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3. Force neutralisante: quelque chose de plus haut, qui décide la lutte dès deux = Dieu
Le rappel de Soi est une technique employée à invoquer une état supérieur de la conscience
dans votre organisme. Il est nécessaire d'avoir un but, de la volonté et de faire des efforts, par
dessus une bonne quantité des observations sur le Soi.
Tâchez de diviser votre attention en observant à la fois vous-méme, votre corps et vos
environs. Essayez de discerner la relation que vous avez avec le monde autour de vous.
Tâchez aussi d'appercevoir les connections des choses extérieures a votre personne. Un
universe plus riche en sensations s'ouvrira à votre présence. Plus vous serez capable de vous
détacher en regardant à vous-même regardant les choses qui vous attirent ou vous repoussent,
plus vous serez éveillé. On appele ça regarder objectivement sur votre relation à
l'environment.
L'attention simultane a des gradations, tout comme l'observation de Soi et le rappel.
Commencez par petites doses, puis augmentez vos efforts.
Toute chose nouvelle viens d'abord par éclats. Rien ne se manifeste d'un coup en totalité.
Vous devez vous concentrer sur une seule chose— sommeil et éveil, et la possibilité de
l'éveil.
Pendant que vous travaillez sur vous-même; vous irez constater une sensation nouvelle dans
les choses habituelles, vous irez appercevoir que les mêmes données de votre vie seront
différentes, plus significatives. Ç'est là l'effet normal du rappel de Soi. Le temps changera
aussi pour vous. Une journée peut avoir le contenu d'une semaine, une mois ou plus. Le temps
pourra sembler s'accélérer ou s'arrêter à la fois. La densité de vos experiences pourra changer,
c'est-à-dire, vous pourrez eprouver plus d'événements sur l'unité de temps.
Etrange figure que celle de G.I. Gurdjieff. Très controversée aussi. Quand est-il né? Nul ne
sait. Certains disent 1866, d'autres 1872, 1877… Peut-être existait-il depuis toujours, puisque
la rumeur prétend qu'il était le détenteur d'une science secrète oubliée depuis dix mille ans. Il
laisse des ouvrages obscurs, illisibles et énigmatiques, qui ont pour nom Récits de Belzébuth
avec son petit-fils, ou Rencontres avec des hommes remarquables (porté au cinéma par Peter
Brook).
Né dans le Caucase d'une mère arménienne et d'un père grec, il part, à l'âge de 18 ans, pour
découvrir «la vérité essentielle». Il disparaît pendant plus de vingt ans, au fin fond du désert
de Gobi, croit-on… En 1912, il réapparaît à Moscou et bouleverse le philosophe Ouspensky
lors de leur première rencontre: pour lui, aucun doute, Gurdjieff est le détenteur d'un secret
extraordinaire, d'un savoir ésotérique dont personne n'a jusqu'ici entendu parler, qu'il ramène
d'Asie centrale.
Après bien d'autres péripéties, Gurdjieff arrive en 1922 à Paris. Il crée son Institut de
développement harmonique de l'homme au Prieuré d'Avron, où l'enseignement est fondé sur
son «savoir secret».
Paul Beekman Taylor, dont la mère a eu un enfant de Gurdjieff, et qui a vécu sa prime
enfance au Prieuré au début des années 30, puis revu Gurdjieff après la guerre, est professeur
de littérature médiévale anglaise à l'Université de Genève. Témoin direct, imprégné par cette
expérience marquante, il a publié sur Gurdjieff un premier livre en 1998, Shadows of Heaven:
Gurdjieff and Toomer. Un autre doit paraître prochainement (également en anglais).
- Paul B. Taylor, comment votre chemin a-t-il croisé celui de Gurdjieff?
- En 1922, ma future mère, née aux Etats-Unis, est arrivée à Paris où, à cette époque, l'on
brassait toutes sortes d'idées philosophiques, théosophiques, spiritualistes… Les rumeurs et
les histoires les plus folles couraient sur Gurdjieff - on l'avait vu en deux endroits différents en
même temps, etc. Ma mère, liée avec un groupe d'intellectuelles américaines comme Gertrude
Stein, ou encore avec l'écrivain Scott Fitzgerald, est allée le voir. Et elle a vécu par
intermittence au Prieuré, sa propriété, pendant plus de dix ans, jusqu'en 1935!
