I2 du
courant qui sort de l’A.O.
4. Quel est l’intérêt d’un tel dispositif ?

EXERCICE 2: P8.2p.83: Montage amplificateur non inverseur :


Le montage amplificateur non inverseur schématisé ci-dessous utilise un amplificateur opérationnel
parfait (A.O) fonctionnant en régime linéaire.

R2

∆∞
E-
S
E+
R1 Ru
ue G M

Le générateur G a une f.é.m. E = 3 V et une résistance interne r = 2Ω. La tension d’entrée est
appliquée sur l’entrée E-. L’A.O est bouclé par l’intermédiaire d’une résistance R2 = 1000Ω. L’entrée
E- est reliée à la masse par une résistance R1 = 500Ω.
1. Montrer que la tension d’entrée us est égale à la f.é.m. E du générateur.
2. Déterminer les sens et les intensités I1 et I2 des courants qui circulent dans les conducteurs ohmiques
de résistance R1 et R2.
3. Etablir l’expression de la tension us en fonction de la tension d’entrée ue et des résistances R1 et R2.
4. La gain A ou amplification en tension du montage est le rapport de la tension de sortie us à la
tension d’entrée ue. Exprimer A en fonction de R1 et R2. Faire l’application numérique et en déduire us.
5. La charge Ru est un conducteur ohmique de résistance Ru = 5 kΩ. Calculer l’intensité Is du courant
débité par l’A.O.
6. Quel intérêt ce dispositif présente-t-il ?

EXERCICE 3: P8.3p.84: Montage amplificateur inverseur :


Le montage amplificateur inverseur schématisé ci-dessous utilise un amplificateur opérationnel parfait
(A.O) fonctionnant en régime linéaire.

R2

R1
∆∞
P E-
I4 S
E+
ue us
M Ru
La tension d’entrée ue positive est appliquée sur l’entrée E- par l’intermédiaire d’une résistance R1 = 2
kΩ. L’A.O est bouclé par une résistance R2 = 5 kΩ. L’entrée E+ est reliée à la masse. La charge Ru est
un conducteur ohmique de résistance variable. La tension d’entrée est fixée à ue = 3 V.
1. Reproduire le schéma en indiquant les sens des courants I1 dans R1 et I2 dans R2. Calculer les
valeurs de I1 et I2.
2. Montrer que la tension de sortie est donnée par l’expression ue = - ! .ue.
3. Calculer le gain A ou amplification en tension du montage. En déduire us.
4. Déterminer le sens et l’intensité du courant I3 dans la charge Ru dont la résistance est réglée à

5. Quelle doit être la valeur de la résistance R*• pour que l’intensité I * du courant entrant dans l’A.O
1000Ω. Le courant I4 sort-il ou entre-t-il dans l’A.O ? Quelle est son intensité ?

(ou sortant de l’A.O) soit égale à 16,5 mA ?

EXERCICE 4 : P8.4p. 85: Montage sommateur inverseur :


On considère le montage sommateur inverseur schématisé ci-dessous.

I2 R2 R
I

I1 R1
∆∞
E-
I4 S
e2 E+
e1 s
M

Les tensions d’entrée e1 et e2 sont appliquées sur l’entrée E- à travers les résistances R1 et R2. L’A.O
est bouclé par l’intermédiaire de la résistance R. La tension de sortie est notée s.
1.a) Etablir la relation entre I, I1 et I2.
b) Etablir la relation entre s, I1, I2 et R.
c) Déterminer l’expression de la tension de sortie s en fonction de e1, e2, R, R1 et R2.
2.a) Que devient l’expression précédente si R = R1 = R2 ?
b) Justifier le nom « sommateur inverseur » attribué à ce montage.

EXERCICE 5: P8.7p.87:
Le schéma ci-dessous utilise un amplificateur opérationnel, un transistor, un haut-parleur et des
résistances.

