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aux personnes auxquelles nous avons pu échanger et nous ont aidé pour la
rédaction de ce mémoire.
aide.
réalisation.
Résumé :
Introduction du chapitre……………………………………………………………………….……..
…………………………..7
Section1 : une définition opérationnelle de l’intelligence
collective............................................9
Section2 : Des dimensions pour déterminer l’intelligence
collective………………………………………….15
Section3 : les principes et les caractéristiques de l'intelligence
collective………………………………….20
Résumé ………………………………………………………………………………………………………………………..
…….…25
Introduction du chapitre
………………………………………………………………………………………………….………27
Section1 : L’apparition du coaching collectif à travers le management de
l’IC………………………….28
Section2 : Les facteurs qui contribuent à l’intelligence
collective………………………………………………37
Résumé…………………………………………………………………………………………………………………………
…………41
conclusion de la partie
…………………………………………………………………………………………………………….42
Section1 : présentation de
BMCI………………………………………………………………………………………………46
Section2 : fonction administrative de l’agence……………………………………..
………………………………….50
Dans une organisation, des réunions du travail permettant de placer chaque participant
dans une proximité spatiale permettant de percevoir l’ensemble de ce qui se déroule, la
réunion devient alors un lieu de convergence et d’interaction où sera constitué le
sentiment d’appartenance et où se manifeste l’esprit émergent de l’organisation.
Chapitre1 : l’intelligence collective définition,
dimensions, et caractéristiques.
Introduction:
Le travail d'un collectif ou d'un groupe nécessite pour commencer la mise en commun
d'outils et de compétences divers, qui offrent une foule d'avantages et permettent des
résultats incroyables en termes de créativité et de productivité. Une fois de plus, se
trouve confirmé le principe systémique selon lequel le tout est plus que la somme des
parties. Cependant, il ne suffit pas de mettre des individus ensemble pour que cela se
vérifie. Encore faut-il créer des conditions favorables. De plus, le travail en collectif
implique également des moments - nombreux - de réunion, de concertation qui doivent
être préparés et animés en fonction de la taille du groupe et des enjeux en présence. Ces
moments nécessitent également des outils spécifiques faisant eux aussi appel à
l’intelligence collective.
Section 1 : Une définition opérationnelle de
l’intelligence collective
1-Définition1
L’intelligence collective peut constituer un facteur important d’efficacité des équipes
dans les entreprises. En effet, partant du principe que l’intelligence collective est un
système, on peut dire que c’est la somme des intelligences individuelles des membres
d’une équipe plus leur relation. Ainsi, ce qui distingue une intelligence collective d’un
simple travail collectif, c’est ce dépassement dû à la relation entre les membres du
collectif. L’émergence de l’intérêt pour l’intelligence collective tient à deux autres choses :
la première est la complexité croissante des problèmes rencontrés, la deuxième est la
limite du fractionnement des composantes d’une situation. L’intelligence collective se
développe par l’apprentissage en petits groupes. Cette notion est issue de la rencontre de
deux concepts : celui de collectif de travail, soit avec une dimension restreinte (groupe de
travail ou équipe), soit avec une dimension plus élargie où le collectif désigne plusieurs
individus qui collaborent à la poursuite d’objectifs communs sous la direction d’un
leadership (Schein, 1971)2 ; et celui d’intelligence, notion qui peut être définie comme la
capacité de compréhension. Si l’idée de collectif de travail remonte aux premiers travaux
théoriques sur le management et l’organisation, la dimension collective du concept
d’intelligence est relativement récente. L’organisation constitue le lien entre l’intelligence
individuelle et l’intelligence collective. Même individuelle, l’intelligence s’inscrit
indiscutablement dans une perspective organisationnelle plus large que le simple
périmètre de travail d’un individu. Elle relève non seulement de la capacité d’un acteur à
faire face à une situation de travail particulièrement complexe, mais incidemment de
l’aptitude de l’organisation à favoriser la construction d’un comportement adapté et
efficient.
1
Source : Revue management et avenir 2007/04 n°4 page : 224
Editeur par management prospective Ed
2
Edgar Henry Schein (né le 5 mars 1928), un ancien professeur à l'École de gestion du MIT Sloan, a marqué
le développement organisationnel dans de nombreux domaines, y compris le développement de carrière, la
consultation des processus collectifs et la culture organisationnelle. Il est le fils de l'ancien professeur
Marcel Schein de l'Université de Chicago.
Tableau 1 : Les définitions pluridisciplinaires de l’intelligence collective 3 :
a) La première hypothèse : Suppose que tout être humain est détenteur d’une
intelligence individuelle à laquelle il peut faire appel .
b) La seconde hypothèse: Est qu’il existe une forme d’intelligence, dite « collective »,
susceptible de dépasser, en les intégrant, les intelligences individuelles et les savoirs
spécialisés.
