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…Remerciements……………………………………2
…Introduction………………………………………3
Partie I :
 Groupe Office Chérifien des phosphates….….4.
. Organigramme………………………….5
 Atelier Engrais TSP……………………………6.
Partie :
II
 Sujet de stage ……………………………………8
 Introduction sur la régulation…………9
 Etude du Dosometre……………………………11
: Partie III
 Calculateur Minismart…………………………16
 Description du Clavier (Minismart)……………
18
 Alarmes et défauts……………………………22
… Entretien du Dosometre…………………….23
: Partie VI
 Moteur asynchrone……………………………24
 Variation de vitesse …………………………25
 Constituant des variateurs…………………….26
 Présentation du système DeltaV ……………..27
Partie V :
 Débitmètre électromagnétique………………..33
 Les organes déprimogènes……………………34
 Transmetteur de pression différentiel…………36
 Capteur de température (TC & RTD)…………38
 Vanne automatique……………………………42.
à servomoteur électrique ●
à servomoteur pneumatique ●
Partie :
VI

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 Travaux effectués……………………………..44
.Annexes……………………………………………...45
.Conclusion ………………………………………………..49

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J’aimerai présenter mes remerciements à monsieur:


 Mr******* chef de service de régulation.
 Mr. *********** chef de service de régulation.

Ainsi, j’adresse mes vifs remerciement à Mr. ********


chef d’atelier et responsable de mon stage pour les précieux
conseils qu’il m’a communiqué pour l’aide qui m’a apporter
durant la période de stage, et Mr. ***** le parrain de mon
stage.

Et également à notre professeur Mr. ***** ainsi que tout


le corps professoral, pour l'effort qu'ils n'ont cessé de déployer
afin de nous assurer une meilleur formation dans les meilleur
conditions.

J’ai pu tirer un grand profil de toutes les expressions de


mes salutations et de mon respect envers les agents de service
de régulation Maroc Chimie et particulièrement le corps de
régulation atelier engrais :
 Mr. ******
 Mr. ********
 Mr. ******
 Mr. ********
 Mr. **********
 Mr. MAZRAGUI.
Grâce à leur coopération et à leur explication qui m’ont
permis de bénéficier de leur remarque et expérience.

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Un stage c’est le fait de faire un contact avec la vie


professionnelle afin que l’intégration dans le domaine du
travail demeure facile subséquemment.
C’est une étape nécessaire pour enrichir et concrétiser
les connaissances théoriques acquises tout au long de
notre formation dispensée à l’Institut Supérieur de
Technologie Appliquée et de la compléter par la suite,
pour se lancer vers le bon chemin professionnel.
Conséquemment, ce présent rapport est le fruit d’un
stage qui a été effectué au sein des industries chimiques de
Safi, division Maroc Chimie.

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 Groupe Office Chérifien des Phosphates :


 Présentation et activités :
● Date création : 1920.
● Date création groupe OCP : 1975.

 Secteur d’activité :
Extraction, valorisation et commercialisation des phosphates et
produits dérivés.

 Des atouts importants :


- 3/4 des réserves mondiales des phosphates (98% dans le centre du
pays et 2% dans le sud),
- 4 ports d’embarquement des produits du groupes OCP (Casablanca,
Safi, Jorf-lasfar, Lâayoune ),
- Plusieurs profils de phosphates et de produits dérivés.

 Position dans le marché :


er
- 1 exportateur mondial de phosphates bruts (38% de part de marché en
2003)
- 1er exportateur mondial d’acide phosphorique (43% de part de marché
en 2003)
- 3éme exportateur mondial d’engrais solides,
- 1er exportateur mondial du P2O5 sous toutes formes (27% de part de
marché en 2003)
Réalisations 2002 :

(1) P2O5 représente l’anhydride phosphorique, lequel constitue l’unit de


mesure des produits phosphatés ; à titre indicatif, 1 tonne P2O5
équivalent à 3,5 tonnes de phosphate.
(2) Chiffre d’affaires à l’export (2002) :
1,3 milliard de dollars.
Effectifs : (Total : 22.677 dont ingénieurs et équivalents : 725)

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 Organigramme :

II/Division Maroc Chimie :

C’est la première usine qui a été construite en 1965, durant les


années 65-75 elle a servi comme foyer de formation. Sur le plan
juridique, depuis le début de 1996, Maroc Chimie est une partie
intégrante de la société Maroc Phosphore.
Maroc Chimie à Safi peut produire 270000 t/a P2O5 d’acide
phosphorique, 500000 t/a de superphosphate triple (TSP), 80000 t/a d’un
engrais binaire consommé localement (19.98.0) et 250000t/a d’un engrais
NPK (14.28.14) qui est aussi vendu exclusivement aux agriculteurs
marocaine.

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 Atelier engrais TSP :


 Présentation :
L’atelier TSP a été installé par les français en 1965. Il comporte
deux lignes : La ligne Nord  : pour la fabrication du TSP.
La ligne Sud : pour la fabrication du TSP et des
Produits azotés.
Chaque ligne utilise les équipements suivants :
● Deux silos pour le stockage du phosphate 300 – 1500T
(pour les deux lignes),
● Trois réadlers à chaîne métallique,
● Quatre élévateurs à godets,
● Une bande doseuse,
● Une chambre à combustion,
● Deux réchauffeurs de fuel à vapeur moyen pression,
● Une cuve d’attaque,
● Un granulateur,
● Un tube sécheur,
● Six ventilateurs,
● Seize batteries de cyclones,
● Une bande de recyclage,
● Cinq bandes du produit fini,
● Quatre transporteurs vibrants,
● Quatre cribles à deux étages,
● Quatre broyeurs à cylindre,
● Un concasseur à marteaux,
● Trois tours de lavage,
● Deux bacs du stockage du fuel,
● Un bac du stockage d’acide phosphorique.
● Un ensemble des pompes.
IV.2/Diagramme ligne TSP :

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Principe de fonctionnement des appareils


suivants :
 Débitmètre électromagnétique (DEM).
 Transmetteur de pression différentielle.
 Capteur de température (TC & RTD).
 Les organes déprimogènes.
 Vanne automatique :
 à servomoteur électrique.
 à servomoteur pneumatique.

