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N° 7606
par
Janvier 1976.
e
E R R A T U M
p. 5 ligne 7
, ,,de la politique monétatr~ et de la politique fiscale.
p. 8 définition de l'ensemble V
V = {61 ••..• 1 6(s) e Q ~ s}
p• 17 formule :
E[d(t) ln(t)J = d 0 (t) + , , •••••
p. 71 manque référence :
VIOT M. (1964)
Théorème de séparation du contrôle
stochastique en temps discret.
Ronéo.
S O MMA I R E
I - INTRODUCTION,
IV - CONCLUSION.
BIBLIOGRAPHIE,
,,
e - 2 -
I - INTRODUCTION.
./.
--------------------------------------
(1) Un "classique" des applications à des problèmes de gestion d'entre-
prise étant 1 'ouvrage de HOLT, MODIGLIANI, MUTH et SIMON ( 1960),
- 3 -
./.
./.
premier point. une caractéristique nouvelle de nombreux travaux est
d'utiliser ces mt:thodes d'optimisation pour traiter non de problèmes
très amples mais de questions spécifiques. Le rétrécissement du champ
d'analyse rapproche, à notre avis, ces travaux d'applicationsvérita-
blement opératoires. Plusieurs études présentées sont reliées au débat.
particulièrement vif aux Etats Unis, sur les mérites comparés de la
politique budgétaire et de la politique fiscale. En guise d'introduc-
tion (III-8-a), on montre comment, sur ce thème général, on est passé
progressivement de la simulation de règles "a priori" inspirées des
travaux de Philipps (PHILIPPS (1854)) à des optimisations explicites.
On présente ensuite une gamme d'application de ces dernières méthodes
au traitement de plusieurs questions partfculières. importantes d'un
point de vue pratique : problème des délais et de l'instabilité (III-
B-b), choix d'indicateurs et prévisions optimales (III-B-c), affectR-
tion »instruments-objectifs " (III-B-d),
,/.
- 6 -
,/.
-----------------------------------------------------------
(1) Pour une discussion plus complète de la notion de variables
objectifs, voir GUESNERIE, MALGRANGE (1972),
- 7 -
./'
(1) Le terme "forme réduite" est employé dans ce texte comme traduction
de la dénomination "final form" introduite par THEIL ( 1971). Il dé-
signe la réduction d'un modèle~ une forme du type (1), donnant les
variables objectifs en fonction directe des variables décisionnelles
et des variables non contrôlées.
- 8 -
'/.
(2) Le terme dont nous nous inspirons est celui, non équivalent, de
.6épa.Jr..aUon. du. c.on.t~ô.te. et de l' uüma.:tion.. On reviendra sur ce point.
(3) Les n.1 peuvent elles-mêmes "dépendra" des oJ.. Afin de ne pas alour-
dir les notations, nous n'explicitons pas cette liaison éventuelle,
- 9 -
a) Spécificati on.
./.
- 10 -
T
F(x,d) = l (x(t) - x(t))' R(x(t) - x(t)) ( 5)
t=1
,/,
./.
,..,
Autrement dit "toute l'information" est contenue dans la série des y(t)
engendrée par le système suivant :
,..,
x(t) = A x(t-1) + u(t) (6)
"'
y(t) = C "'
x(t-1) + v(t) (7)
Un contrôle admissible est donc un contrôle tel que d(t) est ;ct)-mesu-
rable pour tout t.
,/.
- 13 -
b) Calcul_des_gol itigue_oetimale s.
./.
etc•.••.
(8)
l
= Md + s + k
l
X
•
x(1) d(1)
avec X = [ • d :::
X (T)
[ d (T)
B 0 ...... 0
M = AB B 1 1 1 a II a 0 (n • T) X Cm.Tl
AT-18 AT-2B • 1 • a • B
I 0 ...... 0
T-1 T-2
A A I
A x(O)
k = (n. T) X 1
î'
A x(O)
s = N u (n,T) X 1
,/,
- 15 -
p 0
0 • R
avec
Q = M' :ITT f"I (10)
Max Ew(d,s)
( 13)
"'
n(t)-mesu rable
d(t)
T
l Q(t',t) E[d(t')ln (t)J = E[µ(tJlnC t)] t = 1, ••• ,T (14)
t'=1
./.
- 29 -
1
Le problème de la stabilité (stochastiqu ef de tels systèmes a été
étudié par TURNOVSKY (1974). L'auteur démontre que la présence
de bruits sur les paramètres d'un système a pour conséquence une
plus grande .stabilité des mesures optimales, ce qui est è rappro-
cher bien évidemment des considératio ns de précaution introduites
précédemmen t.
b) Calcul_de_ golitigues,
2
. Jes techniques d'optimisat ion non-stochas tiqu~ ~euvent être
appliquées à des situations pour lesquelles l'incertitud e 0st négli-
geable, ce qui est rare, ou est "réduite" è des équivalents certains.