Cette définition met l’accent sur la capacité reconnue à l’intelligence collective d’être
un processus *6Etant définie comme un processus, elle va donc se transformer se poser
des questions et à chercher des réponses ensemble. Elle est liée à l’évolué en différents
stades. Selon Bonabeau (1994), on parle métaphoriquement « d’intelligence collective »
lorsqu’un groupe social peut résoudre un problème dans le cas où un agent isolé en serait
incapable. L’intérêt de l’intelligence collective dans la construction d’une décision est
qu’elle permet une réflexion à plusieurs et structure l’action autour d’un objectif qui a du
sens.
De plus, on s’appuyant sur les travaux de Le Moigne (1998) et Mack (1995) sur
l’intelligence et la complexité, on peut dire que l’intelligence collective est une dynamique
qui semble émerger en particulier dans des situations complexes.
6
Van de Ven (1992) définit la notion de processus de trois façons. Ce peut être :
-une logique qui explique une relation causale entre des variables dépendantes et interdépendantes ;
-une catégorie de concepts ou de variables qui font référence aux actions individuelles ou
organisationnelles ;
-une suite d’évènements qui décrit comment les situations évoluent avec le temps.
Cette troisième définition est particulièrement pertinente pour comprendre l’intelligence collective en tant
que processus.
Pour Simon (1969)7, il s’agit d’une phase de recherche d’information, d’interprétation
et de « construction d’une vision » de l’environnement à usage collectif. Selon Courbon
(1979), on appellera intelligence collective d’une organisation, sa capacité à dégager des
différentes visions des activités de cette organisation et de son insertion dans son
environnement (qui est perçues par les individus et les groupes) une intersection
commune lui permettant de diriger d’une manière consciente son évolution. En effet,
nous pouvons constater, qu’il existe deux référentiels de mise en place de l’intelligence
collective liés à la situation :
-Premier part :
D’une manière quotidienne pour résoudre une situation de travail déjà présente.
-Deuxième part :
D’une manière prévisionnelle, pour résoudre une situation de travail planifiée ou
imprévue dans le temps et donc à venir.
Ainsi un certain nombre de points semblent faire l’objet d’un consensus et plusieurs
hypothèses émergent :
7
Source : H. Simon, (1969), Sciences oftheartificial, Cambridge MA : M.I.T. Press.
Section 2 : Des dimensions pour déterminer
l’intelligence collective
On a trois dimensions* 8 : cognitive, relationnelle et systémique, qui doivent existées et
être mises à profit pour que l’intelligence collective se crée. Ces dimensions ont émergé
grâce à un aller – retour entre la littérature et le terrain. Il s’agira, à partir de ces
dimensions de dégager des phénomènes afin de rendre le concept d’intelligence collective
opératoire. Reprenons chacune de ces dimensions afin de les clarifier :
L’intelligence collective est liée à l’action de réfléchir et de collaborer. Peu importe que
la décision soit celle d’une seule personne ou de plusieurs. Ce qui est important, c’est que
la construction de la décision ait mobilisé l’intelligence collective et les connaissances de
chacun des membres de l’équipe.
Elle permet de tisser des liens au sein de l’équipe. Elle est composée d’une sous-
dimension :
14 K.A. Jehn et J.A. Chatman (2001), «L'influence de la composition du conflit proportionnel et perceptuel sur la performance de l'équipe», International Journal of Conflict Management,
15 Erhard Friedberg est un sociologue autrichien qui a fait toute sa carrière en France. Chercheur au CNRS, puis Professeur de sociologie à Sciences Po, il est un des plus importants chefs de
file de ce qu'on appelle « L'école française de sociologie des organisations », développée par Michel Crozier depuis les années 1960.
l’environnement, pour réaliser concrètement les objectifs attendus et le système pensant
et décidant, qui a la double fonction de gérer tout à la fois l’efficacité et l’efficience.
16
Réalisé par les auteurs
Section 3 : les principes et les caractéristiques
de l'intelligence collective
1-Les principes de l’intelligence collective* : 17
1.4-Etre bienveillant
Chaque participant est invité à ne pas être dans le jugement de l’autre, des idées
proposées, ni dans le jugement de soi-même. Il n’y a ni bon ni mauvais. En effet, une idée
qui pourrait être considérée comme « mauvaise », pourrait être l’élément déclencheur de
la solution trouvée par le groupe.
1.5-Faire confiance
Se faire confiance, oser suivre son intuition, osé exprimer son savoir, faire confiance aux
autres, au processus et au facilitateur. Ce qui arrive devait arriver : les moments
hyperactifs, les silences, les dires des uns, les questions des autres viennent tous enrichir le
pot commun, “le centre” pour Co-construire ce qui est à faire.