D'écrire la procédure de commande et les


constituants du doseur de phosphate de la ligne
Nord de l'atelier Engrais et la commande à partir
d'un système de supervision.

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 Introduction sur la régulation :


La régulation constitue de nos jours un outil très important, ses
applications apparaissent de plis en plus nombreuses dans de multiples
domaines d’activités en particulier dans les industries chimiques.
En effet pour avoir une bonne marche de production, certains paramètres
doivent rester constants par exemple le débit, la température, la pression,
le niveau… cela dans le but d’attribuer à ces chaînes de régulation
différentes principes de régulation.

Schéma de principe d’un système asservi industriel

 Définition :
La régulation c’est l’action de réguler, c'est-à-dire maintenir la
sortie ou une grandeur d’état d’un système à une valeur constante quelque
soient les perturbations, cette valeur prescrite on l’appelle consigne.but
d’une chaîne de régulation.
La régulation est nécessaire lorsqu’on désire :
● Avoir une quantité ou une qualité bien déterminer.
● Economiser de l’énergie.
● Maintenir une grandeur physique à une valeur bien déterminée.
● Assurer la bonne marche des installations en tient compte des
sécurité et asservissement.

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 Principe de fonctionnement d’une chaîne de régulation :


Une chaîne de régulation doit effectuer les fonctions suivantes :
- Le capteur.
- La transmission.
- La détection de l’écart entre la valeur réelle et la consigne.
- La commande.

 Boucle de régulation :
Dans une boucle de régulation on distingue :
- Un organe de mesure.
- Un transmetteur.
- Un bloc comparateur (mesure - consigne).
- Un régulateur, avec action PID suivant le procédé.
- Un organe de commande pour maintenir les paramètres du
procédé.

Dans une boucle de réglage, il s’agit de maintenir la grandeur réglée


à une valeur de consigne quelque soient les perturbations et ceci dans
les meilleur conditions de stabilisation et de précision.

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 Dosometre (Pesage /dosage) :


 Présentation :
Un doseur fusant est un appareil qui à partir d’une première
consigne, va réguler la quantité de matière qui circule dans le sas
alvéolaire, et va réguler la quantité de matière qui circule dans la bande à
partir d’une 2éme consigne.

 Description :

Plan d'ensemble doseur


Il est composé :
• Sas alvéolaire dans le quel le produit va être stabilisé.
• Partie mécanique sur la quel le produit va s’écouler et être pesé.
• Partie électrique où est située la puissance.
• Partie électronique qui depuis les capteurs jusqu’au calculateur va
Permettre de :
▪ Mesurer le niveau de produit présent dans le sas alvéolaire et
éventuellement de réguler ce niveau.
▪ Mesurer le débit de matière sur la bande et éventuellement de
réguler ce débit.

Le signal poids, fourni par le capteur de la bande de pesage, est


amplifié et mis en forme par l’amplificateur de base SAUTELMA avant
d’être transmis au calculateur.
Ce module amplificateur est placé sur la partie mécanique du doseur,
ce module peut être fourni en version numérique (UTN) pour transmettre
des signaux sur une langue distance.
La vitesse de bande va être transmise au calculateur sous forme
d’impulsions par un codeur placé sur le tambour de queue ou par un
codeur incrémental sur la bande.

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Il s'agit donc d'une machine comportant deux régulations :


• Régulation de la quantité de matière dans le sas alvéolaire.
• Régulation de la quantité de matière sur la bande.

 Transporteur :
Les équipements essentiels qui constituent un doseur:
 L'infrastructure de posage qui comporte:
 Un capteur de poids (deux jauges de contrainte)
 Une chambre de calmage avec sonde de niveau.
 Deux lames croisées.
 Une table de pesage.
 Rouleaux peseur.
 Deux rouleaux adjascants.
 Tapis + sas alvéolaire
 Une armoire électrique à la salle de contrôle qui comporte:
 Deux variateurs de fréquence (Allen Bradly)
 Un calculateur MiniSmart.
 Alimentation électrique.
 Un potentiomètre de référence et de réglage.
 Des BP pour Marche/Arrêt des moteurs et acquittement de défaut.
 Deux indicateurs d'ampérage (moteur de bande et moteur de sas
alvéolaire)
 Clavier alphanumérique pour l'accès au programme du
calculateur+afficheur.
 Moteurs :
 Moteur asynchrone pour la bande.
 Moteur asynchrone pour sas alvéolaire.
 Génératrice tachymétrique pour la vitesse et un capteur de
glissement.

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 Principe de fonctionnement :
Une trémie de stockage alimente un sas alvéolaire qui alimente d'une
façon contenue la chambre de calmage, le doseur extrait à section
constante le produit, et à partir d'une consigne de débit fixée, corrige
par la variation da la vitesse de la bande, le volume extrait afin de
maintenir constant un débit pondérable.

Le niveau de produit dans la chambre de calmage est contrôlé par une


sonde capacitive de niveau qui représente un des éléments les plus
importants d'une chaîne de mesure.

 Sonde capacitive :
Il se compose : - la tête de sonde.
- l'électrode de mesure.

