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L’INTRODUCTION (Sam)

Bonjour tout le monde, nous sommes Assia, Britt, Christophe et Sam. Aujourd’hui nous abordons la
compétitivité de la Belgique. La compétitivité est quelque-chose de très important pour un pays et
nous espérons de vous la montrer. Ce rapport ne sert pas seulement à comparer la compétitivité de
la Belgique aux autres pays européens, mais aussi à distinguer les problématiques et ses solutions.
Avec ce rapport nous souhaitons décrire les implications possibles des menaces contre la
compétitivité belge et la conséquence d’une basse compétitivité . Ce rapport ne sert pas à maudir la
politique budgétaire belge, nous voulons simplement décomposer la compétitivité belge, pour
donner une analyse claire. Le but principal du rapport est de marquer les problématiques urgentes
et de donner des solutions possibles .

D’abord nous devons vous expliquer ce que c’est, “la compétitivité”, pour être sûr que nous soyons
sur la même longueur d’onde. Je commence avec une question pour vous. A quoi pensez-vous,
quand vous entendez le mot “compétitivité”? … Il n’y a pas longtemps que je pensais simplement
que la compétitivité était le degré avec lequel les entreprises belges rivalisent avec les entreprises
étrangères. Selon Michael Porter (qui est un économiste américain) la compétitivité n’est pas
seulement le degré avec lequel les entreprises rivalisent. Si une entreprise veut devenir plus
compétitive, elle peut le réaliser par une réduction des dépenses. L’entreprise peut réduire les
salaires pour réaliser cet effet, le résultat non désiré est une chute du bien-être. Michael Porter tient
en compte le bien-être de la société. Pour augmenter la compétitivité on doit augmenter ou
maintenir le niveau actuel de la prospérité. Ça a des implications sur la productivité dont Christophe
parlera plus loin.

Maintenant, je vais vous montrer la structure du rapport.


Nous commençons par donner quelques définitions de la compétitivité, pour clarifier l’importance
de cette notion. Puis, nous discutons la position de la Belgique dans le classement du CGI et les
problématiques qui luttent contre l’augmentation de la Belgique dans cette classement. Parce qu’il
n’y a pas assez de temps pour aborder toutes ces problématiques, nous en avons choisi deux dont
nous disons plus. Nous terminons avec une petite conclusion.

LES FAITS OBJECTIFS (Christophe) :


Il n’y a pas qu une définition de la compétitivité. Regardons d’abord la définition prévue par le
Forum Économique Mondiale (FEM). Ils posent que la compétitivité consiste du nombre
d’institutions et de la politique et d’autre éléments qui détermine le niveau de la productivité d’un
pays. Dans cette définition le mot productivité est crucial, la productivité mesure le rendement des
données économiques comme le travail, des matières premières, le data etc. Le FEM fait un
classement de tous les pays et ils font ça à base du GCI. Le GCI est un chiffre dérivé /calculé à base
de 12 critères. On sait classifier ces critères en 3 domaines: les pouvoirs publics, la société et les
entreprises. Ces trois joueurs doivent décider d’une stratégie qui résulte en la plus haute
compétitivité possible. Vous voyez sur ce document du FEM les 12 critères.

Selon Marcus Dejardin, un professeur d'économie à l’université catholique de Louvain et à