1.6-Respecter le cadre
Le cadre est bien sûr composé des règles ci-dessus, ainsi que les règles de forme
(consignes pour chaque exercice). Par exemple, afin que chaque participant puisse
s’exprimer et faire partie du groupe, il est souhaitable de prévoir au début de la réunion un
temps équivalent pour chacun. Deux minutes permettent en règle générale à chacun
d’exprimer l’essentiel et invite à un exercice de concision pour le bien-être de tous.
2.3-Contrat sociale :
18
Source : Intelligence collective ; la révolution invisible de Jean-François Noubel
19
L'holoptisme est une des propriétés qui apparaît dans un petit groupe (5-25 personnes): c'est la possibilité
pour tout membre du groupe à pouvoir appréhender la totalité du groupe et de son activité.
social porte non seulement les valeurs et les règles du groupe, mais également sa raison
d'être, donc son inscription dans le futur.
La cartographie des relations entre les participants se réactualise sans cesse en fonction
des circonstances, des expertises, de la perception de chacun, des tâches à accomplir, des
règles définies par le contrat social. Elle se magnétise autour des expertises, chaque expert
(reconnu comme tel par le groupe) prenant tour à tour le "lead" au fil des besoins. Dans une
équipe de sport par exemple, l'ailier droit mène la danse lorsque la balle circule dans sa
surface. C'est lui l'expert, le leader de l'instant. Cela ne l'empêchera pas d'aller jouer les
gardiens de buts si la situation l'exige.
RÉ SUMÉ :
Ainsi, comme on peut le voir, l'efficacité d'une équipe de travail se définit non seulement
par rapport aux produits et aux résultats de l'équipe mais également par rapport à la
satisfaction que l'équipe procure à ses membres. Alors l’intelligence collective est
considérer comme ensemble des capacités de compréhension, de réflexion, de décision et
d'action d'un collectif de travail issu de l'interaction entre ses membres et mis en œuvre
pour faire face à une situation donnée, présente ou à venir, complexe.
Chapitre2 : le management de
l’intelligence collective
Introduction :
La bonne performance des entreprises dans une société industrielle et commerciale
est de savoir produire, de savoir vendre mieux et plus vite que ses rivales. Actuellement, la
plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur existence. Si elles
n'avaient pas cette capacité, elles auraient déjà disparu. Mais au fil du temps, leur niveau
de performance devient de plus en plus homogène. Croître, prendre des parts de marché
se fait alors plus facilement en absorbant ses concurrents.
La performance des entreprises dans une société de l'information est de savoir
mobiliser l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés,
fournisseurs, clients). S'il faut, et s'il faudra toujours, savoir produire et vendre, ce n'est
plus aujourd'hui un facteur suffisamment différenciateur dans la compétition
internationale. Hier, l'entreprise était industrielle et commerciale. Demain il faudra qu'elle
soit de plus en plus une entreprise intelligente.
L'entreprise intelligente repose principalement sur l'intelligence collective (IC) et le
Knowledge Management (KM) qui ne peuvent exister et fonctionner efficacement sans les
technologies de l'information. Ces outils font partie des technologies de l'intelligence
augmentée (Amplified Intelligence) dont l'objet est d'étendre les capacités intellectuelles
humaines, en particulier les capacités cognitives des groupes. Ces technologies ont
beaucoup évolué ces dernières années en passant de l'information à la communication,
puis aujourd'hui à la collaboration.
Les technologies de l'information et de la communication ont permis de rendre
accessible l'information, de stocker et de partager. Les technologies de l'information et de
la collaboration (intranet collaboratif) vont beaucoup plus loin. Elles augmentent la
performance des interactions humaines et donnent à l'information une valeur
opérationnelle.
^^ http://takecareconseil.com/site/nos-interventions/deployer-la-force-de-lintelligence-
collective/ ^^
Source : www.travail-collaboratif.info/?EntreprisePerformante
Section 1 :L’apparition du coaching collectif à
travers le management de l’intelligence collective
Le coaching est aujourd’hui l’outil le plus performant pour accompagner le changement
des organisations et des comportements de chaque individu. Le coaching est en fait bien
plus qu’une modalité d’intervention, c’est aussi une nouvelle façon de travailler. Si les
interactions entre un coach et un coaché portent plus leurs fruits qu’avec d’autres
méthodes, alors pourquoi ne pas mettre en œuvre le même type d’interactions entre un
manager et ses collaborateurs ?
On pourrait définir l’application des principes et règles du coaching au management
comme le management de l’intelligence collective. Ce nouveau mode de management
implique un nouveau manager : le manager coach ! La notion de manager coach n’est pas
nouvelle mais elle est mise en œuvre principalement sur une dimension individuelle : un
collaborateur est en difficulté, le manager va utiliser les techniques de coaching pour
l’aider à mieux comprendre sa situation et à trouver des solutions. L’étape suivante sera
pour le manager d’utiliser ces mêmes techniques de coaching au niveau d’une équipe, d’un
collectif.