Dans les termes de la spécificatio n "statique" donnée en III-A, il
s'agit de résoudre un problème du type suivant
Max u(c)
C = f(d,s) (36)
./.
Notons en outre que même pour ce modèle très sirnple è deux per:or,m1
il n'est pas possible do donr~er u:-;E, exprnssio,1 a:1olytj_quc BXi:CCH
des politiques
bilité d'un calcul arGlvtiq~e dss oolitiqucs optimales~.
On reviendr':'I sur ces e:.'.c3ri1p1es t J.n +:~n d:.: pa,,..é:lf',TC:lpi,e f:.sui vant,
Quelques mots p'1ur -Fi,,i·;-· SU!' L:,1s .'èUt ".':J -fo,ml:, du IToc:èJ.ri
linéaire-qu adrattque ·~ o :CTe:..irs mu J. tip] :Lcat i V8S, Pl u2ieu t's autsur,:i
ont étudié le cas d'u~o ·~écificetio n da le forma aufvante :
• c i • '; 0
x(t) . L.. J :: l CJ sCU
,/.
- 27 -
C * 1
d ( 1) =
m 1 + 1/h
2
m
1 1 (34}
= + lc11
am ( 2) crm
r~.
On en déduit en particuH er
2
d ( 1) C( 1)
2 crm
=
hm(2} 1
2
+ ic1 J
am
. /.
- 26 -
e
contiennent évidemment les deux cas extrêmes où l'on ne se sert
que d'un seul instrument,
Un calcul immédiat démontre que la prise en compte de l'incerti-
tude sur m,, et m2 conduit de fait à retenir les mesures suivantes
1
c* 1
d1 = 2 2 (30)
1 + 1/hL + h ih
m1 rn1 m2 m1
C
* 1
= ( 31)
d2 2
m2 1 + 1/h + h2 /h2
m2 m1 m2
La prise en compte de l'incertitude sur les e.6ne.t.6 des instrumonts
1 et 2 conduit donc à utiliser ~hnutta.néme.n.t ces deux instruments
alors que dans le schéma "moyen" il y a redondance. On note que
l'ampleur relative de chaque mesure prend en compte la pll.éc..lôion
1r.ei.,a;U.,ve dans l'évaluation des effets.
C = M d + s où M est m x m (32)
,/'
(1) La matrice
.l,J. lJ
z
C •• Iij étant définie positive on voit sans peine
d * =
C * 1 (27)
1
m 1 +
~m
c'est-à-dir e à un maniement de la mesure d'autant plus prudent"
que ses effets sont "mal connus". La prise en compte de l'incerti-
tuge sur. les e{i{ie.t.6 d'un instrument incline donc à une plus grande
pneeaution dans son maniement,
, Le modèle statique à un objectif-deu x instruments : la remise en
cause de la première règle de TINBERGEN,
Considérons maintenant le modèle à un objectif-deu x instru-
ments, limité encore au cas d'une période, (voir BRAINARD (1972))
C = + + s
u(c) = (c - C
*) 2 (29)
E m1 = m1 E m2 = m2 E s = 0
2 2
Var (m ) = (J Var Cm ) = (J Var s =1
1 m1 2 m2
Cov (m ,m )
1 2 = Cov (m 1 , s) = Cov(m 2 ,s) = 0
,/'
- 24 -
C md + s (26)
Em = m
E s = 0
2
Var (m) = cr
m
Var (s) = 1 .
Cov (m, s) = 0
C *
-m
L'espéran ce de perte correspon dante est égale à
*2 m
EEC u =
C
+ 1 avec h =
h2 m cr
m
m
On voit que si la précision d'estimat ion hm est faible,
la politique d'équival ence au certain peut donner de très mauvais
résultats .
,/.
- 23 -
./.
- 22 -
./.
- 21 -
la plus -facilo clu pr 1:cs: 2'Jé,. ;-mur auta11t b1en sûr que l'on dispose
eu dép::irt rj 'un rnc::dà}.~i r,, :, coér::ono:n iqus Lfo r1oli t.i.que économiqu e (1110·-
,- ,~ ~a~s l'§tuds de THEIL, DECA dans Optimi~).
La seule d1~ficul~ 6 t~ch11qur qLd i'on ouisss rencontre r~ ce niveau
,/,
- 20 -
./.
