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I. L’introduction :
« La présentation de Sacher Masoch » est un essai de Gilles Deleuze publié en
1967 qui parle du froid et du cruel. Dans cet essai, il écrit : « La violence est ce qui
ne parle pas ».
En effet, la violence existe toujours dans notre société sous plusieurs formes. Nous
nous demandons si la violence est- elle simplement une force physique ?
Pour répondre à cette question, tout d’abord, nous aborderons la définition de la
violence dans sa généralité. Ensuite, nous nous questionnerons sur le fait que la
violence est-elle juste une agression physique et qu’elle impact peut-elle avoir sur
les personnes qui la subissent. Enfin, nous conclurons avec une réponse à cette
problématique.
II. Développement :
Tout d’abord la violence n’est pas seulement une agression physique. La violence
est plutôt un mot général pour exprimer une attaque, que ce soit envers quelqu’un
ou quelque chose. En effet, dans la vie, il existe non seulement des attaques
physiques mais aussi des attaques morales qui se traduisent par des mots, des
critiques, ou des commentaires, etc... Cette violence existe depuis de nombreuses
années, cependant, la liberté d’expression et le développement des réseaux sociaux
font augmenter le harcèlement, qui est en partie une violence morale et peut-être
parfois plus blessant qu’une attaque physique.
Afin d’être plus clair, nous savons qu’une violence physique contient des traces
facilement reconnaissables, et à partir de là, une aide peut être considéré par
d’autre personnes, et crée une empathie qui va amener à trouver des solutions, les
victimes peuvent recevoir un traitement à temps.
Au contraire, pour la violence morale, les traces sont moins visibles, mais tout aussi
dangereuse, car elles sont plus difficilement identifiables, les victimes de cette
violence sont souvent renfermées sur elles-mêmes et aucune solution n’est trouvée
à temps, les conséquences de ces actes se finissent par une dépression ou un
suicide. Par exemple, récemment une chanteuse coréenne a souffert comme
beaucoup d’autre célébrités, après avoir reçu de nombreuses critiques négatives sur
Internet s’est donné la mort.
Pour donner un autre exemple assez concret, le ‘’body-shaming’’ est une forme de
violence morale très répandu qui peut conduire à la dépression ou de pensées
négativent qui influence la vie de la victime. Ce fait a lieu surtout chez les femmes
qui sont les plus sensibles et plus faciles à être blessées.
Pour conclure, selon l’auteur, la violence est ce qui ne parle pas. En revanche,
comme nous venons de l’analyser, la violence se traduit en plusieurs formes.
Comme nous venons de le démontrer, avec ces arguments nous pouvons contredire
la citation de l’auteur et dire concrètement que la violence parle car les
conséquences sont pour les deux plus ou moins identiques. Aujourd’hui, notre
travail est de lutter contre non seulement la violence physique mais aussi la
violence morale.