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LE R O L E D U B I G D ATA E T D E
ll
L’ I N T E L L I G E N C E A R T I F I C I E L L E A U
S E I N D E L’ E N T R E P R I S E
Prénom : Imane
N° apogée : 17002048
2019/2020
1
Table des matière
Introduction …………………………………………………………………………………………………………………………3
Fiche 1 : Intelligence artificielle : une mine d’or pour les entreprises ……………………………………5
Fiche 2 : Big data, machine learning, intelligence artificielle… N’oublions pas le manager ……6
Fiche 5 : Intégrer l’intelligence artificielle dans l’entreprise, un défi pour les managers ……..10
Fiche 6 : Le big data, une révolution qui transforme l’entreprise en profondeur ………………..11
Fiche 14 : Les données de votre entreprise ont-elles une réelle valeur à l’ère de l’intelligence
artificielle ? …………………………………………………………………………………………………………………………23
Fiche 15 : Big data : quand l’analyse prédictive permet d’optimiser la supply chain ……………25
Fiche 17 : Comment mieux utiliser la data dans une entreprise de taille moyenne ? ………….29
Fiche 18 : Relation client :l’intelligence artificielle et le big data changent les règles du jeu..31
Synthèse …………………………………………………………………………………………………………………………….37
Bibliographie ………………………………………………………………………………………………………………………39
2
Introduction :
« Les données sont le nouveau pétrole », c’est la phrase qu’on la trouve affirmée dans des
centaines d’articles de nos jours. Ce qu’ils veulent dire par là, c’est qu’elles sont le carburant
qui alimentera l’économie de l’intelligence artificielle.
Afin de répondre à cette question, nous avons choisis les 20 articles suivants issus des
revues MIT Sloan Management Review, Revue internationale de gestion et Harvard Business
Review :
- Intelligence artificielle : une mine d’or pour les entreprises - Laurent Charlin
- Big data, machine learning, intelligence artificielle… N’oublions pas le manager -
Kévin Carillo
- Le big data au service de la gestion du capital humain - Fabien Galthié, Adrien Vial
- Get the Most Out of AI Today - Sam Ransbotham
- Intégrer l’intelligence artificielle dans l’entreprise, un défi pour les managers - Céline
Laurenceau
- Le big data, une révolution qui transforme l’entreprise en profondeur - Kévin Carillo
- Les algorithmes remplaceront-ils les gestionnaires ? - Xavier Parent-
Rocheleau, Manon Arnaud
- Ce que l’intelligence artificielle va changer pour les managers - Virginie Rio-Jeanne
- Demain, votre manager sera-t-il une machine ? - Tessa Melkonian
- MÉGADONNÉES : QUEL RÔLE POUR LE GESTIONNAIRE? - François Normandin
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- Quelles applications concrètes pour le big data ? - Nicolas Glady
- Comment exploiter le big data ? - Nicolas Glady
- MÉGADONNÉES ET INTELLIGENCE ARTIFICIELLE AU CŒUR DE L'INDUSTRIE 4.0 -
Eléonore Genolhac
- Les données de votre entreprise ont-elles une réelle valeur à l’ère de l’intelligence
artificielle ? - Avi Goldfarb, Joshua Gans, Ajay Agrawal
- Big data : quand l’analyse prédictive permet d’optimiser la supply chain - Linda
Attari, Jean-Baptiste Besson
- Comment faire du Big Data une réalité ? - Laurence Chrétien
- Comment mieux utiliser la data dans une entreprise de taille moyenne ? - Nicolas
Glady, Aswhin Malshe
- Relation client : l’intelligence artificielle et le big data changent les règles du jeu -
Alexandre Cahuzac
- Pourquoi l’intelligence artificielle révolutionne l’expérience utilisateur - Fabrice
Marque, Nicolas Glady
- L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, UN VIRAGE DÉCISIF À RÉUSSIR - Claudine Auger
Ces articles traitent la question sur plusieurs volets. D’une part , la valeur de ces
technologies, leurs applications dans les différents départements de l’entreprise tels que la
gestion du capital humain, la supply chaine, l’expérience utilisateurs, la relation client, la
recherche opérationnelle, les études stratégiques, etc. D’autre part, le rôle du gestionnaire
dans cette révolution, les défis à relever et les opportunités à saisir tout en traitant la
question de remplaçabilité de celui-ci et d’autres métiers par la machine.
