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Préambule : ……………………………………………………………………………………………. 3
1
Présentation : …………………………………………………………………………………………. 4
Sa Vision : …………………………………………………………………..………………. 7
Sa Mission : ………………………………………………………………………………… 8
Sa stratégie Adoptée : ………………………………………………………………….9
Les Facteurs clés de succès : …………………………………………………………..….……10
Analyse Stratégique (Diagnostics) ……....…………………………..………………..……12
Analyse PESTEL : ………………………………………………………………...….....12
Analyse des cinq forces de porter :……………………………………………..16
Analyse SWOT :…………………………………………………………………………..20
Marketing MIX :………………………………………………..…………………………………….22
Produit : ……………………………………………………………………………..……22
Prix :………………………………………………………………………………………….23
Promotion :………………………………………………………………………………..23
Place :…………………………………………………………………………………………24
Préambule :
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Les établissements financiers au Maroc se composent de banques de détail,
de banques d'investissement, de sociétés de financement et de transfert de
fond et de banques extraterritoriales.
Fin 2015, il existait 29 banques accréditées auprès de la banque centrale
marocaine dont 11 banques régionales et 18 banques opérant à l'échelle
nationale.
Certes, le secteur bancaire marocain est considéré comme l'un des moteurs du
développement de l'économie du pays et de sa prospérité, ce dernier est
devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace.
En réalité, il a connu un mouvement de concentration significatif aujourd'hui
achevé. Plusieurs banques possèdent une licence d'exploitation mais sept
banques contrôlent le marché.
La réforme de la loi bancaire est actuellement à l’ordre du jour afin de
permettre à la banque centrale de mieux tenir son rôle de supervision et de
contrôle ; cette réforme passe notamment par le désengagement de la banque
centrale du capital des banques publiques et le renforcement des règles
prudentielles.
Les concours bancaires demeurent au Maroc la principale source de
financement de l’économie. Cette situation explique que, malgré des taux
d’intermédiation encore élevés par rapport aux coûts des ressources, le secteur
bancaire marocain soit dans l’ensemble florissant.
Présentation :
Attijariwafa Bank est une institution nouvelle qui puise ses racines dans deux
grandes banques marocaines de renom ayant accompagné le Maroc dans son
développement économique et social depuis plus d’un siècle.
3
Avec plus de 1,5 million de clients, la banque détient une part de marché de
28,5% dans les dépôts et de 25,8% dans les crédits par décaissement. A
l’international, Attijariwafa Bank est présente en Europe, en Tunisie, au
Sénégal, et au Mali et bientôt en Mauritanie.
• Pour l'exercice 2018, le résultat net consolidé a atteint 700 millions US$.
4
• La Banque commerciale du Maroc (BCM) est fondée en 1911, par Wahib
Zarqaoui.
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Sa Vision :
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régional (espace euro-méditerranéen et africain) et de compétition
internationale.
Sa Mission :
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• Contribuer au renforcement de la petite et moyenne
entreprise : contribuer à l’émergence d’un véritable tissu de
petites et moyennes entreprises compétitives sur les marchés
intérieurs et extérieurs
• Stimuler la bancarisation
Sa stratégie Adoptée :
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Le nouveau-né des banques marocaines a à cet effet mis en avant sa
résolution à mettre à profit ses nombreux atouts pour élargir son
champ d’intervention en s’ouvrant à de nouveaux segments et en
développant des approches novatrices dans le sens
1. L’intensité capitalistique
9
une forte barrière à l’entrée dans la mesure où une banque ne
disposant pas d’un minimum de fonds propres ne sera habilitée à
exercer son activité et ne serait pas à même de tenir tête aux géants
déjà en place.
3.Compétences financières
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4.Etendue et qualité du réseau
Analyse PESTEL :
Facteurs politiques et légaux
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Une nouvelle loi bancaire a été instaurée en 1993 et a introduit un
concept nouveau, largement inspiré de l'expérience internationale
celui de la banque universelle. En vertu de cette loi, les banques
peuvent exercer et commercialiser l'ensemble des produits et
services bancaires. Cette notion annule la spécialisation établie entre
les banques commerciales et les organismes financiers spécialisés.
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Elargissement du rôle des commissaires aux comptes (contrôle
étendu à la vérification du respect par les établissements de crédit
des dispositions comptables et prudentielles et évaluation du
système de contrôle interne) ;
Facteurs économiques
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taux d’intermédiation encore élevés par rapport aux coûts des
ressources, le secteur bancaire marocain soit dans l’ensemble
florissant.
Facteurs sociaux
Nous assistons ces dernières années à un véritable change dans les
habitudes de la population marocaine dans la mesure où un nombre
croissant décide de placer leur argent en banques au lieu de le «
cacher sous le matelas ». Ceci est dû notamment aux facilités et les
sécurités offertes par les institutions financières, ainsi que des
taux de placement relativement attrayants qui ne laissent pas
certains indifférents.