- 19 -
1
h(t) R x(t) + A'[I - H(t+1) B(B'H(t+1) B)- B'] h(t+1) (23)
avec
h ( T) = R x (T )., ( 2 4)
./.
- 18 -
• /,
,/.
- 16 -
'
sys t eme ·-
d e man,c.e.Jte, ; ' ( 1 ) en app l'1.quan t success1.vemen
'1.ec.Wll.,,tve, . t 1 es
opérateurs E[.ln 0,J (où n 0 désigne l'information nulle),
E[ • 1n ( 1 ) J , ... , E[ • 1n CT) J•
On voit aisément que la solution optimale est de la forme
1 t' t
d ( t) = d0 ( t) + d ( t) + • • • + d ( t) + • • • + d ( t) ( 1 5)
0
d (t) correspond aux composantes relatives à la date t du vecteur
0
d solution du système S
0
s0 Q do = Eµ ( 16)
1
d (t) est de même associé au (sous) système c::
~1
t'
d (t) au sous système (t' ~ t)
./.
(t',t')
(2) Q désigne la matrice de dimensions rn. (T-t+1) x m, (T-t+~) obtenue
à partir de Q par suppression des m(tL1) premières lignes et colonnes,
( t')
De mêmeµ est le vecteur obtenu en supprimant les m(t'-1) premièn,._,
composantes du vecteurµ,
- 30 -
./.
La première soiution revient d8 fJit en général ê utiliser
une approximation "linéaire-auadratique" du schéma initial en évaluant
une approximation linéaire du modèle initial et une approximation qua-
dratique de la fonction objectif. Le modèle peut lui-même être linéa-
risé pour ainsi dire "avant" ou paprès'' inGertitude. Dans le premier
cas~ on considère uns trajectoire cE:~rtaint1 C ü:·~sociGe; à dGs vt~leL:rs
-
données des variables instruments d, st des variables non contrôlées
-
s. Cette trajectoire peut d'ailleurs être elle-mêmi le trajectoire
optimale pour les paramètres incertains rfduits à leur valeur moyenne
( Cf. ÀTHt'.\!S ( 19 72), GARRADE ( 1~175)).
On considère alors le modèle variantiel suivant (pris sous forme ré-
duite)
c - c = A (d - d) + B (s - s).
Les A et B résultent eux-mêmes soit d'une linéarisation équation par
équation du modèle (tangente) soit de résultats de simulations
(corde : on fait ôd,,1 = s d'où ;\c d'où A ,, = 6c/ s etc •. ) (voir IJ[LEAU,
, 1
MALGRANGE (1975)).
La fonction objsctif §tant elle-même remplacée par uns approxiMatio.·
quadratique au voisinage de~. on peut sur le schéma linéaire-qLadr~-
tique ainsi construit co~duire les calc~ls ~résent§s en II-8. ~ien
qu'il soit impossible sauf dans dGs CdS pr;cis da mesurer la perte
en optima li té dus è l' approximc:tion on prn:t 1 · E-JStimer faible pour
autant que le modèle ne soit pas "trop" non-linéaire, ni l'incsrtituce
trop importante et que l'on reste dans c~, zcne sans discontinuité
majeure do valorisation des objectifs, Conditions remplies en pratique
si l'on se pose un problème de stabilisation conjoncturelle autour
d'une trajectoire de référence,
Un tel procédé a §t§ appliqué dans de nombreuses études (voir par
exemple las 6!::1Jdr:s comrne:--:~ées en :;:r. B. c).
./'
- 32 -
./.
(1) Ces auteurs soulignent que pour de tels modèles le fonctionnem ent
mof!e.n du modèle stochastiqu e peut être très éloigné du fonction-
nement du modèle moye.n.
On note
2
m(1), a (1) la moyenne et variance "a priori" de la variable aléatoire
m ;
2
m(t), a (t} les moyenne et variance de la variable m condition nelle
à l'observa tion de c(1), d(1) ; .. ,; c(t-1), d(t-1).
d(t)
d(t)
C *
m(t)
d(t)
C * 1
m(t) a2 (t)
1 +
m2ct1
Ces diverses politique s, ont été étudiées et appliquée s dans plusieurs
articles (BOWMAN, LAPORTE (1972), PRESCOTT (1971), (1972)), Le lecteur
pourra trouver par ailleurs des propositi ons de politique s sous-opti males
prenant (partielle ment) en compte l'impact d'une décision sur l'infor-
mation future dans les référence s suivantes : MAC RAE (1972,197 5),
TSf (1974), EL FATTAH, FOULARD (1975), KENDRICK, KANG (1975),
,/.