»De Gurdjieff, elle a eu, en 1928, une fille, qui est ma demi-sœur. Je suis moi-même né en
1930. Si je n'ai jamais connu mon père, j'ai passé ma première enfance au côté de Gurdjieff,
dans une atmosphère fascinante. Il maintenait au Prieuré puis à Fontainebleau un entourage
extraordinaire. Des gens comme Gertrude Stein, Marcel Duchamp, Man Ray, Max Ernst,
Brancusi, des médecins, des mathématiciens venaient lui rendre visite. La romancière
Katherine Mansfield a tout abandonné pour le suivre.
»Chaque soir, à table, il y avait vingt à trente personnes. On portait des toasts à l'armagnac.
Gurdjieff se faisait servir une tête entière de mouton. Quelquefois, comme une faveur, il m'en
donnait les yeux…
- Mais c'était un douteux gourou, le chef d'une secte, non?
- Non, les gens autour de lui formaient un phalanstère, une communauté. Pas une secte.
Gurdjieff ne voulait ni adulation ni obéissance. Et son entourage n'était soumis à aucun rite,
sinon à celui des toasts à l'armagnac (rires). Un gourou? Peut-être, mais alors dans un sens
positif. Cela dit, il est vrai qu'après sa mort, en 1949, on a surtout vu en lui un charlatan.
- Quel genre d'homme était-ce?
- Oh, il n'était pas beau, 1 m 65 environ, assez corpulent, il buvait beaucoup; magnifique
cuisinier, il adorait manger. Surtout, son magnétisme était extraordinaire, ses yeux
hypnotiques. Les femmes l'adoraient. Il prétendait avoir eu 104 enfants, 80 fils et 24 filles.
Personnellement, je n'en dénombre que sept. Il parlait arménien, russe, turc, grec, certaines
langues asiatiques, français, anglais…
»Mais quand il parlait, c'était toujours d'une façon qui forçait l'attention de son interlocuteur.
Il n'utilisait jamais le verbe être, par exemple. Il évitait les figures de style, et disait tout très
directement, quitte à être obscène: ces obscénités avaient un sens très exact pour lui.
»Il pensait que l'immense majorité des gens sont endormis, et qu'ils doivent apprendre à être
éveillés. D'où l'idée qu'il faut que chacun serve de «réveil-matin» aux autres.
- Provocateur?
- Oui. Il fallait déstabiliser les gens, les désarçonner.
- En quoi consistait exactement cette connaissance essentielle qu'il disait avoir trouvée?
- (Rires) Ha! Si je pouvais vous le dire! Dans un nouveau livre que je viens de terminer sur
lui, je piste toutes les connaissances possibles dont on décèle des traces dans ses Récits de
Belzébuth à son petit-fils: les classiques, les stoïciens, les Esséniens, les connaissances
orphiques, pythagoriennes, tous ces apports sont assez faciles à reconnaître dans son œuvre.
»Mais tout à coup interviennent des connaissances dont on ne peut plus identifier la source.
Seule certitude: il avait l'idée que l'origine de l'univers et sa structure sont reflétées dans la
musique.
- Qu'avez-vous pensé de ses «Récits de Belzébuth à son petit-fils», parus à titre
posthume, en 1950?
- Pour moi, c'était illisible! même si j'avais baigné dans ce livre depuis mon enfance, puisque
j'en avais constamment entendu lire des passages. Voilà dix ans, j'ai tout relu. Avec le
sentiment d'y trouver des choses tout à la fois extraordinaires, bizarres, incompréhensibles…
C'est comme une cathédrale gothique… Il y a un ensemble… Je tiens le chapitre sur la planète
Purgatoire pour une histoire de la Création en des termes superbes.
»D'ailleurs, certains physiciens américains ont remarqué que ces Récits de Belzébuth
établissaient très nettement deux éléments du Tableau périodique des éléments pas encore
découverts à l'époque… Certains pensent qu'il y a là-dedans une histoire du passé et du
présent, mais aussi du futur de la Terre… La science croit aujourd'hui que la Lune résulte du
choc d'un météore avec la Terre: Gurdjieff l'avait dit dans Belzébuth!