4
Fiche 1
Titre de l’article Intelligence artificielle : une mine d’or pour les entreprises
Nom de la revue Gestion - Revue Internationale de Gestion
Classement de la revue 4
Année de publication 2017
Auteur Laurent Charlin
Les idées principales - L’importance de l’apprentissage automatique
(machine learning) et l’apprentissage profond
(deep learning) dans la progression colossale de
l’intelligence artificielle ;
- La contribution du big data aux récentes percées
en intelligence artificielle ;
- Les répercussions de l’intelligence artificielle en
entreprise ;
- L’attribution de l’intelligence artificielle dans
l’automatisation de la prise de décision au sein de
la firme.
La valeur ajoutée au niveau Le rôle des techniques d'intelligence artificielle dans
l’automatisation d’extraction de connaissances à des fins
théorique
prédictives et dans la prise de meilleures décisions.
La technique la plus fertile est celle du deep learning qui
permettra le mieux d'extraire des connaissances
complexes menant à des algorithmes plus précis et plus
performants à partir de données volumineuses. Le big
data ainsi que la croissance des capacités de calcul sont
donc essentiels aux récentes percées en intelligence
artificielle.
La valeur ajoutée au niveau L'exploitation des techniques d'intelligence artificielle est
la pierre angulaire de la prise de décision au sein des
pratique
firmes, du moment que la collecte et le stockage de
données sont des tâches à la portée d'entreprises de toute
taille œuvrant dans des domaines variés ; c'est aussi un
élément clé dans le transfert d’innovation en production
industrielle au sein non seulement des grandes
entreprises mais aussi des petites firmes en présentant un
produit phare basé sur l'intelligence artificielle au lieu que
cette dernière sera seulement un outil secondaire utilisé
pour améliorer un produit existant.
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Fiche 2
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La valeur ajoutée au niveau L’engagement des entreprises sur le chemin data driven
pratique implique une transformation de ses processus de décision.
Tous ces nouveaux rôles et métiers créés autour de la data
semblent avoir pour mission commune d’analyser les
données afin d’aider à la prise de décision. Or, il semble
que l’acteur principal dans toutes prises de décision soit
implicitement omis : le manager. A ce stade, les managers
eux-mêmes deviennent « analytiques ». Ils doivent se
muer en des managers-scientifiques, afin d’éviter la
lourdeur et l’inertie engendrées par l’implication de
plusieurs spécialistes de la data dans les processus de
décisions.
L’entreprise fera donc face à deux défis. Dans un premier
temps transformer les managers actuels en managers
scientifiques en confrontant la dureté de celle-ci en
matière de gestion des ressources humaines. Le deuxième
défi se manifeste par le besoin en managers dotés de la
compétence analytique sur le marché. De ce fait,
l’engagement d’un dialogue avec les organes de formation
est nécessaire pour que ceux-ci brisent le silo et seront en
mesure de répondre de manière efficace aux demandes
urgentes du marché.
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Fiche 3
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Fiche 6
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La valeur ajoutée au niveau La tendance à la datafication n’est toutefois pas
pratique synonyme de recul du facteur humain. En effet, le big data
est un outil mis à la disposition des managers et des
dirigeants pour but de mesurer de manière très précise
les activités de l’entreprise. Cette prise directe
d’information sur l’état de l’entreprise a un effet
immédiat sur la prise de décision. Ainsi, puisque les
décisions vont avoir une dimension scientifique au lieu de
s’appuyer sur l’expérience et l’intuition, le manager sera
amené à t’initier avec ces nouvelles façons de faire. Il est
donc impératif que les organismes de formation prennent
conscience du changement qui s’opère au sein de la
fonction de manager vue le manque globale d’expertise et
de compétences big data.
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Fiche 7
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La valeur ajoutée au niveau Pour réussir à implanter ce nouveau système de gestion
algorithmique d’une manière raisonnée, et pour atteindre
pratique
les résultats escomptés sans que leurs employés subissent
de préjudices, les entreprises sont invitées à respecter
ces critères :
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Fiche 8
- Le développement de la complémentarité du
manager avec l’intelligence artificielle.