● Fonctionnement :
Le principe de la mesure capacitive de niveau consiste à mesurer
les variations de capacité dues à des variations du niveau (immersion
ou émersion de l'électrode), un convertisseur de mesure transforme la
capacité proportionnelle au niveau à un signal de 4 à 20 mA transmis
au calculateur.

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 Codeur incrémental :
Par l'intermédiaire d'une alimentation approprié, ces liaisons
permettent de compenser les chutes de tension, dans le cas où il n'y
pas lieu de compenser les chutes de tension en ligne, ces files ne sont
pas à relier.
 Capteur de vitesse de la bande :
La vitesse de la bande est mesurée à l'aide d'un capteur d'impulsion
c'est-à-dire à certain nombre d'impulsion correspond un tour de
tambour et transmise au calculateur par un codeur placé sur le
tambour.

 Capteur de poids :
Le produit est extrait de la chambre de calmage pesé ce poids capté
par la dispositif de pesage selon une longueur de pesage (m/kg).

 Longueur de pesage :
La langueur de pesage L est égale à la moitié de la distance entre les
rouleaux fixes d'entrée et de sortie.
L

L/2

● Sensibilisation 2mV/V.
● Tension d'alimentation 10Vcc.
● Signal max de sortie 20mV qui traverse l'amplificateur peson
et sera converti en mA.
D'après un principe mécanique le rouleau peseur supporte tout le
poids sur la distance L/2, ce dernier est liée avec un capteur de pesage
(jauge de contrainte) le signal poids par le capteur de pesage est
amplifié et mise en forme par l'amplificateur avant d'être transmis au
calculateur, ce module amplificateur est placé dans le boîtier du
doseur.

Sécurité : il existe deux capteurs Deport bande (glissement).

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 Principe :
Le principe générale de mesure qui lie le débit en fonction du poids
spécifique de la matière et la vitesse d'entraînement de la bande s'exprime
comme suit:

Q=P*V
● Q : Débit en kg/s ou t/h.
● P : Poids spécifique de la matière en kg/m.
● V : Vitesse de défilement de la bande en m/s.

 Fonction régulation :
Comme nous l'avons indiqué, réguler le débit Q, revient à réguler les
paramètres P (poids) et V (vitesse).
La variation des deux paramètres étant quasi impossible si on veut
parler de précision, alors il sera préférable de fixer un paramètre et de
varier l'autre.
Donc il suffit simplement de fixer le poids et de varier la vitesse pour
obtenir un débit réguler.

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 CALCULATEUR MINISMART :

:  Présentation
Un micro calculateur Minismart est électronique numérique de
traitement de signaux logique et analogique.
Il est conçu pour recevoir et restituer des signaux en tension,
fréquence, courant.

 Equipement de commande et de régulation de débit :


Une armoire ou coffret comprenant :

 En face avant de l'armoire :


Le boîtier de commande du calculateur
Les organes de lecture, d'affichage, de commande et de signalisation.

 A l'intérieur :
● Boîtier électronique et unité centrale du calculateur
● Un ensemble de protection et de commande des organes de
puissance.
● Un ensemble de télécommande avec possibilité d'asservissement
● Un variateur de vitesse avec limitation d'intensité et de vitesse
protégé contre les surcharges:
• A thyristors pour moteur à courant contenu.
• A variateur de fréquence pour moteur asynchrone.
● Platine NORMAL-SECOURS.
● Un transformateur d'adaptation à la tension du réseau.
● Un bornier.

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 Fonctions :

 Fonction mesures :
Elaboration signal VITESSE.
Elaboration signal DEBIT.
Elaboration signal POIDS.

 Fonctions contrôles :
● Contrôle automatique du zéro.
● Contrôle automatique de la pente ou étalonnage.
● Contrôle du défaut glissement de la bande.
● Contrôle du bon fonctionnement de l'ensemble.

 Fonction régulation :
Le calcul du débit doseur est comparé au débit de consigne de
l'installation, suivant l'écart observé entre le débit mesuré et le débit de
consigne, le régulateur agit sur la vitesse de la bande transporteuse.
Dans certains cas l'extracteur de l'alimentation est également régulée par
ce même régulateur.

 Mise en service de l'équipement électrique :

Il s'agit de la première mise en route, se référer à la note de stockage.


Par ailleurs, vérifier que l'appareil soit complètement débridé.
 S'assurer qu'aucun objet ne puisse gêner ou détériorer les organes
qui seront en mouvement (bande).
Avant toute mise sous tension, le branchement des câbles doit être vérifié
avec soin.
 Vérifier que les tensions secteur alimentant le coffret (puissance,
télécommande et calculateur) sont correctes.

Laisser le calculateur hors tension. Câbler entre la bascule et le


calculateur :
● Le câble blindé 4 conducteurs du signal poids provenant dde
l'ABSR (amplificateur du signal provenant des jauges).
● Le câble blindé 3 conducteurs du signal poids provenant du
détecteur inductif ou codeur incrémental.
● L'alimentation 220 V mono du calculateur ou 400 V triphasé.
● Les entrées et sorties logique d'indication de défaut et impulsions de
poids la sortie analogique d'indication de débit.

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 Description de clavier :

Le minismart dispose d'un système de menus numérotés simplifies


qui facilite l'accès au sous-menu désire.
Appuyez sur la touche MENU puis tapez directement le chiffre du
menu désire (ou faites-les défiler avec les touches  ou, puis confirmez
avec la touche ENTRE).

 Définition des touches de fonction :

Touche et voyant de mise à zéro.

Voyant d'étalonnage.

Touche et voyant F1
- L'appui sur la touche F1 permet d'afficher les informations
sur les totalisations et TBD.
- Si le voyant clignote, cela indique que l'on est en mode réglage
commande de régulation1 à 0.