.
D I3
R2
U3
R1
∆∞
I1 E- C E
S I2 IE
E+ •
R3 B
U1 G1 U2 E
M
On donne R1 = 1 kΩ ; R2 = 500 kΩ ; R3 = 10 kΩ.
Dans les conditions de fonctionnement, le coefficient d’amplification du transistor est β = 100 ; de
plus UBE = 0,7 V.
1.a) Pour U1 = 25 mV, calculer la tension U2 à la sortie du montage amplificateur opérationnel.
b) En appliquant la loi des tensions et la loi d’Ohm, calculer la valeur de l’intensité I2 délivrée par cet
étage. En déduire la puissance P2 = U2.I2.
2. On donne UCE = 3 V. Calculer U3 puis I3. Quelle est la puissance électrique fournie en haut-parleur,
soit P3 = U3.I3 ?
3. Quelle est la fonction du 2ème étage constitué par R2 et le transistor ?

LA MATIERE
ET SES TRANSFORMATIONS

On considère les deux variétés suivantes de l’élément uranium : & U et & U.


EXERCICE 1 : C1.8p.146: mole et grandeurs molaires :

1.a) Que représentent les nombres qui figurent à gauche du symbole U ?


b) Indiquer la composition (nombre de neutrons, nombre de protons) des noyaux des deux variétés
d’uranium.
c) Définir à partir de ces deux variétés d’uranium, la notion d’isotopie.
2. L’uranium naturel est un mélange contenant 99,29 % de l’uranium 238 pour seulement 0,71 % de
l’uranium 235. Calculer la masse molaire atomique de l’uranium naturel sachant que les masses d’une
mole d’atomes de ces nucléides sont respectivement 234,834 g pour l’uranium 235 et 237,889 g pour
l’uranium 238.

EXERCICE 2: C1.9p.147: mole et grandeurs molaires :


L’acide acétylsalicylique est le composant actif des comprimés d’aspirine. L’acide acétylsalicylique,
connu sous le nom commercial d’aspirine a pour formule :
H
O
H C O C
C C CH3

C C OH
H C
1. Déterminer la formule brute et la masse molaire de l’aspirine.
2. Calculer la composition centésimale massique, c’est-à-dire le pourcentage massique de chacun des
éléments présents dans cette molécule.
♦Masse molaires atomiques en g. mol-1 : H : 1 ; C : 12 ; O : 16.

EXERCICE 3: C1.10 p.147: équation-bilan :


Au laboratoire, la décomposition du carbure d’aluminium Al4C3 par l’eau permet d’obtenir le méthane.
La combustion complète du méthane engendre du dioxyde de carbone et de la vapeur d’eau.

Al4C3 + H2O ⟶ CH4 + Al(OH)3


Les équations non équilibrées des réactions ainsi décrites sont :

CH4 + O2 ⟶ CO2 + H2O.


1. Equilibrer ces équations.
2. Quelle masse de carbure d’aluminium faut-il utiliser pour préparer 5,6 L de méthane ?
3. Le méthane ainsi obtenu est brûlé complètement. Calculer le volume de dioxygène utilisé et le
volume de dioxyde de carbone dégagé.
4. On dispose d’un mélange comportant 2 mol de méthane et 100 L de dioxygène. On suppose
toujours une combustion complète.
a) Ce mélange est-il stoechiométrique, sinon quel est le réactif en défaut ?
b) Quelle est la composition du mélange obtenu après réaction totale ?
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : H : 1 ; C : 12 ; O : 16 ; Volume molaire : 22,4 L. mol-1.

LES SOLUTIONS AQUEUSES IONIQUES

EXERCICE 1 : C2.4p.153: question 4 supprimée


On verse une solution aqueuse de chlorure de sodium dans un tube en U. On y introduit deux
électrodes de graphite reliées à un générateur électrique.
Dans le compartiment du tube en U où plonge l’électrode reliée à la borne négative du générateur, on
ajoute un peu d’indigo (voir figure) puis on ferme le circuit.

Phénolphtaléine indigo

solution de
chlorure de
sodium
1. Qu’observe-t-on sur les deux électrodes et dans les deux compartiments ?
2. Comment reconnaît-on le gaz qui se dégage à l’anode ?
3. Ecrire l’équation de la réaction ayant lieu à chaque électrode.
4. Quelle est la masse de chlorure de sodium électrolysée si le volume de gaz qui se dégage à l’anode
est estimé à 100 cm3.
♦Volume molaire : 24 L. mol-1.