Pour comprendre l’interconnexion du coaching avec le management de l’intelligence
collective, voici deux définitions possibles parmi d’autres :
• En posant des questions, un coach ne fait rien d’autre qu’aider le coaché à réfléchir.
Réfléchir consiste à se poser des questions puis à analyser les réponses. 5 Pour bien
manager l’intelligence collective, il est important qu'un manager maîtrise les techniques du
coaching car il doit organiser la réflexion collective et, de fait, il devient un manager coach.
À votre avis, une décision, une action est-elle de meilleure qualité si on mobilise
l'intelligence de plusieurs personnes pour la concevoir ? Est-ce que l'union fait la force ?
Faut-il réfléchir avant d'agir ? Faut-il chercher des informations avant de réfléchir ? Encore
une question : trouvez-vous toutes ces questions idiotes ? Si la réponse est sans hésitation
oui, parce que c'est du bon sens, alors voici une nouvelle question : le faites-vous
réellement au quotidien. En ou même de temps en temps ? Vous avez besoin de réfléchir
pour répondre ? La réponse est moins immédiate ?
La performance des entreprises dans une société de l'information est de savoir mobiliser
l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés, fournisseurs,
clients…). S'il faut et s'il faudra toujours savoir produire et vendre, ce n'est plus aujourd'hui
un facteur suffisamment différenciateur dans la compétition internationale. Hier,
l'entreprise était industrielle et commerciale, demain il faudra qu'elle soit de plus en plus
une entreprise intelligente.
23
La gestion des savoirs, Actes du colloque CEFRIO.
L'entreprise intelligente repose principalement sur l’intelligence collective (IC) et le
Knowledge Management (KM) qui ne peuvent exister et fonctionner efficacement sans les
technologies de l'information. Ces technologies font partie des technologies de
l’intelligence augmentée (Amplifie Intelligence) dont l’objet est d'augmenter et d’étendre
les capacités intellectuelles humaines, en particulier les capacités cognitives des groupes.
Ces technologies ont beaucoup évolué ces dernières années en passant de l’information à
la communication puis aujourd’hui à la collaboration. Elles sont largement utilisées dans les
processus d'e-coaching.
Cette distinction est importante car on pense souvent coopérer alors qu'on ne fait que
communiquer. Émettre ou recevoir une information est une activité courante. Par contre,
Co-construire une information est beaucoup plus rare et difficile.
La mise en place d'un nouvel outil (logiciel ou non) entraîne toujours un changement de
culture. Dans l'histoire, de nombreux outils ont changé notre relation au monde, notre
vision, notre réalité : le train, l'avion, le téléphone, Internet… Ces outils ont provoqué un
changement des comportements, et par conséquent des valeurs. Les intranets vont donc
de facto changer la culture et la réalité d'une entreprise au niveau global, interpersonnel et
au niveau des processus de décision… Certaines personnes accusent les outils de changer
leur culture. Leur accusation est plus que justifiée. La question à laquelle ils doivent
répondre est donc : sommes-nous prêts à changer de culture ?
On retrouve cette problématique dans l’e-coaching via des logiciels de travail collaboratif
adaptés au coaching. Le développement du marché des logiciels d'e-coaching est
extrêmement difficile car les coaches rejettent ces technologies aussi bien que les coachés.
Les coaches ont peur de perdre en compétence et ils ont raison. Ils savent bien gérer la
relation en face à face mais pas en virtuel ; ils savent bien communiquer à l’oral mais sont
moins à l’aise à l’écrit. Ils préfèrent donc expliquer que l'e-coaching n’est pas efficace : pas
de langage non verbal à analyser, difficulté à créer la confiance… Mais bizarrement, le
téléphone ne leur pose pas de problème alors qu’il n’y pas plus de langage non verbal que
dans un logiciel. Les coachés n’aiment pas non plus les logiciels d'e-coaching quand ils ont
les moyens de payer la prestation traditionnelle car ils considèrent que c’est un
gadgetjusqu’au jour où certains se lancent. À ce moment-là, la peur de la nouveauté va
laisser place aux joies de l’efficacité.
Dans les 10 prochaines années, les entreprises les plus performantes auront une culture
qui leur permettra d'articuler naturellement collaboration et e-collaboration, management
et e-management. L'oral, l'implicite, la verticalité et le face-à-face existeront toujours, mais
l'écrit, l'explicite, la transversalité et le virtuel prendront de plus en plus d'importance.
Laperformance sera de savoir composer la bonne recette. Celle qui permet de gérer le
capital intellectuel et d'augmenter la quantité et la qualité des coopérations intellectuelles
en face à face et à distance.
a. Une organisation :
• Une organisation de plus en plus transversale (non hiérarchique) qui laisse une grande
place à la liberté d'expression et à la participation (les revendications croissantes d'une
démocratie plus participative en sont l'expression).
b. Des logiciels :
• Des logiciels qui prennent de plus en plus d'importance dans la sphère professionnelle
(progiciels, intranet…) et dans la sphère personnelle avec, par exemple, les jeux vidéo en
ligne multi-joueurs qui développent une culture de la coopération (Play Together dit la
publicité pour la Xbox). En France, les 12-17 ans sont familiarisés avec Internet à 87 % et
avec le micro-ordinateur à 93 %.