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La valeur ajoutée au niveau Les avantages de l’intelligence artificielle mis à la
disposition des managers :
pratique
- Le soutien du processus de prise de décision et
parfois même elle peut le remplacer dans cette
tâche ;
- La capacité de détection des signaux de
désengagement et de démobilisation chez les
salariés ainsi que d’insatisfaction chez les clients,
et bien encore, d’en formuler des
recommandations et fournir des services liés à
l’encadrement et à la motivation des équipes en
vérifiant en parallèle l’acceptabilité de telles
solutions technologiques auprès des employés ;
- Le pouvoir d’élaborer une vision stratégique
orientée « résultats financiers », qui s’appuie
davantage sur des critères rationnels tels que
l’optimisation du chiffre d’affaires. Elle risque à
terme d’être cannibalisée par l’IA ;
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Fiche 11
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La valeur ajoutée au niveau Les données générées par les activités de l’entreprise la
pratique permet de rapidement préciser ses cibles d’actions, soit
optimiser les processus, évaluer les risques, détecter les
fraudes, etc. Quant aux données générées par les
machines elles seront utiles pour optimiser les processus
afin de limiter les défaillances ou de diminuer le temps
nécessaire à la réalisation d’un processus. Et, en ce qui
concerne les données générées par les humains, elles
peuvent être exploitées en text-mining afin de répondre à
leurs besoins et chercher leur satisfaction.
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Fiche 12
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Fiche 13
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Fiche 14
La valeur ajoutée au niveau Les IA sont des machines prédictives pilotées par des
données. Les données sont utilisées au quotidien pour
théorique
faire fonctionner cette machine prédictive. On appelle ces
données des données d’apprentissage. On entre ces
données pour entraîner un algorithme. Et on se serve de
cet algorithme pour générer des prédictions, afin de
définir des actions. Une fois que ces données ont été
utilisées pour former une machine prédictive, elles
perdent de leur valeur. Cela n’est pas davantage une
garantie, dans l’économie de l’IA que, peut-être, une
valeur liquidative plus avantageuse. Quand bien même ces
données pourraient être précieuses, la capacité à capter
cette valeur sera limitée. En d’autres termes, tout comme
avec le pétrole, plus le nombre d’autres fournisseurs de ce
type de données d’apprentissage est élevé et moins on
peut capter de valeur à partir de ces données. La valeur
des données d’apprentissage dépend en outre de la valeur
générée par l’accroissement de la précision de la
prédiction. De plus, la valeur courante des données
provient généralement des actions effectuées dans
l’entreprise au quotidien permettent de faire fonctionner
la machine prédictive après qu’elle a été formée. Elles
permettent également d’améliorer la machine prédictive
grâce à l’apprentissage, les prédictions réelles utilisées
pour gérer la chaîne logistique nécessitent des données
opérationnelles en continu. Et c’est ce qui importe pour
les entreprises en place aujourd’hui.
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La valeur ajoutée au niveau L’entreprise peut profiter pleinement de cette machine
pratique productive pour améliorer ses activités futures. Même si
la valeur de ses données historiques est faible. Il existe un
clé entre ses mains, il s’agit bien de pouvoir trouver un
moyen de générer un nouveau flux de données
quotidiennes qui offre un avantage en matière de
performance et de puissance prédictive de son IA, cela
fournira un effet de levier durable pour l’entreprise.
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Fiche 15
La valeur ajoutée au niveau Il existe une étendue des possibilités offertes aux
entreprises des usages de l’analyse prédictive, parmi
pratique
lesquels :
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Fiche 16
La valeur ajoutée au niveau L’entreprise optant pour l’approche du big data doit faire
théorique face au défis de la dispersion des données. En effet, il
existe une difficulté d’intégrer l’ensemble des sources de
données au sein de l’organisation ; les données restent
donc « silotées » et le plus souvent, sous-exploitées. Pour
les décideurs, cela se traduit par un manque de vision
unifiée et pérenne, ce qui les empêche parfois de prendre
des décisions opportunes ou rationnelles. Ainsi, faire face
au manque de coordination. Trop d’entreprises opèrent
aujourd’hui avec des ressources analytiques dispersées,
ou avec des équipes décentralisées qui fonctionnent sans
aucune planification ni pilotage central. Par conséquent,
les meilleures pratiques et retours d’expérience – tirés des
projets « Big Data » concluants ou non – ne sont pas
diffusés au sein de l’entreprise, les initiatives ne sont pas
(re)priorisées, et les ressources ne sont pas allouées de la
façon la plus prometteuse. Une gouvernance encore
immature de la donnée, et bien sûr, la dépendance à des
systèmes hérités, constituent aussi des freins à lever pour
pouvoir profiter du big data.