l'université de Namur la compétitivité décrit la capacité d’une entité économique de pratiquer une
activité et de générer un revenu quand cette activité est soumise à de la concurrence. Dejardin
distingue deux types de compétitivité, le premier type est basé sur le prix et le deuxième type il
appelle la compétitivité structurelle ou la compétitivité “hors prix”.
Une manière de répondre à la concurrence est d’ajuster le prix. L’entreprise qui sait demander le
prix le plus bas en relation avec les coûts nécessaire pour la fabrication du produit, est aussi
l’entreprise avec la meilleure compétitivité. Ces coûts moins élevés peuvent être acquis par exemple
par un nouveau mode de fabrication , des facteurs naturels , du personnel spécialisé…. bref nous
pourrions dire une productivité supérieure.
La compétitivité structurelle sont les atouts avec lesquels l’association sait se démarquer des autres
sans prendre en considération le prix. Des exemples sont la qualité, la réputation, l’image, un
assortiment large etc. En général ce sont des caractéristiques qui prennent du temps à se
développer. L’aide politique, le capital humain font partie de la compétitivité structurelle.
Sur le site web de Economics Online (une organisation créée pour éduquer les sciences économiques
aux étudiants et au public plus large) la compétitivité (nationale) est le pouvoir de rivaliser d’une
manière efficace dans l’économie mondiale. Il y a de nouveaux plusieurs façons pour évaluer cette
compétitivité comme : les prix d’exportations relatifs, les termes commerciaux ( un index regardant
le prix de l'exportation proportionnellement à l’importation), le PIB qui signifie la quantité de travail
fait par heure. Encore une autre suggestion de Economics Online est d’observer les coûts nécessaires
pour réaliser une quantité de x produits. J'aimerais attirer votre attention sur le fait que ce sont des
choses qui ont un lien sur avec la productivité.
La dernière définition que je vais vous donner sort du dictionnaire de Sciences économiques.
Permettez – moi de citer René Mouriaux, un économiste et politologue français connu. Il définit la
compétitivité comme « la capacité d’une entreprise, d’une région ou d’une nation à conserver ou à
améliorer sa position face à la concurrence des autres unités économiques comparables ».
Même si la compétitivité est un concept assez vague on peut dire qu’il y a des éléments qui
reviennent : on parle toujours de la compétitivité en relation avec d’autres entreprises et la
productivité a un rôle principale.

Si on reprend le GCI du FEM on voit que pour le moment la Belgique se retrouve en vingtième
position du classement (des 137 pays). Ça ne semble pas un problème mais on doit garder à l'esprit
que c’est la position la plus basse depuis 2012. Nous pouvons nous demander pourquoi la
compétitivité est- elle si importante? Une compétitivité basse va de pair avec une productivité
basse. Une productivité stagnante est le résultat d’une chute du rendement des facteurs input.
Concrètement, ça veut dire par exemple qu’un ouvrier a atteint son maximum d’unités de
production, donc il n’est plus possible pour l’employeur d’augmenter le salaire de cet ouvrier. Si
l’employeur veut augmenter le salaire de cet ouvrier, il se tire une balle dans le pied. Une
compétitivité basse se traduit aussi par peu d’emploi, une prospérité qui baisse. Ça résulte à moins
de ressources pour les soins de santé, l’éducation, la sécurité, donc en abrégé; le bien-être des
belges.

Quels sont les problèmes principaux? (Sam)


1. Un premier obstacle que la Belgique doit vaincre est l'efficacité du marché de travail.
Concrètement ça veut dire que les employés n’ont pas toutes les compétences pour faire leur travail
d’une manière approfondie . En plus, les employeurs ne stimulent pas assez les employés et du côté
des employés il n’y a pas assez de motivation.

2. Un autre facteur limitant est l’accès au marché financier. Les entreprises belges ont moins accès
au crédit que les entreprises étrangères. Ce défaut résulte en moins de recherche et développement
(R&D) du côté des entreprises belges, alors que les entreprises étrangères peuvent investir de plus
en plus. La conséquence est l’apparition d’un fossé entre les entreprises belges et le reste du monde.

3. L’environnement macroéconomique n’est pas idéal. Par exemple la belgique ne réussit pas à
diminuer le déficit budgétaire qui fait que la dette publique a tendance à augmenter. Dans la théorie
d’économie, on a déjà montré qu’une dette publique élevée stimule la demande à court terme, mais
diminue la demande à long terme. La théorie correspond à la pratique. Empiriquement, on a
constaté qu’il existe une relation négative entre la croissance du PIB et la dette publique.