TESTS D’IDENTIFICATION DES IONS

EXERCICE 1 : C5.1p.181:
1. Ecrire la formule de :
a) l’ion chlorure ; b) l’ion carbonate ; c) l’ion sulfate ; d) l’ion fer II ; e) l’ion fer III ; f) l’ion cuivre II ;
g) l’ion aluminium ; h) l’ion zinc.
2. Distinguer parmi ces ions, les anions des cations, les ions monoatomiques des ions poly-atomiques.
Pour chacun des ions, préciser sa couleur en solution aqueuse.
3. Décrire le test d’identification de chacun des ions cités à la question 1). Ecrire chaque fois,
l’équation-bilan de la réaction correspondante.

EXERCICE 2: C5.2p.181:
1. Quels sont les ions présents dans chacune des solutions suivantes : chlorure de fer III et sulfate
d’aluminium. On ne tiendra pas compte des ions provenant de l’eau.
2. Ecrire les formules des solutions ci-dessus citées.
3. Décrire, pour chaque ion des deux solutions, un test qui permet de confirmer sa présence.
EXERCICE 3: C5.4p.181:
1. Ecrire les formules et les noms des ions contenus dans chacune des solutions suivantes :
a) sulfate de fer II ; b) nitrate d’argent ; c) sulfate de sodium ; d) chlorure de zinc.
2. On verse une solution de chlorure de baryum (Ba2+ + 2Cl-) dans chacune des solutions précédentes.
Qu’observe-t-ton ?

EXERCICE 4 : C5.5p.182:

solution B de sulfate de zinc (SO + Zn2+).


On veut identifier les ions présents dans une solution A de chlorure de fer III (Fe3+ + 3Cl-) et dans une

1. Donner la couleur de la solution A et celle de la solution B.


2. Donner le nom des ions contenus dans les solutions A et B.
3. Quels sont les produits nécessaires pour identifier les ions présents dans les deux solutions ?
4. Quelles sont les observations qui permettent d’identifier ces ions,

EXERCICE 5: C5.6p.182:
Un flacon dont l’étiquette a disparu contient une solution verdâtre qui renferme un seul type d’anion et
un seul type de cation.
On fait agir la soude sur la solution : on obtient un précipité de couleur pâle. L’action du nitrate
d’argent donne un précipité blanc qui noircit à la lumière. Quels ions renferme la solution ?

EXERCICE 6: C5.7p.182:
Un flacon contient une solution aqueuse incolore qui renferme un seul type d’anion et un seul type de
cation. Les nombreuses expériences réalisées afin de déterminer la nature de la solution ont conduit à
deux résultats positifs.
♦Expérience 1 : lorsqu’on ajoute quelques gouttes d’hélianthine à une fraction de cette solution,
celle-ci prend une teinte rouge.
♦ Expérience 2 : On ajoute quelques gouttes de chlorure de baryum à une fraction de cette solution et
on constate l’apparition d’un précipité blanc.
1. Qu’indique chaque expérience ? Quels sont les ions contenus dans la solution ?
2. De quelle solution s’agit-il ?

Voici les formules de quelques ions contenus dans une eau minérale naturelle : Cl- ; SO ; NO .
EXERCICE 7 : C5.8p.182:

On vous demande d’identifier les ions Cl- , SO et NO présents dans cette eau.
1. Quels réactifs vous seront nécessaires pour votre analyse ?
2. Décrivez le mode opératoire et les observations vous permettant d’identifier ces ions.

EXERCICE 8: C5.9p.182:
Un flacon dont l’étiquette a disparu contient une solution aqueuse incolore. On désire connaître la
nature des ions contenus dans cette solution. Les nombreux tests réalisés ont conduit à deux résultats
positifs.
1. 1er test :

contenant des ions Ca2+ et CO ), on obtient un dégagement gazeux qui trouble l’eau de chaux.
Lorsqu’on verse quelques gouttes de la solution sur un morceau de calcaire (carbonate de calcium

a) Donner le nom et la formule moléculaire de ce composé gazeux.


b) Quel ion de la solution initiale cette réaction permet-elle de mettre en évidence ?
c) Ecrire l’équation de la réaction.
2. 2ème test :
Lorsqu’on ajoute à cette solution quelques gouttes d’une solution de nitrate d’argent (Ag+ + NO ), on
obtient un précipité blanc.
a) Quel ion le nitrate d’argent permet-elle de mettre en évidence ?
b) Ecrire l’équation de la réaction de précipitation.
c) Quelle est la particularité du précipité obtenu ?
3. Parmi les solutions suivantes, laquelle se trouve dans le flacon ? Chlorure de sodium, acide
chlorhydrique, chlorure de fer III. Justifier le choix.