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La valeur ajoutée au niveau Pour réussir un projet big data, l’entreprise est tenue de
se doter d’une approche centralisée, car cela permet aux
pratique
dirigeants de définir des objectifs ambitieux, de mutualiser
les ressources (compétences rares, technologies, et
surtout données), et de mettre en tension l’entreprise.
Ainsi, une nomination d’un Chief Data Officer (CDO) qui
permettra de soutenir la politique et la procédure de
gestion des données, d’établir les plateformes de
données, de simplifier les outils et les infrastructures,
rendra la mise en œuvre des initiatives plus facilité par sa
proximité de la Direction Générale. Sans oublier d’activer
des leviers multiples pour monter en compétence, la
bonne approche dans cette situation c’est d’adopter une
stratégie à plusieurs volets. Ne pas se contenter
d’embaucher ou de former des collaborateurs, mais
explorer des moyens moins conventionnels pour
bénéficier de talents : renforcer la collaboration avec les
starts-ups, créer des data labs en interne pour attirer les
meilleurs profils. Et pourquoi pas, apprendre les analytics
auprès des géants du secteur.
Grosso modo, la réussite tient en priorité à la qualité du
modèle opérationnel, l’évaluation continue des initiatives
big data, L’élaboration d’une politique de sécurité
draconienne concernant les données. Et le plus important,
c’est d’aligner les dirigeants de l’entreprise sur le
potentiel du Big Data.
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Fiche 18
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entreprises, des études de marché à la vente en passant
par la conception des produits ou encore l’optimisation de
la supply chain grâce aux « machine learning »,
modélisation statistique et le « social listening ».
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Fiche 19
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La valeur ajoutée au niveau Grâce à la machine, par le biais du traitement du langage
pratique naturel (NLP), l’entreprise est capable de gérer des
milliers de clients de façon automatisée, vingt-quatre
heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept, et dans un
laps de temps quasi instantané, plus encore, grâce aux
robots Humanoïde, elle pourra rendre l’expérience
utilisateur plus pertinente puisqu’il sera plus rapide, plus
fluide et plus personnalisée, à condition de garder une
dimension humaine derrière la technologie. A condition
aussi que l’hyper personnalisation rendue possible par la
technologie fournisse une expérience suffisamment
convaincante pour que nous acceptions de partager nos
données personnelles. C’est à priori, une situation
gagnant-gagnant : d’un côté, les clients seront mieux
servis et plus rapidement, de l’autre, les professionnels
pourront se concentrer sur des tâches moins rébarbatives
et ayant une vraie valeur ajoutée.
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Fiche 20
La valeur ajoutée au niveau L’intelligence artificielle construit un pouvoir mis entre les
pratique mains des entreprises. Afin de profiter pleinement des
gains annoncés par son avènement, les dirigeants doivent
mettre en œuvre dès que possible un plan de
développement destiné à permettre aux travailleurs et
aux gestionnaires d’aujourd’hui et de demain d’acquérir
les compétences essentielles. La piste à suivre, selon
Yoshua Bengio. « Investir massivement dans le
développement et dans la formation de la main-d’œuvre,
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démystifier l’IA auprès de ceux qui, parmi la population, y
perçoivent une menace et offrir aux décideurs un accès à
la connaissance nécessaire pour naviguer à travers ce qui
s’en vient. Enfin, établir un dialogue collectif afin de
prendre les bonnes décisions. »
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Synthèse:
Le présent travail traite d’une manière globale et transversale la façon dont le big data et
l’intelligence artificielle constituent une alliance parfaite au service de la gestion
d’entreprise. De ce fait, la littérature choisie a dévoilé des similitudes, une certaine
divergence ainsi qu’une complémentarité entre les différents propos de ses articles.
En ce qui concerne les similitudes constatées, la majorité des articles ont mis l’accent sur le
rôle angulaire de l’adoption des techniques de l’intelligence artificielle dans l’entreprise, leur
contribution dans la mesure de performance de ces différentes activités, l’optimisation de la
productivité ainsi que la précision des tâches et la prédiction des situations futures. Ceci
rend les firmes capables d’acquérir des connaissances, d’opter pour des décisions plus
pertinentes, d’optimiser les activités et bien encore d’innover, et ainsi, elles auront un
avantage économique et stratégique déterminant.