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Touche et voyant F2
- L'appui sur la touche F2 permet d'afficher les informations sur
les régulations :
• L'appui sur la touche "" affiche les informations sur la
régulation 2 du produit dans le sas alvéolaire.
• L'appui sur la touche "" affiche les informations sur la
régulation 1 du produit sur la bande.
- Si le voyant clignote, cela indique que la régulation 1 est en
mode secours (mode 4) ou réglage avec la commande de
régulation égale à la valeur de la consigne locale.

Touche et voyant F3
- L'appui sur la touche F3 permet de saisir la consigne de moteur
du sas alvéolaire.

Touche et voyant F4
- L'appui sur la touche F4 permet de saisir la consigne du doseur.

Touche Marche ou voyant F5


- Ce voyant, s'il est éclairé, indique que la machine est en marche

Touche Acquittement ou voyant F6


- Ce voyant clignote en présence d'un message.
- l'appui sur cette touche permet d'effacer les messages
informations et d'acquitter les défauts.

Le MINISMART possède deux afficheurs différent :


- Un afficheur à LED rouge de 6 digits indiquant le debit ou la
totalisation.
- Un afficheur LCD de 4 lignes alphanumérique permettant de
Visualiser le débit, le poids sur jauge, de visualiser les
paramètres, etc.

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 Fonctionnement :

 Démarrage :
● A la mise sous tension, vous aurez l'écran suivant :

DEBIT représente le débit instantané.


TOT représente la totalisation partielle.
VIT représente la vitesse du tapis et le pourcentage par rapport à la
vitesse nominal.

● En appuyant sur la touche vous aurez l'affichage suivant :

TOT P représente la totalisation partielle.


TOT G représente la totalisation générale.
P/G indique le poids de la zone de pesée sur la jauge. Le pourcentage
indique le niveau du poids par rapport au poids maximum autorisé.
CAL indique la consigne du sas alvéolaire.
Pour sortir de cette écran appuyer sur la touche QUITTER.

 Mode pesage :
 Totalisation :
Deux types de totalisations apparaissent sur les lignes 1 et 2 de
l'afficheur LCD après appui sur F1:
• Totalisation partielle : ce registre peut être remis à 0 par le menu.
• Totalisation générale : ce registre peut être remis à 0 par le menu.

 Impulsions de totalisation :
Une sortie logique SL permet de faire du comptage d'impulsions de
poids.
La durée de cette impulsion est définie par le paramètre "Dppass".
La valeur de cette impulsion est définie par le paramètre "Mppss".

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 Réglage :

 Tarage :
Cette opération consiste à régler le zéro d'un appareil de mesure.
Dans notre cas, quatre conditions sont nécessaires pour cela, il faut :
1- Que le poseur soit en marche.
2- Qu'il n'y ait pas de produit sur la bande.
3- Appuyer sur la touche 0 :
4- Le signal poids brut doit être inférieur au paramètre "zéro<%"
Le zéro se fait sur un tour de bande.
Si le zéro est terminé le voyant s'éteint.
Un nouveau zéro peut être aussitôt demandé par un nouvel appui sur
la touche :

 Etalonnage :
L'opération d'étalonnage consiste à régler le gain d'un appareil de
mesure. Dans notre cas, trois conditions sont nécessaires pour cela,
il faut :
1- Que le machine soit en marche.
2- Qu'il n'y pas de produit sur la bande.
3- Poser le produit étalon sur son support, la masse de ce poids doit
être égale à " Mpetal"
4- appuyer sur la touche menu puis taper 624 et valider la demande
d'étalonnage.

Une fois l'étalonnage effectué et le poids étalon retiré, voyant


s'éteint.
L'étalonnage se fait sur 1 tour de bande.
Si l'étalonnage est terminé le voyant s'éteint.

Les modes de fonctionnement :


 Mode normal ou régulation : nous pourrons dire que le
régulateur reçoit la consigne local-distance suivant le mode de
fonctionnement et déterminer l'écart entre le débit réel et mesure.

 Mode réglage : il n'y a pas d'asservissement dans ce mode de


fonctionnement mais seulement une régulation de vitesse pour
permettre de faire le tarage ou l'étalonnage.

 Mode secours : pour activer ce mode il suffit de mettre le


commutateur en position SECOURS, dans ce mode l'opérateur
sélectionné la vitesse à l'aide d'un potentiomètre.

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 Alarmes et défauts :

Les différents messages d'information et d'erreur sont les suivants :

Message d'information Signification


Val Zéro>Zone Le zéro peut se faire car la valeur du zéro est supérieur Tare<%
… Stabilité Attente que le poids sur le tapis soit stable
…Recherche Recherche de la valeur du poids étalon
…Zéro en cours Zéro en cours
Mettre étalon Placer le poids étalon sur le tapis
…Etalonnage Etalonnage en cours
Enlever étal Enlever le poids étalon du tapis
Refaire zéro Refaire le zéro car entre l'étalonnage et le zéro, le temps doit être inférieur à 1 heure
Poids étal<Zone Le poids étalon est en dessous de la valeur définie par MPEtal (232)
Poids étal>Zone Le poids ou étalon est au dessus de la valeur définie par MPEtal (232)
Moteur arrêté Zéro ou étalonnage impossible car le moteur est arrêté
Alim.en cours Zéro ou étalonnage impossible car alimentation en cours
Pas d'index Défaut sur la détection de l'index de bande

Message d'erreur Signification


Def Elec/Air/AU Défaut électrique ou arrêt d'urgence
Glissement L'écart de vitesse entre vitesse 1 et vitesse 2 est supérieur à Gliss%(2415)
Def Régulation Défaut de régulation, la consigne n'a pu être respecté pendant une durée de TDefReg
Def Comm.Serie Défaut de communication sur un port série
Manque matière Il manque de la matière par rapport à la régulation
Excès matière Il y a un excès de matière par rapport la régulation
Def Automate Défaut interne sur le fonctionnement de l'automate
Def Mémoire Problème d'allocation mémoire
Débit très bas Débit inférieur de 20% au débit nominal
Débit très haut Débit supérieur ou égal au débit nominal

Les messages peuvent être acquittés en appuyant sur la touche F6.