Facteurs technologiques
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banques marocaines afin de créer des services différenciés et de
qualité.
15
Entrants
Potentiel
s
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changement d’enseigne bancaire. Le coût est en effet faible puisqu’il
ne s’agit qu’une simple formalité administrative.
Il est ainsi évident que plus le coût de transfert est faible, plus le
pouvoir de négociation des clients est fort. Ce qui est le cas dans le
segment de la banque de détail.
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n’accordent pas confiance aux institutions bancaires et ne souhaitent
pas être grevés des différentes commissions et taxes que sous-tend le
placement des fonds dans un compte bancaire.
Toutefois, cette menace s’estompe petit à petit tandis que le taux de
bancarisation s’accroît de manière impressionnante atteignant les
25% (taux extrêmement faible par rapport aux voisins européens)
alors qu’il n’était que de 15% à la fin des années 80.
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En résumé, l’entrée en lisse d’une ou de plusieurs banques dans le
contexte actuel se révèle quasiment impensable, un contexte encore
entachée par le scandale du CIH et la faillite de la BNDE qui font de ce
secteur bancaire un secteur encore fragile.
L’Etat
Analyse SWOT :
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Le programme de fidélisation ne peut réussir sans une implication
importante du personnel de l’entreprise ; celui-ci doit croire et
adhérer à la stratégie de la banque et faire en sorte pour que cette
stratégie réussisse. Les définitions de la fidélisation et de la fidélité
indiquées en début de ce mémoire corroborent les divers
développements dans ce mémoire.
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un programme de fidélisation qui tiendra compte des documents mis
à notre disposition et des informations que nous avons pu avoir à
travers l’enquête, en espérant pouvoir répondre à la problématique
posée en début de ce mémoire.
La politique du produit :
o Compte courant : c’est un compte commercial qui touche tous les commerçants, les
entrepreneurs et les entreprises.
o Compte chèque : c’est un compte courant ordinaire touchant les fonctionnaires, les
artisans, les résidents marocains à l’étranger et les étudiants.
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o Compte sur carnet : c’est un compte d’épargne à vue pourront enregistrer
additionnellement les opérations de dépôts, il touche toutes les personnes
physiques.
o Compte de dépôt à terme (DAT) : compte de dépôt bloqué rémunéré touchant toutes
les personnes physiques et morales.
o Les bons de caisse : sont des produits qui rémunèrent les dépôts de clientèle, des
prospects, ils sont soit nominatifs soit anonymes, ils rémunèrent des dépôts à un taux
des dépôts à terme : ces produits sont adressés à des personnes physiques ou
morales.
o Les produits monétique (les cartes) : ils facilitent les opérations de retraits
même en cas de déplacement et de jours fériés ; ils facilitent également certains
achats auprès des commerçants agréés (magasins, restaurant, hôtel,…).
o Le pré produit : comprennent tous les produits d’assurance offerts par la banque à sa
clientèle.
La politique de prix :
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La politique de distribution :
La politique Communication :
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Dans les grandes banques marocaines la circulation est bonne ce qui
explique une meilleure division de tâches, et une parfaite
transmission des messages entre les fonctionnaires, c’est la raison
pour laquelle la banque assure une fonction continue pour ses
personnels.
Vu l’évolution des techniques de communication, la formation du
personnel doit avoir plus d’importante dans la stratégie de la banque,
tel le cas de la BMCE-Bank qui a mis en place en système informatisé
en gestion des ressources humaines qui vise à améliorer la qualité et
les compétences de ses hommes ainsi que le renforcement de l’effort
déployé dans la formation de l’établissement bancaire et le
développement des activités de formations liées aux stages de
perfectionnement et pour conséquent améliorer la position
concurrentielle de la banque .
Sa stratégie :
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Attijariwafa Bank Egypt :
L’acquisition de 100% du capital de Barclays Bank Egypt. En
2017 a permis au Groupe Attijariwafa Bank d’étendre son
réseau international au sein de la troisième économie africaine
riche d’une population de 92 millions d’habitants et de
s’implanter dans un marché bancaire avec des perspectives de
croissance soutenue
Attijariwafa Bank Egypt. Est basé au Caire et dispose d’un
effectif de 1.500 employés et d’un réseau de 56 agences situées
dans 18 villes égyptiennes.
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un courant d’affaires à destination du Maghreb ou de l’Afrique
subsaharienne.
Elle les accompagne en leur proposant des produits sécurisant
leurs flux et les mettant en relation avec les clients de ses filiales
afin de leur permettre de réaliser leur potentiel de vente.
Conclusion
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Mais, en général le marketing bancaire au Maroc reste moins
développé par rapport aux pays occidentaux, ceci se voit
clairement dans la centralisation des départements et
services
Marketing au sein des sièges, ainsi que dans la quasi-absence
de la recherche scientifique en Matière.
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