- Pourquoi ce titre de Belzébuth?
- Belzébuth, c'est le dieu Baal, un dieu philistin. Chez Gurdjieff, chassé de l'Absolu où se tient
le Dieu créateur, Belzébuth, pendant son exil, traverse l'univers, habite sur Mars, séjourne six
fois sur la Terre, dont il observe l'histoire pendant des milliers d'années. Au terme de
multiples souffrances, il parvient à une connaissance objective et réintègre le centre de
l'univers. »Cela dit, il faut admettre que personne n'a jamais compris ce livre. Beaucoup ont
pensé qu'il contenait une clé pour découvrir les secrets de l'univers et de la connaissance. Ne
l'ayant pas trouvée, plusieurs se sont sentis déçus, trompés… Sans comprendre que Gurdjieff
ne voulait pas donner de clé.
- A ce livre a succédé «Rencontres avec des hommes remarquables», souvent présenté
comme une autobiographie…
- Ce que ce livre n'est pas, à mon avis. On constate très vite que chacune de ces rencontres
(faites pendant les vingt ans où Gurdjieff a disparu) reflète une perspective différente sur le
monde… Certains, comme Peter Brook, qui a tourné Rencontres avec des hommes
remarquables, ont pris ce livre à la lettre: l'exil de Gurdjieff dans le désert de Gobi, le
monastère où il aurait découvert une connaissance fondamentale…
- Vous parliez d'éveil… C'était l'ambition de Freud aussi, d'éveiller les gens: rendre
conscient ce qui est inconscient.
- Oui, il y a des points communs. Mais Gurdjieff n'aimait pas le déterminisme freudien. Il
croyait qu'on pouvait agir sur soi, se libérer par des actes de volonté et des exercices
pratiques.
- Ses méthodes pédagogiques, très dures, en ont choqué plus d'un.
- Chez chacun, il pointait exactement là où ça faisait mal, le défaut de la cuirasse. Et il
réduisait souvent les gens en larmes. Dans quel but? Afin que les gens commencent par
prendre une connaissance plus objective d'eux-mêmes… Et que tout acte soit accompli en
pleine conscience, volontairement. Plus d'une fois, il m'en a fait la leçon.
»Un jour que nous voyagions en voiture de Paris à Genève, et que nous déjeunions de poisson
sur un quai au bord du lac, j'aide la serveuse à porter les plats. Nous traversons la route. Mon
plat est brûlant. Je m'apprête à le déposer sur la table. Et Gurdjieff crie: STOP! Je
m'immobilise, le plat en main. Une agonie! La main brûlée, j'ai mangé avec l'autre pendant
tout le repas.
- Plutôt sado-maso, non? Ça a vraiment un sens, ça?
- Ça correspond à ce que Gurdjieff appelait la «souffrance intentionnelle». C'est-à-dire une
maîtrise de sa propre souffrance. Au terme du repas, je n'avais d'ailleurs plus aucune trace de
brûlure sur la main, juste une petite rougeur… Incompréhensible.
»Autre exemple: si vous parcouriez deux heures à travers une tempête de neige pour atteindre
enfin votre but avec soulagement, Gurdjieff vous dirait: retrace tout ton chemin. Pourquoi?
Pour tout refaire de façon volontaire. Gurdjieff ne voulait pas que l'homme agisse par
habitude, par automatisme. Il fallait que chaque acte soit animé d'une volonté.
»En 1948, j'ai une fois laissé échapper devant lui un négligent «yeah», très américain. Il m'a
dit: «Je te donnerai une voiture Mercury si toi dire correctement «yes» (il baragouinait
l'anglais, aussi pour forcer l'attention des gens). Il voulait que je sois conscient de la façon
dont je m'exprimais.
»Moi, jeune homme pauvre, j'étais fou de joie! Hélas! Deux jours plus tard, je lâche
étourdiment un sonore «yeah!» Alors, lui: «Toi avoir perdu une voiture Mercury» (rires).