(sauf pour le défauts Def Comm et Def Elec/Air/AU qui disparaissent dès
que le défaut n'est plus présent)

 défaut glissement :
Le défaut glissement apparaît lorsque la différence de la vitesse de
rotation du tambour de retour et du tambour moteur est supérieure au seuil
de glissement "Gliss %".

 Entretien du doseur :

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 Le transporteur :

 Contrôle l'état des rouleaux, en vérifie leur rotation et gratter


les produits adhérant notamment le rouleau peseur ainsi le
rouleau d'entrée et de sortie.
 Vérification de l'alignement du rouleau peseur.
 Contrôle la surface des tambours.
 Contrôle l'état des lames croisées.
 Vérification le centrage de la bande à vide et en charge.
 Vérification du niveau de produit.
 Vérification du bon fonctionnement et la propreté des divers
fin de course.
 Nettoyage de la bande.

 Le circuit électrique :

 Les contacts électriques ( relais, contacteurs, connecteurs),


qui doivent être maintenus propres (dépuissiérage à l'air
comprimé).
 Soufflage des moteurs.
 Le serrage des bornes de raccordement intérieur et extérieur
 Les câbles de connexion qui doivent être maintenus en bon
état.

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 Moteur asynchrone :
 Présentation :
    C'est
un moteur qui se caractérise par le fait qu'il est constitué d'un stator
(inducteur) alimenté en courant alternatif et d'un rotor (induit) soit en
court-circuit, soit bobiné aboutissant à des bagues dans lesquelles le
courant est créé par induction. Ces moteurs ont la particularité de
fonctionner grâce à un champ tournant.

On distingue 2 catégories de moteur asynchrones en fonction du type


de rotor :
- les moteurs asynchrones à rotor en court-circuit, de faible puissance.
- les moteurs asynchrones à rotor bobiné à bagues dans lesquelles
l'enroulement du rotor aboutit à des bagues par l'intermédiaire desquelles
on peut insérer des résistances. Ils sont de grande puissance.
    Les moteurs asynchrones peuvent démarrer par leurs propres moyens
s'ils sont polyphasés. Le couple de démarrage des moteurs asynchrones est
faible.
C'est un moteur dont la vitesse est proportionnelle à la fréquence du
courant :
n= f /p
 
n = fréquence de rotation.
f = fréquence du courant.
p = nombre de paire de pôles.
 
 Précautions de câblage :
    Pour le pilotage de ces moteurs, il est impératif de séparer la tension de
commande de la tension de puissance. La tension de commande doit être
en très basse tension 24 Volts puisqu'un opérateur humain sera amené à
intervenir et la tension de puissance sera en basse tension 380 V. Il sera
donc nécessaire de différencier physiquement sur un circuit, ces deux
tensions.

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 La variation de vitesse des moteurs asynchrone :


 Principe de fonctionnement :
 Action sur la fréquence :
Dans le cas d'un moteur asynchrone, la vitesse de rotation du rotor est
proportionnelle à la fréquence des courants statorique n=f/p. en faisant
varier la fréquence de la rotation d'alimentation on agit directement sur la
vitesse de rotation du moteur. Un convertisseur de fréquence et donc
inséré entre le réseau et le stator du moteur.

 Contrôle du couple :
Pour conserver les performances du moteur (couple maximum
disponible en permanence quelque soit la vitesse), il faut maintenir le flux
Фs constant, à ce flux et pour différentes valeurs de la fréquence
statorique, les caractéristiques Tem=f(Ω) sont parallèles.
La nécessite de maintenir Фs constant impose U/f=cte (U tension
efficace d'alimentation moteur), il faut que U et f évoluent
proportionnellement, chaque valeur de f (donc vitesse) doit imposer une
nouvelle valeur de U, le couple délivré par la machine dépend de la
caractéristique du couple résistant de la charge entraînée.

 Fréquence supérieure à f nominal :


En régime de survitesse (f>f nominale), pour maintenir Фs = cte donc
U/f=cte, la tension U devient supérieur à la tension nominale du moteur
ce qui est destructeur pour le moteur, on ne peut donc garantir la
caractéristique du moteur à couple maximum.
Le couple maximum décroît avec la vitesse, si le maintient U = cte et
l'on augmente f, le flux Фs diminue donc Tem (max) aussi, on dit que le
moteur fonctionne en défluxeur.

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 Constitution des variateurs pour moteur asynchrone :

 Synoptique d'un variateur de vitesse pour moteur asynchrone :

 Redresseur : Permet de transformer une tension alternative en


tension continue ondulée.

 Filtrage : Elimine les phénomènes d'ondulation de la tension en


sortie du redresseur.

 Récupération : Système permettant de transformer l'énergie


mécanique lors du freinage du moteur en énergie calorifique dans le
cas où l'on utilise une résistance de dissipation comme système de
freinage. Ces systèmes de récupération d'énergie assurent un freinage
contrôlé du moteur.

 Onduleur : Permet de transformer une tension continue en une


tension alternative amplitude et fréquence variables. On peut ainsi
maintenir le rapport U/F constant.

Le variateur de vitesse est un convertisseur de fréquence destiné à


l'alimentation des moteurs asynchrone triphasés à cage de 500 W à 1000
KW selon le modèle.
Cette technique assure une rotation des moteurs régulière et sans à
coup à basse vitesse.