- 34. -
a) L'exemgle_du_débat_"~olitigue_monétaire_ou _eolitigue
fiscalo"_:_~s_la_simulation_à_l'optimisatio n.
./.
(1) Ce débat est consécutif à l'échec de la "surtaxe" pratiquée
en 1968.
- 35 -
./ .
- 36 -
./.
par rapport à une trajecto ire donnée. La variatio n des poids relatifs
correspo ndants permet donc d'étudie r de manière générale les possi-
bilités de 1.i.tabili1 iatfon e.66..lc.ac.e attachéG s à un instrum ent, ou un
ensemble d'instru ments, particu lier.
La méthode donne ainsi une réponse non ambigu5 au problème de l'effi-
cacité relative des instrume nts fiscaux et monétai res. Elle permet
en outre de différen cier de manière signific ative le "bon usage"
de chaque instrum ent. Sur ce dernier point et à titre d'exemp le,
une des conclusi ons de l'articl e de PYNOICK est que l'instrum ent
monétai re agissant avec des délais plus importa nts que l'instrum ent
fiscal doit être manié de manière beaucoup plus ~igoure use".
./.
./.
- 39 -
2 (40)
r + + = 0
Le système est stablo dès lors que max lrl < 1, Il est oscillant si
les racines sont complexes, la période étant reliée à l'argument
correspondant.
L'étude du domaine de stabilité conduit l'auteur à souligner les
dangers de déstabilisation d'un système économique par une politique
conjoncturelle mal adaptée. HOWREY (1967) complète l'analyse en
incluant des Ué.men;U J.itoc.hMüque.6 adcJ,.U)_fiJ.i non c.ont.Jr..ôlé..6.
L'étude de stabilité du système revient à l'étude d'une équation
du type
./.
- 40 -
d(t) d(t-1)
./'
- 41 -
./.
./.
- 43 -
./.
- 44 -
,/.
(1) Il va de soi que bien des aspects des questions soulevées tien-
nent aux caractéristique s institutionnell es particulières du sys-
tème monétaire Américain. Notre optique est de toute manière plus
tournée vers les problèmes méthodologiques liés au traitement for-
malisé d'une question concrète de politique économique. A ce ti-
tre, les études citées présentent un intérêt qui déborde les con-
ditions particulières d'application.
c
f = F(c ,
i s') (48)
./.
(50)
C a1 y + éJ2 +
u1
+ (51)
I = b1 r + b2 u2
Md (52)
= c1 y + c2 r + C,:,
,)
+ u3
Ms = M (53)
Md s (54)
= M
C + I = y (55)
./.
=~
1
l Statiqu e Dynamique
1
I
POOLE ( 1970) (EC) SARGENT ( 19 71) (S)
Additiv e MOORE ( 1972) (S)
:~
TURNDVSKY ('1975)
Notons que parmi ces différe nts auteurs , seuls procèd ent è des opti-
misatio ns stricto sensu TURNOVSKY (1975), POOLE (197(]) et KARE:'.·::\:
(1970), HDLBRDOK et SHAPIRO (1970) consid èrent des politiq ues d'éq!Ji-
valence au certain dans un schéma oQ elles sont sous-op timales (in-
certitu de mulitp licàtiv e). SARGENT (1971) et MOORE (1972)
étudien t les conséqu ences de contrô les "a priori" de M ou r (po-
litique s à la PHILIP PS).
,/.
- 49 - -
terme d'accélér ation. Avec ce modèle, l'auteur étudie le problème
du choix entre Met r sous les hypothèse s alternativ es d'une incer-
titude limitée aux termes additifs ou portant égalemont sur les
coefficie nts de manière stationna ire (Cf CHOW ( 19738, TURNOVSKY
(1974)).
On peut noter enfin que plusieurs auteurs ont montré que les con-
clusions étaient assez l~rgement sensibles à la spécifica tion du
modèle (exemples : inclusion de "retards" danslafon ction de demande
de monnaie, existence d'un effet PIGOU pour la consomma tion etc ... )
(voir SARGENT (1971), TURNOVSKY (1975)) .
~-;.
- 50 -
C = Md + s
2
u(c) = (c - c*)
./,
- 51 -
problém atique est donc classiq ue et bien connue (cf études sur le
t§tonne ment), L'expos é relatif è l'appli cation des méthod es d'optim i-
sation se limiter a quant è lui è la présen tation d'un seul schéma ,
d'aille urs fort intéres sant, dO è PYNOICK (PYNDICK (1975) ),
./,
- 52 -
R E D (58)
./.
- 53 -
.! .
- 54 -
./.
- 55 -
./.
- 56 -
,/.
- 57 -
IV - CONCLUSION.
-oOo-
- 58 -
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