J'étais effondré.
- Le personnage paraît peu sympathique.
- Il ne recherchait pas la sympathie. La sympathie fait partie des sentiments subjectifs, et il ne
voulait pas attirer les gens de façon subjective. Son but, c'était la connaissance objective, et
c'est pourquoi il s'attachait à créer la distance.
- On s'est toujours demandé d'où lui venaient les fonds nécessaires à son extraordinaire
train de vie.
- (Rires) Ah, quelle magnifique question! Oui, Gurdjieff était très doué pour trouver de
l'argent. Il a tout fait. Médecin, magnétiseur, cuisinier, maître de danse, tisseur de tapis,
vendeur d'épices orientales… Il a ramassé une fortune en vendant aux touristes américains des
canaris qui étaient des moineaux peints en jaune. Avec lui, tout était possible! Il répétait
toujours qu'il avait soixante métiers différents. D'ailleurs, selon lui, dès qu'on maîtrisait une
activité, il fallait passer à une autre.
- Hum… il encourageait fortement les gens de son entourage à contribuer à son Œuvre.
Il appelait cela régler «la question matérielle»…
- Oui. Il mettait la pression sur les gens sur le plan financier, notamment auprès des
gurdjieffiens de New York, parce qu'il lui fallait entretenir le Prieuré puis Fontainebleau - une
trentaine de personnes dépendaient entièrement de lui. Mais l'argent n'était pour lui rien
d'autre qu'un sale moyen pour faire les choses. Il en récoltait de toutes les manières possibles,
mais il en donnait aussi de façon faramineuse! Je l'ai vu laisser des pourboires
invraisemblables… Peu lui importait de claquer l'argent, il savait qu'il en «refabriquerait» le
lendemain.
- Vous racontez une drôle d'histoire dont le cadre est le Buffet de la Gare de Genève.
- En 1949, oui. Nous étions vingt à table et au terme du repas - il n'avait pas un sou - il a
lancé: Qui va payer? Chacun a fouillé ses poches - sauf ceux qui n'avaient rien, comme moi -
et la somme a été prestement réunie. Mais, à Dijon, lors du même voyage, plus personne
n'avait de quoi régler l'hôtel: Mme Caruso, la veuve du grand ténor, qui était des nôtres, s'est
portée garante, et l'affaire était réglée.
- Peu avant cet épisode, après votre propre retour aux Etats-Unis avec votre mère, vous
l'aviez déjà revu.
- Oui, en 1948. Nous attendions tous sa venue à New York, nous répétant: Gurdjieff arrive! Je
préparais des examens à l'Université de New York. Ma mère m'appelle: Gurdjieff est là,
viens! J'ai tout lâché. Certains le trouvaient vieilli, malade, mais il continuait à se dégager de
sa corpulence physique une puissance extraordinaire! Il ne dormait pas plus de deux heures
par nuit (sa méthode aurait été enseignée aux cosmonautes soviétiques) et il était toujours vif,
alerte!
»Nous avons été invités à partager son hôtel, 57e rue, puis nous l'avons suivi à son retour à
Paris. Imaginez! J'avais 18-19 ans. Je vivais dans cet entourage, en compagnie de femmes
magnifiques, Tatania, la petite-fille d'Ouspensky, la fille de l'architecte Frank Lloyd Wright et
Dushka Howarth, une fille de Gurdjieff qui était modèle à Paris.
- Quand l'avez-vous vu pour la dernière fois?
- La dernière, c'était quelques mois avant sa mort, place de l'Etoile. Il m'aperçoit, m'appelle.
Alors qu'on nous apporte de minuscules tasses de café turc, il me dit: Maintenant, c'est à toi
de raconter des histoires. Que voulait-il dire par là? Que, comme la musique, comme la danse,
les histoires encodent une connaissance du monde et de l'univers.
- Aujourd'hui, que reste-t-il de Gurdjieff?
- Le New Age s'est emparé du personnage. Dans le monde anglo-saxon, on réédite ses livres.
En France aussi. En Angleterre, aux Etats-Unis, des groupes fort nombreux étudient la danse
selon ses conceptions, ses livres, sa pensée.