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 Présentation du système DeltaV :

 Le système DeltaV :
Le système de procédé évolutif DeltaV comporte les composants suivants :
Ÿ Un ou plusieurs sous-systèmes d'E/S traitant les données issues des
appareils de terrain.
Ÿ Un ou plusieurs contrôleurs locaux assurant la gestion des données
et des communications entre le sous-système d'E/S et le réseau de
contrôle
Ÿ Des alimentations
Ÿ Une ou plusieurs stations de travail équipées d'une interface
utilisateur graphique.
Ÿ Un réseau de contrôle assurant la communication entre les nœuds
du système.
La Figure 1-1donne un schéma synoptique du système DeltaV .

Schéma synoptique du système DeltaV

:  Alimentation des appareils de terrain


Afin de limiter le câblage, vous pouvez relier directement une source
d'alimentation au panneau Interface E/S pour alimenter les appareils de
terrain connectés à certains types d'E/S. La source d'alimentation peut être
un bloc d'alimentation DeltaV ou votre propre source. Certaines cartes
d'E/S ne font pas appel à l'alimentation distribuée par le bus pour
alimenter les appareils de terrain qui leur sont associés.

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 Contrôleur DeltaV :
Le contrôleur assure le contrôle local et gère les communications
entre le sous-système d'E/S et le réseau de contrôle. Il est monté sur le
emplacement droit du panneau 2 voies Alim/contrôleur. Vous pouvez
ajouter un contrôleur supplémentaire pour assurer la redondance du
contrôleur. Reportez-vous à l'Annexe M pour plus d'informations sur le
montage du contrôleur dans un panneau 4 voies Alim/contrôleur.

 Logiciel de la station du travail et du systeme DeltaV :


Le logiciel de la station de travail et du système comporte une
interface utilisateur graphique vous permettant de configurer votre
système, effectuer des contrôles diagnostiques poussés, contrôler votre
procédé et collecter les données de rapports et les données historiques.
L'identifiant système DeltaV, livré avec votre pack de licence, est un
connecteur qui doit être branché sur le port parallèle de votre station de
travail ProfessionalPLUS. Il donne à chaque système DeltaV une
identification unique qui vous permet d'installer ou télécharger des
modifications du système. L'identifiant système n'est pas indispensable au
fonctionnement ou au redémarrage de votre système après utilisation. Il
est nécessaire qu'une station de travail ProfessionalPLUS fonctionne en
tant que serveur Microsoft NT si le réseau de contrôle DeltaV comprend
la station de travail ProfessionalPLUS et plus de cinq autres stations de
travail.

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 Réseau de contrôle DeltaV :


Le réseau de contrôle est un réseau local (LAN) Ethernet isolé qui
permet la communication entre les contrôleurs et les stations de travail.
Des hubs Ethernet standard sont utilisés pour les connexions de
communication.
Un hub à auto-détection double vitesse 10BaseT/100Base-TX en
option peut être ajouté pour les réseaux comportant plus de quatre
stations de travail.
Le réseau de contrôle est dédié au système DeltaV. Le système
DeltaV peut être connecté au réseau de production à l'aide d'une interface
Ethernet distincte sur la station d'application DeltaV. L'utilisation d'une
station d'application DeltaV est le principal moyen de connexion d'un
réseau de production au système DeltaV et d'exécution des applications
non-DeltaV (autres que Microsoft Excel).

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:  Débitmètre électromagnétique
Il utilise la loi de Faraday : Quand un conducteur rectiligne se déplace
dans un champ magnétique, une force électromotrice est induite dans ce
conducteur.

Un champ magnétique est crée par deux enroulements inducteurs


placés de part et d’autre d’un même diamètre de la canalisation. Le
conducteur est le fluide lui-même, il circule dans une canalisation isolée
électriquement à l’intérieur. La force électromotrice est mesurée par deux
électrodes au contact avec le liquide et placées aux deux extrémités d’un
diamètre perpendiculaire aux lignes d’induction. La force électromotrice
mesurée est proportionnelle à la vitesse moyenne du liquide, donc au
débit volumique du liquide. Le signal de sortie à une amplitude de
quelques millivolts et indique également le sens de l’écoulement.

 Domaine d’utilisation : liquide visqueux, pâteux, chargés


d’impuretés, abrasifs ou très corrosifs à condition qu’ils soient

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conducteurs de l’électricité (ce qui n’est pas le cas des


hydrocarbures).
 Diamètre de canalisations : 3 mm à 3 m
 Bonne précision de l’ordre de 1 % (limitée pour les faibles vitesses
d’écoulement).
 Mesure ne dépendant pas des caractéristiques physique du liquide
(viscosité, densité, granulométrie) et possible à haute température
(450 °C) et haute pression (1000 bars).

Mesure de pression différentielle à l’aide d’organes


déprimogènes :
Par mesure de pression différentielle à l’aide d’organes déprimogènes 
ces débitmètres de type manométrique sont les plus utilisés pour la
mesure des débits de fluide. Ils exploitent la loi de BERNOUILLI qui
indique la relation existant entre le débit et la perte de charge résultant
d’un changement de section de la conduite. Ces dispositifs sont utilisables
que lorsque l’écoulement est turbulent. En partant de la relation Qv = S x
V (vue au 2.1) et en supposant une masse volumique constante (fluide
incompressible), on peut écrire l’équation de continuité :

Qv = S1 x V1 = S2 x V2

Celle ci montre qu’avec un écoulement régulier et uniforme, une


réduction de diamètre de la canalisation entraîne une augmentation de la
vitesse du fluide, donc de l’énergie potentielle ou de la pression de la
canalisation.
La pression différentielle est convertie en débit volumique, à l’aide de
coefficients de conversion, selon le type de débitmètre manométrique
utilisé et le diamètre de la conduite.