Sous un autre angle de vue, Laurence Chrétien dans son article « Comment faire du Big
Data une réalité ? », a approuvé le fait qu’il ne faut pas se contenter d’embaucher ou de
former des collaborateurs, mais plutôt explorer des moyens moins conventionnels pour
bénéficier de talents : renforcer la collaboration avec les starts-ups, créer des data labs en
interne pour attirer les meilleurs profils. Et pourquoi pas, apprendre les analytics auprès des
géants du secteur.
En tenant compte des similitudes et malgré les divergences, la complémentarité entre les
articles choisis se manifeste à travers les applications de ces technologies dans les différents
départements de l’entreprise.
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Au niveau de la gestion des ressources humaines dans l’article « Le big data au service de la
gestion du capital humain », Fabien Galthié, Adrien Vial ont misé que la fonction RH basée
sur l’analyse des données à l’aide du big data se positionnera sans doute en partenaire
incontournable de la transformation de l’entreprise. L’analyse des faits ainsi que de données
RH et l’exploitation de la data par la suite permet d’optimiser les décisions liées aux trois
grandes priorités de la gestion des ressources humaines, à savoir attirer, développer et
retenir.
A noter aussi que ces machines prévisionnelles ont le pouvoir d’élaborer une vision
stratégique orientée « résultats financiers » qui s’appuie davantage sur des critères
rationnels tels que l’optimisation du chiffre d’affaires, qui peut être même à terme
cannibalisée par l’IA.
Ces mesures peuvent donner lieu à des rapports visant à contrôler et à gérer le marketing,
les opérations, la finance ou la comptabilité. Ainsi, de trouver des solutions à ces
problématiques et d’identifier de nouvelles opportunités du développement du business,
soit au niveau de la productivité par l’amélioration de la chaîne d’approvisionnement, au
niveau du développement de nouveaux produits ou bien au niveau de la création de
nouveaux modèles d’affaires.
Enfin, pour réussir un projet big data, selon l’article de Laurence chrétien «Comment faire
du Big Data une réalité ? », l’entreprise est tenue de se doter d’une approche centralisée,
permettant aux dirigeants de définir des objectifs ambitieux, de mutualiser les ressources
(compétences rares, technologies, et surtout données), et de mettre en tension l’entreprise.
38
Bibliographie
Charlin, L. (2017). Intelligence artificielle : une mine d’or pour les entreprises. cairn.info . https://www.cairn.info/revue-
gestion-2017-1-page-76.htm
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Galthié, F., Vial, A. (2017). Le big data au service de la gestion du capital humain. hbrfrance.fr .
https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2017/01/14237-le-big-data-au-service-de-la-gestion-du-capital-humain/
Laurenceau, C. (2016). Intégrer l’intelligence artificielle dans l’entreprise, un défi pour les managers. hbrfrance.fr .
https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2016/04/10485-integrer-lintelligence-artificielle-dans-lentreprise-un-
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Carillo, K. (2017). Le big data, une révolution qui transforme l’entreprise en profondeur. hbrfrance.fr .
https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2017/11/8982-le-big-data-une-revolution-qui-transforme-en-
profondeur-lentreprise/
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https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2019/01/23992-ce-que-lintelligence-artificielle-va-changer-dans-la-
fonction-de-manager/
Goldfarb, A., & Gans, J., & Agrawal, A. (2018). Les données de votre entreprise ont-elles une réelle valeur à l’ère de
l’intelligence artificielle ?. hbrfrance.fr . https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2018/05/20369-donnees-de-
entreprise-ont-reelle-valeur-a-lere-de-lintelligence-artificielle/
Attari, L., & Besson, J. (2017). Big data : quand l’analyse prédictive permet d’optimiser la supply chain. hbrfrance.fr .
https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2017/12/18076-big-data-lanalyse-predictive-permet-doptimiser-supply-
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39
Chrétien, L. (2015). Comment faire du Big Data une réalité ?. hbrfrance.fr . https://www.hbrfrance.fr/chroniques-
experts/2015/07/7818-comment-faire-du-big-data-une-realite/
Glady, N., & Malshe, A. (2014). Comment mieux utiliser la data dans une entreprise de taille moyenne ?. hbrfrance.fr .
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Cahuzac, A. (2016). Relation client : l’intelligence artificielle et le big data changent les règles du jeu. hbrfrance.fr .
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changent-les-regles-du-jeu/
Marque, F., & Glady, N. (2018). Pourquoi l’intelligence artificielle révolutionne l’expérience utilisateur. hbrfrance.fr .
https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2018/03/19574-lintelligence-artificielle-revolutionne-lexperience-
utilisateur/
40