Cette culture émergente est fondatrice d'une société de l’information, du savoir. Cette
culture transcende les âges et favorise les coopérations intellectuelles. Demain, les
entreprises, qui n'auront pas su s'adapter à cette culture, auront le plus grand mal à
recruter et à fidéliser. La guerre des talents se jouera en partie sur la convergence entre les
valeurs attendues par la majorité des personnes et les valeurs proposées par les
entreprises. Intégrer ou quitter une entreprise se fera demain plus qu'aujourd'hui sur un
fondement culturel. Cette culture émergente favorise bien sûr les processus de coaching et
l’acceptation des logiciels d'e-coaching.
Dans une économie de la production, la création de valeur est fondée sur le territoire, le
travail et le capital. Dans une économie du savoir, la création de valeur dépend
principalement des idées et de l'innovation qui se trouvent dans la tête des gens. On ne
peut pas les leur prendre par la force. On peut seulement mobiliser l'intelligence collective
et les connaissances.
L'entreprise intelligente implique un changement par rupture qui provoquera
naturellement beaucoup de résistances. Mais il s'agit d'une innovation sociale. S’il n’y avait
qu’une chose à retenir de cet article, ce serait de comprendre qu’à côté des besoins
individuels, il y a aussi des besoins collectifs qui participent au développement durable
d’une organisation. Le management de l’intelligence collective est une des réponses aux
besoins du collectif.
L’art des dirigeants aujourd’hui est de savoir satisfaire les besoins individuels (sécurité,
reconnaissance, appartenance, responsabilités, accomplissement de soi) en étant en même
temps capables de créer une prise de conscience du besoin collectif et de mobiliser chaque
personne sur la satisfaction du besoin collectif.
Section2 : Les facteurs qui contribuent à
l’intelligence collective
L'utilisation de nouveaux outils collaboratifs est une source de différenciation et de
performance.
En effet, bien que l'impact direct de ces modes de fonctionnement sur la performance
de l'entreprise ne soit pas mesurable, le principe de collaboration contribue à développer
l'intelligence collective, c'est-à-dire la capacité d'une entreprise à s'adapter à ses enjeux, à
fidéliser ses clients, à rester innovante et la capacité à générer des idées en les
transformant en activités rentables.
1.2-Fidélise la clientèle
La qualité et la transparence de l'information supportent la proximité entre
l'organisation et son environnement, ce qui assure également à améliorer l'image et la
notoriété deL’entreprise auprès de ses clients pour les fidéliser. Un esprit d’équipe
collaboratif permet de répondre instantanément aux questions des clients quant à l'état
d'avancement de leur projet ou le traitement de leur demande et permet également de
leur fournir une information précise concernant un prix ou un délai de livraison
1.3-Fonder une relation client exclusive :
Un réseau traditionnel est un réseau pensé pour satisfaire la demande du client avec une
ligne de produits ou de services fixe, offrant un service commun à des clients communs. A
contrario, un réseau à forte valeur ajoutée prend en compte chaque client, de manière
exclusive, en lui proposant des réponses sur mesure.
Concrètement, les progiciels sont conçus de manière à ce que chaque tâche effectuée
déclenche une chaîne d'informations vers d'autres collaborateurs ce qui permet une
amélioration de la productivité des équipes. Des outils de collaboration plus complexes tels
que les conférences Web ou la téléphonie IP permettent également le partage de
compétences, favorisent l'émulation à l'intérieur des groupes et influencent positivement
l'état d'esprit des salariés.
25
Peter Ferdinand Drucker, né le 19 novembre 1909 à Vienne en Autriche, mort le 11 novembre 2005 à
Claremont en Californie aux États-Unis, est un professeur, consultant américain en management d'entreprise,
auteur et théoricien
Source de l’image : management+de+l
%27intelligence+collective&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwi4jOTaw4vVAhWmDsAKHRwuD3U
Q_AUICygC&biw=1600&bih=794#
1.2- Partager ses connaissances :
Wayne Gretzky, joueur professionnel de hockey canadien, a écrit : "100 % des choses qu'on
ne tente pas échouent". Il est important de noter que le fonctionnement d'une entreprise
est semblable à celui d'une équipe sportive.
Au hockey, le but est d'éviter ses adversaires tout en menant le palais dans les buts en
collaboration avec ses coéquipiers et son leader. Dans une entreprise, le but défini par le
leader est d'emmener l'équipe vers l'objectif visé par l'entreprise tout en évitant ses
concurrents.
