En cas de détresse, avoir recours à la mort y demeure la seule solution possible face

au mal.
Effectivement, la mort permet d’atténuer totalement ce malheur vu la coupure la
coupure qu’elle crée avec la vie, ce qui permet d’attribuer un aspect soulageant à cette mort.
Dans cette même perspective que la plupart des témoins voient la mort, en particulier chez
Nadejda qui préfère « se suicider pour ne pas souffrir ».Ainsi qu’Hugo qui était sur le bout de
mettre fin à sa vie dû au deuil, qui se présenter comme un blocage, « Je voulais me briser le
front sur le pavé ».Apparemment Nietzsche se limite à montrer la vision qu’un malheureux
opte pour, vu qu’il est «  toujours prêt à s’en venger ».
Tant que la vie ne cesse de se montrer sombre et mauvaise, la mort permettra une
transition vers un monde meilleur, où le mal n’est plus persistant. C’est dans les
Contemplations d’Hugo que le monde d’immortalité se trouve embelli « Dieu ferme la vie et
rouvre l’idéale ».Et même les témoins de La Supplication qui admire le discours à propos de
la vie après la mort car c’est soulageant « Je vais à l’église parce qu’on y parle de la vie
éternelle. C’est réconfortant pour les gens. »
La mort est perçue de telle manière que par l’homme rompu physiquement et
psychologiquement, mais dans bien des cas cette fascination de la mort n’est pas si
puissante pour tenir sa vie.