 Diaphragme :
Il s’agit d’un disque percé en son centre, réalisé dans le matériau
compatible avec le liquide utilisé. Le diaphragme concentrique comprime
l’écoulement du fluide, ce qui engendre une pression différentielle de part
et d’autre de celui-ci. Il en résulte une haute pression en amont et une
basse pression en aval, proportionnelle au carré de la vitesse
d’écoulement. C’est le dispositif le plus simple, le moins encombrant et le
moins coûteux.

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 Domaine d’utilisation : ne convient pas aux liquides contenant des


impuretés solides car celles-ci peuvent s’accumuler à la base du
diaphragme. Il introduit une perte de charge importante
 Diamètre de canalisation : tous diamètres disponibles
 Precision  : 2 à 5 %
 Dynamique : 1-4

 Tube de Venturi :
Il est constitué d’un tronc de cône convergent, d’un col cylindrique et
d’un tronc de cône divergent. Le dispositif offre une bonne précision,
mais reste coûteux et encombrant. Il dispose d’un bon comportement du
point de vue perte de charge, usure et encrassement. Comme avec le
diaphragme, les mesures de pression différentielle sont converties en
débit volumique.

 domaine d’emploi : liquide propre, gaz et vapeur


 précision : 0,5 à 3 % selon les cas

 Tuyère :

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Elle est considérée comme une variante du tube de VENTURI.


L’orifice de la tuyère constitue un étranglement elliptique de
l’écoulement, sans section de sortie rétablissant la pression d’origine.
Les prises de pression sont situées environ ½ diamètre de la conduite en
aval et 1 diamètre la conduite en amont.

La perte de charge se situe entre celle d’un tube de VENTURI et celle


d’un diaphragme.

 domaine d’utilisation : pour les turbulences importantes (>


50000), notamment dans les écoulements de vapeur à haute
température. Ce dispositif est inutilisable pour les boues
 précision : 1 à 3 %
 dynamique : 1-4

:  TRANSMETTEUR DIFFERENTIEL
 Définition :
Le transmetteur de pression différentielle et un appareil a
microprocesseur, il possède un élément sensible a capacité variable,
(cellule de mesure).
Ce transmetteur capte une pression différentielle et la transforme en
signal électrique de 4-20mA, ce signal est lu par le microprocesseur traite
selon un algorithme et converti en signal numérique.

 Fonctionnement de la cellule de mesure :


La pression est transmise par l`intermédiaire des membranes isolantes
et de l`huile de silicone a la membrane détectrice situe au centre de la
cellule de mesure, Quant a la pression de référence, elle est transmise de
la même manière, mais sur l`autre cote de la membrane détectrice. La
.position de celle-ci indiquée par les plaques du condensateur
La capacité entre la membrane détectrice et l`une ou l`autre est de
150 picofarad.

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La cellule de mesure est reliée a un oscillateur fonctionnant a une


fréquence approximative de 60 HZ et 38 voltes crête a crête.
La différence de capacité se traduit par un signal amplifie, redresse,
puis converti.

 Utilisation du transmetteur :
Le réservoir n`est plus a l`air libre et a la pression au niveau
supérieur du liquide est différente de la pression atmosphérique.
l’information ∆p est proportionnelle a P2-P1.

Schéma explicatif d'utilisation d'un transmetteur de niveau

Avec : P2 = ρ .g.H+P Et P2 = ρ. g .h+P

∆P = P2-P1 = ρ. g.( H – h ).

La chambre P2 est connectée a la pression P par une tuyauterie qui


est généralement remplie de liquide identique a celui contenu dans le
réservoir ceci afin d`éviter les risques d`erreurs causées par condensation
ou par remplissage intégral du réservoir.

 Les thermomètres à résistances RTD :


Sous l'action de la chaleur, la résistance de métaux tels le cuivre, le
platine et le nickel varie de sorte que l'on peut avoir une indication de la
valeur de la température en mesurant cette résistance.

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Quoique travaillant sur le même principe, les manufacturiers ont


développé des thermomètres à résistances de bien meilleure précision que
les thermistances: il s'agit des RTD, « resistance temperature detector ».
Ce capteur comporte des fils de platine, de cuivre ou de nickel,
enfermés dans un boîtier étanche en matériau non corrosif. De tous les
métaux utilisés, on retrouve surtout des thermomètres à fil de platine. Ces
thermomètres sont habituellement plongés dans les liquides dont on veut
connaître la température.
Le RTD platine 100 normalisé est devenu une norme en
instrumentation. Celui-ci offre une résistance de 100 pour une
température de 0,0C et il peut mesurer des températures allant de (-
180C jusqu'à +650C).
La matériau de la sonde est en acier inoxydable («stainless steel»).

Fil blanc
Fil blanc
Fil rouge


RTD
RTD 3fils

Symbole du RTD
T° T° T°
RT RT RT
D D D

RTD 2 fils
RTD 4 fils
RTD 3 fils

T HERMOMÈTRE À RÉSISTANCE RTD


 Gracieuseté OMEGA TECHNOLOGIES :
Le RTD est placé dans un pont de résistance de précision. Pour
compenser la longueur des fils de cuivre dont le coefficient de
température est supérieur au platine et qui influencerait la mesure, on
utilise un RTD trois fils.

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Pour éviter l'imprécision de la fonction de transfert du pont résistif et


rendre l'influence des longueurs de fil négligeable, on utilise aussi le RTD
à quatre fils alimentés par une source de courant. La figure ci-dessous
illustre divers circuits de branchement du RTD.