EXERCICE 9: C5.10p.183:
L’eau de robinet fournie par la SODECI contient des ions chlorure. On vous demande de vérifier cette
affirmation. On met à votre disposition les réactifs suivants :

♦ nitrate d’argent (Ag+ + NO )


♦ chlorure de baryum (Ba2+ + 2Cl-)

♦ acide chlorhydrique (H3O+ + Cl-)


♦ soude (Na+ + OH-).
1. Lequel des réactifs utiliserez-vous pour cette vérification ?
2. Décrire rapidement le mode opératoire de l’expérience à réaliser. Quelles observations vous
permettront d’accepter cette affirmation ?

EXERCICE 9: C5.11p.183:
L’étiquette d’une eau minérale naturelle indique la composition chimique suivante :
♦ Anions : ion chlore, ion nitrate, ion sulfate, ion hydrogénocarbonate
♦ Cations : ion calcium, ions sodium, ion magnésium, ion potassium.
1. Pour vérifier que la solution contient des ions chlorure, on utilise le nitrate d’argent.
a) Qu’observe-t-on ? Ecrire l’équation-bilan de la réaction.
b) La concentration des ions chlorure de cette bouteille contenant 1,5 L d’eau minérale est 115 mg/L.
Calculer la masse d’ions argent qu’on doit utiliser pour précipiter tous les ions chlorure contenus dans
l’eau minérale de cette bouteille.
c) Calculer la masse du précipité obtenu dans ce cas.
2. On se propose de déterminer la masse des ions sulfate contenus dans la bouteille d’eau minérale.
a) Dans 250 cm3 de cette eau, on verse du chlorure de baryum. Qu’observe-t-on ? Ecrire l’équation-
bilan.
b) Pour précipiter tous les ions sulfate contenus dans ce prélèvement, on utilise 3,4 mg d’ions baryum.
Calculer la masse des ions sulfate contenus dans cette bouteille d’eau minérale. En déduire la
concentration en mg/L des ions sulfate.
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Cl : 35,5 ; S : 32 ; Ag : 108 ; Ba : 137,5.

SOLUTIONS ACIDES. SOLUTIONS BASIQUES.


MESURE DE pH

EXERCICE 1 : C3.1p.164:
On dissout 2 g d’hydroxyde de sodium (NaOH) dans 5 L d’eau distillée.
1. Calculer la concentration massique de la solution obtenue.
2. Calculer la concentration molaire de la solution obtenue.
3. Quelle masse d’hydroxyde de sodium faut-il dissoudre dans l’eau distillée pour obtenir 1,5 L de
solution de concentration molaire C = 0,04 mol. L-1.
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : H : 1 ; O : 16 ; Na : 23.

EXERCICE 2: C3.2p.164:
La concentration massique d’une solution d’hydroxyde de sodium est égale à 2,5 g/L.
1. Déterminer la concentration molaire de cette solution.
2. Calculer la mass d’hydroxyde de sodium nécessaire pour préparer 2,5 L de cette solution.
3. En déduire le nombre de moles d’hydroxyde de sodium correspondant.
♦Masse molaires atomiques en g. mol-1 : H : 1 ; O : 16 ; Na: 23.

EXERCICE 3: C3.3p.164:
Un volume V = 2 L d’acide chlorhydrique de concentration molaire C = 5.10-2 mol. L-1 est obtenu en
dissolvant un volume v0 de chlorure d’hydrogène gazeux dans l’eau distillée.
1. Calculer le volume v0 mesuré dans les conditions normales de température et de pression.
2. On ajoute 5,85 g de chlorure de sodium solide à la solution précédente. Calculer la concentration
des ions Cl- et des ions sodium Na+ dans le mélange.
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; Cl : 35,5.

EXERCICE 4 : C3.4p.164:
On dissout 0,48 L de gaz chlorure d’hydrogène dans 100 cm3 d’eau pure. La dissolution se fait sans
variation de volume. Calculer la concentration molaire de la solution obtenue.
♦Volume molaire : VM = 24 L. mol-1.

