tranchées en premier le champ lexical de l’insalubrité « tous est mouillé, suintant, lavé, naufragé »(l1) « d’une couche visqueuse »(l3) « et qui sent mauvais », l(3) « urine (l4) » Il y aussi le champ lexical de la violence : « Tac ! Tac ! Pan Les coups de fusil la canonnade (l14) ; « Au dessus de nous partout , ça crépite où ça roule, par logue rafales ou coups séparés (l14) la fusillade et le bombardement » (l17). Et pour finir le champ lexical de la mort. « Les trous eux- mêmes si on s’y penche en passant, puant aussi comme des bouches. » Il y a encore Le sombre et flamboyant orage ne cesse jamais, jamais(L16) qui est une métaphore ,pour parler de la guerre qui ne s’arrête jamais. De plus le narrateur est interne à l’histoire et omniscient, en effet c’est un soldat dans l’histoire (une histoire vraie) ce qui rajoute le sentiment d’horreur dans les tranchées.