Le principe est par conséquent identique dans les deux situations puisque l'importance
réside dans la collaboration des participants pour obtenir un résultat et arriver à ses fins.
L'intelligence reste alors primordiale puisqu'elle est issue du collectif qui désigne plusieurs
individus qui collaborent à la poursuite d'objectifs communs sous la direction d'un leader.
RÉ SUMÉ :
Dans une économie de la production, la création de valeur est fondée sur le territoire, le
travail et le capital. Dans une économie du savoir, la création de valeur dépend
principalement des idées et de l'innovation qui se trouvent dans la tête des gens. La
performance d’une entreprise dépend donc de sa capacité à mobiliser l'intelligence
collective et les connaissances. S'il faut et s'il faudra toujours savoir produire et vendre, ce
n'est plus aujourd'hui un facteur suffisamment différenciateur dans la compétition
internationale. Hier, l'entreprise était industrielle et commerciale, demain il faudra qu'elle
soit de plus en plus une entreprise intelligente. Dans ce cadre, le coaching apparaît comme
un outil puissant.
Conclusionde la partie :
En effet, l’intelligence collective qui a pour but ultime, la performance dépend d’une façon
étroite de la bonne coopération de l’homme.
Dans le contexte ou les entreprises font face à plusieurs changements, les dirigeants sont
appelés à recevoir les modes d’organisations des équipes de travail. Ce constat a poussé
plusieurs chercheurs à développer des modèles rendant compte des déterminants
identifiés, l’intelligence collective pourrait constituer un facteur important d’efficacité des
équipes dans les entreprises. Pourtant ce concept n’est pas actuellement stabilisé en
science de gestion. De plus, peu d’outils sont à la disposition des managers et des
chercheurs pour l’identifier concrètement.
Détecter l’intelligence collective sur le terrain
Banque marocaine pour le commerce et l'industrie
( BMCI )
Introduction de la partie :
Nous proposons de détecter ces composantes de ’intelligence collective dans les cas des
banques. L’objectif de cette recherche est d’enrichir le concept d’intelligence collective en
essayant de comprendre dans quelle mesure une équipe de travail peut être intelligente
collectivement et justement les conditions dans lesquelles elle a tendance à élargir.
Puisque que l’intelligence collective est une connaissance intangible non mesurable
quantitativement, il faut donc définir des moyens de mesure qualitatifs : tel que l’ambiance
dans le collectif, le climat social, l’échange, etc., donc situer la présence des composantes
de l’intelligence collective en vérifiant des phénomènes qui prouve son existence. Le terme
« phénomènes » comprend l’ensemble des résultats et des conséquences spécifiques que
laisse l’intelligence collective et que l’on retrouvera, aussi bien dans le produit de l’activité
collective que chez l’opérateur lui-même.
Après avoir présenté le lieu de notre étude et notre méthodologie de recherche, nous
analysons le fonctionnement del’équipe de travail que nous avons étudié. Enfin, à l’aide
des dimensions et des caractéristiques de l’intelligence collective proposées en première
partie, nous constateronssi ces équipes de travail détiennent une intelligence collective et
si oui dans quelles conditions et sous quelles formes ?Comment l’intelligence collective
contribue à la performance de l’entreprise ?
https://coachingentreprise.wordpress.com/category/management-de-lic/page/6/
http://books.openedition.org/pur/24744?lang=fr
https://coachingentreprise.wordpress.com/category/le-collaboratif/page/6/
https://www.cairn.info/revue-staps-2008-4-page-57.htm
Chapitre I : Présentation générale de la
BMCI
Section1 : présentation de BMCI
1- Grandes étapes historiques26
La BMCI est issue de la Banque Nationale pour le Commerce et l’Industrie Afrique
(BNCIA), filiale du groupe Français BNCI.
En 1940, la BNCI s’est implantée au Maroc via sa filiale la BNCIA dont le siège était installé à
Alger. Trois ans plus tard (1943), la BMCI a vu le jour avec l’apport par la BNCIA de ses biens
immeubles. Mais ce n’est qu’en 1964 que cette dernière a cédé une partie de son capital
permettant ainsi à la BMCI de se marocaniser. La fusion, en 1966, de la BNCI et du
Comptoir National d’escompte de Paris a donné naissance au groupe Banque National de
Paris (BNP) qui a maintenu son actionnariat au niveau de la BMCI.
A l’aube des années 90, la banque a confronté une importante crise. Mais grâce à
l’implication de la BNP dans la gestion opérationnelle, une augmentation significative du
capital et une mise en place d’un plan de restructuration 1994/1997 un nouveau temps
fort est marqué pour la banque. Engagée dans un processus d’assainissement, la BMCI s’est
réorganisée par métiers et a renforcé sa force de vente.