(-) (+) (-) (+)


T° T°
RTD RTD

(+)

RTD

I (-)

B RANCHEMENT DU RTD
a) RTD 2 fils
b) RTD 3 fils
c) RTD 4 fils
La valeur de la résistance équivalente du RTD peut être calculée
approximativement à l'aide de la formule empirique suivante :

Rtx  R0 C  1  tx 


 Les thermocouples :
En 1826 Thomas, J. Seebeck observe que, lorsque deux conducteurs
de matériaux différents, sont reliés ensemble et que leurs points de
jonction sont maintenus à des températures différentes, une force
électromotrice est développée. Le thermocouple est constitué par deux
fils de métaux différents réunis à une extrémité. Cette jonction est appelée
« soudure chaude ». L'autre extrémité, appelée « soudure froide », est
utilisée comme référence. Lorsque chauffée, une tension proportionnelle
à la différence de température entre la soudure chaude et la soudure froide
est générée. Les tensions disponibles à la sortie du thermocouple sont de
l'ordre du millivolt.
Si la température de référence (jonction froide) est maintenue
constante, la variation de la tension de sortie dépendra uniquement de la
température à la jonction chaude.

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Joint de soudure du
th+ (Pb, Sn)
Symbole
(+) jaune
Chromel

Alumel
(-) rouge

Thermocouple type K
Soudure chaude

T 1 (+) Millivoltmètre
f.é.m

(-)
Soudure froide
de référence T 2

100

80
E

µV/°C
T J
60
(mil iv olts )

40
K
f.é.m.

Coefficient Seebeck

20
R
S
-500°C 0°C +500°C 1000°C 1500°C 2000°C
Dif férence de température
(T 1 - T 2 ) Température

Coefficient Seebeck vs
température
LE THERMOCOUPLE : SYMBOLES ET PRINCIPES
Pour obtenir une tension de sortie exempte des fluctuations de la
température ambiante, la jonction froide (référence) est maintenue
artificiellement stable. Plusieurs techniques sont utilisées par les
manufacturiers pour compenser la variation de la température ambiante.
Citons quelques exemples:
 maintien de la température de référence (jonction froide) à 0C.
 maintien de la température de référence (jonction froide) à la
température ambiante.
 compensation thermique de la tension de sortie en fonction des
fluctuations de la température ambiante.

Toutes ces techniques donnent la même conclusion: obtenir une


tension de sortie proportionnelle à la température mesurée à la jonction
chaude.
Pour calibrer le circuit, référez-vous à la procédure fournie par le
manufacturier. Certains appareils doivent être ajustés pour une jonction

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chaude à la température ambiante, d'autres appareils doivent être ajustés


pour une jonction chaude à la température de 0C.
Le thermocouple est souvent enfermé dans un tube protecteur. La
figure ci-dessous illustre quelques boîtiers protecteurs.

E XEMPLE DE BOÎTIER PROTECTEUR DE THERMOCOUPLE


Gracisuseté BRIAN CONTROLS
Pour pouvoir mesurer des plages de température de plus en plus
grandes avec le plus de précision possible, plusieurs combinaisons de
matériaux différents ont été expérimentées. Ces combinaisons multiples
ont donné des types de thermocouples différents.
Les manufacturiers ont convenu d'un standard pour la couleur de la
gaine protectrice des deux conducteurs du thermocouple. Le côté (-) sera
toujours rouge, l'autre côté sera d'une couleur qui identifiera le type de
thermocouple.
Les caractéristiques de sensibilité (coefficient Seebeck) des
thermocouples ne sont pas linéaires sur l'étendue de mesure dévolue au
thermocouple. Il faut minimiser l'étendue de mesure sur une courte
section de l'étendue de mesure pour obtenir des fonctions de transfert
linéaires. Référez-vous au Error: Reference source not found pour
connaître les principales caractéristiques des différents types de
thermocouples.

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 Les travaux effectués

 Entretien des chambres à combustion (Brûleur, contrôle)


 Entretien des dosomètre.
 Grattage du rouleau peseur.
 Grattage du rouleau adjacent.
 Soufflage :
 De la bande.
 La table de mesure.
 Les jauges de contrainte.
 Les lames croisées.
 Capteurs de vitesse (tambour et bonde).
 Nettoyage de la sende capacitive.
 Tarage et l'étalonnage du dosomètre.
 Entretien et contrôle des vannes y compris le dépannage
habituel.
 Entretien de niveau de radar y compris le dépannage de
radar.
 Entretien des sondes des températures y compris le
dépannage habituel.

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Réseau distant dédié


L'utilisation d'un routeur pour réduire au minimum le
trafic réseau entre le système DeltaV et le réseau de
.production d'un site distant

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Réseau de production d'un site distant connecté à un


système DeltaV

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Réseau distant avec liaison par satellite

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Sans perplexité, le stage reste une étape nécessaire dans toute


formation qui vise à être efficace et rentable.
Le stage est une préparation au monde du travail, c’est un
passage enrichissant qui à l’avantage de prolonger le stagiaire dans
la réalité industrielle.

Du reste, Mon expérience à l’OCP m’était bénéfique


puisqu’elle m’a permis de vivre et de s'acclimater avec
l’environnement réel de travail, la preuve c’est que j’ai pu
m’intégrer à fond de train avec le groupe de travail et proposez
quelques suggestions en la matière de la régulation.

Pour conclure,, ce travail m’a été d’une grande importance,


dans la mesure où il m’a permis d’exploiter divinement mes acquis
pratiques, et de me harceler davantage à les lécher et perfectionner.

Vous pouvez télécharger plus de Rapports de stages sur le


Portail des Masters au Maroc : http://www.master.ma

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