4. L’efficacité avec laquelle le gouvernement dépense sa budget a des répercussions sur la


compétitivité belge. La Belgique doit aussi investir dans l’infrastructure et dans le climat
économique, s’il n’y a plus d’argent pour y dépenser (à cause d’une politique budgétaire
dysfonctionnelle) , ça peut détériorer la compétitivité. Une étude par l’université catholique de
Louvain a montré que l’efficacité du gouvernement est en rapport avec la compétitivité d’un pays.

5. L’économie belge a grandi moins que la moyenne des pays Européennes les cinq dernières
années. Un argument qu’on doit souvent entendre est que la Belgique a moins souffert de la crise,
donc la Belgique devait moins compenser. Cet argument est fondé sur la vérité, mais selon le
syndicat social ABVV, il y a plusieurs pays européens qui ont aussi connu une crise douce, et dont
l’économie a plus grandi.

6. La Belgique a un climat fiscal doux, qui pourrait coûter au gouvernement environ € 30,4 milliard
par année. Une étude par un groupe (S&D) dans le parlement européen a montré que notre pays
perd presque 8% du PIB par an à cause d’évasion fiscale et fraude fiscale. La Belgique pourrait
utiliser cet argent pour investir dans l’infrastructure belge, ce qui pourrait bénéficier la productivité
des entreprises belges.

7. La Belgique connaît des coûts salariaux très hauts par rapport aux pays voisins. Même après le tax-
shift, les coûts salariaux sont devenus incontrôlable.

L’ANALYSE SUBJECTIF (A+B):


Premièrement, nous allons analyser l’évasion fiscale de la Belgique, parce que l’évasion fiscale est lié
à la position concurrentielle car celle réduit le budget qui pourrait améliorer la position de la
Belgique. Selon le site droit finances l’évasion fiscale veut dire quand une personne ou une
entreprise réduit ses impôts à cause d’un système fiscal faible d’un pays. Une entreprise ou une
personne est capable d’éviter des impôts en transférant ses bénéfices vers un autre pays ou un
paradis fiscal par exemple.
Le graphique suivant est un graphique en barres qui représente une estimation de l’évasion fiscale
dans les pays de l’UE. Il est tiré d’une étude publiée en 2015 par l’Université de Londres pour le
compte du groupe S&D au parlement européen. La Belgique occupe la septième place.

Comme indiqué, la Belgique a perdu 30.4 milliard d’euros à cause de l’évasion fiscale. C’est
beaucoup d’argent que la Belgique aurait pu utiliser pour la résolution du déficit budgétaire qui
contient maintenant environ 7 milliard d’euros, un tiers d’évasion fiscale. L’évasion fiscale est un
problème européen, au total, l’UE a perdu environ 824 milliards d’euros.

L’évasion fiscale avait déjà diminué avec 11.7% par rapport à 2009. Mais, évidemment ça ne suffice
pas. Oxfam a examiné comment on pourrait réduire l’évasion fiscale. Leur objectif est de donner des
recommandations aux pays en développement, mais les solutions qu’ils offrent ont des avantages
pour tous les pays.

Leur première solution est un accord entre tous les gouvernements sur des règles fiscales
internationales. Ces règles inclurent la mise en place au niveau international d’un taux d’imposition
minimum effectif juste. Ça permettrait d’éliminer la tentation d’utiliser des paradis fiscaux.

La deuxième solution consiste à la préparation des rapports financiers. Les entreprises doivent
préparer des rapports financiers pour chaque pays où ils font commerce, pour éviter les secrets
fiscaux des entreprises. L’initiative actuelle de l’OCDE n’est pas suffisante parce qu’elle ne couvre
pas toutes les sociétés multinationales et n’oblige pas les entreprises à mettre leurs rapports
financiers à la disposition du public.

La dernière solution porte sur des listes noires. Chaque pays devrait établir une liste noire mondiale
des paradis fiscaux. Il y aura aussi des sanctions pour ceux qui se retrouvent sur la liste. Cette
mesure est pour éviter l’utilisation des paradis fiscaux. Au niveau mondial, les Etats n’ont pas encore
établi déjà une liste objective pour identifier les paradis fiscaux. Ils (l’OCDE) ont fait seulement une
représentation d’une liste noire en 2017. Même dans cette liste, qui est la liste la plus complète
d’Europe, ils ont mis des paradis fiscaux comme l’Irlande.