26
Source : rapport de stage réalisé par Dounia Mahir
27Une SICAV est une société qui a pour objectif de mettre en commun les risques et les bénéfices d'un investissement en valeurs mobilières (actions, obligations…), titres de créances
négociables, repos et autres instruments financiers autorisés soit par la règlementation soit par les statuts de la SICAV. D'un point de vue juridique, les SICAV ont une personnalité morale. La
société dispose d'un conseil d'administration et les actionnaires de la SICAV bénéficient d'un droit de vote à l'assemblée générale annuelle.( Les sociétés d'investissement à capital variable)
Cette situation est affermie aussi par la synergie de la BMCI avec la première banque de
France BNP PARIBAS : groupe bancaire international, leader en Europe et fort de la
compétence de ses équipes et de ses implantations sur tous les continents.
La nouvelle banque, née de cette fusion, se situe aujourd’hui parmi les premiers
opérateurs privés.
2- L’organisation de la BMCI
Afin d’accompagner le développement de ses activités, la BMCI s’est dotée d’une
organisation qui favorise le « Cross-Selling » ou la vente croisée, qui permet de croiser tous
les métiers de la Banque afin d’apporter à un même client une réponse globale à ses
besoins.
Ainsi, le groupe BMCI est désormais organisé autour de quatre types de structures :
Les filiales de la banque ainsi que la Direction des Financements Spécialisés, rattachées directement
à la direction Générale, apportent leur savoir-faire et leur expertise aux trois lignes de clientèle :
La Direction des Financements Spécialisés, qui anime les filiales BMCI LEASING et
BMCI SALAF, regroupe les activités de factoring, de conventions de crédit et de
financements immobiliers.
Les fonctions de groupe assurent, pour le compte de l’ensemble des entités de la BMCI et
de ses filiales, les activités de support et de maîtrise des risques. Elles comprennent :
- le Secrétariat Général ;
Le réseau BMCI continue à être spécialisé par type de clientèle: agences dédiées aux
particuliers et professionnels ; agences dédiées aux entreprises.
Un Comité Exécutif a été créé pour assurer la transversalité nécessaire entre ces
différentes structures et arrêter les grandes décisions opérationnelles.
28 (Compagnie pour le financement des équipements électro-ménagers) est une société française devenue internationale, spécialisée dans le crédit à la consommation dont elle est leader
en Europe continentale. Elle est une filiale de BNP Paribas, sous le nom de BNP Paribas Personal Finance. Elle est sa marque commerciale dans plusieurs pays dont la France (avec Crédit
Moderne pour les Départements d'Outre-Mer). Les autres marques de BNP Paribas Personal Finance sont Findomestic en Italie et AlphaCredit en Belgique.
Directeur de l’agence :
Hamada mohamed
Analyser régulièrement les résultats obtenus par rapport aux objectifs à réaliser ;
Développer les dépôts par le drainage de nouveaux clients,
Assurer la bonne gestion de l’agence ;
Contrôle des lots comptables ouverts par les agents (caisse, traitement chèques,
recette compense, virement, les produits ….)
Fidélisation de la clientèle ;
Assurer la bonne relation avec ces clients et le personnel en général ;
Soutenir les actions publicitaires lancées par le siège ;
Il est responsable de l’animation de son équipe et la réalisation des objectifs qui lui
ont été assignés ;
2.2: Les responsabilités du chargé d’accueil
29
Réalisé par les auteurs
Source : rapport du stage réalisé par Dounia Mahir
Assurer la gestion des opérations courantes de la caisse (retrait, versement…) ;
Envoi et réception des fonds en monnaie locale et en devise auprès de la succursale.
Réapprovisionnement et reversement du GAB (Guichet Automatique Bancaire).
Contrôle et arrêté de caisse en fin de la journée.
Classement et archivage des pièces comptables ;
Contrôler et viser toutes les pièces comptables ;
2.3 : Conseiller de la clientèle des particuliers
L'intelligence collective 30 peut être vu comme un état d'esprit que l'on peut retrouver
dans la façon de conduire les projets ou mettre en réflexion l'organisation sur son propre
fonctionnement. Cet état d'esprit s'appuiera sur des principes de fonctionnement qui
autorise sa mise en œuvre. Ce changement d'état d'esprit passe avant l'utilisation d'outils
de facilitation ou d'outils informatique qui ne peuvent être qu'au service du processus.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_collective
31Guy Le Boterf est directeur du cabinet Le Boterf Conseil (France) et professeur associé à l'Université de Sherbrooke (Canada).