EXERCICE 5: C3.5p.164:
1. Quelle masse m d’hydroxyde de sodium (pastilles) doit-on dissoudre dans l’eau pour obtenir
V = 500 cm3 d’une solution de soude de concentration molaire 2.10-1 mol. L-1 ?
2. On ajoute 1 L d’eau à la solution précédente. Calculer la concentration molaire de la nouvelle
solution.

EXERCICE 6: C3.8p.165:
Calculer le pH des solutions aqueuses suivantes à 25 °C connaissant leurs concentrations molaires en
ions H3O+ ou anions OH-.
1) [H3O+] = 8,0.10-9 mol. L-1.
2) [H3O+] = 0,0016 mol. L-1.
3) [OH-] = 5,0.10-8 mol. L-1.
4) [OH-] = 0,01.10-5 mol. L-1.
On donne : 100,9 = 8 ; 101,2 = 16 ; 100,3 = 3.
Préciser chaque fois la nature (acide, basique ou neutre).

EXERCICE 7 : C3.9p.165:
Calculer les concentrations molaires en ions H3O+ et OH- des solutions aqueuses dont les pH à 25 °C

On donne : 10 , = 6,3 ; 10 , = 3,16.


sont : 4 ; 10,2 ; 4,50.

EXERCICE 8: C3.10p.166:
Un jus d’orange a un pH = 3,2 à 25 °C.
1. Quelles sont les concentrations molaires volumiques en ions hydronium et en ions hydroxyde ?
2. Calculer le nombre de moles d’ions H3O+ et d’ions OH- dans un volume V = 0,5 L de jus d’orange.
On donne : 100,8 = 6,3.

EXERCICE 9: C3.11p.166:
1. L’analyse d’une eau naturelle a montré qu’elle contient, par litre : 7,5.1016 ions hydronium et
4,8.1016 ions hydroxyde.
a) Cette eau est-elle acide ou basique ? Justifier votre réponse.
b) Parmi les valeurs suivantes (6,9 ; 7 ; 7,1), quelle est celle qui peut correspondre au pH de cette eau ?
Justifier votre réponse.
2. Deux solutions A et B ont pour pH : A (pH = 3) et B (pH = 10). On prélève 1 cm3 de chacune d’elle
qu’on dilue avec de l’eau distillée de façon à obtenir 10 cm3 d’une solution A’ et 10 cm3 d’une
solution notée B’.
Placer sur une échelle de pH, l’eau distillée et les solutions A, B, A’ et B’.

EXERCICE 10 : C3.13p.167:
1. Qu’appelle- t – on concentration molaire et concentration massique ?
Etablir l’expression entre la concentration molaire et la concentration massique.
2.a) Qu’est-ce qu’une solution aqueuse ?
b) Comment peut-on montrer qu’une solution aqueuse est acide ?
c) Comment mettre en évidence qu’une solution aqueuse est ionique ?
3.a) Quelle masse de chlorure de sodium NaCl faut-il dissoudre dans l’eau pour obtenir 500 cm3 d’une
solution de concentration molaire 0,02 mol. L-1 en NaCl ?
b) Quelle est alors la concentration massique de la solution obtenue ?
c) A la solution précédente, on ajoute Ve = 1,5 L d’eau. Calculer la nouvelle concentration molaire.
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; Cl : 35,5.

EXERCICE 11: C3.14p.167:


On dissout une masse m de chlorure de sodium dans l’eau et on obtient V1 = 100 cm3 d’une solution A
de concentration molaire C1 = 10-1 mol. L-1. On prélève le quart de cette solution qu’on place dans un
bécher et on complète avec de l’eau distillée de façon à obtenir V2 = 200 cm3 d’une solution B de

On prélève V * = 10 cm3 de la solution B qu’on dilue 20 fois ; on obtient une solution C de


concentration C2.

concentration C3.
Calculer :
1) la masse m de chlorure de sodium utilisé ;
2) la concentration molaire en ions Na+ et Cl- de la solution A ;
3) la concentration molaire C2 de la solution B ;
4) la concentration molaire C3 de la solution C.
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; Cl : 35,5.