Deuxièmement nous allons analyser les coûts salariaux des employés. Nous l’avons choisi parce que
les coûts salariaux traitent deux problèmes: la Belgique est connu au handicap salarial qui diminue
notre position concurrentielle mais aussi parce qu’un coût salarial haut s’occupe qu’une entreprise
n’est pas capable de répartir des coûts à une manière efficace. La Banque Nationale de Belgique
décrit les coûts salariaux comme suit: Au total, les coûts salariaux ce sont: des coûts directs qui
contiennent le salaire brut avec avantages salaires comme par exemple des tickets restaurant. Et il y
a aussi des coûts indirect comme des cotisations patronales, des coûts de formation,...

D’abord, la Belgique a des coûts de salaires très élevés. La recherche concernant les développements
économiques a été menée par la Banque nationale de Belgique. Le graphique suivant est un
graphique en bâtons qui présente l’évolution dans le temps des coûts salariaux par unité produite en
Belgique entre 1996 et 2018. L’étude a été publié en 2019. L’axe horizontal correspond à l’axe du
temps exprimé en années. Et sur l’axe verticale lit des pourcentages. Les coûts salariaux sont
indiqués par la couleur grise et si la valeur est positive c’est une indication que les coûts salariaux ont
augmenté. Le graphique présente une progression des coûts salariaux entre 2006 et 2014. Mais à
partir de 2014 il y avait une baisse. Cette diminution en 2014 s’explique par le fait qu’il y avait une
diminution des coûts salariaux, grâce à la tax shift du gouvernement Michel. Le but de la tax shift
était de stimuler la productivité.
Comme solution le gouvernement Michel a décidé en 2014 de réduire les coûts salariaux par une tax
shift afin que les entreprises aient une chance plus équitable de faire concurrence internationale. Les
cotisations patronales sont tombées de 33 pourcent à 25 pourcent. Paul De Grauwe, professeur à
London school of economics, signale que la baisse des cotisations patronales n’ont pas stimulé la
compétitivité de la Belgique. Au contraire les entreprises ont utilisé l’avantage de la tax shift pour
une augmentation de leur marges de bénéfice au lieu d’une diminution des prix de vente

Une autre point de vue sur les coûts salariaux de la Belgique est celui de la FEB, Fédération des
Entreprises de Belgique. Nous connaissons le système de l’ancienneté c’est-à-dire la période où vous
êtes employé dans une organisation. Du plus longtemps vous travaillez dans une entreprise, au plus
votre salaire augmente. La FEB insiste qu’une augmentation automatique des salaires n’est pas
proportionnelle avec la productivité d’un employé. Ainsi, les entreprises ont une position moins
concurrentielle et les employeurs ne développent pas leur compétences parce qu’ils n’ont pas une
stimulation de travailler plus efficace. L’ancienneté empêche les employeurs de 50 ans par exemple
de choisir un autre travail parce qu’ils ont les bénéfices de leur salaire et l’ancienneté. Ceci perturbe
le fonctionnement du marché du travail.

Bart buysse, l’auteur de l’article de la FEB, recommande que la Belgique fasse une combinaison de
l’ancienneté automatique et de la rémunération basé sur le prestation. Que signifie une basée sur le
développement des compétences, l’expérience,...

La compétitivité de la Belgique a donc diminué au cours des dernières années. Une autre façon de
regarder ce problème est du point vue de l’OCDE. Leur recherche montre que cela est dû en grande
partie à une réduction de la productivité. Si la Belgique a maintenu le même rythme de croissance
de la productivité en 2007 (2,1%), la productivité serait maintenant 25% plus élevé que ce qui est
actuellement le cas. Le marché des services joue aussi un rôle majeur selon l’OCDE.