Docteur d’État en sciences humaines et docteur en sociologie, ses travaux sur la compétence collective et le travail en réseau font autorité en France et à l'étranger dans de
-Source :Gestion 20002011/2 (Volume 28)Pages : 146DOI : 10.3917/g2000.282.0107Éditeur : Association de recherches et publications en management
additives d’un acteur mais de maîtriser la complexité des flux dans l’entreprise. La
productivité est au sein de toutes les préoccupations managériales et le challenge à relever
dans les entreprises étudiées ici est celui d’améliorer les dispositifs de ressources
humaines, de savoirs et de compétences. Il est à considérer désormais les modèles de
travail associés à une gestion dite durable et ouverte à des apprentissages nouveaux afin
d’exploiter l’initiative et l’intelligence des salariés a des coûts moindres. La gestion des
compétences collectives doit permettre aux entrepreneurs d’intégrer en amont cette
dimension centrale, d’améliorer la productivité et de consolider l’intérêt des salariés.
On trouve parmi ces compétences la confiance. Car sans confiance, l’avis de l’autre ne
sera pas respectée voir même considère ce qui handicape la réussite ou la concrétisation
des projets, sachant que chacun a un rôle à jouer dans la conception et réalisation du
projet.
Chaque niveau à sa propre intelligence collective qu’il associé aux instructions ou règles
internes de l’établissement. L’intelligence inter-niveaux permet aussi un management
participatif.
Lorsque les conditions pour l’instauration d’une intelligence collective sont réunies, les individus
sont transformés en un groupe faisant preuve d’une forte cohésion, et créent une équipe dans
laquelle la somme de tous les partis devient un tout bien plus grand et productif que chaque
élément isolé.
Cette forme de synergie devient possible seulement si l’individu se sent réellement impliqué
dans le groupe et dans l’organisation en question. Il est du ressort de l’entreprise de réussir à
installer un environnement propice à cette orientation. Il convient de se rendre compte de l’intérêt
et de l’existence d’une véritable intelligence collective au sein du groupe, quel que soit l’individu,
sans privilégier un membre par rapport à un autre. Chaque idée, même la plus mauvaise en
apparence à son importance, à chacun de laisser exprimer sa créativité, véritable variable
stratégique et de changement pour l’entreprise. 32
32
http://www.forthomme.net/emergence-intelligence-collective/
4. compétence pour le maintien de la collaboration au sein de l’équipe
Selon la BMCI l’accomplissement des taches se fait par l’acceptation des suggestions et
conseils car ces derniers sont parmi les piliers qui contribuent à la réussite de l’intelligence
collective, aussi bien il faut accepter l’échange, gérer les conflits et la bienveillance.
Résumé :
BMCI est tout d’accord de l’adaptation de l’intelligence collective au sien de
l’organisation car elle est convaincue de plus que peut apporter chaque
individu.
Conclusion générale :
L’intelligence collective contribue à la prise de décision, de communication et de
gestion des projets fondées sur le collectif. Ces méthodes sont de plus en plus utilisées
dans l’économie et dans la vie quotidienne collaborative et s’étendent à de nombreux
aspects de la vie professionnelle.
Le travail en mode projet nécessite de faire intervenir, pour une période de temps
limitée, des personnalités et des compétences diverses, la cohabitation de personnalités
affirmées peuvent générer des tensions lorsqu’on n’a pas pris le soin d’établir dès le départ
des règles du jeu comprises et acceptées de tous. L’intelligence collective améliore tous
les talents en présence afin de parvenir à un fonctionnement optimal, fondé sur une
communication précise, explicite, juste et respectueuse.
Enfin les dimensions de l’intelligence collective sont présentes dans les équipes étudiées
au travers de phénomènes mais à des degrés différents. Il serait intéressant d’approfondir
ces dimensions notamment grâce à leurs interactions possibles, probables ou avérées au
vue des diverses observations.
Bibliographie :
Les ouvrages :
Les auteurs :
K.E. Weick and Karlene, H. Roberts (1993), "Collective mind in organizations : Heedful
interrelating", on Administrative Science Quarterly; vol 38, pp. 357-381, Septembre
K.A. Jehn and J.A. Chatman (2001), "The influence of proportional and
perceptual conflict composition on team performance", International Journal of
Conflict Management, vol. 11, p. 56-73.
M. Roy (1999), « Les équipes semi-autonomes au Québec et la transformation des
organisations », Gestion, 24 (Automne), 76-85.
O. Zara (2004), Le management de l’intelligence collective : Vers une nouvelle
gouvernance, Edition Paris.
P. Lévy (1997), L’intelligence collective : pour une anthropologie du cyberspace, la
Découverte.
R. Ribette (2000), « Approche systémique et GRH » Personnel, décembre, N°415.
R. Ribette (1996), « Des intelligences individuelles à l’émergence de l’intelligence
collective », lors du 1e Salon International de la Formation, SIF, Tunisie, CIFCO, La
Charguia, Tunis, 27-30 Novembre.
R. Ribette (1995), « Les stratégies d’élaboration et de transmission des connaissances :
construits individuels et construits collectifs », Revue Internationale de Systémique, Vol
9, N°2. pp.167 à 182.
Index : (questionnaire) 33
33
Réalise par les auteurs
Merci