Ce semestre, nous avons lu un article par Mélanie Noiret et Nicholas Becut qui traite

d’une œuvre d’art peu conventionnelle. C’est un article sur le projet « Remember-Souvenier »
par Denis Meyer qui est un artiste du graffiti.

L’article décrit « Remember-Souvenir » et l’artiste derrière ce dans grand détail. Nous

apprenons que l’œuvre d’art et dans un bâtiment abandonné. C’est un lieu bizarre pour un
objet d’art, mais il est une bonne raison pourquoi Denis Meyer a choisi. Le bâtiment va démolir
un jour et quand il démolit, l’art vais détruire aussi. L’auteurs d’article se disputent que l’endroit
est parfait pour cet objet d’art. La pièce a attiré beaucoup de la personne quand elle ouvert.
Denis Meyer ne veut pas faire cette attention quand il décider à créer cette pièce, mais elle est
plus populaire.

Quand j’ai lit l’article le premier temps, j’ai intrigué. Typiquement, j’ai pensé que le
graffiti comme le vandalisme. J’ai surpris que, dans les autres cultures, graffiti est regardé
comme une sorte d’art. Ces pays sont plus différents que les États-Unis dans cette manière.
Après lire l’article, j’ai une nouvelle pédagogie de l’art du graffiti.

Le thème de l’article est que les choses qui considère ordures pouvoir construire dans
les choses beaux. Je suis d’accord. Je pense que c’est un message plus important et il faut que
nous reconnaissions ceci. Nous avons une mal habitude de débarrasser de quoi nous ne voulons
pas. À cause de cette habitude, nous gaspillions tellement des choses. C’est un grand problème
dans les États-Unis.

Quoi résonner avec moi beaucoup sont les images, les vidéos, et les aspects interactifs
dans l’article. Je pense que les choses aident le message beaucoup. Ils montrent la beauté du
bâtiment qui considèrent comme les déchets. Ces choses sont plus importants au le thème de
l’article. Sans les images, il est difficile à croire qu’un bâtiment abandonné pourrait beau.

Dans l’ensemble, l’article a été une vraie révélation. Beaucoup des choses peuvent
penser comme l’art. Il est nécessaire que nous reconnaissions la beauté dans les choses
courants. Il faut que nous respections les objets. Denis Meyer montre qu’il est charme partout.