Les solutions existantes porte par exemple sur l’amélioration de la concurrence, la recherche et
développement, la mobilité des travailleurs, et les investissements. La différence avec l’OCDE est
qu’ils voient les solutions existantes de façon plus détaillée. Comme ça, ils trouvent des solutions
plus spécifiques et ça offre une meilleure stratégie de lutte contre le problème.
Un premier exemple lié à la concurrence. Il serait important selon eux pour devenir plus compétitif
sur le marché des services. Les avocats, notaires, comptables, architectes et agent immobiliers sont
des exemples des professions qui devraient avoir un avantage concurrentiel.

De plus, les investissements en matière de la recherche et développement devraient être mieux


répartis. Actuellement, la Belgique investit beaucoup d’argent à ce recherche sans résultat en
termes de compétitivité.

Un autre point est le capital à risque. La Belgique est un pays qui prend peu de risques dans ce
domaine et l’OCDE encourage le pays de prendre plus de risques.

C’est aussi important de faire attention à la mobilité des travailleurs. José Angel Gurria plaide pour
un marché de travail plus flexible.

Un autre point important est la formation. Des travailleurs bien formés vont améliorer la
performance des entreprises et donc aussi la position concurrentielle.

Finalement, ils parlent des investissements. La Belgique doit engager l’économie avec des
investissements public, principalement dans les infrastructures digitales et de transport.

RECOMMENDATIONS PROVISOIRES (B + A)

Les solutions que nous recommandons sont en partie similaires à celles de l’OCDE.
Il nous semble donc une bonne idée de motiver les travailleurs et protéger leur flexibilité plutôt que
les emplois. De cette façon, la productivité va augmenter et cela va protéger automatiquement les
emplois. Entreprises peuvent par exemple renforcer la solidarité dans l’équipe avec l’aide du team
building. Ils peuvent aussi par exemple améliorer la réfectoire pour permettre les travailleurs de bien
se relaxer pendant la pause. De cette façon, ils ont quelque chose à attendre pendant la pause et ça
va leur motiver de travailler bien pendant les heures de travail.

belspo
La recherche et développement est aussi très importante. La recherche et (le) développement
permet d’examiner le coeur du problème et de le résoudre efficacement. Un exemple de ce qui peut
être trouvé dans la recherche est le problème du travail non déclaré. Les travailleurs au noir sont
également la concurrence et au cours des dernières années, leur part dans l‘économie nationale a
augmenté. Ces travailleurs noirs causent des désavantages pour les travailleurs indépendants et
aussi la diminution de la position concurrentielle internationale de la Belgique.
Afin de résoudre ce problème, le pays pourrait lutter contre le travail au noir par investir dans plus
des contrôles pour baisser le nombre de travailleurs au noir. Cela aura pour conséquence que
d’autres entreprises pourront profiter d’une concurrence loyale au niveau national qui, à son tour,
va causer qu’ils pourront améliorer leur position internationale.

Une autre solution que nous recommandons n’est pas mentionnée par l’OCDE. C’est l’efficacité.
Nous trouvons qu’il est préférable d’avoir une productivité plus faible qui est beaucoup plus efficace
qu’une productivité plus élevée qui est moins efficace. En effet, c’est l’efficacité qui peut améliorer
notre position concurrentielle sans devoir augmenter la productivité et épuiser les travailleurs plus
que nous le fait maintenant.

Nous pouvons aussi ajuster le problème du système d’ancienneté. Notre solution est que les
employés ne reçoivent pas une augmentation de salaire en fonction de la durée que la personne a
travaillé, mais en fonction du rendement de travail. Un employé qui était par exemple toujours au
temps depuis un an et qui a accompli bien les tâches de son travail, peut obtenir une augmentation.

CONCLUSION

Notre conclusion est que les problèmes principaux couvrent l’efficacité du marché labeur, l’accès au
marché financier, L’environnement macroéconomique, les dépenses du gouvernement et le climat
fiscal doux de la Belgique.
Nous avons regardé à ces problèmes des points vus du gouvernement Michel, le FEB et l’OCDE.
Notre solutions portant sur la motivation des employés, la recherche et développement, l’efficacité
et le problème dus système d’ancienneté.
Merci pour votre attention.

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