Thème 5 

: Services aux partenaires

Préambule au thème :

/!\ usage du mot partenaire :

Pourrait être compris comme « on signe un partenariat avec … ». Ce n’est pas sous ce sens-là que le
mot partenaire est employé.

On va plutôt prendre le mot partenaire comme « participer à … », « échanger », « construire avec »

Construire ensemble une solution à une question posée par le partenaire.

/ !\ usage du mot « service » :

Fournir un service clé en main : ce n’est pas notre job !

- Répondre à un besoin de stagiaires, d’alternants, … : oui,

- Fournir un catalogue de services : non

/ !\ aux ressources rares quand on les mutualise !

1- Qui appelle-t-on partenaire ?

- entreprises : contrat d’alternance ou le stage,
- institutionnels :
o pôles de compétitivité,
o CFA, OPCA,
o collectivités locales : on a des représentants dans nos conseils mais ensuite c’est très
local
o branches professionnelles : syndicats : utiliser leurs réseaux
- établissements avec lesquels on co-porte des formations
- associations : explorateurs d’avenir par exemple,
- partenaires dans un projet : IDEX par exemple,
- lycée & collège,
- international
- entre nous : pour mieux se connaître (Comment peut-on favoriser les liens entre
départements pour s'échanger des "dossiers" en fonction de problématiques santé,
poursuite d'études…. Un étudiant qui souhaiterait étudier à Valence et n'est pas reçu mais
pris à Grenoble, ...) et avec l’université ou les BTS (des partenariats lors des passerelles afin
d'accéder directement à certaines de nos formations sans avoir à valider une 1 ère année par
exemple ou réorientation précoces …).

tout sauf nos étudiants !

2- Qu’est ce qui nous relie ? Pour échanger quoi ?

La réponse à cette question a été plutôt détaillée pour les partenaires entreprises.

Participer à :

- des évènements communs (forum, portails, coordonnées, …)

- des projets exploratoires (style PTut)
- des visites :
o scénariser nos installations,
o CCM
- nos clubs entreprises : sans fusionner mais affichage commun pour montrer les échanges, les
évènements :
o guichet unique : multiplication des chances pour trouver 1 stagiaire ou pour
embaucher,
o
- accès aux :
o plateformes,
o formations :offre de formation très large, sous diverses modalités, accréditations
nationales, reconnaissances, référentiels :
 FC,
 Lp,
 Co construction de formations,
o Certifications (CLES, TOEFL, TOIEC, Stormshield, CISCO, Voltaire, KNX, Labview,…),
o services : REA, valorisation (besoin que ceux-ci soient visibles de l’extérieur)
o ….
- Lien avec la recherche

3- Il serait intéressant de proposer :

Des cartographies :

- des métiers,
- des compétences,
- des formations (avec tel DUT pour aller vers telle LP…),
- des certifications,
- des plateformes technologiques et environnements pédagogiques,

De recenser les différentes conventions que l’on a :

- A l’international,
- Pour passerelles :
o PACES,
o Envers d’autres formations,
o Entre nous,

Pas forcément pour les mettre sur le site mais pour mieux connaitre ce que l’on fait et savoir ce qui
existe pour :
 - Dupliquer le modèle,
- Essaimer,
- …

4- Proposition d’un angle « d’attaque » : Travailler sur l’accueil

Quelle porte d’entrée chez nous ? actuellement elle est compliquée alors qu’on a plein de choses à
montrer.

On a déjà le guichet unique pour les alternants.

Est-on capable d’imaginer ce guichet unique pour les autres thématiques ?

Qu’est ce qui fait qu’une entreprise pense spontanément à nous pour répondre à un besoin ?

Que faut-il faire pour qu’elle pense à nous ?

Actuellement, très souvent elle nous connait car déjà en relation par l’accueil d’un stagiaire, d’un
alternant ou par l’intermédiaire d’un ancien à nous qui y est.

Cela pose donc la question de la valorisation de notre réseau.

Comment rediriger vers le bon site IUT ?

A une question posée :

- Comment identifier le bon interlocuteur ?

- Comment s’assurer que l’interlocuteur réponde ?

5- Les plateformes

A l’origine les plateformes sont souvent créées pour répondre à un besoin pédagogique (TP, projet,
…).

La possibilité de recevoir d’autres publics est venue dans un second temps sans forcément de
réflexion de portabilité.

Pour changer d’angle d’attaque, il faut pouvoir répondre à la question : quel intérêt je retire, qu’est
ce qui j’y gagne, chercher les arguments facilitateurs (aide région, …).