EXERCICE 12: C3.16p.167:


Une solution aqueuse S de volume V = 0,6 L est obtenue en dissolvant une masse m = 1,17 g de
chlorure de sodium et 1,8.10-4 mol de chlorure d’hydrogène dans l’eau.
1.a) Quelles sont les espèces chimiques présentes dans cette solution ?
b) Calculer leurs concentrations molaires volumiques.
2. On prélève 25 mL de la solution S que l’on dilue 50 fois. Calculer le volume de la solution obtenue
et le volume d’eau qu’il a fallu ajouter.
REACTION ACIDO-BASIQUE.
DOSAGE
EXERCICE 1 : C4.1p.171:
1. On dissout 5,6 L de chlorure d’hydrogène (volume mesuré dans les conditions normales) dans de
l’eau distillée et on obtient 0,5 L d’une solution d’acide chlorhydrique. Calculer la concentration
molaire de la solution A obtenue.
2. On dissout 8 g d’hydroxyde de sodium solide dans de l’eau distillée de façon à obtenir 500 cm3
d’une solution B d’hydroxyde de sodium. Calculer la concentration molaire de la solution B.
On prélève 20 cm3 de la solution A que l’on place dans un bécher avec quelques gouttes de bleu de
bromothymol.
a) Quelle est la couleur prise par la solution contenue dans le bécher ?
b) On dose cette solution A par la solution B d’hydroxyde de sodium. Celle-ci est placée dans une
burette graduée. Calculer le volume de la solution B qu’il faut verser dans la solution A pour réaliser
le virage de l’indicateur.
c) Ecrire l’équation-bilan de la réaction entre la solution A d’acide chlorhydrique et la solution B
d’hydroxyde de sodium.
♦Volume molaire : 22,4 L. mol-1.
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; H : 1 ; O : 16.

EXERCICE 2: C4.2p.172:
Un bécher contient une solution d’acide chlorhydrique de concentration molaire Ca = 10-1 mol. L-1.
1. Quel volume de gaz chlorure d’hydrogène, mesuré dans les conditions normales, faut-il dissoudre
dans l’eau pour obtenir 500 mL de solution ayant cette concentration molaire ?
2. Dans Va = 300 mL de cette solution, on ajoute une masse m d’hydroxyde de sodium pur.
a) Ecrire l’équation de la réaction.
b) Quelle doit être la valeur de la masse m pour obtenir la neutralisation acido-basique ?
3. Quelle serait la concentration molaire de la solution d’hydroxyde de sodium qu’on obtiendrait en
dissolvant cette masse m dans 2 L d’eau ?
♦Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; O : 16 ; H : 1.

EXERCICE 3: C4.5p.173: attention !!! légère modification : question 3 supprimée


1. Un volume V = 100 cm3 d’acide chlorhydrique de concentration molaire 5.10-2 mol. L-1 est obtenu
en dissolvant un volume v de chlorure d’hydrogène dans l’eau. La dissolution se fait sans variation de
volume.
a) Calculer le volume v du chlorure d’hydrogène utilisé.
b) Calculer le pH de la solution obtenue.
2. L’acide chlorhydrique ainsi préparé est ajouté progressivement à 20 cm3 d’une solution
d’hydroxyde de sodium. On constate que l’équivalence acido-basique est atteinte pour un volume Va
d’acide versé égal à 40 cm3.
a) Que représente l’équivalence acido-basique ?
b) Ecrire l’équation de la réaction qui a lieu lors du dosage.
c) Calculer la concentration molaire de la solution d’hydroxyde de sodium. En déduire son pH avant
le dosage.
EXERCICE 4 : C4.7p.174 : attention !!! légère modification
1. Dans des conditions où le volume molaire vaut 24 L, on prépare une solution S1 d’acide
chlorhydrique en dissolvant 0,96 L de gaz chlorhydrique dans 4 dm3 d’eau pure.
a) Calculer la concentration molaire Ca de cette solution S1.
b) Quel est son pH ?
2. On utilise la solution précédente pour doser une solution S2 de soude, de volume 5 L et contenant
une masse m de pastilles de soude dissoutes. L’équivalence acido-basique est obtenue lorsqu’on a
versé un volume V2 = 20 cm3 de S2 dans 30 cm3 de S1.
a) Ecrire l’équation-bilan de la réaction de dosage.
b) Quelle est la valeur Cb de la concentration molaire de S2 ?
c) Calculer la valeur de la masse m.

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