»La Suisse elle-même est l'un des centres principaux d'où rayonne son enseignement, puisque
sa disciple, Jeanne de Salzmann, qui vit à Genève, transmet, avec d'autres, les conceptions de
Gurdjieff sur la danse. Il existe aussi à Chandolin un centre Gurdjieff, qui rayonne jusqu'à
Londres, Phoenix, Houston…
- A vous entendre, on a l'impression que l'un des buts de Gurdjieff était de remettre en
question les valeurs qui fondent toute notre vision du monde. Diriez-vous que c'était un
«philosophe de la déconstruction» avant l'heure?
- Je le crois. J'ai même écrit un article sur ce sujet. Oui, il voulait déconstruire notre vision du
réel. Il le voulait d'autant plus que pour lui, notre âge de l'industrie et de la technologie était
avant tout un moyen pour l'homme de tout changer autour de lui, sauf lui-même.
»Certains paraissent l'avoir compris. Frank Lloyd Wright, par exemple, n'a jamais caché que,
du jour où il avait rencontré Gurdjieff, toutes ses conceptions en architecture s'en étaient
trouvées changées: en 1956, il a construit le musée Guggenheim à New York.
Bruno de Panafieu
Georges Ivanovitch Gurdjieff
Bruno de Panafieu
Georges Ivanovitch Gurdjieff
Les Dossiers H
L'Age d'Homme
1994
ISBN 2-8251-0283-0
401 pages
Sommaire
Jeanne de Salzmann
Le Regard
Première initiation
Réflexions
Roy Finch
Le Cosmos sacré
François Stahly
Une voie exigeante
Michel Camus
De la conscience du corps au "corps de la conscience"
Louis Pauwels
Du détachement...
Michel Legris
Dites-moi en cinq minutes
Pierre Schaeffer
Un consolateur assez sévère
Peter Brook
Une autre dimension: la qualité
Jean-Claude Carrière
Recherche intérieure
Christian Heck
Entre la forme et l'indéfinissable
Jerzy Grotowski
C'était une sorte de volcan
John Pentland
Le recherche commence maintenant
Musiques et mouvements
Pauline de Dampierre
Les Mouvements
David Hykes
Vers une écoute en éveil
Laurence Rosenthal
La musique de Gurdjieff
Marthe de Gaigneron
Danses sacrées
Perspectives traditionelles
Jacques Choisnel
"Car Ses œuvres ne resteront pas inachevées"
Michel Random
Les Hommes du blâme et la quatrième voie
Jacques Lacarrière
Lettre à un gnostigne contemporain
Dorothea Dooling
L'Échelle de l'évolution
Arnaud Desjardins
Hommage à Gurdjieff
Ravi Ravindra
Gurdjieff et l'enseignement de Krishna
Ètudes
Robin Skynner
Gurdjieff et la psychologie moderne
David Appelbaum
La place de l'homme dans le temps
Patrick Decant
Mécanicité et conscience
Charles T. Tart
La dynamique du sommeil éveillé
Jacob Needleman
Gurdjieff et la métaphysique de l'energie
Basarab Nicolescu
La philosophie de la Nature de Gurdjieff
Le parole de Gurdjieff
Questions et réponses
Témoignages
Roger Lipsey
Instants et regards
René Zuber
Carnet et notes
Michel Conge
Face à Monsieur Gurdjieff
Henriette Lannes
Il faisait corps avec ses idèes
René Daumal
La mort spirituelle
Luc Dietrich
La quête de la sincérité
Alfred R. Orage
Qui sont les meilleurs?
William J. Welch
Je me rappelle...
A.M. de Vilaine-Cambessédès
Aucun effort conscient n'est jamais perdu
Manuel Rainoird
Lettre à un ami
Solange Claustres
Le dessert
Jacques Le Vallois
Commencer à voir
Geneviève Lief
Comment j'ai appris qui il était
William Segal
Le patriarche venu d'Occident
Henri Tracol
Pour ne pas conclure
Repères biographiques
L'œuvre écrite de G.I. Gurdjieff
Biographie, discographie
Sur les auteurs